Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 254 J'aime
  • 7 Commentaires

Police polissonne

Chapitre 6

La visite médicale,

Hétéro
   Il est 9 heures et en ce matin du 2 juillet 2015, le soleil darde déjà ses rayons au travers de la baie vitrée. Katia, étendue sur le ventre en travers du lit, les jambes grandes ouvertes et la minette humide, dort encore. Quant à Marc, il s’est levé depuis déjà un bon moment. Il a eu le temps d’aller acheter des croissants, de consulter la main courante, de se doucher, et de préparer le café. En attendant que le café finisse de passer, il admire la vue sur Marseille, la Basilique Notre-Dame-de-la-Garde d’où culmine la statue de la Vierge à l’Enfant ; scintillante de mille feux sous le soleil levant. Au loin le port et tous ces ferries et cargo qui crachent leur fumée noire, épaisse et chargée de particules que la brise matinale pousse vers la ville, toute cette pollution, avec ces milliards de particules qui salissent la ville et ruinent la santé des habitants, la met en colères. Il se dit que tout à l’heure, il va en parler au Président ; la cafetière siffle, elle a terminé de passer le café. Il se retourne et son regard balaye le corps nu de Katia ; lui aussi est nu, comme à son habitude. La vue de Katia le ramène à leurs ébats de cette nuit qui ravivent sa libido et une érection commence à pointer le bout de son gland ; bref il bande ! Il sourit et ce dit qu’une bonne petite pipe serait la bienvenue. Il s’installe sur le lit de façon à ce que la belle endormie puisse poser sa tête sur ses abdos, elle s’étire et semble apprécier la position, car elle s’installe confortablement. D’après ses calculs, quand son sexe sera en pleine érection, il atteindra le nez ou la bouche de Katia ; il se concentre sur leur nuit et laisse grandir son vit.   Il a atteint son but, il sent à présent le souffle régulier de la belle sur son gland : « Elle dort encore » pense-t-il. Encore un petit effort et son gland touche les lèvres qui s’ouvrent en laissant passer une langue gourmande qui, à petits coups, humidifie le bout de l’engin. Il lui caresse le dos et descend jusqu’à ces fesses, elle bouge et embouche le mandrin qui sent bon le Bleu de Channel. Elle le suce, le lèche et le mouille avec délicatesse ; à coups de reins elle remonte pour qu’il puisse atteindre son intimité. Il a compris et laisse glisser sa main vers les fesses, puis la raie de ce petit cul ; du bout des doigts il caresse l’anneau brunâtre. Elle roule des fesses, gémit, et pompe le membre. Il lui enfonce un doigt dans le cul, elle glousse, puis un second ; elle couine de bonheur.    Elle saisit les bourses et les malaxe comme si elle pétrissait une boule de pâte à pizza, puis remonte sur la hampe et la masturbe en même temps que sa bouche fait le même mouvement sur le gland. Marc sait que ce genre d’exercice ne dure jamais très longtemps, car le matin il est du genre expéditif, alors il lui fourre deux doigts dans la chatte elle cri de surprise mais se venge sur le phallus et l’astique. Quand Marc lui met deux doigts dans le cul en plus des deux qu’elle a déjà dans la chatte ; il lui éjacule copieusement dans la bouche. Au premier jet, elle manque de s’étouffer, au second elle avale tout, au troisième elle se gargarise et garde tout en bouche jusqu’à la dernière goutte, puis elle se redresse et tente de l’embrasser :   — Non merci, tu peux tout garder !   Alors elle lui crache le mélange sperme et salive sur le torse en lui disant :   — T’es dégueu, t’aurais pu me prévenir ; pour la peine fais-moi l’amour ! — Non ! Il te reste une heure pour déjeuner et te préparer ; tu sembles avoir oublié que tu as rendez-vous chez le toubib ! Café ? — Oui, merci ; Waouh ! Tu es allé chercher des croissants ! Cool …Et je vais faire quoi, chez le toubib ? — Il va t’ausculter, te poser des questions et tu en profiteras pour lui demander ce que tu veux faire pour les piercings et le reste. — Et toi, tu seras avec moi ? — Normalement non, mais si tu y tiens je peux demander de rester, mais je doute que le toubib soit d’accord ; allez dépêche-toi tu vas nous mettre en retard et ça ; je ne le supporte pas !  — OK ! Au fait, merci pour le réveil !   Les placards ont été remplis copieusement en prévision de ce séjour dont la durée est pour le moment incertaine. Le petit-déjeuner est copieux, cela fait très longtemps qu’elle n’a eu un tel petit-déjeuner. Elle pose à Marc une multitude de questions sur le déroulement de cette journée, sur ce qu’elle doit dire, comment s’habiller, l’attitude qu’elle devra avoir avec le Président et d’autres encore. Mais l’heure tourne et Marc la presse, elle file prendre une douche dans la salle de bains ; sachant qu’elle va devoir se déshabiller entièrement elle décide de ne rien mettre sous sa minijupe noire et son chemisier rayé noué au-dessus du nombril. Marc lui apporte une perruque brune et des lunettes de soleil, ça tombe bien ; ce matin le ciel est radieux et il va faire chaud ; il remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et lui fait la remarque :   — Tu n’as rien mis en dessous ? — Non, car je devrais me foutre à poil, donc ça ne sert à rien de s’encombrer de sous-vêtement superflu, non ? — Oui, tu n’as pas tort, mais je préférerais que tu mettes au moins une culotte. — Bon OK, et je suppose que la perruque et les lunettes c’est pour rester incognito ?
 — Bonne déduction ! — Tu as vu, je m’entraîne pour devenir la meilleure James Bond Girl !  — Mouais ! ….Tu as encore du chemin à parcourir avant de devenir la meilleure James Bond Girl ! Comme tu dis, n’oublie pas que tu ne joues pas dans un film. — Oui, je sais ! Dis, tu n’as pas d’humour le matin, toi ! — Si, mais pas quand on risque d’être en retard ; allez, en route !   Les voici tous les deux habillés et prêts à partir, lui : jeans, baskets et tee-shirt ; elle : minijupe, chemisier et baskets aussi sans oublier la perruque, les lunettes de soleil, et le string ! L’ascenseur les mène directement au parking et Marc déverrouille les portes d’une Mégane noire aux vitres teintée et aux jantes alu. Il ouvre la portière passagère et Katia découvre l’intérieur à la finition parfaite, et les sièges en cuir qui se retrouvent directement en contact avec ses fesses nues. Elle jette un regard circulaire dans l’habitacle et découvre une radio fixée entre les sièges et un gyrophare posé au sol.   — Eh bien ! On ne s’emmerde pas trop dans la police, t’as vu la bagnole ! Putain elle fait du 250 à l’heure ! — Hé que veux-tu, on a les moyens ou pas ! Bon, rassure-toi, c’est une voiture confisquée à un trafiquant de drogue que j’ai serré ; alors j’ai eu le droit de la garder. Et pour la vitesse tu as raison, sa vitesse de pointe est de 250 km/h et avec ses 220 ch c’est une véritable bombe ! — Tu m’emmèneras faire un tour, et je pourrais la conduire un jour ?  — Il y a de forte chance mais pour le moment toubib, et tu n’as pas de permis ! — Non… — Eh bien il faudra commencer par ça et apprendre à conduire, vite et bien !   Il fait démarrer la voiture. Katia est surprise par le confort et le silence qui règne dans le véhicule ; le cuir du siège lui colle un peu au derrière mais elle apprécie. Marc roule tranquillement vers les locaux de la police scientifique, le trajet est court et ne prend qu’une quinzaine de minutes ; mais à cette heure d’embauche, la circulation est plutôt difficile. Le spectacle de la jupe remontée tout en haut des cuisses de cette « gamine » (comme il l’appelle souvent) assise juste à côté, lui plaît beaucoup et il lorgne ouvertement du coin de l’œil l’entrejambe de Katia lorsque la voiture se retrouve à l’arrêt. Elle le remarque et ne se gêne pas pour lui faire remarquer :   — Eh bien dis-donc ! Pour quelqu’un qui n’aime pas les filles trop maigres, j’trouve que tu me mates beaucoup ! — Je peux regarder ce qui est beau, non ? — C’est vrai, et tu veux que je caresse aussi ? — Non, car nous arrivons.   Marc arrête la voiture devant la grille, l’ouvre à l’aide d’une télécommande ; une fois dépassée, il attend qu’elle se referme puis il stationne la voiture sur une place marquée : visiteur.    — Bien nous voici arrivés, tu me suis. — Dis-moi on est où ? — Dans l’enceinte de la police scientifique, ici sont réunis tous les services concernant les affaires judiciaires, tu auras certainement l’occasion d’y venir souvent, enfin si tu veux rester sur Marseille.   Ils passent une des portes de l’immeuble puis se retrouvent bloqués dans un sas, l’inspecteur sonne, fait un signe au vigile, celui-ci se lève et s’approche de l’hygiaphone :   — Salut Marc, ça va ; c’est qui la demoiselle ? — Salut, ça va ; elle est avec moi, c’est une nouvelle recrue. Elle vient pour la visite médicale, tu as dû recevoir l’ordre de mission ! — Attends, je vérifie… OK, elle est là…Mademoiselle Katia Slowinski ?  — Oui Monsieur c’est moi. — Pièce d’identité, s’il vous plaît ! — Non elle n’en a pas, elle est sous ma protection ; je l’accompagne chez le toubib pour la visite médicale. — Ah OK ! Je vous ouvre et je préviens le secrétariat. — Merci, répond l’inspecteur.    Katia le suit docilement et elle peut lire les pancartes des différents services comme l’identité judiciaire, expertise balistique, autopsie puis la morgue et enfin sur la porte au bout du couloir : service médical. L’inspecteur sonne et le grésillement de la gâche électrique se fait entendre, il pousse la porte et se dirige vers le secrétariat :   — Bonjour inspecteur, c’est pour la visite de Mademoiselle ? Il vous attend, je le préviens ; allez-y, dit la secrétaire.   Ils se dirigent vers la porte où une pancarte marquée : « Médecin » et une autre située en dessous indique : « Frappez et entrez ». Il frappe et pousse la porte qui donne sur une petite salle d’attente :    — Installe-toi ! Ça va ? Tu es toute pâle. — J’ai la trouille, c’est tout. Tu vas rester ? — On verra, mais tu vas voir, les toubibs sont hyper sympa ; ils ont l’habitude.   La porte du cabinet du médecin s’ouvre et un homme en blouse blanche d’une soixantaine d’années, souriant se présente :   — Salut Marc ! Bonjour Mademoiselle. — Salut Pierre ! Tu as son dossier ? dit-il en désignant Katia du regard. — Oui, je l’ai reçu ce matin, mais je n’ai pas eu le temps de le regarder ; nous allons voir cela ensemble, n’est-ce pas ? — Oui, Docteur. — Pierre, je peux rester avec elle, car elle a un peu la trouille ? — Non, secret médical oblige.   Le téléphone de Marc sonne, un SMS.   — Bon eh bien, c’est réglé ! Je dois y aller. Il faut que vous ayez terminé ce matin car nous avons un rendez-vous important cet après-midi. — Ah, toujours la même chose ; nous n’avons jamais le temps de faire correctement notre travail. Bien je vais me débrouiller et je vais appeler la Psy, cela évitera de répéter les choses ; vous n’y voyez pas d’inconvénients, Mademoiselle ? — Un Psy ? mais… — C’est la règle, je sais que c’est parfois difficile de se mettre à nu ; mais nous n’avons pas le choix. — Ah, mais j’peux me mettre toute nue maintenant, c’n’est pas un problème du tout !    Le toubib la regarde et avec un large sourire dit :    — Elle est mignonne cette petite et elle a de l’humour, ça change des grincheux, les énervés, alcoolos et autres drogués ! Bien, allons-y. — Pierre je te la confie, appelle-moi si tu termines rapidement, et si cela doit être plus long ; je pense que nous mangerons à la cantine. Quoi qu’il en soit nous devons être partis à 13 heures 30. — Ça marche, suivez-moi Mademoiselle. — Katia, ne soit pas inquiète ; tu peux leur faire confiance, ils sont aussi là pour t’aider à t’en sortir. À toute à l’heure ! conclue-t-il en tournant les talons.   Le médecin pose sa main sur l’épaule de Katia en guise de réconfort et l’invite à entrer dans la salle d’auscultation.    — N’ayez crainte tous va bien se passer, assoyez-vous, le temps que je regarde votre dossier, dit-il en lisant le début de la première feuille, puis reprend : — Vous vous appelez bien Katia Slowinski ? — Oui Docteur. — Parfait, déshabillez-vous, que je vous ausculte. — Tout ? — S’il vous plaît.   Katia se lève et commence à se dévêtir. Le médecin parcourt le dossier, prends des notes, se racle la gorge, se gratte la tête, et décroche son téléphone fait un numéro à quatre chiffres et attend.   — Anne ? — … — Tu peux venir, j’ai un dossier important et je n’ai que peu de temps. — … — Oui, comme d’habitude !   Il raccroche et s’adresse à Katia :   — C’est la Psy, elle arrive. Montez sur la balance … 57 kg ! Mouais… ! Il va falloir vous remplumer mon petit.   Le ton familier du : « Mon petit » réchauffe le cœur de Katia et elle se dit que cet homme semble très sympa ; petit à petit elle se décontracte.   On frappe à la porte qui s’ouvre instantanément, une femme blonde d’une quarantaine d’années, belle et souriante fait son entrée.   — Salut Pierre !   Puis elle regarde Katia et lui décroche un chaleureux : « Bonjour Mademoiselle »   — Bonjour Docteur. — Anne regarde le dossier de cette jeune femme pendant que je termine de l’examiner.   La Psy prend le dossier et le feuillette, prends des notes. Le toubib fait une prise de sang et demande à Katia d’aller aux toilettes et uriner dans un flacon, puis il appuie sur un bouton placé à côté d’une petite trappe. Elle s’ouvre, il tend les flacons et dit : « Analysez-moi ceci en priorité, vous faites la totale ! » Puis il examine Katia sous toutes les coutures, prend : température, tensions, mensurations, taille, note le poids, la fait se courber en avant afin de déceler un éventuel problème de colonne vertébrale. Il lui indique qu’elle va faire un test à l’effort, alors bardée de capteur elle pédale sur un vélo d’appartement, force, transpire ; la bande de papier se déroule puis le test se termine. Le toubib récupère l’enregistrement l’observe avec la plus grande attention et conclu :   — Très bien, c’est parfait ; vous avez une bonne résistance et de l’endurance à l’effort, Pour moi le test est parfait ! Attendons les résultats des analyses de sang. Vous pouvez vous rhabiller. — Pierre, il faudrait l’ausculter pour la demande de ligature des trompes qui est faite à la fin du dossier ; mais il faudrait en parler avant. — Vous savez, je peux rester toute nue, cela ne me dérange pas ; bien au contraire, dit Katia en s’asseyant.   Elle regarde fixement le décolleté de la blouse blanche de la Psy avec une certaine envie que la Psy détecte instantanément. Cette femme mène en ce moment une étude sur l’impact vestimentaire lors d’un entretien avec un patient. Cette étude consiste à déterminer si un patient se dévoile plus facilement lorsqu’il est nu, et a fortiori si le ou les médecins sont eux aussi nu ; en ajoutant la possibilité de pratiquer un massage décontractant sur ledit patient.   — Pierre, je pense que nous devrions tenter l’expérience dont nous avons parlé pour l’étude. — Tu as parfaitement raison, car je vois que cette Demoiselle semble présenter le caractère dont nous avons besoin. — Je vais servir de cobaye ? — En quelque sorte ! En premier lieux, je dois vous dire que tout, et j’insiste sur le TOUT, ce que vous direz ne sortira pas de cette pièce et ne sera consigné sur aucun document, donc je vous explique […] êtes-vous d’accord pour tenter cette expérience ? — Avec plaisir… — Très bien, alors déshabillons-nous, conclu le médecin.   Ils se mettent entièrement nus et le toubib pose à l’extérieur de la porte une pancarte sur laquelle il est inscrit : « Ne pas déranger » puis il verrouille la porte et dit :   — Bien, pour plus de facilité, nous allons nous tutoyer et nous appeler par nos prénoms. Katia va t’allonger sur la table d’examen, Anne va te masser, tu fermes les yeux. Maintenant tu remontes au plus loin dans tes souvenirs et dès que tu te sens prête, tu nous racontes.   Anne débute son massage en versant de l’huile parfumée, ce produit qui n’a normalement rien à faire dans cet endroit sert aux deux médecins pour des massages sensuels. Elle commence par masser les tempes de Katia, et sous l’effet relaxant de ces gestes, elle se détend et se relaxe ; elle sent son corps se relâcher, son esprit s’apaise et les souvenirs apparaissent ; puis elle raconte :    — Quand j’étais petite, papa et maman étaient très amoureux ; ils se faisaient plein de câlins et à moi aussi, c’était bien. Puis un jour, je devais avoir onze ou douze ans, peut-être treize ; papa est rentré à l’appartement complètement saoul, et c’est là que tout a dérapé […]   Pierre prend la place d’Anne et masse les tempes, le front, passe sous les yeux, descend vers la nuque puis les épaules de la jeune femme qui déroule son histoire. Les mains d’Anne glissent sur la poitrine ; les petits seins durcissent et les tétons se dressent fièrement. Elle les malaxe un peu tout en observant les réactions du corps à sa merci. Elle s’aperçoit que la fleur de la belle devient humide, mais Katia arrive au moment de son récit où elle revit le drame. Sa voix change, Anne en déduit que la tristesse est en train de submerger Katia ; alors pour concrétiser sa théorie, elle tente cette expérience : Elle lui frotte le clitoris et le masse délicatement, Katia suspend son récit, serre les poings ; les deux médecins se regardent. Les mains du toubib quittent les tempes de Katia et lui saisissent ses deux belles oranges, les massent, lui titille les tétons en les faisant rouler entre ses doigts. Katia ne parle plus, en elle des milliers de fourmis courent dans son corps, son ventre vibre et tout son être s’agite. C’est le moment qu’elle préfère : une décharge électrique vient de partir de son point G et remonter jusqu’à la pointe de ses cheveux. Son esprit s’envole et c’est avec des étoiles plein les yeux que sa gorge laisse échapper des râles de plaisir. Ce massage à quatre mains vient de lui procurer un plaisir immense, les derniers spasmes de l’orgasme qu’elle vient de vivre durent encore et encore ; les médecins la laissent et s’installent au bureau pour tirer les premières conclusions de cette expérience […].   — Voila, vous savez tout. — Très bien Katia, c’est très bien ; reste un peu allongée le temps qu’Anne et moi discutons.    [À suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live