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Police polissonne

Chapitre 9

La partouze du succès.

Avec plusieurs hommes
Petit rappel concernant l’identité de Katia :

Suite au décès de sa mère, Katia avait basculé dans la délinquance et pour se cacher de la police ; elle réussit à obtenir de faux papiers. Ne voulant plus porter le nom de Katia Slowinski, elle choisit au hasard le nom de Noémie Durant par dépits pour son père ; l’assassin de sa mère.
Lors de son arrestation, l’inspecteur Marc Morard met au jour cette usurpation d’identité, et elle fut obligée de reprendre sa véritable identité. Mais comme elle s’apprête à intégrer la BS (Brigade Spéciale), l’attribution d’un pseudo est, pour des raisons de sécurité, obligatoire. Elle choisit donc de prendre le nom de sa mère : Sonia Wolski et en fait la demande auprès du président de la République. Celui-ci lui accorde cette faveur.
Katia Slowinski s’appelle maintenant et définitivement : Sonia Wolski.

La partouze du succès.
Sonia pousse la porte d’entrée du commissariat, et se retrouve directement dans le hall d’accueil. Jeff et Jean l’attendent, accoudés derrière le comptoir en bois verni, où trône le bouton-poussoir d’appel avec, juste à côté de l’affiche marquée : SONNEZ ET ATTENDEZ. Ils ne la reconnaissent pas, car par souci d’anonymat, elle est coiffée d’une perruque brune aux cheveux mi-longs et d’une paire de lunettes de soleil de star dans le genre Ray Ban. Par contre, même si elle n’a vu Jeff qu’un court instant, elle le reconnaît immédiatement et se rend compte que lui, ne la capte pas :
« Eh bien, pas vraiment physionomiste pour un flic. Mmm... je vais leur faire une blague ! » complote-t-elle.
— Bonjour Messieurs,— Mademoiselle, que désirez-vous ?— C’est pour porter plainte...— Ah, et que vous arrive-t-il ?— Eh bien, c’est un peu compliqué à expliquer...— Bon, détendez-vous je vais appeler le commissaire, il va vous recevoir ; installez-vous là, dit Jeff en désignant la salle d’attente.— Non, ce n’est pas la peine, mais en fait je voudrais juste baiser avec deux flics...— Sonia, c’est toi ?
Sonia enlève ses linettes et les fait glisser sur le haut de son crâne, en offrant aux deux agents un sourire radieux accompagné d’un petit ricanement de satisfaction.
— Ah, je me doutais bien que c’était toi, dit Jeff avec une fausse assurance. Alors comme ça, tu... ça n’te dérange pas le TU au moins ? Tu as envie d’un plan cul pour fêter ton acceptation, c’est ça ?— Tu as tout compris, d’autant que je vous l’avais promis, et quand je fais une promesse, je la tiens.— Eh bien nous, on est dispos ; mais le patron a dit qu’on n’peut pas sortir ?— Oui, on reste là-haut, il ne faut pas que je sorte, question de vie ou de mort.— Ah bon ?... Et on peut savoir ce qui se passe ?— Non, désolé, je ne peux pas.— OK, j’n’insiste pas. Tu vas monter et nous, on va chercher à bouffer. Tu veux quoi ? Un truc du genre apéro dînatoire ? lui dit Jean.— Va pour l’apéro dînatoire, prenez ce que vous voulez ; et surtout n’oubliez pas le champagne, dit Sonia en riant.— Et au fait, c’est quoi ton prénom ?— Sonia, et toi c’est Jeff et toi Jean ? dit-elle en désignant les deux hommes tour à tour.— C’est ça, mais je suppose que Sonia ; c’n’est pas ton vrai prénom ?— Non, mais celui-là, je l’aime bien.— Ça marche, alors à tout à l’heure, dit Jeff en lui tendant la clé de la chambre qui, vous vous souvenez, ressemble plus à un studio.
Le temps que les deux hommes aillent faire les courses, elle monte au studio pour prendre une bonne douche et se préparer. Elle commence par chercher une tenue sexy dans l’armoire. Ce soir, elle se veut belle, allumeuse et provocante. Elle voudrait que cette soirée - sa première soirée de fliquette - soit réussie et reste gravée dans sa mémoire. Après maints essayages et hésitations, elle jette son dévolu sur..., qu’elle dépose sur le lit et va se doucher.
Une fois pouponnée et légèrement maquillée, elle s’enroule dans une serviette de toilette qu’elle noue sur sa poitrine et se dirige vers la pièce à vivre. Son sac à dos est là, posé à côté du lit. Elle le regarde, s’en empare, et se jette au milieu du lit, où elle s’assoit en plein milieu. Ses jambes repliées sur elle et entourées de ses bras, elle pose son menton sur ses genoux et son regard sur son sac ; elle pense. Elle pense à tout ce qui lui arrive, elle détache son regard du sac et fixe le lointain en emportant son esprit par la baie vitrée... Elle est parcourue par un sentiment très étrange, c’est comme si elle vivait un rêve. Elle ne réalise pas encore totalement ce qu’il lui arrive, cette nouvelle vie qui vient tout juste de débuter. Elle se repasse chaque instant de cette journée, dont certains sont à peine croyables. Elle revit la visite chez les toubibs et aussi l’entretien avec le président pour finir sur ses exploits :
« J’ai été un peu gonflée de lui tailler une pipe et de me faire sauter. Bon !... En fait ce n’était pas si génial que ça..., mais quel cochon ce président..., et t’imagines si ça se savait !...»
Les trois coups donnés à la porte la sortent de ses pensées, elle saute du lit, embrasse le tas de vêtements en criant : « Entrez, c’est ouvert ! » et disparaît dans la salle d’eau pour s’habiller.
— Tu es là, Sonia ? On fait comme chez nous !— Allez-y, mettez-vous à l’aise, j’arrive ! crie-t-elle.
Les deux hommes, la trentaine, grands et bien gaulés, entrent. Jeff est blond aux yeux bleus et Jean plutôt brun aux yeux verts, le visage sympathique et les bras chargés de toutes les victuailles qui vont agrémenter leur soirée, se dirigent vers le coin-cuisine. Comme nous sommes en été et qu’ils sont de repos depuis une heure ; ils ont choisi de porter une tenue décontractée dans le style short débardeur et tong. Ils rangent les bouteilles – bière, champagne, les amuse-gueules et autres victuailles dans le frigo, puis Jeff informe Sonia :
— Je pense qu’on peut se boire une bière, le temps que Mademoiselle se pouponne ! — Ah mais tu peux m’en préparer une aussi, j’ai presque terminé ! rétorque Sonia qui a tout entendu.
Les deux hommes acquiescent et préparent trois bières, un verre et un paquet de chips qu’ils disposent sur la table basse entourée du canapé et d’un pouf, du petit coin salon. Ils s’installent sur le canapé trois places et allument la télévision ; la rediffusion d’un match de foot entre l’OM et le PSG apparaît à l’écran. Trop occupés à commenter bruyamment le match, ils ne voient ni n’entendent Sonia arriver qui, en voyant la télé allumée fait la moue :
« Eh bien ma fille, te voilà mal barrée avec ce match ! » se dit-elle.
Elle profite de ce moment pour se mirer dans la glace de l’armoire à la façon de Betty Boop ; elle se trouve très... très sexy. En effet, le miroir lui renvoie l’image d’une jeune femme perchée sur des talons hauts en bas résille autofixant, et d’une minijupe ultracourte en simili cuir noir et fendue sur la cuisse gauche. Elle lui fait comme une deuxième peau et épouse parfaitement ses formes en dessinant le galbe de ses fesses. Elle passe ses mains sur la jupe pour vérifier qu’il n’y a pas de faux plis ; ni d’éventuelle marque de sous-vêtement. Pour couvrir sa poitrine, elle a jeté son dévolu sur un chemisier qui, par la finesse de son tissu ne risquera pas de lui tenir chaud en hivers. En fouillant dans l’armoire de toilette, elle a déniché du rouge à lèvres rouge vif et un parfum bon marché « qui ne sent pas trop mauvais » pense-t-elle. Elle termine en recoiffant grossièrement sa perruque.
« Dis-moi ma cocotte ; tu ne te trouves pas un peu pute par hasard ?... Si un peu ; mais autrement je suis canon... non ? »
Visiblement satisfaite de sa tenue, elle se tourne vers le canapé et s’exclame :
— Alors les mecs ! Il est comment ce match ?
Les deux hommes se lèvent d’un bond, se retournent vers elle et s’exclament :
— Oh pardon... On n’t’avait pas entendue. Oh, putain comme t’es canon !— Ça vous plaît... et ça n’fait pas trop pute ?...— Un peu, mais c’est hyper joli, franchement, si on pouvait ramasser des putes aussi bien fringuées que toi ; ça serait le panard ! Pas vrai Jean ?— T’as raison !...— Bon ! On la boit cette bière, à moins qu’on attende qu’elle soit chaude... Installez-vous sur le canapé, moi je vais me mettre là..., réplique-t-elle en désignant le pouf.— Comme tu veux, on éteint la télé ?— Ou on met une chaîne avec de la musique et des clips...— Oui, tu as raison, dit Jean en cherchant une chaîne musicale.
Ils trinquent à leur rencontre et à la soirée qu’ils souhaitent sympathique, puis Jeff questionne Sonia :
— Sonia, tu as dit tout à l’heure que ton prénom était un pseudo ; ça veut dire que te rentre à la BS ?— Ah, tu n’es pas flic pour rien toi ! Oui c’est vrai, je vais entrer à la BS, mais avant j’ai du boulot...— Je sais, reprend Jeff. J’ai voulu y entrer moi aussi, mais j’n’ai pas réussi les tests, j’ai lâché prise, moralement et mentalement ; c’était hyper difficile !— À ce point ?— Oui, tu ne peux pas savoir, mais si tu y arrives je te tirerai mon chapeau ! Putain, toi, t’as des couilles au moins !— Ha, bah si j’ai des couilles, ça va être vachement compliqué pour ce soir ! s’exclame-t-elle en riant.
Il n’empêche que les deux policiers ont le regard bloqué sur son entrejambe. Si elle a choisi de se mettre sur le pouf, c’est tout simplement parce qu’il est plus bas que le canapé et que les deux hommes ont une vue plongeante sur ses cuisses totalement découvertes. Sans compter sur l’échancrure de la jupe qui accentue l’érotisme de sa tenue. Elle s’est aperçue depuis le début de la conversation qu’ils lorgnent, entre ses cuisses le petit triangle blanc, seul barrage entre son intimité et elle s’en amuse. Elle se joue d’eux en déplaçant ses jambes, au fil de la conversation, elle les écarte et les resserre et prend un immense plaisir à leur offrir toute une série de croisés décroisés de jambe.
— Non, mais sans déconner, dit Jean. C’est hyper difficile avec les entraînements, et puis tu as l’hiver et tout le reste...— Je sais tout ça, l’inspecteur Morard m’en a parlé.— Alors si Marc t’a expliqué, tu dois avoir une sacrée bonne raison pour entrer à la BS !— Vous avez tout compris, les gars.— Bah, écoute-moi Jeff, reprend Jean. Si un jour, elle prend une équipe ; je veux bien être sous ses ordres !— Ouais... tu dis ça parce qu’elle est en minijupe, mon salaud... ah, ah, ah !— Oui, un peu ; mais je te dis que cette nana en a dans le buffet, tu as vu son regard ? Moi je te dis que quand elle doit avoir une idée dans la tête ; t’as pas intérêt à te mettre sur sa route, pas vrai Sonia ?— C’t’un peu ça ! Bon, on boit un coup ou on jacte ; parce que moi j’ai soif et un peu faim.
Après avoir terminé leur première bière et les avoir laissés parler d’eux, du boulot ; elle se lève pour enlever ses talons hauts qui commencent à lui faire mal aux pieds. Jeff se lève et propose une seconde bière, mais Sonia préfère le champagne. Les deux hommes se lèvent et vont chercher la suite. Sonia prépare dans sa tête un plan d’action pour la suite... Quand les deux compères reviennent avec à boire et à manger, il trouve la belle, chemisier légèrement ouvert, assise en amazone sur le pouf. Cette posture offre une vue imprenable sur sa cuisse dénudée. Elle est assise à moitié dans le vide, avec le dessous de sa cuisse qui ne repose sur rien ; un petit bout de sein apparaît par le décolleté de son chemisier.
— Tiens, voici le champagne et des amuse-gueules, on a mis des feuilletés à cuire ; apéro dînatoire... ça te va ?— Parfait, alors à votre santé...— Putain Jeff, on aurait pu sortir en boîte ce soir...— Allez-y si vous voulez, moi je reste ici !— Mais pourquoi tu ne peux pas sortir ?— Tu veux le savoir ? Eh bien c’est juste pour éviter de me faire flinguer ; soyez sympa, ne me posez plus de question, ce soir je veux fêter mon intégration, c’est tout.— OK, on te fout la paix, mais là tu commences à sérieusement nous chauffer.— C’est fait pour mieux vous exciter les gars !
Le clip Thriller de Michaël Jackson se déroule à l’écran de la télé, Sonia dandine du postérieur au rythme de la musique. Pour se servir en petits gâteaux, elle se lève, se penche au-dessus de la table et offre sa poitrine nue dans son décolleté plongeant. Elle remarque que les hommes ne sont insensibles à ses charmes, car une érection grandissante commence à déformer leur short. Alors, histoire de les aguicher encore un peu plus, avec un regard fripon, elle déboutonne son chemisier d’une main qui s’ouvre doucement à chaque bouton qui se défait. Les deux hommes sont comme hypnotisés par ce spectacle et restent sans voix ; elle se redresse, ouvre son vêtement et offre ses deux pamplemousses en disant : — À votre tour les gars !
Presque torse nu, elle s’assoit sur les genoux de Jeff et lui caresse les pectoraux et surtout les tétons qui pointent au travers du tissu de son tee-shirt. Jeff pose sa main droite sur la cuisse de Sonia et remonte doucement vers son entrejambe :
— Stop ! Tu ne touches que ce que je montre, dit-elle en prenant la main curieuse et la pose sur son ventre.
Puis elle continue. Elle enlève le tee-shirt de Jeff, lui caresse les pectoraux et les tétons qu’elle titille allègrement. Souvenez-vous : c’est l’un des plaisirs préférés de Sonia.
Une fois Jeff à demi-nu, elle passe à Jean et s’assied aussi sur ses genoux mais en tournant le dos à son coéquipier, et il lui attrape directement les seins. Lui la caresse et descend sur son ventre, palpe la jupe et ose en infiltrer le dessous ; cette fois elle se laisse faire. Mais tout à un prix et comme Jeff ne voit pas tout ce qu’il se passe. Alors elle en profite pour broyer les couilles de Jean d’une main au travers du short, et de lui écraser entre pouce et index le téton gauche et en serrant les dents, lui dit :
— Tu aimes ça, pas vrai ?
Jean grimace, mais ne dit rien. À son tour le tee-shirt de Jean se retrouve au sol, les trois compères sont torse nu, Sonia se lève et leur dit :
— Maintenant, vous retirez vos shorts !
Les deux hommes s’exécutent et Sonia peut admirer les résultats de ses efforts. À la vue des hommes en caleçon, un boxer HOM noir et rouge pour Jeff et caleçon DIESEL style camouflage pour Jean. Tous deux déformés par une belle érection, elle est ravie et une idée commence à germer sérieusement dans sa tête.
— Je vois que je vous fais de l’effet, les gars !— Ah oui alors ! T’es une vraie bombe, mais t’inquiètes, tu vas voir comment on va te mettre à l’envers !— D’abord le short...— Et toi, la jupe...— Après ! dit-elle en se caressant la poitrine.
Pendant que les garçons défont leur ceinture et font glisser lentement leur short au sol. Tel un cobra au son de la flûte, elle se lance dans une lente danse, ondule du bassin, se caresse les fesses, passe ses mains devant elle, remonte sur sa poitrine, masse ses seins un à un, roule ses tétons déjà pointus, puis...
La télé diffuse le clip : « Christine » deChristine and the Queens. Sonia, entraînée par la musique cadencée, redescend ses mains sur son pubis, puis ses cuisses ; à deux doigts elle accroche sa jupe et remonte... remonte, découvre la dentelle qui masque l’autofixant des bas résille, et monte encore un peu. Elle connaît son corps par cœur et sait qu’à l’endroit où se trouvent ses mains, sa jupe cache à peine son entrejambe ; alors elle lâche sa jupe qui ne redescend pas. Elle se place face aux deux hommes debout devant le canapé, Jean à sa gauche et Jeff à sa droite ; leur excitation ne fait aucun doute, ils bandent ! Ravie du résultat, elle fait glisser ses doigts le long de leur torse, descend sur le devant de leur caleçon, effleure la bosse qui trahit leur excitation. Puis elle passe derrière eux.
Elle fait alors courir ses doigts dans leur dos en suivant leur colonne vertébrale, ils frissonnent de plaisir, elle continue et redescend ses mains sur leurs fesses rondes et bien fermes ; elle les admire en se léchant les lèvres de gourmandise. Son ventre lui envoie de petits signaux, comme des picotements ; le désir monte en elle doucement et sournoisement. À ce signal, tout va très vite en général, alors il faut qu’elle se calme ; elle envoie une belle paire de claques sur fessiers si attirants et dit :
— Bon les gars, on boit un coup, on mange !— Ah !... C’est déjà fini...— Pressés ? Eh bien il faudra patienter, moi, j’ai soif et faim.
À regret les hommes ne disent rien. Ils ont appris, grâce à leur grande expérience de tombeurs ; qu’il ne faut jamais contrarier une femme s’ils veulent la pécho ! comme disent les jeunes. Tombeurs ? Oui, vous avez bien lu ! Ces deux hommes, potes dans la vie comme au boulot et libre comme l’air ; ne pense qu’à sortir, draguer, faire la fête et baiser. Pour eux c’est facile, avec leur fort accent marseillais, bâtis dans des rocs, forts comme des Turcs et beaux comme des dieux ; les filles leur tombent dans les bras avec une facilité déconcertante. Mais avec Sonia, c’est différent : il y a tout d’abord son prénom qui évoque la Russie, et le caractère fougueux qui l’accompagne. Et puis il faut honorer son courage : elle a décidé de réussir là où eux ont échoué. Alors en allant préparer l’apéro, Champagne pour elle, Pastis pour eux et amuse-gueules pour tous ; ils se consultent et sans savoir jusqu’où ira cette fête, ils jurent de tout faire pour la rendre heureuse. Et un « Parole de flic ! » pour sceller leur engagement.
Quand ils reviennent, fiers et décidés ; Sonia les attend patiemment assise sur le pouf. Pendant que les deux hommes préparaient l’apéro, Sonia s’est amusée toute seule, vous devinez avec quoi ? Ses tétons naturellement, et a maintenu son état d’excitation juste au bon niveau en imaginant ce que renferment les caleçons de ses hôtes. Ils déposent tout sur la table basse, Jeff tend la flûte de champagne à Sonia et ils prennent leur Pastis et trinquent. Ils trinquent à cette soirée, à Sonia, à sa promo, à eux, au chef, à l’OM,..., et à tout le reste.
Après quelques gorgées d’alcool, les esprits se détendent, les corps se relâchent, et les bites ramollissent ; ce qui n’échappe pas au regard affûté de Sonia qui décide de remédier à la chose immédiatement. Toujours en minijupe extra-courte, bas résille et seins à l’air ; elle se lève et s’accroupit entre les deux compères, puis elle saisit les membres en demi-érection, au travers des caleçons. Après quelques mouvements de va-et-vient, ils commencent à retrouver une taille acceptable mais insuffisante pas à nos hommes qui en réclament plus :
— Dis Sonia ! interpelle Jeff. Euh... ! Tu nous montres un peu plus ?— D’accord, mais vous d’abord et c’est moi qui fais ; levez-vous !
Les deux compères se lèvent instantanément, elle les accompagne, eux se tiennent droits comme des I ; gauches devant cette situation chargée de sensualité. Avec cette femme à demi nue et ses mains qui, tels des serpents ondulent de leurs pectoraux à la bosse qui trahit une érection ressuscitée. Ses mains prennent encore une fois leur bitte, palpent leurs testicules en les soupesant comme pour choisir un fruit ; pour elle ce sera... Plutôt ferme ! Elle s’en amuse et s’agenouille devant eux, juste à la bonne hauteur pour commencer à descendre la ceinture des deux boxers en même temps. Ses yeux coquins attisent leur envie, sa langue qui passe sur ses lèvres avec ce côté sensuel, que seules les filles maîtrisent à la perfection, fait encore grossir et se raidir les deux zguègues. Puis elle passe ses mains par leur entrejambe, et glisse jusqu’à la ceinture des caleçons par-derrière et descend... descend. Les fesses se découvrent, les ceintures élastiques se tendent, les phallus se bloquent dans le tissu et se retrouvent, non plus à la verticale, mais à l’horizontale. Les hommes grimacent, car cet exercice devient douloureux : la position horizontalement forcée d’un phallus est parfois douloureuse. Les sexes résistent et se tendent encore plus, jusqu’au moment où le gland violacé s’extrait d’un coup sec et claque contre leur abdomen. Sonia découvre avec stupeur deux magnifiques membres veinés et deux paires de couilles pendantes et velues, elle les caresse et les palpe ; ses yeux gourmands se régalent de cet instant.
Du bout des doigts elle exerce une pression sur leur torse pour qu’ils s’asseyent sur le canapé. À son tour, elle pose ses fesses sur le bord de la table basse, prend leurs verres et leur tend, puis elle s’empare du sien, le lève et avec un clin d’œil provocateur ; trinque. Elle boit une lampée du vin pétillant. Les bulles sautent sur sa langue et rebondissent sur son palet, ce vin un peu sucré est bon ; à chaque gorgée, une douce chaleur envahit son corps. Elle pose son verre, se lève, et se campe jambes écartées et poings sur les hanches juste devant eux en leur disant :
— C’est à vous les gars, faites-vous plaisir.
Les deux hommes s’empressent de poser leur verre enfin de toucher cette poupée, si coquine et imprévisible. Habituellement la fille aurait été directement prise d’assaut, presque violée, mais là, ils se sentent obligés d’aller doucement. Sans doute envoûtés par ce qu’elle dégage de magnétisme et d’étrange ; comme si elle était habitée par un être étrange. Du bout des doigts il lui touche le ventre, les seins. Certains glissent et passent par l’échancrure de la jupe, tandis que d’autres caressent ses seins, ses bras, et ses cuisses avec une douceur si sensuelle. Puis ils continuent à descendre, palpent ses fesses, et arrivent rapidement vers la fermeture éclair de la jupe en simili cuir noir brillant, un « Zip » et la jupe s’ouvre. À quatre mains, le vêtement descend, mais trop vite au goût de Sonia ; mais elle ne dit rien. Elle se laisse faire, les yeux clos elle savoure sa mise à nue ; la ceinture de son string apparaît, ses fesses se dévoilent. La jupe termine sa course au sol et quatre mains entourent son bassin, deux lui palpent les fesses et les deux autres glissent le long de la ceinture du string et le descendent au sol. Voilà déjà plus de deux heures qu’ils attendent de pouvoir toucher cet endroit. Lui caresser la chatte, lui sucer le clito et enfoncer leur bitte dans son vagin ; ils sont au bord de la rupture. Cet effeuillage fait monter le désir en elle, sa vulve suinte de bonheur, elle se masse les seins :
« Il faut qu’ils continuent, qu’ils la mettent toute nue, qu’ils la portent sur le lit pour l’aimer » pense-t-elle.
Perdue dans ces pensées et envahie par le désir, elle ne sent pas son string disparaître, ni ces doigts qui lui caressent la vulve qui devient de plus en plus humide ; ni encore son clito vibrer de bonheur. À quatre mains, ils la renversent, la portent, et l’allongent sur le lit, puis ils la caressent, lui sucent les deux seins en même temps, jouent avec son clito, lui enfoncent un puis deux doigts dans la chatte et deux dans le cul aussi. Tout son corps tremble, son esprit vacille, l’envie de se faire prendre l’envahit trop vite, alors à demi-inconscience elle implore :
— Prenez-moi !... Prenez-moi !... Prenez-moi tous les deux, maintenant !
Trop contents de cette supplication, les deux hommes entrent en action. Jeff s’allonge sur le dos, Sonia sur son ventre et s’enfonce sur le sexe tendu ; elle glousse et gémit déjà. Quand Jean lui enfile sa queue dans son trou du cul, elle crie en Gloubi-boulga tout un tas de mots incompréhensibles. Ses entrailles crient des « Encore, et encore ! » et très vite, l’orgasme déboule comme un boulet de canon. Il la frappe au plus profond de son intimité, sa puissance la secoue comme une poupée de chiffon, l’orgasme est court, violent. Elle grogne à chaque coup de boutoir de Jean et elle feule au moment de l’orgasme qui la laisse inerte sur Jeff. Foudroyée par cet éclair de bonheur ; elle est comblée. Les hommes, les couilles pleines et pas encore satisfaits, la laissent sur le lit, le nez dans les oreillers, et les yeux fermés elle savoure cet instant si délicieux...
En attendant, les deux compères, toujours la bitte à la verticale, s’installent confortablement sur le canapé en attendant qu’elle reprenne ses esprits, ils admirent ses jolies fesses et trinquent au début de cette soirée prometteuse.
Et la soirée ne fait pas que commencer...

[À suivre]
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