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Police polissonne

Chapitre 10

La partouze du succès. (suite)

Avec plusieurs hommes
Le temps que Sonia se remette de ses émotions, les deux hommes ont le temps d’avaler un Pastis, et de préparer les toasts avec toute une série de petites bouchées feuilletées à cuire. Sonia se remet de cette entrée en matière turbulente, elle s’étire en griffant les draps comme une chatte après une sieste, puis se lève. Elle rejoint les deux hommes qui disposent sur un plateau tout ce qui va leur permettre de patienter en attendant que les feuilletés soient cuits. Elle s’approche d’eux et colle la pointe de ses seins contre la peau du dos à Jeff et s’y frotte. Un doux frisson lui parcourt le corps et lui hérisse la peau. Elle cale sa tête dans le creux de l’épaule de l’homme et respire cette odeur si masculine dont elle raffole.

— Humm... Que c’est bon de toucher un mâle...
Elle se sent bien ainsi. Alors elle passe ses mains par-devant, attrape la bitte devenue molle, la masturbe juste un peu pour lui redonner de la vigueur et la tire à la verticale. Satisfaite du résultat, elle fait pression de toute sa force contre l’homme qui se retrouve avec la queue prise en étau entre son ventre et le plan de travail.
— Alors Jeff, tu aimes qu’on te maltraite ta bite...— Oh oui, appuie encore.
Sonia ondule derrière lui, le pousse d’un côté puis de l’autre ce qui fait rouler le zguègue et en sortir le gland violacé par l’écrasement. Elle jubile en lui caressant le côté des fesses, puis le torse, le ventre sans oublier de lui maltraiter le gland au passage.
— Comme ça...— Humm... ouiii...
Puis elle remonte sur son abdomen, caresse ses pectoraux et attrape ses tétines et les pince. Jeff sent sa bitte durcir sous l’effet de l’écrasement et gémit.
— Ah, oui... vas-y plus fort... serre encore... Humm... j’aime quand tu me fais ça !
Avec un sourire sadique, elle surveille du coin de l’œil Jean qui ne peut s’empêcher de se toucher la bitte et de se masturber doucement. Elle se tourne légèrement en lui exposant ses fesses et lui fait un « Vient » de la tête pour l’inviter à venir derrière elle.
Un large sourire aux lèvres et un frétillement du bassin, l’homme s’approche et se colle derrière elle en lui plaçant sa bitte à la verticale entre les fesses. Sa moule dégouline de cyprine, la mouille commence à couler le long de ses cuisses ; elle est terriblement excitée.
— Vas-y Jean, baise-moi !
Pour Jean c’est la même chose, son excitation est sans commune mesure, il cherche déjà à pénétrer Sonia. Alors elle se tourne en entraînant Jeff dans un demi-tour prometteur, se courbe en deux, saisis la queue de Jeff et offre son cul à Jean qui ne peut refuser cette invitation. Il lui enfonce deux doigts dans la chatte ; elle frémit.
— Vas-y Jean enfonce-moi ta bitte dans la moule !Il ajoute un autre doigt, elle gémit
— Jeff, donne-moi ta queue à bouffer... dit-elle en empoignant la bitte tendue.
Elle l’embouche avec gourmandise et la suce avec de bruyants : « Slurp, slurp ! »
Jean lui enfile alors sa queue dans le vagin si gentiment offert ; elle engloutit la bitte de Jeff. Au premier va-et-vient de Jean le braquemart de Jeff baise le fond de la gorge de Sonia qui glousse, crie sans qu’un seul son ne puisse sortir de sa gorge encombrée. La bitte lui remplit la gorge et seuls quelques : « Gloups, gloups ! » sont audibles. Jean la tient par les hanches et lui assume de grands coups de bélier qui viennent taper le fond de sa grotte trempée de plaisir ; Sonia gémit de plaisir. La mouille abondante de Sonia est une aubaine, car en lubrifiant son vagin, elle ralentit considérablement l’arrivée de l’orgasme et peut savourer davantage les coups de piston puissants de Jean.
Elle se cramponne aux couilles de Jeff et à chaque coup de Jean le vit de Jeff s’enfonce de plus en plus loin dans sa gorge. Elle malaxe les couilles du sucé et celles du baiseur tapent contre ses cuisses.
Jeff grogne des : « Grrr, Grrr ! » et Jean des : « Han ..., han,... ! » d’efforts.
Son vagin bouillonne, elle mouille encore et encore. La bitte de Jean coulisse sans effort, alors il accélère car pour lui le moment arrive. Ces couilles s’engorgent de sperme, mais il se retient car il veut que son plaisir soit total et que la belle en prenne plein le cul. Jeff aussi est au bord de l’orgasme. Les deux hommes se regardent et dans leurs yeux apparaît comme un défi : qui tiendra le plus longtemps avant d’éjaculer ? Mais le concours s’arrête rapidement, les deux hommes viennent de décharger !
Sonia jubile, la moule et la bouche remplies de sperme ; elle se prend un pied d’enfer. Elle n’en attendait pas moins, elle gémit encore et cette fois elle rugit quand elle est terrassée par un orgasme semblable à un ouragan. Ce n’est pas les petits papillons de la séance avec Marc ; c’est de la baise, de la vraie, puissante, sauvage, celle qui la fait crier des :
« Ah ouiiii... Encore... Putain que c’est bon... Vas-y défonce-moi... Démonte-moi... Balance-moi ta purée !... »
Le con inondé et la gorge remplie de sperme elle suffoque, s’étouffe, et laisse s’écouler le liquide visqueux par le coin de sa bouche. C’est une gourmande, elle en veut plus et se dégage pour attraper et sucer à genoux, les deux bittes ensemble. Elle les lèche, se délecte du jus qui en sort encore un peu comme de son con qui dégouline du jus de Jean ; sa chatte est tout endolorie mais elle est ravie. Elle se relève et dit :
— Humm... Que c’est bon ! Allez les mecs... on le boit cet apéro ?
Une légère odeur de brûlé se fait sentir, Jeff fonce en cuisine et Sonia dans la salle de bains pour éliminer le liquide visqueux d’entre ses cuisses. Elle ressent encore les effets de cet orgasme magistral et le pire, c’est qu’elle a encore envie :
« Tu es terrible ma pauvre fille, tu es vraiment insatiable ! » pense-t-elle.
De leur côté les deux hommes sont ravis, Jeff est déjà revenu avec le plat de petits fours et a enfourné les pizzas ; baiser ça creuse !
Après avoir pris une rapide et salutaire douche, elle revient et vérifie que les deux hommes soient toujours en état de faire des prouesses, mais hélas c’est la déception. Les deux hommes ont la bitte en berne ; alors elle rouspète, histoire de les mettre en boîte :
— Hé les gars ! Mais... qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire avec deux bandes foulard ?— T’inquiète... On casse la croûte, on boit un coup et on s’occupe de tes fesses !— Où pas... du moins pas tout de suite ; bon, on mange ou quoi ? J’ai faim !— Désolé pour la cuisson, dit Jeff en désignant les bouchées un peu roussies. Sers-toi, j’ai mis deux pizzas au four. Installe-toi où tu veux.— OK, et ça ne vous dérange pas, si je reste toute nue ?— Pas du tout, tu peux même garder tes bas résille ; c’est très sexe !— Merde, j’ai oublié de le tirer pour prendre la douche. Ha... Ils sont un peu mouillés, mais bon ; vous, vous restez à poil ?— Si tu veux !
Elle s’installe sur le pouf face à eux d’une façon provocante avec les jambes écartées et la moule encore béante bien en vue. Elle s’amuse du regard exorbité des deux hommes qui semblent découvrir sa vulve pour la première fois, et pour les troubler encore un peu plus ; elle joue avec son clito, et se masse la vulve.
— Bon appétit les mecs !— Merci, toi aussi, répondent-ils en chœur.
Tout en dégustant sa part de pizza, made in un italien, elle de caresse le clito. C’est un petit plaisir qu’elle se faisait alors qu’elle était une jeune ado quand elle s’adonnait aux plaisirs solitaires, et depuis déjà pas mal de temps ; elle a pris l’habitude de se titiller souvent le clito. Son moment favori, c’est le matin au réveil ou au petit-déjeuner quand elle est nue. Mais en ce moment elle veut que les deux mecs assument encore, et au moment où un mini-orgasme vient lui chatouiller le vagin ; comme car la soirée n’est pas terminée, elle a une idée et s’adresse aux deux compères :
— Dites-moi les gars, j’ai envie de ...— De quoi tu as envie ? Demande, et nous ferons tout ce que tu veux ; pas vrai Jean.— Clair ! Vas-y Sonia, que veux-tu qu’on te fasse ?— À moi, rien ! Jeff, tu as bien dit tout ?— Euh... oui ? répond Jeff avec hésitation.— Eh bien je voudrais vous regarder vous branler pendant que je me tripote la minette.— S’il n’y a que ça, c’est OK pour moi, dit Jean.— Bah... non, je voudrais aussi vous voir vous sucer et puis, t’en qu’à faire, vous enculer...— Tu es folle ! On n’va pas se...— Pourquoi ? Vous m’avez bien foutu votre bitte dans le cul, alors que ce soit mon trou ou le vôtre, je ne vois pas où est le problème ? Un trou du cul c’est un trou du cul, non ?— Oui, mais bon pour nous c’est plus compliqué...— Pas du tout. Il suffit de mettre votre machin dans le cul de l’autre, et puis c’est tout. Ensuite, c’n’est pas parce que vous vous enculez que vous devenez des pédés. On dira que vous êtes bi, c’est tout ; je le suis bien, moi ! Hé les mecs ... à voir vos bites, l’idée n’a pas l’air de vous déplaire. Bon, si vous le faites, promis, je vous taille une pipe après, et je sais que vous faire sucer après une belle enculade, c’est le fantasme de tous les mecs ; alors ?— Bon OK, mais ça reste entre nous.— D’accord, dit-elle en levant son verre qu’elle accompagne d’un joli clin d’œil.
Elle continue sa pizza tout en se caressant le clito et les seins ; les deux hommes bandent comme des Turcs. Jean attrape la queue de Jeff, et Jeff celle de Jean, puis ils se caressent le zguègue mutuellement. Sonia jubile devant ce spectacle, elle n’en perd pas une miette et tout en se caressant le clito ; elle les observe. Les deux hommes installés un peu de biais sur le canapé et à une distance suffisante pour atteindre l’autre sans gêne se regardent dans les yeux tout en se branlant. Pour Sonia c’est une première, il n’a jamais assisté à une séance de baise entre mecs, elle est bluffée de les voir se toucher, se caresser, et de se tripoter les couilles ; eux les mecs virils !
D’un côté, ils sont motivés par le spectacle de Sonia avec les doigts dans sa chatte et de l’autre, par l’envie de tenter secrètement cette expérience ? Se faire démasquer n’aurait rien de bon, c’est certain. C’est Jean qui prend l’initiative d’emboucher la bitte de Jeff et de la sucer presque aussi bien que le ferait Sonia. Jeff a déjà lâché la queue de Jean et bascule sa tête en arrière sur le dossier de canapé. Il ferme les yeux et se laisse aller au plaisir de cette fellation masculine. Sonia très excitée par ce spectacle se lève et glisse sa tête entre le ventre et les cuisses du suceur et lui embouche la bitte tout en se fourrant les doigts dans le vagin. Elle mouille comme une fontaine, et est même obligée d’arrêter sous peine d’orgasme immédiat.
Puis les rôles s’inversent et c’est au tour de Jean d’être sucé, lui aussi apprécie de se faire prendre la bitte en bouche et malaxer les couilles par son collègue de boulot. Les deux hommes s’amusent beaucoup et au bout de quelques minutes Jeff dit à Jean :
— Jean ! Amène ton cul, je vais te niquer !
Jean présente son cul et Jeff l’encule direct. Sonia s’imagine ce que doit ressentir Jean, ce braquemart qui lui lime le trou doit lui procurer un grand plaisir ; la preuve. Jean prend son sexe en main et commence à se masturber ; Jeff qui a empoigné les hanches de son collègue ferme les yeux et souffle comme un bœuf. Sonia excitée par la vue de Jeff dont les fesses se crispent à chaque coup de piston plonge sous Jean courbé en deux et avale son sexe. Elle suce l’esquimau, bouffe les couilles de Jean qui gémit presque comme une fille en plein orgasme. Avant d’arriver à l’éjaculation, Jean se dégage et demande à Jeff d’inverser les rôles. Sonia change de bitte et Jean enfile Jeff :
— Alors les gars, c’est bon de se faire enculer ; n’est-ce pas ?— Putain, t’as raison ; c’est trop top pas vrai Jeff ! dit Jean.
Mais Jeff ne peut pas répondre car Sonia s’est arrangée pour se placer de façon à ce que Jeff puisse lui bouffer la chatte. Un pied sur le canapé elle place sa moule face au visage de Jeff qui ne peut que lui lécher son jus. Mais elle aussi est au bord de l’orgasme et pour patienter, elle s’oblige à penser à autre chose comme croquer dans les bourses de Jeff et lui sucer le dard. À cet instant tout va très vite et quand Jean éjacule à grands coups de reins dans le cul du flic, et quand Sonia se prend une bonne rasade de sperme au fond de la gorge ; Sonia est toute ravie et les deux hommes surpris de leurs exploits.
— Alors les gars, ça fait quoi de se faire enculer ? Moi j’adore et vous ?— Bah... en fait c’est pas mal du tout, dit Jeff.— T’as raison, moi j’adore ça ! s’exclame Jean.— Donc vous êtes bis, c’est cool ça ; et si on le refait, il faudra acheter un gode ceinture et c’est moi qui vous baiserais, affirme-t-elle.
Les deux hommes se regardent sans rien dire et c’est Sonia qui propose de faire une pause bouffe, car ils baisent plus qu’ils ne mangent :
— Bon et si on mangeait pour de bon, j’ai faim moi !— C’est vrai, on baise comme des fous, mais on ne mange rien je vais chercher les autres pizzas, dit Jean.
Il est vrai qu’il faut alimenter ces deux colosses de près de 90 kilos et aussi rincer le gosier de Sonia qui avale les restes du sperme de Jeff. Le temps de boire un coup et les dernières pizzas sont prêtes, le rosé remplace le Pastis et le champagne pour Sonia qui décide de se lâcher un peu plus, car si la soirée se passe merveilleusement bien ; elle en veut encore plus.
L’ambiance est devenue très conviviale et joyeuse. Sonia charrie gentiment les garçons qui finissent par reconnaître avoir découvert un nouveau plaisir avec cette bisexualité naissante. Eux la complimentent sur son imagination et le plaisir qu’elle leur donne ; tombeurs et avide de sexe, ils admettent aisément n’avoir jamais connu pareille orgie. Un slow « Only You » des Platters passe à la télévision et les trois amis se lèvent et se lancent dans une danse sensuelle. Sonia, prise en sandwich entre les deux hommes les embrasse à bouche que veux-tu, les salives se mélangent, les mains palpent les corps, caressent les seins et branles les bittes. Une nouvelle envie monte du vagin de Sonia et est cette fois encore plus forte, mais comme elle a déjà eu des orgasmes ; elle sait qu’il va lui en falloir beaucoup avant d’arriver au plaisir. Elle s’adresse aux garçons en leur chuchotant :
— Eh les gars, je voudrais que ..., — Que ? ...— Démontez-moi, faites-moi crier, faites-moi mal ; soyez sauvage, je veux jouir comme jamais ! leur crie-t-elle.
Les deux hommes surpris mais ravis d’entendre cette demande, la prennent, un par les pieds et un par les poignets ; et la jettent sur le lit. Elle roule et rebondit avec un « Ah, les fous ! » de stupeur. Elle n’a pas le temps de se retourner qu’ils sont déjà sur elle. Ils l’attrapent, la portent tête en bas pour lui faire un cunni à deux, leur langue pénètre son cul et son vagin en même temps. Puis ils la jettent à nouveau sur le lit, à quatre pattes elle est baisée, enculée, fistée. Elle suce et est sucée. Quand l’un l’encule, l’autre se fait tailler une pipe. Quand l’un lui baise le vagin l’autre lui pince ses tétons. Elle crie des :
— Ah Ouiii... ! Ah Ouiii... ! Ah Ouiii... !
Et eux des :
— Alors tu aimes ça, petite salope !— Ah Ouiii... ! Encoreee ... ! Plus fort... !
Ils lui claquent les fesses, elle se débat ; elle grogne, plante ses griffes dans ce qu’elle trouve, bras, cuisse, pectoraux et les couilles à Jean. Il hurle, la retourne ; elle est en transe, ils sont en nage. Les garçons se la passent et à tour de rôle ils lui mettent leur bitte dans le cul ou dans la chatte ; ils lui font une tournante. Elle en est à son troisième orgasme, le plus puissant, celui qui lui fait tourner la tête, elle capitule et s’allonge sur le dos. Elle veut le sperme des deux ; ouvre la bouche en grand pour un bukkake gluant et dégoulinant. Les deux hommes comprennent. Ils s’agenouillent de chaque côté d’elle juste au-dessus de sa tête et se branlent avec frénésie. Elle leur attrape les couilles et eux lui saisissent les seins. Plus elle presse leurs valseuses et plus ils lui maltraitent ses demi-pamplemousses ; et plus elle prend du plaisir. Elle se cambre sous la douleur, gesticule dans tous les sens, râle et crie de bonheur. Cette fois elle n’en peut plus d’avoir mal aux tétons. Elle lâche les burnes des deux mecs pour attraper leurs phallus gonflés de sang et le branle avec une force hors du commun et, la bouche grande ouverte, attend l’arrivée du précieux liquide gluant et mal odorant. À peine le temps de leur dire : « Magnez-vous ! » qu’un flot de sperme déferle dans la bouche ; elle prend tout et le garde. Jeff se lève et attrape les flûtes en tend une à Sonia. Elle le regarde, et à l’allure d’une actrice porno crache le précieux liquide dans son verre.
— Santé les gars !
Ils trinquent. Elle fait tourner le liquide qui peine à se mélanger, et à la façon des stars aux nichons gonflés au silicone ; se délecte du mélange champagne/sperme. La flûte à peine vide, elle s’effondre en lâchant le verre sur elle qui se vide sur son pubis. Le liquide s’écoule doucement vers sa vulve, pour les hommes c’est : moule au champagne ! Un mets qu’ils s’empressent de déguster avec ferveur.
Elle est épuisée, complètement vidée par ces orgasmes à répétition. Elle ferme les yeux et se laisse aller, elle a mal partout, au cul, au sexe et aux seins ; mais elle nage dans le bonheur.
— Hello Sonia ! Un dessert, et champagne ?
Elle sort de sa torpeur, se lève et va trinquer avec les garçons, ravis de cette magnifique soirée.
Une heure du matin ! Demain elle a du boulot...

[À suivre]
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