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Police polissonne

Chapitre 22

Un amour naissant

Erotique
Une semaine vient de s’écouler et s’est déroulée sans encombre. À force de soulever de la fonte, et de courir ; le corps de Sonia est endolori. Et malgré les courbatures qui lui font mal un peu partout. Grâce à la découverte de la boxe Thaï avec les premières positions d’équilibre, les mouvements, les coups, et aussi les démonstrations faites par un Nak Muay* participant au championnat interarmées ; son moral est bon. Elle se dit que si elle avait pratiqué ce sport par le passé, elle n’aurait pas été en difficulté. Mais pour elle ce n’est pas grave ; elle sait maintenant que cette pratique l’aidera.

Toute la section a passé la visite de contrôle hebdomadaire. Sonia vient de prendre son premier kilo et demi, la toubib est contente et lui prédit la prise d’une bonne douzaine de kilos en six mois. Elle est surprise de cette nouvelle et ravie quand la toubib lui précise : douze kilos mais, de muscle ! Sonia s’informe.
— Dites-moi, Docteur ; est-ce que je vais prendre de la poitrine ?— Pourquoi, c’est si important ?— Oui, je voudrais en avoir un peu plus, pour me sentir plus femme ; parce qu’avec mon 85 A, j’ai l’air d’une planche à pain !— Je vois, normalement oui. Comme vous êtes en fin de croissance, je pense que le sport et une bonne alimentation suffiront certainement. Mais s’il le faut, je vous donnerai de quoi vous aider. Pensez à bien manger des fruits, des légumes, des protéines, et un peu de gras.
Olivier a obtenu l’autorisation d’emmener les deux filles au tir, conformément aux directives du sergent ; ils prennent la chose avec sérieux et professionnalisme.
Compte tenu de leur fatigue physique quotidienne, les parties de jambes en l’air tant espérées tombent à l’eau, ce qui déçoit un peu Olivier et ses complices de chambrée. Toute la section applique les consignes du sergent : du repos et du repos ; dès que c’est possible reposez-vous, cinq, dix ou quinze minutes ; c’est important pour plus tard. Leur conseille-t-il en permanence.
Pour ce premier week-end, Sonia décide d’appliquer les consignes à la lettre.
Sonia et Myriam ont passé toute la journée du samedi à dormir. Dimanche huit heures, trois des garçons sont partis faire un tour en ville. Myriam secoue Sonia qui plongée dans un profond sommeil, ronfle.
— Sonia... Sonia, il faut te lever pour aller prendre le petit-déjeuner.
Seul le grognement d’un ours lui répond. Désespérés Myriam et Olivier décident de la laisser dormir !
Ils se rendent au restaurant pour déjeuner. La salle est presque vide, ils passent à la rampe, se servent copieusement, car le week-end il y a des croissants et des chocolatines. Ils s’installent à une table, un peu à l’écart dans un coin de la pièce, tout en dégustant les viennoiseries ; ils discutent et c’est Myriam qui ouvre la conversation.
— Olivier, tu as vu comment Sonia a dérouillé par le passé ?
— Oui, elle m’a vraiment ému, c’est terrible de voir qu’il y a des salauds pareils ; tu te rends compte que le mec a descendu un type et lui a mis son flingue dans les mains, puis c’est barré ! Putain ça me fout hors de moi, et j’espère bien qu’elle va le retrouver.— Oui, c’est vraiment dégueulasse. Moi, j’ai vraiment envie de l’aider ; je ne sais pas comment mais j’ai vraiment envie.— C’est vrai, moi aussi j’ai envie de l’aider. Comme j’ai l’autorisation pour aller au tir je vais l’entraîner et tu viendras aussi ?— Oui, avec plaisir, car je vais aussi rester ici le week-end. — Moi aussi, et puis j’ai mieux à faire ici...— Surtout avec deux gonzesses... répond Myriam en souriant.
Olivier rougit un peu à cause de sa timidité, car pour lui les premiers contacts sont toujours compliqués, mais une fois dans le bain tout va bien et parfois très bien. Une question lui brûle les lèvres, mais Myriam le devance.
— Je peux te poser une question, après si tu ne veux pas répondre ; je ne t’en voudrais pas.— Oui, vas-y.— Quand on a déconné en te traitant d’esclave, tu as pris ça au sérieux ?
Cette fois le pauvre garçon vire au rouge, son bas-ventre se crispe d’envie et son sexe commence à gonfler. Ce fantasme, il en rêve presque toutes les nuits, il n’arrive pas à lever les yeux, et lui répond un timide et presque inaudible « Oui » en fixant son bol de café.
— Tu peux me regarder dans les yeux tu sais, allez ! Tu es plus loquace que ça en formation. Tu es vachement timide ou quoi ?— C’est vrai, j’ai du mal avec les filles, répond-il en levant les yeux.— Pourtant d’après Sonia pour le cul t’es pas si timide que ça.— Ah ! Tu veux parler de ce qui s’est passé avec elle le premier jour ?— Oui, a priori vous vous êtes bien éclatés ?— C’est vrai, honnêtement elle m’a fait presque peur, quand elle se déchaîne ; c’est une vraie furie. Mais je dois reconnaître que c’était super-génial ; et puis toi aussi tu sembles aimer ça ?— C’est vrai et je dois dire que j’ai adoré ma première fois avec elle. J’espère bien remettre ça dans pas longtemps, mais on s’égare ; je t’ai posé une question, alors ?
Olivier qui avait repris sa couleur naturelle repasse au rouge et ne dis rien ; Myriam l’aide.
— Tu as du mal à en parler ? Tu as peur ? Ah..., c’est un fantasme ?— Oui...— Oui, quoi ? Le fantasme ?—...— Bon, tu bloques ; et je le comprends. Je te propose un truc : on finit de déjeuner et on va faire un tour aux gravières pour discuter, d’accord ?— Oui, c’est une bonne idée, je vais aller demander un petit-déjeuner pour Sonia.— Oui, tu as raison, et demande aussi un pique-nique pour deux ; ça te dit d’aller jusqu’aux gravières ?— Oui, et on testera l’eau.
Tout en terminant de petit-déjeuner, Myriam observe Olivier et se dit :
« Je le trouve super-mignon ce garçon, et avec son côté timide, il est craquant ; si je pouvais... oui, mais il y a Sonia... Je ne peux pas lui faire ça, ce ne serait pas cool, la pauvre... Et en fait peut-être qu’il n’y a rien entre eux. Elle était en manque, et si je lui posai la question ? Oui, mais lui demander commença, ça fait un peu genre rapace... Bon tant pis, je me lance ! »
Elle lève le nez de son bol et croise le joli sourire d’Olivier. Engaillardie, elle prend un petit air coquin et aguicheur, puis demande :
— Je voulais te demander...— Oui, quoi ?— Toi et Sonia vous... enfin... Je voulais... Non rien.— Quoi tu voulais savoir s’il y a un truc entre nous ? — Oui,..., Oui, c’est ça.— Eh bien, côté timide, t’est pas mal non plus, dit-il avec un large sourire. Donc si c’est ça ? Non il n’y a rien entre nous.— Ah bon, pourtant j’ai cru que,...— Que quoi ? Que rien du tout, je ne suis pas fait pour elle et elle pour moi.— Ah bon ! Explique ?— Ce n’est pas compliqué, elle m’a dit ne pas vouloir s’attacher ni avoir d’enfants à cause de son passé et de son boulot. S’il lui arrivait quelque chose, elle ne veut pas laisser un enfant orphelin et un mari dans le chagrin. Alors elle préfère s’amuser et profiter.— Oui, ça se comprend, et côté cul ; il est vrai que c’est une tornade. Je ne sais pas ou elle va chercher toute cette énergie, et toi, elle te plaît ?— Moi, c’est vrai que j’ai eu un coup de cœur le dimanche, sans doute parce qu’elle fait l’amour admirablement bien.— Tu as eu comme le coup de foudre, en quelque sorte ; et maintenant ?— Maintenant ? Honnêtement, je crois que je ne pourrais pas vivre avec une fille comme ça, ou il faudrait qu’elle change, mais c’est impossible. Elle aime trop le sexe, et la voir se faire prendre par d’autres, je crois que je ne supporterais pas. Et puis ce n’est pas dans mon éducation et il y a mes parents...— Bon, on y a ; on va se balade et discuter si tu veux.— Oui, je vais demander à manger...— C’est ça, et moi je débarrasse pendant ce temps et je te rejoins.
Ils ressortent du restaurant avec les bras chargés de victuailles et se rendent dans la chambrée. Pendant que Myriam et Olivier enfilent un short, un débardeur et des baskets ; Sonia dort à poings fermés. À demi cachée sous le drap, elle laisse voir sa jambe et sa fesse droite et laisse échapper un doux ronflement qui se transforme de temps en temps en un grondement de bête féroce. Ils emportent des serviettes de toilette et les sacs de pique-nique ; Myriam laisse un mot posé sur la table :
« Bonjour Marmotte !- Comme il est impossible de te réveiller, Olivier et moi t’avons rapporté de quoi petit-déjeuner. Nous, on va aux gravières, alors si le cœur t’en dit... »
Conformément aux consignes ils passent s’inscrire à l’accueil et récupèrent le talkie-walkie réglementaire et c’est avec le sac sur le dos, qu’ils trottinent vers les gravières. Trente minutes plus tard, ils arrivent sur les lieux. Bien qu’ils soient déjà passés devant, ils ne s’y étaient encore pas arrêtés.
Cette gravière désaffectée forme maintenant un petit étang rempli d’eau toute bleue à cause de leur charge minérale et de la présence d’un plancton particulier. Le fond semble être recouvert de cailloux et de gravier. L’endroit est sauvage et d’ailleurs habité par une faune et une flore abondante, et pour tous décors quelques rochers et des haies d’arbres. La raison de cet état sauvage est simple : c’est un terrain militaire, donc interdit au public et en zone protégé ; seuls quelques chasseurs y ont accès à des périodes bien définies.
Ils déposent leurs sacs bien à l’ombre sous les arbres, car le soleil est déjà haut, et une douce chaleur envahit les lieux.
— Myriam, on teste l’eau ? invite Olivier tout en commençant à se déshabiller.— Oui, avec plaisir ; on y va tout nu ?— Bah, oui à moins que...— Mais non, je te chahute.
Ils sont nus et après s’être un peu fait mal aux pieds sur les cailloux, ils plongeant ensemble et dès qu’ils ont la tête hors de l’eau :
— Elle est fraîche ! s’exclame Myriam.— Oui, on va de l’autre côté ?— OK, on fait la course, le perdant paye l’apéro ! Prêt, dit Myriam.— Partez ! confirme Olivier.
Ils sont aussi bons nageurs l’un que l’autre, que, c’est ensemble qu’ils arrivent de l’autre côté de la gravière. À l’endroit où ils sortent la tête de l’eau, il y a pied et dans un mouvement leurs mains se touchent. Olivier garde la main de Myriam serrée dans la sienne, leurs regards se croisent, ils se rapprochent, se regarde dans les yeux. Le ventre de Myriam frémit. Dans la tête d’Olivier il se passe quelque chose, il se rapproche encore un peu plus d’elle, lui prend sa seconde main et attire Myriam à lui ; leurs corps se touchent. Olivier sent la poitrine de Myriam s’appuyer contre son torse, il lâche ses mains et pose les siennes sur la nuque de Myriam. Elle commence à espérer, à souhaiter très fort,... car chez elle, son cœur bât la chamade ; elle à déjà vécu ça.
Ils se regardent dans les yeux et l’eau fraîche de la gravière n’a plus aucun impacte sur leur corps. Leurs yeux ne se quittent pas, leurs corps se serrent encore un peu plus et ce qu’ils se racontent en dit plus que toutes les conversations du monde. Olivier attire les lèvres de Myriam, descend ses mains le long du dos de sa nymphe ; ils sont là, immobiles. Le temps s’arrête, le chant des oiseaux et les quelques libellules sont les seuls témoins de cette scène. Myriam descend aussi ses mains dans le dos d’Olivier et encore un peu plus bas, sûre ses fesses ; sous une petite brise l’onde frémit. Leurs lèvres se touchent timidement, tout deux ferment les yeux pour mieux savourer ce premier baiser. De ses bras, il lui entoure les épaules pour mieux l’étreindre ; leurs langues se touchent, puis Myriam le repousse :
— On sort ? J’ai froid...
Ils retraversent l’étendue d’eau et rejoignent leur sac. Olivier attrape la serviette de Myriam et la sèche en lui frictionnant le dos, puis la laisse s’essuyer devant ; pendant que lui se frictionne énergiquement le dos et le devant, puis il étale sa serviette bien à plat au sol.
Elle le prend par la main et le tire vers le sol pour qu’il s’allonge sur le dos et elle sur lui. Des mots ? Il n’y en a pas besoin, seul leurs langues se parlent d’une langue inconnue ; mais si sensuelle que les paroles n’ont pas leur place. Seule Myriam dit en se plaçant sur le dos :
— Viens, viens ; j’ai envie de toi.
Doucement, il se place sur elle, l’embrasse tendrement, et la pénètre ; voilà ce qu’il aime, la douceur. Tout comme Myriam, qui ondule avec grâce, sans à-coups, en silence ; son souffle trahit son plaisir. Elle apprécie cette douceur, ce membre qui glisse délicatement en elle comme pour ne pas lui faire mal. Le rythme est lent, sans brutalité, elle sent l’orgasme arriver doucettement comme le vent qui effleure la surface de l’eau. Accompagnée du chant amabile des guêpiers ou encore le doux croassement de quelques reinettes, elle gémit sensuellement.
Au moment où l’orgasme éclate, de ses jambes, elle enserre les fesses d’Olivier et le bloque très fort pour qu’il reste là, immobile. Immobile juste le temps de savourer le bonheur de presser cette verge au bord de l’éclatement comme pour extraire le jus ; elle lui susurre :
— Sors, je vais te finir ; je veux bien un bébé, mais pas maintenant.
Elle le fait rouler sur le dos, se place entre ses cuisses et lui offre une fellation digne de ce qu’elle vient de vivre et de ressentir. Elle s’applique à lécher le point sensible du vit dressé vers le ciel, il est si beau si fort qu’elle prend un immense plaisir à le déguster. Elle lèche le frein délicatement, parfois brièvement pour que l’excitation de son Apollon arrive au maximum. De ses mains douces et fines, elle masse les boules qui vont lui donner dans un petit instant une belle et abondante semence. Elle en savoure déjà le goût.
Olivier sent tout son bas-ventre et surtout sa verge réclamer plus d’ardeur car il est au bord de l’orgasme. Cette douceur est devenue presque un supplice, sentir l’éjaculation venir mais qui ne se concrétise pas ; le rend fou. Dans ses bourses, c’est l’effervescence, c’est un peu comme le départ d’un marathon où tous les coureurs se pressent sur la ligne de départ. Le coup de feu vient de retentir et ils se précipitent tous dans la bouche de Myriam, ils arrivent par vagues entières ; c’est un déferlement de milliers de coureurs.
Olivier est aux anges, il n’a jamais connu un orgasme réalisé de la sorte ; Myriam glisse sur son corps. Quand il ouvre les yeux, il découvre le visage radieux de la belle brune aux yeux verts qui lui sourit, et approche ses lèvres. Il les accueille avec tendresse, Myriam glisse sa langue gluante et chargée de sperme dans la bouche d’Olivier qui accepte de bons cœurs de récupérer dans un baiser long et délicat ce qui lui appartient.
Il est plus de midi, ils n’ont ni soif, ni faim. Ils sont bien, allongés côte à côte, la tête de Myriam repose sur l’épaule musclée d’Olivier, et leur regard fixe le ciel là-bas très loin dans les nuages ; leurs mains caressent qui le torse et qui les cuissent.
Une grenouille de passage saute sur le ventre de Myriam dans un croassement puissant. Elle sursaute et crie ; Olivier rit de la situation.
— Salle bête ! s’exclame-t-elle en chassant l’intruse. Et ça te fait rire, toi ! — Pardon, mais tu as fait un tel bon, et regarde-la ; je suis sûre que c’est elle qui a eu le plus peur. Bon, j’ai un peu faim, parce que m’a fait manger c’est : un, pas terrible et deux insuffisant ! s’exclame Olivier.— Mais je n’ai fait que te rendre ce qui t’appartenait, mon cher. Bien tu as raison on mange à moins que tu aies de quoi faire un apéro ? J’ai envie de fêter ça, pas toi ?— Oh, que oui ! J’ai pris de bières, c’est bon ? Et c’est ça ou rien.— Alors ça ! Au fait, tu as été merveilleux, je t’assure ; ce que tu as fait c’était génial, vraiment.— Merci, toi aussi tu as été géniale. Alors on trinque ?— Oui, alors à nous.
Surpris Olivier ouvre de grands yeux, trinque et réplique :
— À nous ? — Oui, à moins que tu ne veuilles pas de moi ?— Hein, tu veux dire qu’on se met ensemble ? Et Sonia ?— Oui, tu as bien compris, tu me plais énormément ; je l’avais d’ailleurs dit à Sonia. Dès qu’on rentre on va lui dire, d’accord ?— Oh, je suis trop heureux, tu ne peux pas savoir. Toi aussi tu me plais beaucoup, conclut Olivier en essuyant une petite larme.
Nos deux tourtereaux sont aux anges.
Midi passé, Sonia émerge difficilement. Nue, elle s’assoit sur le lit, d’un regard embrumé, elle ausculte la pièce, et constate qu’elle est vide. Alors, elle se laisse retomber sur le lit, les bras en croix ; elle soupire.
« Oh, la vache ! Que c’est dur. Putain, j’ai dormi combien de temps ? Merde, je n’ai pas de montre, il faut que j’en achète une » pense-t-elle, en s’étirant.
Elle aperçoit un sac sur la table, et après quelques mouvements d’étirement s’y dirige toute nue bien sûr, et le découvre le papier et le lit.
— Marmotte ! Je t’en foutrai des marmottes ; je suis claquée. Waouh, le petit-déj ! Ça c’est cool, merci les copains. Quoi ils sont partis aux gravières ? Mais ils sont complètement fadas ! Moi je vais me recoucher.
Elle réchauffe le café grâce à une résistance au nom scientifique de thermoplongeur. Elle déguste sont café et ses viennoiseries, quand un subtil picotement à son entrejambe lui rappelle que ça fait une semaine qu’elle ne c’est rien pris entre les cuisses.
« De toutes les façons, j’en aurais été incapable ! Putain c’est raide cette formation ; j’ai dormi tout le samedi et la matinée. Il faut que je me bouge, OK ? Humm... et en plus j’ai une envie de..., et pas un mec. Bon, eh bien je vais me débrouiller seule »
Faute de mieux, elle n’a plus qu’à utiliser sa méthode qui consiste à se titiller le clito jusqu’à arriver à un mini-orgasme, et vue son degré d’excitation, c’est en deux temps et trois doigts dans le vagin que l’orgasme lui fait à moitié renverser son café.
— Et merde ! Quelle conne, tu ne peux pas faire gaffe, non ? Et en plus tu parles toute seule. Bon, je vais prendre une douche et je me recouche.
Cette fois, le petit-déjeuner avec les deux mains est beaucoup plus efficace et rapide ; parole tenue, elle se douche, se recouche et se rendort.
Du côté de la gravière c’est la fête, cette fois les poissons et les grenouilles ont le droit à un film érotique gratuit. Myriam et Olivier sont dans l’eau et leurs ébats sont devenus ceux d’un couple amoureux fou l’un de l’autre...
Assis en tailleurs sur leur serviette ils trinquent à eux et à l’avenir. Myriam qui est le genre de femme têtue et tenace redemande à Olivier :
— Bien maintenant qu’on se connaît un peu mieux, tu me parles de ce fantasme ?— Tu ne serais pas un peu tenace par hasard ?— Si et il faudra t’y faire, alors ?— Tu sais c’est gênant, mais bon, tu ne vas pas te foutre de moi ?— Non, mais par contre ça a l’air de t’exciter tu commences à avoir la trique.— C’est vrai, quand j’y pense ça me donne même envie de me masturber.— Ah ! mais ne te gêne pas pour moi, au contraire, je n’ai jamais vu un garçon le faire en vrai devant moi, si tu le fais ; je le fais aussi.— D’accord, alors, voilà ; souvent je rêve de ça être un esclave avec les mains attachées et être obligé de faire ce que la femme veut. Dit-il en se touchant le sexe. — Et tu ferais tout ce que la maîtresse te demanderait, même des choses bizarres ?— Oh oui, comme ça m’excite...— Je vois ça et si je te dis que je vais te fesser ?— Oui, oui,... Mmmm... !— D’accord, je pense que tu vas avoir affaire à deux maîtresses et tu irais jusqu’où ? Je ne sais pas, mais je suis prêt à tout... Maîtresse.— Waouh... ! Alors à genoux esclaves et branle-toi, et sur mon pied.
Pris dans une terrible excitation, Olivier ne pense plus qu’à ça. Intérieurement cette sensation de soumission le rend dingue, alors il s’en fout de se masturber devant une femme ; il s’astique le jonc avec une frénésie indescriptible. Il finit par éjaculer sur le pied de Myriam.
— À quatre pattes, et lèche moi ça ; espèce de cochon ! ordonne-t-elle d’un ton sec.
L’esclave s’exécute et lèche le pied de sa toute nouvelle maîtresse. Elle adore se rôle et lui déborde de bonheur.
— C’est bien tu peux te relever, et on rentre, passe-moi mes affaires et aide-moi à m’habiller. Toi tu rentres à poil, ça te va ? — Oui Maîtresse, mais pas jusqu’à la chambrée, si on me voit ?— Si... À toi de te débrouiller, tu n’as qu’à passer par-derrière, donne-moi tes fringues ; histoire que tu ne me roules pas.— Bien Maîtresse.
Sur le chemin du retour, Myriam lui demande :
— C’est vrai, que tu aimes ?— Oui, et si tu veux aller plus loin ; je veux bien— D’accord, mais je voudrais qu’on inverse au moins une fois les rôles ; j’aimerais essayer aussi, mais pour jouer.— Si tu veux. Bon, on arrive, tu me rends mes fringues ?— Non, répond-elle en piquant un sprint.
Arrivée près des bâtiments elle coupe au plus court en laissant son esclave se faufiler entre les arbres et bâtiments pour ne pas se faire remarquer. Myriam rejoint Sonia.
— Coucou Sonia, alors enfin levée ? — Oui, bande de lâcheurs, mais dis, moi il est où Olivier ?— Ah, notre esclave ; tu veux dire. — Hein ? — Oui, il arrive ; enfin s’il ne se fait pas piquer, dit elle en jetant le short et le tee-shirt d’Olivier sur son lit. Mais avant il faut que je te demande un truc.— Oui, vas-y ; c’est quoi ?— Toi et Olivier, vous n’êtes pas ensemble ?— Bien sûr que non, pourquoi vous voulez...— Non, on a fait l’amour et je crois que,... Enfin tu vois ce que je veux dire.— C’est vrai ! Ah, mais c’est super-cool ça ! Je suis contente pour vous deux et toi avec un esclave en plus ?— Oui, mais c’est juste un jeu ; il faut qu’on lui trouve des trucs, enfin si on n’est pas trop crevés. — Oui, parce que s’ils augmentent les difficultés ; c’n’est pas gagné.— C’est vrai.— OK, Humm, j’ai une idée ? Écoute [...] confie Sonia — Ah, Ouiii... ! C’est d’accord, je pense que c’est ce qu’il attend. Mais par contre on va manquer de matière première, les trois autres sont en permission.— C’est vrai, eh bien on verra ça plus tard. Il va attendre. On va le faire mijoter. Bon, alors toi et lui ; raconte ?— Eh bien je suis assez contente que tu ne sois pas venue, nous avons parlé et aussi fait l’amour et je crois que nous avons eu tous les deux le coup de foudre ; tu sais, ces choses-là ça ne se commande pas.— C’est vrai, alors je te souhaite plein de bonnes choses.
Olivier fait son entrée, un peu stressé et nu comme un ver.
— Eh bien alors Olivier, on se promène tout nu maintenant ? Pardon,... Notre esclave se promène à poil maintenant ?— Maîtresse Sonia, c’est Maîtresse Myriam qui me l’a ordonné.— Bien on fait une pause dans le jeu, coupe Sonia. Olivier je voudrais savoir jusqu’où tu veux aller ? — Je ne sais pas exactement, ça fait longtemps que je rêve de ce fantasme, je suis à la fois curieux et anxieux de découvrir ce plaisir qui sera sans limites. Je vous donne carte blanche, je voudrais de l’imprévu. D’un autre côté je voudrais aussi être dominant mais pas forcément dans le sexe. Vous devez me trouver un peu tordu de la tête, mais bon.— Non, tu n’es pas tordu tu as un besoin et cela ne regarde que toi, pas vrai Myriam ?— C’est vrai, mais je n’ai pas d’idée pour le moment...
[ À suivre]
* Un Nak Muay est un sportif pratiquant la boxe thaïlandaise.
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