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Police polissonne

Chapitre 20

Une belle amitié naissante.

Hétéro
Une amitié naissante.
Sonia et Myriam échangent quelques impressions tout en rangeant les effets militaires reçus en fin d’après midi, soit deux tenues de sport complètes ; quand les haut-parleurs hurlent à nouveau :
« Communication générale: Ouverture du restaurant et du foyer ! Communication générale: Ouverture du restaurant et du foyer ! »
Olivier s’approche de Sonia et lui dit :
— Tu viens avec moi, j’ai envie d’aller faire un tour au foyer avant de manger ; je t’offre un verre au bar.— Si tu veux. Myriam, tu viens avec nous on va faire un tour au foyer ?— D’accord, j’arrive ! Vous venez les gars ? dit-elle en s’adressant aux trois autres hommes.— Non, on finit de ranger nos affaires ; après manger si tu veux.
Ils se rendent au foyer, Olivier propose aux deux filles de boire un verre ; elles acceptent et demandent une boisson peu importe (c’est nouveau !). Le temps qu’Olivier aille chercher la commande Myriam interroge Sonia :
— Dis, tu le connais ce mec ?— Oui depuis hier soir, nous sommes arrivés ensemble ; pourquoi ?— Bah... c’est qu’il n’est pas mal foutu, je lui demanderai bien ... de...— De baiser ? — Enfin..., oui ; je, ... C’est chiant j’suis un peu timide ...— Timide ? Eh bien ce soir tu n’as pas intérêt à être timide ; c’est moi qui te le dis.— Pourquoi... Ah oui, merde j’avais oublié ...— C’est ça... Tu as la mémoire courte pour une douanière, dis plutôt que tu as la trouille !— C’est un peu ça. Tu es certaine qu’on soit obligée de faire ça devant eux ?— Bien sûr, on va leur foutre le feu, ils vont se branler devant nous et après on sera les reines ; tu vas voir.
— Eh bien toi, je ne sais pas d’où tu sors, mais t’es vachement gonflée.— Attends qu’il revienne et tu vas le savoir.
Justement Olivier arrive avec les boissons ; une bière pour lui et deux bouteilles de jus d’orange en guise de boisson peu importe.
— Ces Dames sont servies, annonce-t-il ironiquement.— Tchin ! À cette formation et à notre amitié, annonce Sonia.— Tchin ! À cette formation et à notre amitié, répondent-ils en chœur.— Bon, j’ai un truc à vous dire ; mais qu’à vous. — Ah, c’est par rapport à tout à l’heure et à hier soir ? demande Olivier.— Oui, alors écoutez-moi bien et surtout ne le répétez pas ; promis ?— Promis, c’est grave ? s’inquiète Myriam.— Oui, assez ; écoutez-moi sans trop me poser de question, c’est tout ce que je vous demande.— OK, on t’écoute.— Alors voilà,... Bon,... C’est un peu compliqué. Olivier m’a reconnue hier soir, car il m’a vu à la télé, et toi aussi tu as dû me voir.— Non, je ne regarde pas beaucoup la télé tu sais ; alors ?— C’est à cause d’un reportage au sujet de l’assassinat d’une fille à Marseille la semaine dernière.— Non, je n’ai pas vu, et alors.— C’est très compliqué, mais je vais faire simple : la fille en question, c’était moi. C’était une mise en scène, car j’avais de gros problèmes. Je vais commencer par le début. Je n’ai pas eu de chance dans la vie, mon père qui est en prison a tué ma mère à coups de batte de baseball ; alors j’ai eu peur et je me suis barrée. Pour bouffer j’ai volé et fait du trafique de drogue, puis je suis tombé sur un conard qui a voulu me mettre sur le trottoir ; j’ai refusé. Il m’a dit que si je ne lui obéissais pas il me buterait, alors j’ai cédé. Mais au lieu de me mettre sur le trottoir, il m’obligeait à sortir avec lui ; je servais de récompense quand il perdait aux jeux.— Mais c’est horrible ce que tu nous racontes, tu ne pouvais pas aller voir les flics ?— Si, mais il m’aurait de toute façon buté. Mais en vrai, je n’étais pas si mal avec les autres mecs, ils me payaient des trucs et prenaient soin de moi.— Oui, en gros tu faisais la pute...— Oui et non parce que moi, j’adore le cul, alors... Bref, pour en revenir à mon histoire, un jour ça a mal tourné et il a descendu un mec devant moi pour une histoire de fric. Il m’a foutu le flingue dans les mains et c’est barré en courant. Je n’ai pas eu le temps de réaliser, que les flics me sont tombés dessus, j’avais l’arme à la main ; je pense qu’ils avaient été prévenus par quelqu’un. Devant l’évidence j’ai avoué, rien que pour être tranquille ; mais en tôle ça a mal tourné. J’ai été violée par des salopes qui m’ont fait les pires choses, alors j’ai voulu mourir. Mais avec l’aide d’une matonne, j’ai réussi à obtenir une entrevue avec le J. A. P et l’inspecteur Morard (mon patron maintenant) pour demander à être mise dans une autre prison, mais ils ont refusé : « C’était trop tard ! » m’ont-ils dit. — Mais comment tu as fait ?— J’y viens : j’étais complètement désespérée, et j’ai vu un coupe-papier sur le bureau du commissaire ; j’ai voulu planter le J. A. P, je me suis dit que ça ne servirait à rien alors j’ai voulu me le planter dans la gorge ; mais l’inspecteur a été plus rapide que moi et il m’a maîtrisé. Bon..., je vous passe les détails et c’est comme ça que je suis rentré dans la BS.— Mais l’histoire de Marseille, qu’est-ce que ça avoir là-dedans ? Demande Olivier.— Ah oui, j’y viens : c’était un scénario qu’avait imaginé l’inspecteur pour faire disparaître Noémie Durand, car j’avais réussi à me faire faire des faux papiers à ce nom. L’autre savait que je n’étais plus en prison et faire disparaître Noémie me mettait à l’abri. Pour preuve après l’assassinat ses sbires ont commencé à me chercher. J’ai alors été transféré ici en urgence. Je ne voulais plus porter le nom de mon assassin de père, alors j’ai demandé à porter celui de ma mère, c’est monté jusqu’au président de la république et il a accepté.
Elle sort de dessous de sa veste le médaillon, l’ouvre et leur présente. Myriam prend le bijou et l’observe avec émotion puis le tend à Olivier qui, sensible au récit de Sonia, laisse couler une larme le long de sa joue...
Pour Sonia, le fait d’avoir parlé d’elle sans détours est un véritable soulagement et un pas de plus vers l’avenir ; cela fait longtemps qu’elle n’a pas parlé comme cela à quelqu’un. Et puis elle est certaine que cette femme et cet homme vont devenir de vrais amis ; il y a parfois des choses qui se sentent.
— C’est elle. Et si je suis ici c’est pour devenir forte, n’avoir peur de rien, savoir tirer, et endurer la souffrance. Parce que l’enculé qui m’a foutu dans la merde et qui tue, viol et prostitue des filles ; je vais le choper et il aura de la chance que je ne le descende pas. Voilà, vous savez tout ou presque.
Après avoir bu son jus de fruit, elle récupère son médaillon et le replace dans son col, puis Myriam poursuit la conversation.
— Ben dit donc, tu as vachement dérouillé ; mais les flics n’y peuvent pas le trouver ? demande Olivier.— Tu parles c’est un véritable caméléon, il change de tronche aussi souvent que tu changes de caleçon.— Eh bien si tu as besoin d’aide je suis là ...— Nous sommes là, reprend Myriam.— C’est gentil, mais je ne veux pas vous foutre dans la merde, il est dangereux cet abruti. — Non, je pensais à ici, reprend Olivier. J’ai vu au bar qu’il y a un club de tir au pistolet. On pourrait s’y inscrire et je te, ou vous, montrerai ; si ça te dit Myriam.— Pourquoi tu sais tirer ? demande Sonia.— Oui, et je pourrais aussi vous aider à vous entraîner en sport ; je pratique beaucoup, surtout la course à pied et le tir. Je fais parti d’un club de tir sportif, pour moi c’est le pistolet à air comprimé à dix mètres et avec des pistolets 22 LR (Long Rifle) à vingt cinq mètres. Mais je peux aussi tirer avec des pistolets ou des revolvers en calibre 38 ou en 9 mm. J’ai ma licence de tir avec moi. Et l’armée je connais un peu, la discipline, les règles, ... J’ai fait mon service dans la marine et j’ai terminé au grade d’aspirant. — C’est quoi ton grade par rapport au sergent ?— Largement au-dessus, mais n’en parlez pas. Pour en revenir à la formation, je pourrais vous entraîner. Je ne prendrai pas de permissions le week-end, j’ai décidé de rester ici, je pense que j’y serai mieux.— En fait tu n’as pas envie de voir papa et maman ?— C’est un peu ça...— Ah bon ! s’exclame Myriam.— Oui, il a raison ; il y a tellement de belles choses à découvrir ici. N’est-ce pas Olivier ? lui dit Sonia avec un regard espiègle.
Olivier rougit et se dissimule derrière son verre de bière. Sonia chuchote à Myriam :
— Son papa est cureton, et il a peine le droit de se regarder pisser ; alors pour les filles, je ne te raconte pas.
Myriam pouffe de rire.
— Je peux savoir de quoi vous parlez ?— Je lui disais qu’il fallait qu’on te fasse découvrir la vie... Bon une dernière chose, et on va manger parce qu’après on a des trucs à faire, pas vrai Myriam ? Maintenant que vous savez ; j’aimerais qu’on en parle plus, mais ça m’a fait du bien. Allez, on va manger ?
Ils se dirigent vers le restaurant qui est toujours aussi bruyant, ils mangent rapidement et se rendent au foyer où les filles découvrent la boutique qui est tenue par une militaire, et est assez bien achalandée en produits en tout genre.
— Je vais me prendre du matériel de toilette, car je n’ai rien ; et toi ?— On regarde les parfums ?— Sonia, tu devrais regarder les montres ; il y en a de pas mal, dit Olivier.— Une autre fois.— Non regarde celle-là, elle n’est pas mal ; et étanche en plus.— Oui, j’aime bien, elle est très jolie... mais plus tard... Puis elle chuchote à Myriam : Ça me démange, on y va ...
Ils retournent à la chambrée, elle est complètement déserte. Sonia commence à enlever son survêtement en disant :
— Maintenant que j’ai de quoi me laver, je vais prendre une douche ; ça tente quelqu’un dit-elle en jetant un clin d’œil coquin à Myriam.— J’arrive, mais tu te déshabilles ici ? OK,... tu viens Olivier ?
Le brave garçon hésite un peu en se disant :
« Désolé Papa mais tes histoires de « Ce n’est pas bien » Je m’en tape, je ne peux pas résister. Adieu paradis éternel, j’irai en enfer ! »
Il finit par ôter tous ses vêtements et descend les escaliers qui mènent aux sanitaires. Quand il rentre dans la pièce, c’est le choc ! Il découvre Myriam plaquée contre le carrelage blanc des douches et Sonia lui dévorant les seins et la faisant gémir de bonheur. À la vue de la scène et des mamelles légèrement plus rondes que celles de Sonia, il commence à bander. La belle irrésistible brune aux yeux verts ondule contre le mur et embrasse celle au crâne complètement chauve avec fougue et gourmandise ; cette fois sa bite passe à la verticale instantanément. Myriam retourne Sonia contre le mur et lui suce les seins et les tétons, puis la coquine se laisse glisser au sol en abandonnant sa nouvelle amie ; les mains appuyées contre le mur et la bouche dans le vide. Assise au sol elle force les jambes à s’écarter et suce la jolie fente de la belle, soupirant et gémissant à cause de ce nouveau plaisir.
Olivier empoigne sa verge d’un geste vif en commence à s’astiquer le jonc. Son cœur tape dans sa poitrine et sa bite palpite d’envie ; il s’approche des deux femmes avec l’espoir complètement fou de pouvoir profiter de ces deux nymphes en furies. Sonia le voit, ouvre de grands yeux chargés de gourmandise, retourne Myriam et ordonne en forçant la brune à se plier en deux :
— Olivier ! Baise-la.
Il fait un pas.
— Baise-la, ... je te dis ; baise-la !— Oh... Ouiii... ! Viens me baiser, mets-moi ta grosse queue dans le con ! Fais-moi jouir...
Sonia le prend par la taille et le pousse en direction de la moule béante et baveuse de la nouvelle recrue. Il lui plante son dard dans le vagin et lui astique le con avec sa force de sportif jusqu’à ce qu’il inonde la croupe toute fraîche.
— Alors Olivier, c’est comment une baise avec des gouines ? — Terriblement excitant.— Et toi Myriam ?— On recommence quand ?— Après la douche, et être parfumées ; on se lave et on monte, dit Sonia.— Ou pendant la douche et avec Olivier, ça me tenterait bien. Je ne me sens pas prête pour le faire devant tout le monde ; mais je te promets qu’on le fera. J’ai déjà eu du mal à me mettre toute nue à l’improviste et devant tout le monde.— C’est d’accord, allez vient on va s’occuper d’Olivier, conclu Sonia en souriant vicieusement.
Il n’a pas eu le temps de débander qu’elles deviennent panthères, elles le plaquent au mur et lui sautent dessus. L’excitation que lui procure cette attaque aussi soudaine qu’imprévue est sans commune mesure ; il se surprend à en implorer les dieux :
« Ô, si elles pouvaient me violer ; promis, je me laisse faire »
C’est le chuchotage de Sonia qui, pendant que Myriam lui dévore la queue, le sort de son incantation.
— T’as intérêt d’assurer mec !
Les bras en l’air, bloqués contre le mur par les mains de Sonia ; il ne peut que se laisser embrasser. Pendant qu’elle frotte sa poitrine avec ses seins aux tétons durs comme des pics contre le torse de son prisonnier, la brunette lui malaxe les testicules, lui mord la verge, suce le gland, masturbe la hampe. Puis se relève et tel un alpiniste escaladant le pic du Midi, Myriam se hisse jusqu’à la bouche de Sonia aux prises avec la langue d’Olivier, et c’est un balai à trois langues qui débute ; le vœu d’Olivier commence à se réaliser, ... Les deux filles redescendent en faisant une halte sur les tétons tendus du garçon. Elles les mordillent sournoisement tout en lui caressant tout le corps et plus particulièrement les testicules et la hampe. Deux femmes en même temps ! Olivier est au comble du bonheur, il jubile du fait d’être le seul à profiter de cette initiation.
— À genoux, esclave ! Lèche-nous la chatte et avale tout.
Ces mots percutent l’esprit d’Olivier. Devenir l’esclave d’une femme, et au comble de bonheur ; de deux filles en même temps ! Un fantasme longuement rêvé devant des vidéos pornos et si joliment imaginé à la lecture d’histoires érotiques sur un site bien connu. Il s’y voyait, entièrement nu, les mains attachées dans le dos avec une simple ficelle dont l’extrémité lui caressait la raie des fesses, aveuglées par un bandeau de soie et le string de la maîtresse en guise de bâillon, ...
Il y est, du moins c’est ce qu’il espère. À genoux et la bitte à la verticale, il lèche la fente de Myriam, dégoulinante d’un mélange de mouille et de son propre sperme. Il suce avec application et gourmandise, il déguste ce mélange gluant au goût étrange ; Myriam ondule à nouveau sous les caresses de cette langue si attentionnée. Sonia en profite pour échanger un tumultueux baiser saphique qui la fait mouiller à son tour, et dont les doigts de leur esclave d’un moment s’en retrouvent enduits. Il se précipite sur la seconde moule baveuse et dégoulinante pour en avaler tout le jus, dont il trouve le goût différent, moins âpre et plus délicat sans doute à cause de l’absence de son sperme. Les deux filles ondulent toujours sous les coups de langue de plus en plus expertes.
« Oh, que c’est bon. Les mecs, vous ne savez pas ce que vous perdez ! » pense-t-il.
— Relève-toi, tu as été parfait ; je pense que nous allons t’éduquer, n’est-ce pas Myriam ?— Oui, tu as raison, nous allons bien nous amuser avec lui ; n’est-ce pas, esclave ?— Oui, Maîtresse, répond Olivier.
Il se surprend, d’avoir dit le mot « Maîtresse » qui est sorti de sa bouche sans qu’il s’en rende vraiment compte, accompagné d’un surplus d’excitation. Il a envie de demander qu’elle lui fasse des choses, sans savoir ce qu’il lui ferait réellement plaisir ; alors il abandonne en se disant qu’attendre le bon vouloir des deux filles sera encore plus excitant.
— Tu vois il aime déjà ça, dit Myriam en le poussant contre la paroi de ce carrelage blanc.
Et maintenant elles ont pris, l’une ses olives en bouche, et l’autre son gland qu’elles sucent avec gourmandise. Elles lui caressent tout le corps sans oublier de lui faire quelques petites tortures. Sonia s’attarde sur ses tétons, elle qui adore ça, elle en fait profiter à son nouveau jouet qui semble apprécier les effets en laissant échapper quelques doux gémissements. Pour Olivier, tout un tas de fantasmes défilent dans sa tête. Mais pour les deux filles, c’est le coup de grâce et après cette journée éprouvante la fatigue se fait cruellement sentir, alors rien ne sert de résister ; elles se lavent.
— Je suis complètement exténuée, cette journée a été éprouvante. Je crois que je vais bien dormir cette nuit.— Moi aussi, répond Myriam qui avait choisi le lit restant à côté de celui de Sonia.
Un peu déçu mais compréhensif, Olivier se lave aussi ; ils se sèchent et montent dans la chambre. Elles rapprochent leurs lits et se couchent avec juste un drap sur elles et s’endorment en se tenant la main. Un moment plus tard, Olivier et les autres garçons de la section ont le plaisir de voir deux jolis derrières à peine éclairés par un rayon de lune curieux. Les deux filles dorment à poings fermés et ne sentent pas les doux baisers que les quatre garçons déposent sur leurs fesses.
— Olivier, je suppose que tu t’es tapé les deux, regarde comme tu les as épuisées ; et nous alors ? — Fallait rester les gars, moi j’ai eu tout ce que je voulais, fanfaronne Olivier.
[À suivre]
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