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Police polissonne

Chapitre 3

La future fliquette.

Hétéro
L’inspecteur attend un instant, range le coupe-papier dans le tiroir du bureau, s’installe dans le fauteuil du commissaire et observe la jeune femme. Ce qu’il vient de se passer le plonge dans une profonde réflexion :

  « Putain, elle a vraiment dû en baver pour en arriver là ! Il est certain qu’elle voulait mourir ! Je pense qu’elle a assez de volonté et de hargne pour passer avec succès toutes les épreuves de cet entraînement et intégrer la brigade spéciale».
  Cette brigade, l’inspecteur Morard la connaît bien car il en est le patron. Cette brigade a été créée dans le plus grand secret par le gouvernement qui voulait une équipe de gens motivés et prêts à tout pour loger et arrêter les délinquants les plus dangereux. Pour mener à bien leurs enquêtes les membres de cette brigade ont carte blanche, et peuvent utiliser tous les moyens à leur disposition ; ils peuvent utiliser leurs charmes et même le sexe. Les candidats désirant intégrer cette brigade sont triés sur le volet et doivent être volontaires et déterminés. Pour Katia, c’est une première : engager un détenu comporte des risques mais l’inspecteur et le commissaire sont prêts à tenter l’expérience pour tout un tas de raisons. Pour que Katia puisse intégrer cette brigade elle devra dans un premier temps, passer une visite médicale très poussée. Sur ordre du Président de la République, elle devra le rencontrer afin de développer ses motivations. Suite à cela et sur avis favorable de tous, elle suivra un entraînement extrêmement éprouvant physiquement et mentalement, devra suivre des cours pour améliorer son français et connaître certaines lois pour ne pas se retrouver dans l’illégalité. Une fois ces étapes passées avec succès, elle passera son permis de conduire et apprendra à piloter les bolides de la gendarmerie sur circuit puis sur route en situation réelle de poursuite. Elle apprendra à infiltrer les gangs, à espionner ; il lui faudra un mental d’acier pour ne pas se faire démasquer. Puis ce sera l’action sur le terrain, avec de petites affaires au début.
  Après sa réflexion sur Katia, l’inspecteur sort la nouvelle recrue de sa rêverie :
  — Katia ! … Je suis content que tu aies fait le bon choix et je suis fier de toi, lui dit-il.
  Elle fait un bond de surprise car son esprit était ailleurs, elle a entendu et répond :
  — De toute façon je n’avais pas le choix, alors maintenant je suis vraiment flic ?   — Sache qu’on a toujours le choix de sa destinée, et tu as pris la bonne décision. Pour ce qui est du « vraiment flic » tu le seras dans quelque temps ; mais en attendant tu vas avoir du boulot…  — Dites-moi, vous m’avez promis de tout me dire.   — J’y viens ! Tu veux un café, boire un truc à manger ?  — J’peux avoir un casse-dalle, j’ai faim ?  — Ok, je commande ; tu veux quoi avec : bière, coca…  — Coca, j’picole pas ; j’aime avoir les idées claires.  — Parfait, alors ça ; c’est une bonne chose, un bon point pour toi !  — Dites, maintenant que je fais presque parti de la maison, on peut se dire « Tu », j’serais plus à l’aise ; c’est quoi ton prénom ?  — D’accord, pour le TU, pour le prénom…Appelle-moi Marc.  — Ce n’est pas ton vrai prénom ?  — Non, ici c’est comme ça.
  — Dis, ils reviennent quand, le commissaire et le JAP ?  — Houla ! Dans deux ou trois heures ou peut-être pas avant demain, pourquoi cette question ?  — Bah…avant que tu m’expliques ce qu’il va m’arriver, je voudrais te remercier pour ce que tu fais pour moi ; t’es un chic type, tu sais.  — Tu sais, je ne fais que mon boulot.  — Je sais, mais j’ai envie de t’embrasser.
  Sans même lui laisser le temps de répondre, elle lui saute au cou et l’embrasse avec fougue. Elle s’agrippe à lui comme le ferait un jeune singe à sa mère et lui enfonce sa langue dans la bouche. Marc ne peut qu’apprécier cette invitation, car lui n’est pas avare sur le sexe ; il paraît même qu’il adore ça ! Il connaît le Kamasutra par cœur, et mêmes toutes les pratiques sexuelles ; même les plus inavouables. Le sexe, c’est aussi pour lui une arme redoutable et infaillible pour mener à bien ses enquêtes. Il a parfaitement compris ce que veut la jeune femme, alors il pose ses mains sous ses fesses, et la porte pour la soutenir afin de mieux profiter de cet instant. Il se lance dans un roulage de pelle digne d’un film de cul, il lui fourre la langue dans la bouche, lui pelote les fesses et essaye, à travers le pantalon, de lui fourrer les doigts dans la chatte.
  — Putain, que c’est bon ! Tu embrasses vachement bien pour un flic ! Et si tu baises aussi bien, ça va être super !   — Alors fous-toi à poil et je te le prouve tout de suite !  — Mais t’as pas le droit, t’es flic !  — Ici, tu apprendras qu’on a tous les droits ; tu veux que je t’explique ?  — Non, après ; d’abord on baise !
  Il la repose au sol et d’un geste rapide, elle ôte tee-shirt, basket et pantalon ; elle n’a rien d’autre sur elle. Elle expose son corps nu, fin, élancé, avec son visage devenu rayonnant et ses yeux pétillants de bonheur et de malice. Son habitude est d’avoir les cheveux coupés à la garçonne par sécurité et aussi pour tromper l’ennemi ; prétend-elle. Marc découvre une jolie petite poitrine et un pubis recouvert d’une toison blonde. Il se dit :
  « Et dire que j’ai bien failli charger le dossier de cette gamine, et me voici à deux doigts de la sauter ! »
  Elle dévore des yeux l’érection qui déforme le Jeans de Marc. La ceinture du pantalon et la fermeture éclair ne résistent pas un instant sous la précision de ses doigts agiles ; elle découvre avec joie un phallus épais et raide comme une matraque. Sans attendre, elle l’embouche et le lèche comme elle le ferait avec un esquimau en prenant soin d’englober l’extrémité et en aspirer le jus qui commence à s’en écouler. D’une main, elle tient fermement le dard et le masturbe doucement ; de l’autre elle enserre les bourses lisses comme la peau d’un bébé mais trop grosses pour sa petite main. Elle mouille et sent entre ses cuisses son nectar s’écouler doucement, elle passe ses doigts sur la chatte, recueille son propre nectar, l’étale sur le mandrin et se régale du reste qui englue ses doigts.
    « C’est un régal, j’ai envie de le prendre tout entier ! » pense-t-elle.
  D’un mouvement rapide elle pivote sur elle-même et pose ses deux mains en appui sur le bord du bureau du commissaire, elle se courbe en deux et offre à l’inspecteur une vulve rose, juvénile et dégoulinante de cyprine.
  — Baise-moi, vite ! Je n’en peux plus d’attendre, déglingue-moi ; fais-moi monter au septième ciel !
  Marc, la bite à la main, présente son engin en face de l’entrée de la jolie caverne et l’empale d’un coup sec. Au-delà du plaisir qu’il éprouve, il est de plus en plus persuadé que cette jeune femme est capable de tout pour arriver à ces fins et l’excuse du « Je voudrais te remercier » ne tient pas. Il reste persuadé que cette invitation est faite pour « le mettre dans sa poche ». Ne voulant pas perdre une miette de ce moment de luxure, il la pilonne sans ménagement ; même que le bureau en vibre de bonheur. Son vit force le passage de ce vagin trop étroit pour lui, l’impression de sauter une pucelle est énorme et si excitante qu’il devient une bête humaine et l’envie d’enculer ce petit bout de femme devient trop forte :
  — Alors petite salope, tu aimes ça ; hein ! Tu vas voir ce que je vais te mettre dans le cul !  — Oh, ouiii… ! Encoreee … ! Plus fort… ! Plus viiiteee… ! Fous-moi ta purée dans le cul ! Encule-moiii… !  — Ah oui ! Mummm… ! Putain que c’est bon ! Vas-y astique moi le con…encore …plus fort !   — Ahhh ! …Tu veux te faire enculer, alors prends ça !
  Marc au bord de l’éjaculation sort du vagin et force aussitôt la rondelle brunâtre de Katia. Il pousse jusqu’à ce que son gland force le passage ; elle crie au moment suprême et râle quand le vit entre au plus loin que la caverne le permet. Il aime beaucoup prendre les femmes aussi, c’est son côté mâle dominant qui ressort dans ces moments-là, et à plus forte raison quand c’est la femme qui le lui demande. Il devient à cet instant le maître et elle sa soumise. La posture de Katia en est la preuve, elle lui a présenté son cul en le suppliant presque de la sodomiser ; il va jouir.
  — Prépare-toi Katia ça va partir !  — Moi aussi, j’a…j’arriiiveee… ! Ouiii… ! Je jouiii… ! Oh putain que c’est bon ! Vas-y encore ! ENCORE ! je te dis.
  Le policier ressemble à une machine de guerre (une de ses expressions favorites). Elle crie maintenant ; le bureau aussi bouge sous les assauts du flic, et c’est dans un râle bestial que les deux êtres arrivent à l’orgasme. À une fraction de seconde prêt ils arrivaient en même temps au plaisir, les spasmes de la jouissance envahissent le corps de la belle blonde. Elle s’écroule sur le bureau, ses seins frottent sur le bois verni d’où un crissement s’en échappe. Sous les coups de boutoir de Marc, le bureau se retrouve au milieu de la pièce ; ses pieds crissent sur le sol comme pour partager cet instant de bonheur. Elle jouit à grands cris, Marc adore entendre les femmes crier sous ses assauts ; alors il redouble d’efforts. Ses couilles battent le haut des cuisses de la jeune femme, et elle jouit une nouvelle fois à grands bruits. Elle s’accroche au bord du bureau, son rectum lui fait mal, elle transpire à grosses gouttes ; Marc sent le sphincter se resserrer sur sa bite. Il sait qu’elle va jouir encore, il ne s’est pas trompé ; Katia est parcourue de la tête aux pieds par d’étranges convulsions, et sa jouissance est immense, ses cris en sont la preuve ; mais… Le téléphone de l’inspecteur sonne et interrompt cette séance de rut bestial ; il décroche :
  — Oui !  — ….  — OK, une seconde ; je vous ouvre !
  Il raccroche et reprend :
  — La fête est finie, ma belle, le casse-croûte arrive ! Prends tes fringues et habille-toi dans le coin là-bas ! ordonne-t-il tout en désignant un recoin derrière une armoire à dossiers suspendus et la bite à la verticale.  — Putain, t’es un sacré coup, mec ! Comment tu m’as démonté ! Ça fait longtemps que j’n’ai pas prit un tel pied. Dis, on remettra ça dans un hôtel avec du Champ, pour fêter ma promo ?
  À peine sa phrase terminée, elle lui saute au cou. Elle lui enfourne sa langue dans la bouche et lui roule le patin du siècle, puis s’agenouille, saisit le gland dégoulinant de sperme, le lèche, récupère les quelques gouttes de sperme et range l’engin dans sa coquille.
  — Humm, faut pas gâcher la marchandise ! s’exclame-t-elle.  — C’est bien, mais magne ton cul, il faut que j’ouvre !
  Elle ramasse ces frusques et part se cacher du mieux qu’elle peut sur le côté de l’armoire, elle commence à se rhabiller et entend déjà les voix des policiers qui, tout joyeux, apportent les sandwichs et les boissons.
  — Alors, Marc tout va bien ? Eh ! Je ne vois pas la gamine, elle est où ; me dis pas qu’elle s’est barrée ?   — Mais non, je suis là ! s’exclame Katia.
  L’un des factionnaires se penche et l’aperçoit, seins nus en conflit avec son tee-shirt qui refuse de recouvrir sa poitrine trempée de sueur.
  — Oh mec ! Me dis pas que tu te l’es tapée ? Tu te tapes les taulardes, maintenant ; putain tu pourrais partager, mon salaud !   — Ce n’est plus vraiment une taularde, elle va bientôt faire partie de la maison ! répond l’inspecteur.
  Katia, les seins à moitié à l’air, sort de sa cachette et dit :
  — Soyez tranquille les gars ! Un de ces quatre, je vous prendrai tous les deux ; d’accord ?  — OK, tu vas voir ce qu’on va te mettre ; hein Jojo ! En attendant, tenez voici les casse-croûte, t’as raison la gamine ; prends des forces, tu vas en avoir besoin ! dit l’un des deux flics en riant.
  Marc et Katia s’installent alors au bureau, le sac rempli de victuailles et de boissons posé sur le meuble attendent leur destinée. Les gardiens savent que l’inspecteur est réputé pour son appétit féroce et que quand il demande des sandwichs ; c’est que la soirée va être longue. Marc propose un jambon beurre et un coca à la future fliquette, il se débouche une bière en boit une longue lampée, rote et mord dans son casse-croûte ; puis il commence son explication.
  — Bien, tu es prête ?  — Oui, juste une question et ensuite je ne demande plus rien.  — OK, que veux-tu encore ? répond-il sur un ton un peu agacé.  — C’est quoi la chambre où je vais dormir ?  — Le grand luxe ma chère, c’est une vraie chambre avec salle de bains et aussi un dressing bien garni.  — Cool, je vais pouvoir prendre un bain ?   — Oui et t’habiller aussi, c’est gratis !  — Mais je vais dormir toute seule ?  — Oui, mais ne t’inquiète pas tu ne pourras pas t’évader si c’est à ça que tu penses.  — Non non pas du tout…mais, tu n’veux pas dormir avec moi ; à moins que ta copine t’attende ?   — Je n’ai pas de copine, je préfère profiter de la vie et à cause de mon métier, cela pourrait être dangereux pour elle ; et de toute façon mon boulot me prend tout mon temps.  — Alors tu dors avec moi cette nuit ? J’ai peur toute seule, et puis…Je voudrais que tu me fasses l’amour pour de vrai ; j’aimerais que tu me le fasses avec tendresse, tu sais comme des amoureux. Tu veux bien ?  — Mouais…je vois surtout que tu es en manques ; bon, on verra …  — Dis oui, s’il te plaît  — Bon OK, mais silence.  — Promis, allez raconte alors !
  L’inspecteur reprend une bouchée de son sandwich et boit une nouvelle gorgée de bière, et commence à expliquer à Katia ce qui l’attend.
  — Bien ! Tu vas intégrer « la brigade spéciale » de la police, c’est ainsi qu’on l’appelle. Il s’agit d’un service top secret créé par le gouvernement afin d’infiltrer les gangs de trafiquants, de cambrioleurs et tout autre délinquant. Chez nous il n’y a pas de passe-droits pour personne, y compris dans le monde de la politique. Il faut que tu saches que nous sommes presque des hors-la-loi, nous avons tous les droits et carte blanche afin de coincer les chefs et les gros bonnets ; nous pouvons, s’il le faut, utiliser nos charmes pour arriver à nos fins.  — Tu veux dire qu’on a le droit de baiser avec eux avant de les coincer ?  — Oui, je t’ai dit tous les moyens ; c’est pour cela que je t’ai dit : brigade spéciale et top secrète.  — Ça c’est cool, mais il y a un problème. Je suis connue de partout comme le loup blanc, et avec le bol que j’ai, j’vais, à tous les coups, me faire démasquer au premier coup d’œil.   — Ne t’inquiète pas pour cela, tout est prévu ; mais je t’en parlerai plus tard. Tu vas changer d’identité et tu vas partir en formation, mais je te préviens ; ça ne sera pas des vacances. Je vais t’emmener dans un centre spécialisé dans la formation des commandos et je peux te dire que ça va être très dur. Tu vas changer, tu vas grossir, prendre du muscle, et du caractère ; il faudra que tu saches te défendre et te sortir des situations les plus difficiles.  — Grossir ? C’est bien la première fois qu’un mec me parle de grossir ! Mais j’aurais un flingue ?  — Oui tu en auras un, mais pas tout le temps, ce sera en fonction des missions et des besoins. Tu vas apprendre à tirer et à tirer juste, ce sera ton assurance vie. Tu vas apprendre à te servir de tous types d’armes, cela va aller du simple Sig-Sauer 9 mm de la police au fusil d’assautet toutes les autres que tu seras susceptible de rencontrer, comme la Kalachnikov. Tu apprendras aussi à parler correctement. Il faudra que tu sois aussi forte qu’un mec, d’ailleurs tu vas faire ta formation avec des mecs, de vrais durs. Dans ce centre il n’y a ni homme, ni femme ; vous serez tous sur un même pied d’égalité, à toi de te distinguer. Tu auras des entraînements très durs comme nager à poil dans une eau à presque zéro degré ; tu vas souffrir.  — Mais je vais crever !  — Aucun risque, vous formerez un groupe soudé et quelles que soient les circonstances, vous vous aiderez. Il va falloir t’accrocher, car tu n’as que six mois de formation pour apprendre les bases. Si tu échoues à la première cession tu redoubleras tu n’auras pas de troisième chance ; alors si tu veux coincer le mec qui t’a foutu dans cette merde, à toi de te bouger.  — Et si j’échoue, que se passera-t-il ?  — Tu n’échoueras pas, car c’est la seule chance de t’en sortir ; si tu avais eu l’intelligence de revenir sur ta déposition avant le procès, tu n’en serais pas là. Il faut que tu saches que les filles qui t’ont agressée t’ont chargée. Actuellement c’est ta parole contre vingt-cinq ; alors à toi de voir !
  Le ton de l’inspecteur s’est durci, il veut lui faire comprendre que la situation est grave et qu’elle ne peut plus faire marche arrière et il continue :
  — Maintenant si tu échoues, c’est le juge qui décidera entre t’envoyer en prison ou te mettre à la circulation ou comme planton dans un ministère ou je ne sais où. Je peux te dire qu’aucune des deux solutions n’est envisageable à moins que tu veuilles te faire massacrer dans un cas ou te faire chier à piétiner devant une porte pour un salaire de misère dans le second cas !
  — OK j’ai compris ! Je vais m’accrocher, mais c’est quoi ton histoire de changement d’identité ?  — Ça, c’est une phase un peu délicate car Noémie va mourir.  — Quoi !   — Oui, il faut être crédible ; il est indispensable que Noémie disparaisse, et publiquement.  — Tu m’fous les ch’tons, mais on va faire comment ? J’veux pas de ça, si c’est ça, tu laisses tomber.  — Allez, bois un coup et écoute-moi.
  Dans la tête de Katia l’angoisse et ses inquiétudes se transforment petit à petit en une espèce d’excitation une poussée d’adrénaline la fait mouiller. Elle vient de trouver comment donner un sens à sa vie, elle est fière d’elle. Elle avale une grande lampée de coca, croque dans son casse-dalle, se repositionne sur sa chaise, bombe le torse et s’exclame :
  — Je t’écoute !  — Waouh ! OK…. alors voilà. Tu ne vas évidemment pas mourir ni être blessée, nous allons répéter une mise en scène au gymnase de la police dès demain matin. C’est moi qui vais jouer le rôle de ton assassin ? Cela se passera en pleine rue et tu vas jouer la comédie. Tu vas apprendre à faire semblant de mourir ; il faudra que l’illusion soit parfaite. Mets-toi bien dans le crâne qu’à partir de maintenant, tout ce que nous allons faire ensemble, sera une leçon que tu devras retenir, et qui pourra te rendre service le jour où une fois lâchée sur le terrain tu seras livrée à toi-même.  — Sans personne pour m’aider ? OK, ça va être chaud alors ! Je crois que je vais aimer ça, mais c’n’est pas un peu rapide …on ne peut pas attendre une semaine ?  — Non ! Réfléchis un peu : si le mec qui a fait le coup apprend que tu n’es pas en prison, il va se douter de quelque chose. À tous les coups, il va croire que tu l’as balancé et il va te chercher pour te flinguer.
  Ils se saisissent d’un nouveau sandwich, cette fois c’est un club poulet. Une bière à la main elle dit :
  — Dis, je peux te demander encore un truc ?  — Oui, mais pas sur ta nouvelle situation.  — Non non, je voulais savoir comment tu me trouves physiquement ?  — Eh bien, avec ce que j’ai vu jusqu’à présent ; je ne peux pas t’en dire grand-chose ! répond-il en riant.  — OK ! Alors je vais te montrer ça en détail. Répond-elle en se levant de sa chaise.
[À suivre]
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