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Police polissonne

Chapitre 5

L’amour en douceur.

Hétéro
À 22 heures et il fait déjà nuit sur Marseille. L’inspecteur a mis une heure pour trouver in extremis une bouteille de mousseux et des tartelettes industrielles sous emballage transparent, juste avant la fermeture d’une alimentation. En rentrant au commissariat, il s’arrête au bureau de surveillance :

— Salut les gars ! RAS ? dit Marc aux policiers en faction devant les écrans de vidéo surveillance du quartier et du commissariat.— Salut Marc, tout va bien !— OK, salut et bonne soirée !— De même ! concluent-ils.
Rassuré, il poursuit son chemin, et remonte à la chambre où Katia attend sagement le retour de son protecteur. En ouvrant la porte il a l’agréable surprise de découvrir Katia, enroulée dans le plaid du canapé sur lequel elle s’est sagement assise pour regarder la télé. Elle se lève et offre à Marc la vue d’une jeune femme souriante, parfumée et à peine couverte d’un déshabillé transparent et d’un ensemble soutien-gorge, string noir. Ce changement vestimentaire réveille ses sens et lui donne presque envie de la prendre sur-le-champ.
— Tu as froid ?— Non c’est rien, mais tu as été drôlement long, tu as trouvé ?— Désolé pour le retard, mais à cette heure, pas évident de trouver une alimentation ; mais j’ai trouvé ça ! — Super ! Et toi comment tu me trouves ? J’ai un peu fouillé et j’ai trouvé ça, dit-elle en tournant sur elle-même. C’est chouette, non ?— Tu as très bien choisi, tu es magnifique. Bon, ce n’est pas le tout, je vais mettre ça au frigo, et je vais prendre une douche. — OK ! Au fait, merci pour ta confiance.— Ah bon ?— Tu n’as pas verrouillé la porte en partant, j’aurais pu me barrer !— Je sais, sauf que tu es restée... Bon, j’y vais !
Le temps qu’il aille se doucher, fière d’elle, elle se regarde sous toutes les coutures dans la glace de l’armoire. Elle gonfle le torse, avec ses mains remonte ses seins, se palpe, regarde son nombril, se touche les fesses et en conclut :
« Il a raison, il faut que je grossisse et que je me muscle ; tu vas voir comment tu vas en chier ma cocotte ! ».pense-t-elle.
Puis elle se retourne et découvre sur la table l’arme (non chargée) le téléphone et les clés de l’inspecteur qu’il a volontairement déposés le temps de prendre sa douche. Elle s’approche, s’assied sur une chaise, tend la main vers l’arme, la touche du bout des doigts ... puis recule sa main. Accoudée, le menton sur les poings, elle fixe l’arme mais son regard va plus loin que ça, il s’arrête au soir du 14 juillet 2009. Elle est dans sa chambre et entend son père, ivre comme d’habitude, des cris résonnent dans l’appartement puis des bruits de vaisselle que l’on jette et qui se casse. Sa mère qui hurle des « Non ! pas ça ! », un bruit sourd ; et plus rien ! Alors, apeurée, elle sort de sa chambre et découvre l’horrible spectacle de sa mère, inerte, adossée au mur et la tête en sang. Elle hurle des « Papa arrête, Papa, arrête ! » En furie il se retourne et lui hurle : « Te mêles pas de ça ! Cette salope ne mérite que ce qu’elle a ! Et Toi, tu vas me ramener du fric, tu te démerdes t’as qu’à faire la pute ; magne-toi ou je te tue aussi ! ». Elle reste un instant tétanisée, il brandit une batte de Baseball au-dessus d’elle : « Il faut que je trouve un truc et vite, autrement il va me tuer ! » pense-t-elle.

Elle court dans la cuisine, attrape le rouleau à pâtisserie qui traîne sur la table. Son père la poursuit mais il trébuche et tombe, elle se précipite. Elle pleure de rage, les yeux pleins de larmes elle tape à l’aveugle et elle cogne, cogne et cogne encore ; du sang gicle, elle prend peur. Elle sort de l’appartement et frappe à la porte de la voisine qui lui ouvre et demande ce qu’il se passe encore. La gamine lui raconte tout.
« Je savais que ça finirait comme ça un jour. Ne bouge pas j’appelle les secours » lui dit la voisine.
Katia prise d’une espèce de peur panique retourne vers sa chambre et voit ses parents inertes, gisant au sol. Elle tremble, fourre quelques fringues dans son sac à dos, récupère son portefeuille, s’arrête devant sa mère inanimée – dans sa tête sa mère est morte – alors elle extirpe la bague en or avec un diamant du doigt de sa mère, l’embrasse et lui susurre un « Pardon Maman ! » et s’enfuit. Elle dévale les escaliers, cours aussi vite qu’elle peut et disparaît dans Marseille et reste introuvable.
Quand Marc revient de sa douche, il trouve Katia les joues trempées par les larmes.
— Katia, ça ne va pas ? — C’est Maman...
La crise de larmes dure un moment et à force de câlins Marc réussit à la calmer.
— Je connais ce que tu vis, c’est parfois très compliqué ; mais ça va aller.— T’as raison, j’suis conne !— Non humaine, c’est tout ; bon, on va boire un coup et ...— Oui, t’as raison, fait péter !
Elle fonce dans la salle de bains se refaire une beauté. Chose surprenante, à son retour dans la pièce, presque plus rien de son chagrin ne parait. Elle découvre Marc presque nu avec juste un boxer taille basse Addicted où le V de soutien laisse envisager un service trois pièces digne d’un colosse. Ses larmes avaient voilé son regard et elle n’avait pas remarqué auparavant cette force de la nature. En découvrant ce spectacle, elle ouvre de grands yeux gourmands devant ce corps musclé et imberbe. C’est la première fois qu’elle le voit dans cette tenue, son ventre se crispe, sa vulve s’humidifie ; elle avale sa salive et s’exclame :
— Ah... Ouiii... ! Putain !... J’t’imaginais pas aussi baraqué ! — Eh bien toi ! s’exclame Marc.
L’envie d’étreindre cet homme d’un mètre quatre-vingt-cinq et de près de cent kilos et irrésistible, elle se précipite vers lui et le serre dans ces bras. Elle l’étreint avec force, le nez entre ses pectoraux, la douce odeur du Bleu de Channel dont il s’est aspergé l’enivre presque. Elle lève le nez et regarde avec envie, ces lèvres qu’elle voudrait mordiller et dévorer ; alors elle s’accroche à son cou et se hisse. Il l’aide, elle enroule ses jambes autour de la taille et colle au corps de cet homme dont les mains supportent ses fesses nues et l’élèvent juste à bonne hauteur pour que leurs bouches puissent se trouver et s’enflammer dans un torride French Kiss. Elle vibre déjà, le mélange de leur salive l’excite encore un peu plus, elle se régale, elle savoure cet instant et elle mouille encore un peu plus.
Lui a les mains bien posées sous ses fesses, et le bout de ses doigts touche la fine bande de dentelle qui peine à cacher les deux orifices humides. Il se joue de cette situation, en passant ses doigts sur le tissu en dentelle ; son membre grossit de plus en plus. Elle le sent durcir contre son ventre en faisant monter en elle cette sensation irrésistible et incontrôlable : prendre ce sexe en elle, et jouir, jouir, jouir encore et encore. À deux doigts, il écarte la bande de tissu, touche les grandes lèvres et les écarte, glisse dans la vulve juste au bord et y entre un doigt. Cette fois c’est le coup de grâce ! Le mini-orgasme qui vient de la frapper sournoisement la fait gémir dans la bouche de Marc. Elle n’en peut plus et desserre ses jambes elle se laisse couler au sol en entraînant le boxer boursoufflé par un sexe au bord de l’explosion. À genoux, elle extirpe le membre gonflé de désir et l’embouche sans plus attendre. Lui aussi sent le parfum, lui aussi est humide et un liquide au goût succulent pour elle s’en écoule.
— Fais-moi l’amour maintenant ! le supplie-t-elle.— On boit un coup d’abord, j’ai soif !— Après, dit-elle.
Alors, il la prend dans ses bras, la dépose sur le lit. Son déshabillé noir contraste sur les draps en coton blanc, elle est étendue sur le dos, calme et sereine, les yeux clos, comme si dans son cercueil de verre elle attendait le prince charmant. Il est juste à côté d’elle, nu et imberbe ; elle sent son souffle sur elle, sur son front, sur son nez et ses lèvres. Ses lèvres accueillent ce doux baiser, discret, si léger, si sensuel ; et cette main qui parcoure son corps, s’infiltre sous le déshabillé, remonte et englobe le bonnet du soutien-gorge. Elle est comme envoûtée pas ces caresses ; Katia ne bouge pas, elle attend. Elle attend avec impatience le moment où il va lui ôter le peu de vêtements qu’elle a sur elle, ce moment où elle sera nue et ce moment où il va la prendre. Elle ouvre les yeux et le voit penché sur elle, leurs lèvres se rencontrent à nouveau, leurs langues se cherchent et s’enroulent. La main qui lui emprisonnait son sein droit, descend doucement sur son ventre, elle est douce et chaude, puis des doigts s’emmêlent dans sa toison blonde et descendent toujours. Elle frémit, c’est juste ce qu’elle espérait, des câlins doux qui surprennent et font vibrer. À travers la dentelle de son string, les doigts attrapent son bouton, le font rouler, puis ils écartent le tissu et cette fois ils explorent sa vulve humide de désir.
La ceinture du string descend enfin ! pense-t-elle.
Prise ente deux doigts elle glisse un peu et pour descendre complètement, les doigts doivent s’y reprendre à plusieurs fois, un coup d’un côté, un coup de l’autre. Quand la minuscule culotte passe les genoux, impatiente, elle aide et de quelques rapides mouvements de pieds, le string se retrouve éjecté au loin et retombe au sol. Marc passe sa main sous le dos de Katia, la redresse et le déshabillé suivi du soutien-gorge rejoint le string au sol en un tas désordonné. Ils sont tous les deux allongés côte à côte, nus ; elle pose sa tête dans le creux de l’épaule de Marc. Elle sent la chaleur de son corps et le parfum qui l’enivre toujours, cette peau toute douce ; elle voudrait demander pourquoi il n’a pas de poils, mais se ravise. Alors elle fait courir ces doigts sur ce corps et joue aussi avec les tétons masculins qu’elle pince et tord aussi. C’est comme un message qu’elle lui envoie en lui disant :
« Dis, tu me le feras après, j’ai trop envie, ce n’est pas après qu’il le fera, c’est maintenant ! » Alors, elle redessine le contour des tétons, puis des pectoraux et descend jusqu’au pubis. La sensation de cet endroit sans poils l’amuse et cette fois elle ne peut s’empêcher de poser la question :
— Dis-moi, pourquoi tu t’épiles là ? — Tu aimes ?— Beaucoup...— Alors tu as la réponse.— Sans dèc... dis-moi ...— Plus tard, pour l’instant il y a plus intéressant à faire !
Effectivement il y a beaucoup plus intéressant à faire que de savoir pourquoi il est entièrement épilé, car il bande dur ! Elle continue à caresser cet endroit et atteint le membre viril qui palpite sous ses doigts, elle découvre et recouvre le gland épais qui suinte doucement. Elle voudrait le prendre en bouche pour en aspirer le jus, le sucer comme elle le ferait à une glace ; mais elle préfère attendre et se laisser faire. Elle le sent se redresser et se courber au-dessus d’elle. Un nouveau baiser sera l’entrée en matière d’un enchaînement de plaisir qu’il va lui donner, tout est prêt dans sa tête ; tout est structuré par étapes comme pour une arrestation, elle doit être parfaite et sans accroc.
Il lui réserve le meilleur de ce qu’il sait faire. Tout d’abord, il passe sa langue sur les lèvres féminines et l’entraîne dans un nouveau baiser ; mais assez court. L’étape suivant : les tétons qu’il lèche avec gourmandise et s’arrête sur celui de droite. Il le titille de sa langue, puis le pince de ses lèvres ; sa main gauche s’approche sournoisement du sein gauche. Elle prend entre deux doigts le téton hérissé et le pince doucement en le faisant rouler, puis ils serrent encore un peu. Katia se tortille et laisse échapper de petits gémissements à peine audibles, il serre encore plus fort, et cette fois elle ondule du bassin et couine. Cette fois, il presse et écrase le bout du sein, elle lâche un long : « Ah, Ouiii... ! » Quand son ventre se contracte, elle est frappée par un mini-orgasme, et lui enfonce les doigts dans son biceps. Il est surpris par tant de force, mais content de cette découverte et s’empresse de renouveler l’expérience, mais en inversant les rôles : le téton pincé sera sucé et l’autre pincé. L’expérience est concluante, et cette fois elle se tord de plaisir, ondule encore plus, se cambre en appuis sur ses pieds et gémit encore et encore ; il va être temps de lui porter l’estocade.
Il se déplace et place sa tête entre les cuisses de Katia, mais pas en position du 69 ; pour qu’elle soit la seule à profiter de ce moment. Il place sa langue entre les lèvres juste en face du petit bouton durci par l’excitation, il le touche ; elle se cambre et miaule. Pour qu’elle reste tranquille, il lui appuie sur le ventre à deux mains et aussi sa langue pénètre au plus profond de Katia qui ne peut plus bouger ni onduler. Plus elle gémit et plus il titille le petit bouton, lèche la vulve, suce et aspire les grandes et les petites lèvres. Il juge que l’endroit est parfaitement lubrifié, alors il glisse sur le corps au bord de l’orgasme et impatient de jouir.
Elle sent son souffle sur son nez et le membre pénétrer en elle doucement. C’est un moment magique qui n’a rien à voir avec le rut brutal de tout à l’heure ; elle découvre le sens de « faire l’amour » qu’aucun homme n’avait, jusqu’à présent, réussit à lui faire vivre. Le sexe de Marc avance lentement, il coulisse dans l’étui, arrive au fond, puis ressort totalement, puis, il rentre à nouveau mais à peine et ressort aussitôt. Ces mini-va-et-vient la rendent folle, elle n’en peut plus, alors elle cherche à attraper les fesses de l’homme pour lui donner le rythme ; mais c’est lui qui décide et il avait prévu le coup et lui tient les poignets. Il continue son petit jeu mais en allant un peu plus profond à chaque mouvement, pour la chauffer à blanc ; au son des gémissements de Katia ; il sait. C’est maintenant ! Il accélère le mouvement, la pénètre au plus profond d’elle ; son phallus touche le fond de la grotte qui en une fraction de seconde explose. C’est un feu d’artifice qui envahi le corps tout entier de la belle, à chaque coup de boutoir de Marc c’est une décharge électrique qui la parcourt des pieds à la tête. Elle des étoiles dans les yeux, des bourdonnements dans les oreilles ; au bord de l’évanouissement, elle crie. Son ventre se durcit, elle crie de bonheur, râle de jouissance, elle tremble et est secouée par cet orgasme qui n’en fini pas. Son vagin se contracte comme s’il voulait écraser le membre de Marc. Elle lui enserre la taille avec ses jambes et le bloque, pour apprécier encore plus cet instant. S’il voulait se dégager, il y arriverait facilement ; mais c’est le bonheur de cette gamine qu’il veut, alors il reste en elle en l’embrassant un long moment.
— Tu veux bien sortir, je vais m’occuper de toi, dit-elle.
Il sort, et s’allonge sur le dos ; elle se lève d’un bond et dit : « Bouge pas, je reviens ». Quand elle revient, elle découvre avec satisfaction, Marc, toujours allongé sur le dos, les mains croisées sous sa nuque et le sexe raide comme une saillie. Elle saute sur le lit et se jette comme une morte de faim sur l’engin qu’elle voudrait avaler tout entier. Au bout de quelques minutes d’une fellation endiablée.
— Je reviens ! dit-elle, en se précipitant vers le coin-cuisine.
De là où il est il peut admirer la jeune femme s’affairer ; elle sort une assiette, déchire le paquet de gâteaux et dispose les tartelettes sur l’assiette, puis revient vers le lit.
— J’ai faim, pas toi ? dit-elle en posant le plat sur le lit.— Oui, moi aussi j’ai faim, on fait une pause ?— Toi oui, moi, non ; assois-toi en tailleur et mange.
Il s’assoit, prend une tartelette ; elle saisit son membre et le masturbe avec force.
— Mais que fais-tu ?— Une expérience que j’ai envie de faire depuis longtemps ; tais-toi et mange, tu me préviens un peu avant que ça vienne, c’est tout ce que tu dois faire.
Elle secoue encore le membre et commente :
— Allez, vas-y donne moi plein de sperme, fais le bien épais...— Ça vient !
Elle saisit une tartelette, dirige la lance en direction du gâteau ; le liquide jaillit par saccades, il est épais, abondant et enrobe les morceaux de fraises bien rangés sur la pâtisserie. Au dernier jet, à l’aide du phallus, elle étale uniformément sur toute la surface le liquide visqueux puis, pour n’en perdre une seule goutte, elle embouche le gland duquel s’écoule un mélange de nappage abricot et de jus de fraise puis pompe le dard du policier, et dit :
— Bon appétit Marc, tu en veux ?— Non merci, tu es folle de bouffer ça c’est dégueu !— Ça, c’est toi qui le dis ! reprend-elle en croquant dans la tartelette revisitée par Katia.
Elle croque et se délecte, se lèche les lèvres avec gourmandise ; Marc l’observe. Volontairement, elle fait couler du liquide sur sa poitrine, le ramasse avec ses doigts qu’elle lèche un à un en les enfonçant dans sa bouche avec un regard sensuel et provocateur.
— Humm... ! C’est bon, tu devrais goûter !— Non, très peu pour moi...— Alors embrasse-moi !— Quand tu te seras rincé la bouche !— Alors, Champagne ! s’exclame-t-elle.
Le sourire aux lèvres, il se lève en se disant que cette fille est vraiment imprévisible. Elle admire Marc se diriger vers le frigo, elle a envie d’attraper ses fesses musclées et de les mordre ; quand il revient avec verres et bouteille en mains, c’est un sexe en demi-érection qu’elle voit. Il débouche la bouteille, sert deux flûtes et en tend une à Katia.
— À notre santé, à la tienne et à ton futur travail !— À ta santé Marc, et merci pour tout, pour ce que tu viens de me faire vivre ; c’était fabuleux, on remet ça après ?— Tu as vu l’heure ? Il est trois heures du matin et tu as un rendez-vous extrêmement important à 14 heures et à 10 heures avec le toubib.— Pourquoi le toubib ?— Pour ton opération et aussi pour voir si tout va bien dans ta tête.— Mais j’suis pas folle ?— Je n’ai pas dit cela, c’est obligatoire ; tu n’as pas l’air de t’en rendre compte, mais c’est du sérieux. Tu ne pars pas en colonies de vacances !— C’est vrai, je crois que je n’ai pas encore vraiment réalisé ce qu’il m’arrive. Putain c’est trop cool !— Dis donc, il faudrait que tu surveilles un peu plus ton langage, car je ne sais pas si Monsieur le Président appréciera ton : « Putain, c’est cool ! » — Pardon, je vais faire grave attention à mon langage !
L’heure tourne, les tartelettes et la bouteille de champagne diminuent au fil de la conversation qui repasse rapidement sur le cul :
— Tu sais Marc, tu es le premier homme à m’avoir fait l’amour aussi bien, j’ai A... DO... RÉ ! Et toi tu as aimé j’espère ?— Bien sûr ! — Tu me montreras d’autres trucs ?— Pourquoi pas ! Bien on termine tout ça et on se couche car la journée de demain va être chargée !
Ils terminent le mousseux, et les gâteaux et se couchent. Elle pose sa tête dans le creux de l’épaule de Marc, les jambes enroulées autour de la cuisse. Sans dire un mot, elle joue avec les tétons de Marc qui lui caresse le dos et les fesses, et le sommeil arrive rapidement.
[À suivre]
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