Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 155 J'aime
  • 10 Commentaires

Police polissonne

Chapitre 2

Le dernier espoir déçu.

Lesbienne
  Assise sur sa chaise, elle élucide un plan pour tenter d’amadouer son auditoire afin de se sortir de cette situation, et un plan B au cas où le premier foire. Mais si elle le met à exécution il en sera fini de Noémie et de Katia, et  ce dernier lui donne la chair de poule.   — Je peux avoir un verre d’eau, s’il vous plaît ? demande-t-elle d’une voix serrée. — Certainement, répondit le commissaire en se dirigeant vers une armoire où se cache un frigo.   Il lui sert un grand verre d’eau fraîche et lui donne.   — Merci… Mon récit vous convient-il ? — Oui, mais pour l’instant je constate que tu n’as pris que du plaisir ; nous sommes loin de ce que tu veux nous faire croire. — Attendez, j’y arrive ; je veux tout vous raconter pour que vous compreniez comment et ce qu’elles ont fait. — Très bien, alors nous t’écoutons. — C’est vrai que j’ai pris mon pied, car après m’avoir léché la chatte avec sa langue, elle m’a mis aussi des doigts dans la moule et j’ai eu un terrible orgasme ; alors, j’lui ai fait pareil. Pour la première fois, j’ai goûté à son jus ; putain que c’était bon ! J’l’ai sucée et je lui ai aussi mis les doigts, elle aussi avait joui et même qu’elle gueulait de plaisir. Après elle me dit qu’on pouvait faire les ciseaux, vous savez, on se met moule contre moule et on se frotte. On c’est mis des doigts dans le cul, elle dans moi et moi dans elle. Elle voulait qu’on se tire sur les tétés, qu’on les pince aussi ; on l’a fait et j’ai encore joui comme une digne. Et puis on remettait ça tous les soirs, c’était vraiment bien vous savez.    Elle voit nettement que les trois hommes bandent, leurs pantalons se déforment par l’excitation ; elle aussi sent sa minette s’humidifier doucement, alors elle boit une gorgée d’eau et enchaîne :   — Un jour elle m’a dit qu’elle m’aimait et m’a demandé si moi aussi j’étais amoureuse d’elle. J’ai dit que oui, c’était vrai que lorsque j’étais avec elle ; j’étais bien. Alors, malgré le fait qu’on risquait de se faire réveiller par les matonnes en pleine nuit, elle m’a demandé de dormir toute nue, ce que j’ai fait. Puis une nuit, des filles ont foutu le bordel et nous avons dû sortir de notre cellule « Dans la tenue du moment ! » avait gueulé une matonne. J’n’avais pas eu le temps de m’habiller et j’me suis retrouvée à poil dans le couloir au milieu des autres qui ont commencé à se foutre de ma gueule et à m’insulter. Elles m’ont traité de sale pute, que toutes les blondes étaient toutes des putes, qu’elles allaient s’occuper de moi et qu’elles allaient bien s’amuser. Mais heureusement les surveillantes sont intervenues pour les faire taire, mais vous savez comment ça se passe en prison ; les représailles et tout le reste.   Elle boit une nouvelle gorgée d’eau et reprend :   — Quand nous sommes rentrées dans la cellule, l’autre m’a dit que j’étais courageuse et qu’elle était fière de moi ; puis elle m’a fait l’amour tout le restant de la nuit. J’étais folle d’elle, je lui ai dit qu’elle pourrait me demander tout ce qu’elle voudrait et que je le ferais par amour pour elle. Deux jours plus tard les matonnes voulaient, soi-disant, voir un truc ou je ne sais quoi, elles nous ont dit qu’on prendrait la douche dans les douches communes. Sur le coup, j’ai trouvé ça bizarre, mais bon ! Ma codétenue qui s’appelle Sylvie, m’a demandé de sortir de la cellule et d’aller à poil jusqu’aux douches ; j’lui ai alors demandé de le faire aussi. Nous nous sommes donc dirigées toutes les deux, toute nue vers les douches, et lorsque nous sommes arrivées, les autres détenues se sont exclamées :   « Oh, regardez les deux petites putes, qui se baladent à poil ; allez, venez ! On va s’amuser un peu ».   Deux filles sont venues vers nous, puis elles nous ont entraînées vers une douche un peu plus isolée que les autres en nous disant un truc du genre :  
 — Alors les filles, comme ça, vous aimez vous balader à poil devant tout le monde ? Donc vous aimez le cul ? — Oui, et surtout Katia, répondit Sylvie. — Super, on va bien s’amuser toutes les quatre, dit l’une. — Elles se sont mises nues et ont commencé à me caresser et à m’embrasser, puis je me suis retrouvée prise en sandwich entre les deux. L’une me caressait les fesses, le dos, les cuisses et l’autre s’amusait avec mes seins en me triturant les tétons. Je dois avouer que j’adore qu’on me joue avec mes tétés et surtout quand on me les pince. Sylvie glissa alors sa tête entre mes cuisses en me dévorant la chatte, j’ai alors joui comme jamais, cela ne m’était pas encore arrivé. Malheureusement, mais nous avons dû arrêter car une matonne avait bien failli nous surprendre.   Elle fait une nouvelle pause. Son regard tombe à nouveau sur les braguettes déformées par les bites visiblement au bord de l’explosion. Dans sa tête, son plan prend forme : une fois les trois hommes bien excités par son récit, elle va (sans les prévenir) leur sucer la bitte et ainsi obtenir : un placement dans une autre prison, ou de transformer sa peine de prison en peine d’intérêt général. Motivée par cette idée, elle reprend son récit :   — C’est après que les choses se sont gâtées. Elles me demandèrent si j’étais capable de faire tout un tas de trucs par amour pour Sylvie ; j’ai dit que je l’aimais et que je ferais tout ce qu’elles voudraient pour lui faire plaisir. Elles s’étaient arrangées avec d’autres détenues afin d’occuper les matonnes pendant que je devais nettoyer les deux filles et Sylvie mais pas avec les mains, et c’est là que mon calvaire commença. Je devais leur nettoyer la chatte et le cul avec ma langue, au début c’était bien ; j’y prenais du plaisir et je mouillais. Je me caressais et je me masturbais en faisant leur toilette ; je les nettoyais toutes les trois tours à tours jusqu’à ce que j’arrive à l’orgasme. Puis c’était elles qui me nettoyaient, Sylvie m’embrassait à pleine bouche pendant que les deux autres me nettoyaient la chatte et le cul, puis elles me finissaient avec les doigts ; c’était le pied !   Katia prend une gorgée d’eau et continue   –– À chaque douche c’était la même chose. Puis elles m’enfoncèrent à chaque fois plus de doigts en me traitant de : « Petite pute ». Ensuite je devais les nettoyer et elles commencèrent à me pisser dans la bouche, j’ai cru que j’allais étouffer ; c’était horrible. Puis la plus balaise des deux me prit par les cheveux et me plaqua la bouche contre le trou du cul de l’autre qui s’était pliée en deux en avant et elle lui a dit : « Pousse ! Et toi la pute, bouffe ! ». J’ai cru mourir elle venait de me chier dans la bouche … J’ai hurlé, elles m’ont lâchée. J’étais morte de trouille, j’ai dégueulé mes tripes et les matonnes sont arrivées en me voyant la tronche pleine de merde elles m’ont demandé ce qu’il s’était passé et j’ai tout raconté, et les deux filles se sont retrouvées au mitard. De retour dans la cellule avec Sylvie, je lui ai demandé :   — Pourquoi tu les as laissées faire ça ? — T’es vraiment une petite conne ! T’aurais pas dû gueuler, tu sais ce qu’il va se passer quand elles vont sortir du cachot ? — Non, de toute façon je passe bientôt en jugement alors … — Alors ? Eh bien, comme après ton procès tu vas revenir ici ; on va t’éclater le cul et la chatte, on va te sortir les boyaux par le trou du cul et tu vas te crever. C’est comme ça qu’on traite les sales putes de blondasse, ici ; tu es morte d’avance ; pauvre conne !   En levant les yeux vers les hommes elle s’aperçoit que la fin de son récit a malheureusement pour elle, fait retomber les ardeurs des trois hommes.   — Voilà vous savez tout, je ne veux pas y retourner ; elles vont m’en faire baver et elles finiront par me faire crever, comme elle m’a dit. Je ne veux pas crever, pas comme ça ; je veux bien mourir, mais proprement. S’il vous plaît Monsieur le commissaire, faites un geste. — Je ne peux plus rien pour toi ma pauvre fille, le jugement est tombé. Tu peux faire appel pour essayer de faire réduire ta peine ou demander de changer de prison, mais dans ton cas, ça va être très compliqué. — Il n’y a rien à faire, alors ? répond-elle d’une voix tremblante et les larmes aux yeux.   Brutalement elle éclate en sanglots, son visage change et devient menaçant ; ces larmes qui coulent le long de ses joues sont des larmes de haine et de colère. Ses mains tremblent, alors quand le commissaire lui dit ;   — Je crains que non…   Elle se dit : « Adieu Katia ! » elle avise le coupe-papier posé sur le bureau du commissaire, son plan B, et dit.   — Alors tant pis !   Elle bondit sur le coupe-papier, saisit le JAP à la gorge, le plaque contre le mur et appuie la pointe de l’arme contre la carotide de l’homme.   — Je vais le buter ! hurle-t-elle. — Non ! hurle l’inspecteur Morard. — Alors bute-moi, prends ton flingue et descends-moi ou je le pique ! J’te préviens, je n’ai plus rien à perdre ! hurle-t-elle à nouveau. — Arrête Katia ! Ne fais ça !   Alors, elle lâche le JAP et retourne la pointe de l’arme sa gorge. Si elle l’enfonce, elle est morte, c’est alors que l’inspecteur Morard, ancien membre des commandos d’élite de la police comme la BAC et de la BRI, entre en action ; désarmer la rebelle n’est pour lui qu’un jeu d’enfant. D’un geste vif il la désarme et sans même qu’elle ait le temps de s’apercevoir de ce qu’il vient de se passer, elle se retrouve à nouveau assise sur une chaise et une main menottée au radiateur.    La tête dans ses mains, elle pleure. Elle pleure sur son sort, sur ce qu’elle vient de faire, sur cet échec cuisant. Elle est au bout d’elle-même, son plan vient d’échouer ; elle sait déjà ce que va lui dire le juge. Elle est certaine que l’inspecteur va la mettre en pièces et qu’elle va retourner en prison, où elle va y subir les outrages et les supplices des autres codétenues Perdue dans ses larmes et ses pensées ; elle sursaute quand le JAP prend la parole :   — Mais Mademoiselle vous avez perdu la tête, vous rendez vous compte de ce que vous venez de faire et des conséquences que cela aurait pu avoir ? crie-t-il. — Pardon Monsieur le Juge, j’ai perdu la tête ; je suis prête à tout pour ne pas retourner en prison avec ces salopes, répond-elle entre deux sanglots. — Je comprends, je comprends, réponds le juge d’un air calme et soucieux.   Il réfléchit un instant : ce que vient de décrire la condamnée, et l’attitude qu’elle vient d’avoir le touche, malgré le doute sur la véracité de ce récit il pense pouvoir trouver la solution pour aider cette gamine ; mais il veut avant tout avoir l’avis de ses collègues et suggère :   — Nous pourrions peut-être la garder ici au moins cette nuit, le temps d’étudier le problème avec le Proc ?  — Mettez-la en garde à vue en attendant et nous allons voir ça, rétorque le commissaire.   Abattue et menottée Katia suit sagement les gardes et se retrouve, pour être bien en vue, dans une cellule à barreaux plantée au beau milieu du hall du commissariat de police.    Les policiers et le juge se concertent et appellent le ministre de l’intérieur pour lui proposer de faire intégrer la délinquante dans l’unité spéciale nouvellement crée. Le ministre donne un accord de principe, mais exige que la délinquante soit parfaitement informée des risques encourus. Il indique qu’il envoie le contrat que la jeune femme devra obligatoirement signer dès qu’elle aura pris sa décision ; si elle refuse, c’est la prison. L’accord définitif sera donné que quand le Président de la république et lui-même auront rencontré la candidate.   Quelques heures se sont écoulées, le dossier de cinquante pages est arrivé de Paris par mail, une fois vérifier et certifié « complet » il est agrafé et fin prêt à être signé ; le sceau présidentiel apparaît en haut de chaque page. Cet épais document comporte une première feuille qui est un engagement de principe que Katia devra signer avant de connaître tous les détails de sa nouvelle fonction, une sorte de pré-engagement. Par téléphone, le juge demande que la jeune femme soit ramenée dans le bureau du commissaire.   On frappe à la porte du bureau.   — Entrez ! — Voici la prisonnière ! annonce un gardien. — Très bien, ôtez-lui les menottes ! Mademoiselle assoyez-vous là, je vous prie.   Katia est surprise par cet accueil. C’est avec des yeux ébahis qu’elle s’installe sans dire un mot, le Juge s’adresse à elle.   — Surprise ? — Euh…Oui ! Je… — J’ai une bonne nouvelle pour vous : ce soir et les jours suivant, vous ne dormirez pas en prison. — Oh ! Merci Monsieur … — Nous avons peut-être la solution pour vous éviter la prison, mais tout cela dépend de vous et uniquement de vous, continu-t-il.   Les yeux de Katia scintillent de bonheur, et un joli et large sourire illumine son visage, toute excitée, elle trépigne d’impatience et d’une voix tremblant d’émotion elle bafouille :   — C’est où ! … Que dois-je faire ?... Il faut signer …Je signe…Merci, merci, vous êtes vachement chouettes ! Je… — Ne t’emballe pas trop vite nous allons t’expliquer ce qui pourrait te soustraire à la prison, alors écoute bien, enchaine l’inspecteur. — Promis, je vous écoute… — Tu vas devenir Flic ! — Quoi ? Mais vous êtes malade !... Jamais ! — Très bien, inspecteur, appelez les gardes et le fourgon cellulaire ; elle part en prison immédiatement, ordonne le JAP. — Non non, attendez… d’accord…d’accord pour être flic…Mais de quoi s’agit-il ? — Tant que tu ne donnes pas ton accord en signant ce document, je ne peux rien te dire, car il n’est pas question si tu dois retourner en prison ; tu puisses révéler quoi que ce soit à n’importe qui. La seule chose que je peux te dire, pour le moment : c’est que tu seras affectée dans une brigade spéciale, que c’est dangereux, que tu risqueras ta peau ; mais que tu pourras participer à arrêter des salauds dans le genre de celui qui t’a fait plonger. — Ah, Ouiii… ! Alors rien que pour chopper l’autre fumier, je signe tout de suite ; mais après vous m’expliquez. — Tu es certaine de ce que tu fais ? J’insiste, je te le répète une fois de plus…Tu vas risquer ta peau à chaque instant, tu risqueras de te faire tabasser et même violer ; réfléchis bien aux conséquences, reprend l’inspecteur. — D’accord ! … Sauf que moi, on ne me viole pas, je suis toujours partante ; pour moi le cul ça m’plaît, c’est vital ! — Bien dans ce cas, nous allons mettre la procédure en route, tu vas signer ce document. Ce n’est pas ton contrat définitif, mais une sorte d’engagement. — Après vous me dites tout ?  — Oui ! s’agace le commissaire. Nous allons te laisser avec l’inspecteur le temps que le commissaire et moi allions voir le Proc et appeler le ministre. — Le Ministre ! À cause de moi ? Oh putain, j’y crois pas et pourquoi le Ministre ? — Morard va tout t’expliquer, et n’essaye pas de faire la maline avec lui. — Promis, de toute façon, je ne fais pas le poids ! Je serai sage comme une image. — Parfait, Morard ! Vous lui expliquez le temps que nous réglions la suspension de la peine et tout l’administratif qui va avec. Pour ce soir, elle dormira dans la cellule spéciale.   À cause de l’émotion, Katia signe le document d’une main tremblante, son cœur tape dans sa poitrine, elle a chaud. Elle s’imagine déjà en face du mec qui l’a fait tomber : elle se tient face à lui avec un brassard marqué POLICE autour du bras et un flingue à la main…   Le commissaire et le JAP sortent, laissant l’inspecteur et la délinquante seuls.   Katia ne sait plus trop où elle en est, est-ce un rêve ? Elle qui crachait sur les flics, va entrer dans la police dans cette brigade spéciale, elle est à la fois excitée et inquiète le « Tu risqueras ta peau ! » de l’inspecteur lui glace le sang.   [À suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live