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Police polissonne

Chapitre 11

L’assassinat de Noémie Durant.

Avec plusieurs hommes
 Le soleil darde déjà ses rayons au travers de la baie vitrée et caresse les fesses nues Sonia. La cafetière siffle, et répand une bonne odeur de café dans le studio ; Sonia sort doucement de sa torpeur. Bien que son sommeil soit habituellement profond et réparateur, celui-ci fut plutôt agité. Sans cesse troublé par les belles images de leurs ébats festifs, elle se réveilla par à cause de quelques pulsions incontrôlables et la vulve inondée. Elle s’est même surprise avec la main bloquée entre ses cuisses et les doigts dans le vagin. 
   Elle s’étire comme une chatte comblée par un sommeil réparateur et constate avec surprise que les deux hommes ne sont plus avec elle. Sur l’instant, elle se demande si elle n’a pas rêvé, et que cette folle partie de sexe si jouissive ne soit que le fruit de son imagination. Mais une légère douleur à son anus, à ses seins et à sa chatte, lui rappelle la réalité ; ce n’était donc pas un rêve mais bien un plan cul à trois.    Un peu déçue de ne pas voir les deux garçons, elle se lève. Elle s’étire en grognant et en faisant remonter ses bras très hauts vers le ciel, puis redescend ses mains sur seins, le long de son corps, creuse ses reins, passe sur ses fesses, sur sa chatte toute humide. En remontant, elle se palpe les seins, se pince les tétons ; comme pour vérifier que tout soit bien là.    Sur la table, elle aperçoit un sachet en papier marron légèrement graisseux, sur lequel sont dessinés un croissant et une chocolatine ; juste à côté, un morceau de papier blanc plié en deux. Elle le prend, le déplie et lit le message griffonné à la hâte :   « Bonjour Sonia !   Merci pour cette magnifique soirée, désolé de ne pas être là pour petit-déjeuner avec toi, mais le devoir nous appelle. Bon petit-déj et bon courage pour la suite… Bisous   Jean et Jeff   PS : On remet ça quand tu veux, c’était TROP TOP ! »    Elle est ravie de ce petit mot, ouvre le sac et découvre un croisant et une chocolatine encore tiède et odorant. Entièrement nue, elle va se servir un café dans le coin cuisine, puis allume la télé, histoire d’avoir un peu de musique pour rompre sa solitude ; dépose sa tasse de café en faïence blanche et elle s’installe à table. Elle s’empare du croissant et croque dedans à pleines dents ; un léger « Mmm » de satisfaction s’échappe de sa gorge. Le croustillant, le goût du beurre et du sucre sont un ravissement pour ses papilles. De petits morceaux de feuilletage craquant et bien dorés tombent dans sa tasse ; elle les repêche à l’aide de sa cuillère à café et les mange. Mais un léger picotement dans son bas-ventre lui rappelle que c’est l’heure du câlin matinal. Faute de mâle et tout en dégustant ses viennoiseries ; elle se masse négligemment le clito. Sa vulve s’humidifie doucement et ses doigts s’imprègnent de son jus qu’elle suce entre deux bouchées. Elle adore le goût si suave de sa cyprine et trouve que cela accompagne parfaitement bien sa chocolatine. Chez elle, c’est un petit rituel qui lui est venu au fil des ans. Il avait commencé alors qu’elle était très jeune, c’était lors de sa découverte des plaisirs solitaires. Elle tentait souvent de nouvelles expériences comme ce qu’elle est en train de vivre en ce moment : se caresser tout en faisant ou en pensant à autre chose, pour distraire son esprit. Le but est simple : mesurer le temps qu’elle mettrait avant d’arriver à un orgasme, aussi petit soit-il ; et de repousser de plus en plus le moment de la jouissance.   Tout en dégustant sa chocolatine et en se caressant, elle réfléchit à cette journée qui vient de démarrer. Le programme est simple : Noémie Durant doit mourir en public… Elle en sera l’actrice et l’inspecteur Morard l’assassin ; c’est pour elle le premier pas vers une nouvelle vie. Elle imagine la scène, …, et ne se rend pas compte que sa vulve s’humidifie de plus en plus ; surtout quand elle pense au moment où l’inspecteur va lui tirer dessus. Au moment où, frappé par une balle imaginaire, elle se voit tomber ; un mini-orgasme lui pique le vagin. Sa tasse de café à la main, elle s’enfile deux doigts dans la chatte, se masturbe avec des mouvements de va-et-vient, se branle le clito, se caresse le pubis, remonte sa main vers ses seins, ses pinces les tétines, redescend vite vers sa chatte et se fourre trois doigts dans le con. Un nouvel orgasme, plus puissant la secoue et lui fait renverser une partie de son café sur la table.    Elle s’interroge sur ce qu’elle vient de vivre : « Serais-je capable de jouir à cause d’une scène de violence ? »  Cette question reste pour le moment sans réponse.    L’heure tourne et l’inspecteur va arriver d’un instant à l’autre. Elle avale son café et après avoir nettoyé la table, elle part dans la salle d’eau pour se préparer. Elle est encore sous la douche quand la voix de l’inspecteur se fait entendre :
   — Hello Sonia, c’est moi ; Marc ! — Je suis sous la douche, viens ! crie-t-elle.   « Merde, j’aurais dû attendre cinq minutes ! » se dit-elle.   Marc n’a pas besoin de se faire pas prier pour entrer dans la pièce. En ouvrant la porte il découvre la jeune femme souriante et barbouillée de mousse. Il est ravi de la voir radieuse, et contemple son corps nu parsemé de nuages de mousse posés çà et là. Au milieu d’une traînée de mousse, une partie de son sein droit pointe le bout de son téton, ce qui donne un petit côté érotique à ce tableau.   — Bonjour Sonia, alors cette soirée ? — Salut Marc, tu viens me rejoindre ? — Non, on n’a pas le temps ! — Dommage, car j’aurais aimé un petit câlin. — Comment ça ?...Tu n’en as pas eu assez hier soir et cette nuit ? Parce que d’après ce que je sais … — Si, mais j’aime bien ça au réveil…Et tu sais quoi ? — Rien, ils m’ont simplement dit qu’ils étaient prêts à remettre ça quand tu veux. — Bon, et rien d’autre ? — Pourquoi, il y a un truc croustillant à savoir, allez raconte. — Non, c’est top-secret  — OK, je n’insiste pas…conclut-il avec un large sourire.     Elle se rince et sort de la cabine de douche.     — S’il te plaît, tu me sèches ? — Si tu veux, dit-il en prenant la serviette de toilette. — Je peux avoir un baiser, aussi ? dit-elle en lui sautant au cou.   Accrochée à son cou et les jambes autour de la taille de Marc, elle réussit à entrer sa langue dans la bouche de Marc pendant qu’il lui caresse le dos, et les fesses. Elle a de nouveau envie de faire l’amour, mais le temps presse et Marc la repousse gentiment et lui disant :   — Allez, habille-toi ou nous serons en retard pour l’entraînement. — Dommage, j’avais envie de… Bon tant pis, je vais attendre ; et je mets quoi ? — Dans l’armoire il y a des shorts de sport, tee-shirts et survêts ; tu mets ça avec tes baskets. Allez, fonce !   En deux temps trois mouvements elle est prête, ils descendent au rez-de-chaussée, croisent Jeff et Jean qui la saluent :   — Ça va ma belle ? Alors, bien dormi ? — Salut les gars, et vous pas trop mal au … — Allez bouge, on n’a pas le temps de se raconter vos exploits de cette nuit ! rouspète Marc. — Eh merci pour les viennoiseries ! leur crie-t-elle en suivant Marc.   Il l’emmène à la voiture et la conduit jusqu’au gymnase ou s’entraînent quelques policiers et policières. Il la présente à un homme grand, brun à la carrure impressionnante et lui dit.   — Salut Fred, je te présente Sonia, tu l’entraînes comme prévu ; vous avez une heure trente pour être au point. Ensuite tu la transportes à l’IJ (identité judiciaire) pour qu’elle s’habille et ensuite tu l’emmènes au port de commerce. — Reçu Marc, allez ; tu viens Sonia … — Putain ça à l’air  … — Bien calé, oui, on n’a pas le droit à l’erreur ; et bien venue dans la police ma belle, réplique Fred en affichant un large sourire. — Bon, je vous laisse, à tout à l’heure Sonia. — Mouais …Tu sais Marc, j’n’suis pas trop rassuré tu sais. — Ne t’inquiète pas ça va bien se passer.    Marc tourne les talons et s’en va. Fred donne ses instructions à Sonia :   — Bien, tu sais comment cela va se passer ? — Oui oui, je suis au courant de tout ; mais n’empêche que j’ai un peu la trouille. Tu imagines qu’il se loupe ? — Qui, Marc ? Tu plaisantes. Il est champion national de tir. Alors tu peux lui faire confiance, bon, déshabille-toi. — Tout ? — Non, juste le survêt ; mais si tu veux le faire à poil, moi je m’en fous, mais il y a un peu de monde ici ; donc tu prends des risques avec tes fesses ! — Ah, mais je n’suis pas contre…Bon,…je plaisantais, allez montre-moi ce que je dois savoir.   Pendant presque une heure Sonia enchaîne les roulés-boulés sur les tapis de protections, les chutes maîtrisées (ou pas), les réceptions au sol et pour finir une simulation de ce qu’il va se passer. L’impacte de la balle en caoutchouc dans son épaule droite est simulé par le poing de Fred ; la chute est réussie, la réception parfaite. Pour le dernier exercice, il lui donne une pièce de mousse qui représente la poche de sang, glissée sous son tee-shirt ; ainsi elle est dans une configuration similaire à la réalité. Le but est qu’elle prenne confiance et elle et donc de la rassurer. Elle se place sur le tapis et Fred à 5 mètres de distance, il vise et tire avec la même arme et le même type de munitions qu’utilisera Marc. L’impact de la balle la fait basculer, elle se réceptionne à merveille et s’étend face contre terre, les bras en l’air et reste immobile.    — C’est parfait Sonia, tu joues parfaitement ton rôle ; tu n’as pas trop mal ? — Non ça va, ça tape un peu fort mais ça va aller. — OK, tu refais la même chose tout à l’heure et ’le Boss’ n’y verra que du feu, allez, rhabille-toi et on va à l’IJ pour que tu te changes.   Une fois arrivés à l’IJ, c’est Anne qui les accueille :   — Ah, Sonia ! Comment vas-tu ma chérie ? dit-elle en leur faisant la bise. — À part le trac tout va bien. — T’inquiète, tu vas assumer grave ; viens avec moi. Fred tu nous attends ici ? — Je vais prendre un café, appelle-moi dès qu’elle est prête.   Anne accompagne Sonia dans le cabinet où elle a passé sa visite médicale. À la vue de la table d’auscultation, les souvenirs des bons moments passés avec Anne et Pierre lui reviennent à l’esprit ; Anne lui lance un joli sourire complice et dit :   — Déshabille-toi, tu enlèves tout sauf  la culotte. — Mais je n’en ai pas, il paraît que je dois être à poil dessous la robe pour qu’on voie mes fesses quand je vais me casser la gueule. — Ah oui c’est vrai, j’avais oublié ; tu sais que toute la France va te voir à poil ou presque ? — Oui, je sais et puis ça me plaît, dit Sonia en se mettant nue. — Tu es toujours aussi belle…Humm…Si on avait un peu de temps je… — Dommage qu’on n’a pas le temps, car j’aurais bien aimé un câlin moi aussi ? — Oui, mais on n’a pas le temps ; mais sois tranquille on remettra ça bientôt. — Cool, au fait ; tu es lesbienne alors ?  — Non bi et puis je suis mariée. — Ah, et avec qui, si ce n’est pas indiscret ? — Avec Pierre tout simplement, nous sommes très libertins et j’espère que tu n’as pas cru un seul instant à cette méthode d’interrogatoire ? — Bah, si … — Tu as eu tort, car nous t’avons trouvée tellement craquante qu’on a voulu s’amuser un peu. Par contre nous avons été surpris que, grâce à ce subterfuge, tu parles de choses que tu ne voulais dire à personne. Du coup je suis en train d’étudier ça plus en profondeur, avec Pierre. — Ah bon ! Eh bien c’était super-cool en tout cas ; j’ai vachement aimé. Je veux bien moi aussi participer à approfondir le sujet ; si tu vois ce que je veux dire. — Avec plaisir ! Allez ; enfile ça.   Sonia passe la minirobe sans manches, à fleurs printanières sur fond blanc ; les poches de sang ont été cousues à l’intérieur. Anne vérifie que rien ne puisse trahir leur présence et complimente Sonia :   — Parfait, tu es super-jolie là-dedans ; dommage que le toubib la mette en pièces dans pas longtemps. Bien, et évite de te cogner pour ne pas crever les poches, recommande Anne. — OK, bon on y va ? J’ai hâte d’en terminer avec cette histoire.   Anne appelle Fred pour qu’il les rejoigne dans le hall d’accueil. Il la conduit rapidement au port de commerce dans une voiture de police banalisée, puis, il s’arrête dans une petite rue discrète pour expliquer à Sonia ce qu’elle doit faire :    — Alors, écoute-moi ; tu vois le groupe là-bas avec le cameraman ? — Oui. — Eh bien, tu vas te diriger vers eux, et quand tu vas arriver au niveau du camion blanc, tu vas faire comme si tu cherchais un truc au loin ; comme nous avons répété tout à l’heure. Moi je vais te suivre. — Compris. Ça marche, et après la sirène et tout le bazar …OK, j’y vais. — Attends, j’appelle…   Il prend le micro de la radio et dit :   — Opération XA2TT, X est parée et sort. — Reçu, tout est clair, action ; terminé... — Eh bien, j’n’ai rien compris, c’est quoi XA2TT ? Bon, j’y vais… — Bon courage, aies confiance en toi ; tu es taillée pour ce métier. — Merci…   Sonia, boostée par ces paroles, sort de la voiture et se dirige ver les reporters. Elle se remémore la mise en scène de cet assassinat qui va mettre fin à la vie de Noémie Durant. Cette opération à pour but d’éviter que son ex-proxénète, trafiquant et assassin ‘le Boss‘ ne la recherche pas pour lui faire la peau, car en ce moment il doit savoir qu’elle n’est pas en prison, et va obligatoirement penser qu’elle l’a dénoncé. La date et l’heure de cette opération n’ont pas été choisies au hasard, car une chaîne de télévision avait fait, il y a quelque temps, une demande de reportage sur pollution et la sécurité du port de commerce de Marseille. Elle sera présente et filmera obligatoirement l’agression qui sera forcément diffusée sur les antennes.   Sonia marche tranquillement et pense à la tête que va faire ‘le Boss’ en la voyant se faire descendre mais surtout ce qu’il va se passer après…Elle arrive à hauteur du camion blanc. Le cameraman la voit, la filme un court instant, puis revient sur les cheminées d’un ferry qui crache une fumée épaisse et noire. Sonia cherche le fameux truc au loin dont elle ne connaît même pas la forme. Le cameraman revient sur elle sans doute à cause de la minirobe à fleurs.  Sonia se sent observée, elle se retourne et fixe la caméra qui enregistre le joli visage aux cheveux blonds coupés à la garçonne.    Au loin les sirènes de la police se font entendre. Son cœur s’accélère, elle se retourne vers le son, cherche à voir ce qu’il se passe, tout comme le cameraman. C’est une moto noire qui déboule à grande vitesse dans un bruit de tonnerre. Son pilote est habillé d’une combinaison noire et il est impossible de distinguer son visage caché derrière la visière miroir du casque intégral noir également marqué du sigle : ‘LS2’. Le pilote regarde Sonia puis derrière lui, freine brusquement, les pneus crissent, la moto chasse puis s’arrête à quelques mètres d’elle. Une voix d’homme, puissante crie :    — Noémie ! Noémie ? — Oui, c’est qui ? répond-elle.   Le pilote ne répond pas mais ouvre son blouson, en sort un revolver et tire. Elle prend une balle dans l’épaule droite, le sang jaillit ; le cameraman filme. Elle pivote sur elle-même, une seconde balle l’atteint dans le dos, puis une troisième et du sang gicle de son dos. Elle sent une légère douleur et la force des impacts la pousse, elle bascule en avant et tombe au sol. Le choc est violent, elle ressent une très forte douleur et puis plus rien ; le trou noir.   Le cameraman tourne fait des gros plans sur elle, et balaye la scène. Le motard enclenche une vitesse et démarre, le moteur hurle, la moto se cabre et part à une vitesse vertigineuse en roue arrière. Une voiture de police arrive toutes sirènes hurlantes. Alertée par les témoins, elle s’arrête et des policiers en descendent et se dirigent vers le corps de Sonia. Elle est allongée face contre terre du sang coule par les trous d’impacts. Ses bras placés aux déçus de sa tête ont remonté sa robe ; elle gît inerte, les fesses à l’air. Tout se passe comme prévu sauf un détail ; elle saigne de la tête. Le cameraman filme toujours, les policiers entourent la victime ; une ambulance du SAMU de retour d’intervention arrive. Un policier la stoppe…du personnel médical en sort et se précipite vers la victime…   Qu’est-il arrivé à Sonia, que c’est-il passé ?    Vous le saurez en lisant le prochain épisode de : « Police polissonne 12 »      [À suivre]
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