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Police polissonne

Chapitre 23

Un réveil truculent.

Orgie / Partouze
Trois mois viennent de s’écouler. Le traitement de son système pileux effectué avant son départ de Marseille fonctionne. Elle arbore maintenant une belle coupe de cheveux à la garçonne de couleur brune ; ils sont soyeux. Sa pilosité pubienne et celle de ses aisselles sont nulles ; elle est ravie du résultat.
Les entraînements se sont intensifiés. « On monte d’un cran ! » leur avait dit le sergent qui est satisfait des progrès réalisés par tous. Sonia concentre ses efforts sur les techniques de combat à la boxe Thaï pour la plus grande satisfaction de Dylan (l’instructeur de la section sport de combat) et de son entraîneur particulier Mamadou. Ce Black, membré comme un âne, l’avait subjuguée par les formes de ce colosse lorsqu’elle l’avait vu entièrement nu dans les douches des vestiaires du gymnase. Elle avait eu tellement envie de se faire prendre par cet homme qu’elle ne put résister à l’appel de ce colosse de vingt centimètres plus haut et pesant deux fois son poids.
Depuis, il lui dispense tous les samedis des cours particuliers qui se terminent à chaque fois par une belle partie de cul dans les douches. À chaque fois, elle joue à la petite soumise, se laisse peloter par les battoirs du colosse qui se plaît à jouer avec cette petite Blanche. À genoux, elle empoigne le membre, en suce le gland tout en malaxant à pleines mains les bourses volumineuses. Une fois le zguègue bien lubrifié, elle se tourne, se courbe en deux, appuie ses mains sur la paroi de la douche et se laisse prendre en laissant l’eau couler sur son dos ; à chaque fois l’orgasme est au rendez-vous.
À chaque séance de boxe Thaï, elle entend toujours la même « musique », comme lui avait dit Dylan en observant la jeune femme se déchaîner sur le colosse le jour où il était entré sans prévenir dans la salle ; il l’avait stimulée ainsi :
— Sonia, protège-toi !— Les coudes collés, poignets collés au menton, protège-toi ; s’il te frappe, il te casse le bras…— Sois précise, pas la peine de taper fort… Frappe vite et bien.— Donne la cadence : Tac, tac... tac…tac, tac tac... C’est un Black, il aime le son du tam-tam ; chante-lui sa musique, donne-lui du rythme. — Coups de pied visage ; voilà... — Frappe… les couilles… le ventre. Vite, enchaîne !— Encore coup de pied au visage... Oui, tu le tiens. — Encore, oui ; plus vite ! Il doit tomber. — Saute, crochet ; oui, encore. Voilà, c’est bon çaaa...!— Allez, coups de pied : ventre, côté, visage ; ouiii…!— Fauche-le… Pousse-le ! Il va tomber.— Et voilà, il est à terre. Bravo, championne ! la félicita-t-il en applaudissant.
Elle termina le combat en sueur, épuisée mais heureuse du travail accompli, et Dylan la félicita.
— Alors tu vois, ma grande : il est deux fois plus lourd et trois fois plus puissant que toi, et tu l’as mis au sol. Retiens bien cette leçon, elle te servira. Je suis certain que si tu poursuis ce sport, on te verra en championnat. Allez, à la douche ; je crois que vous en avez besoin tous les deux.
Dans les vestiaires et tous les deux nus, elle ne put pas résister une fois de plus à l’appel de ce membre si gros et si long.
–– Mamadou, mets-moi ta bite dans le cul ; j’ai trop envie que tu m’encules.— Tu es folle ! Je vais t’éclater ton petit cul ; je suis trop gros pour toi.— M’en fous, viens, baise-moi. Allonge-toi par terre.
L’homme s’allongea et elle s’empala sur l’obélisque tendu vers le ciel. Au moment suprême où le sexe du Black s’enfonça en elle, elle poussa un cri de douleur et un puissant orgasme la fit vibrer. Après quelques mouvements de va-et-vient, il lui déchargea sa semence dans les boyaux. Quand elle se releva, une coulée de sperme s’échappa par son trou encore béant et ruissela le long de ses cuisses.
****
Sonia est en progression constante ; elle est citée en exemple dans les autres compagnies d’hommes misogynes et imbus de leur personne. Grâce à ses six kilos de muscles supplémentaires, une volonté de fer, des entraînements à outrance et des encouragements de la part de tous, elle survole les obstacles du parcours du combattant. Maintenant, elle réalise non pas les quatorze, mais les vingt obstacles dans des temps record. Grâce à son agilité, elle arrive à battre les meilleurs des soldats les plus puissants, mais moins agiles qu’elle. Elle se permet quelques fantaisies, comme de passer le mur en « soleil » : au pied du mur, elle saute pour en attraper le haut, tire sur ses bras, fait basculer son corps pour qu’il pivote comme une roue et se réceptionne sur les pieds. Elle aime bien passer la poutre sur les mains et faire encore d’autres acrobaties (figures qui peuvent paraître ridicules, et surtout pas vraiment réglementaires) mais qui ont l’avantage de parfaire son sens de l’équilibre.
Au fil du temps, c’est plus qu’une amitié qui s’est installée entre Myriam et Olivier : c’est un amour grandissant de jour en jour. Comme prévu, Olivier dispense les cours de tir et constate de belles progressions de la part des deux femmes ; il les entraîne aussi à la course rapide sur deux cents et quatre cents mètres. Avec elles, il est sans pitié, exigeant, intransigeant, gueulard ; il les pousse au bout d’elles-mêmes.
Il est six heures du matin. Les deux filles dorment paisiblement, mais pas Olivier. Sonia rêve. Quand elle se réveille, elle aime garder le souvenir de ses rêves, et surtout les interpréter.
Sa grand-mère maternelle, adepte convaincue des sciences occultes, lui avait expliqué qu’il était important de se souvenir de ses rêves, car ils pouvaient parfois prédire l’avenir. Sonia se souvient de ces séances de spiritisme quand elle allait en vacances chez sa grand-mère à Gładków (petit village polonais de la région de Gmina de Tarczyn). Avec sa mère, sa grand-mère faisait tourner les tables et appelait les esprits.
Le rêve de cette nuit est étrange. Dans la nuit noire, elle a vu distinctement une forme humaine s’approcher d’elle. Elle était petite, si petite que cette forme ressemblait à celle d’un enfant. Quand elle put distinguer ses formes et son visage, elle reconnut instantanément sa cousine qui jouait avec elle chez sa grand-mère, là-bas en Pologne. Elle retrouva son prénom caché tout au fond de sa mémoire ; ça faisait si longtemps ! À l’époque, elle avait sept ans et sa petite cousine en avait cinq ; Amélia ? C’est Amélia, avec sa bouille toute ronde, ses cheveux noirs et ses yeux marron très foncé. Le souvenir de la fois où elle avait fait sa connaissance réapparaît avec cette question étrange qui avait fait éclater de rire sa mère quand elle lui avait demandé : « Dis, maman, pourquoi elle se lave avec du chocolat ? ». Sa mère lui avait expliqué que c’était tout simplement parce qu’elle était métisse, son père étant Malgache et sa mère Polonaise, donc blanche comme elle ; « Alors ils ont eu une fille de la couleur du chocolat, ma chérie ! ». Elle se revoit jouer à la poupée avec sa cousine…
Pour Myriam, ce dimanche 25 octobre 2015 est une date importante : c’est son anniversaire. Elle a 24 ans, mais personne ne le sait, sauf Sonia qui avait vu sa date de naissance sur le questionnaire rempli au début du stage. Hier, elle a envoyé les trois garçons en mission pour effectuer quelques achats afin de lui faire une surprise. Elle, Myriam et Olivier sont seuls, comme des inséparables. Dehors il fait froid et la nuit est noire ; dans la chambrée, il fait tout juste chaud.
Les secousses données au lit et le drap qui s’envole sortent Sonia de son rêve, laissant s’évanouir la belle image d’Amélia. Myriam grogne.
— Allez, debout les filles, bougez-vous ! Il fait bon dehors, nous allons courir !
Elles sortent difficilement de leur sommeil et font la même réflexion :
— Oh, mais t’es malade ! On est dimanche. Tu te prends pour le sergent ou quoi ?— C’est moi l’patron aujourd’hui ; vous êtes toutes les deux à ma botte. Gaaarde… à vous ! — OK, on se lève ; calmos, Patron. Et on est censées faire quoi ?— Enfilez un survêt’ et on va courir.— Tu es malade ! Dehors, il fait moins quarante degrés !— T’es bien une Marseillaise, toi… Ça vous entraînera. Vous allez voir ce qui nous attend pour la suite de l’entraînement avec le sergent. J’ai fait mon service dans l’armée et je sais de quoi je parle. Allez, habillez-vous, et pas la peine de mettre de culotte ; à poil dessous.
Elles comprennent immédiatement la raison de ce tapage, avec cette façon de les réveiller et de leur imposer une tenue. Aucun doute : Olivier leur rappelle gentiment qu’il attend quelque chose depuis déjà trop longtemps. Les filles font contre mauvaise fortune bon cœur et enfilent leur survêtement sans rien dessous. Puis, malgré les cinq degrés extérieurs, il les entraîne au pas de course jusqu’aux gravières et ordonne :
— À poil ! À la flotte, et pas un mot ! Vous traversez la gravière et vous revenez. Je pose la lampe ici comme repère. OK ?— Oui, Patron ; et vous venez aussi ? — Non, moi je regarde et je chronomètre. Plongez !
Les deux filles plongent. L’eau est glaciale. Elles sont saisies par le froid, et une fois la tête hors de l’eau, Myriam dit :
— Putain, il va nous le payer… Allez, il faut nager vite avant d’être congelées.
Elles traversent le petit lac, font demi-tour et reviennent sur le bord. Lorsqu’elles sortent de l’eau, seule la lampe-torche et leurs baskets sont là pour les accueillir ; Olivier a disparu.
— Putain, le salaud ! Il est parti avec nos fringues ! s’exclame Myriam.— Ouais… ça sent la vengeance, ça. Myriam, c’est de ta faute de l’avoir fait revenir à poil l’autre fois.— Excuse-moi, mais c’est lui qui a voulu. Sonia, on rentre au pas de course, on se prend une douche bien chaude et, promis, je te fais un gros câlin ; et après on s’occupe de lui.— Non, mais attends, on ne va pas lui faire des câlins en plus…— Sûrement pas, dit Sonia en plaquant Myriam contre un arbre.
Elle plaque son corps contre celui de sa compagne, et toutes grelottantes de froid, leurs tétons durs et pointus se heurtent et déclenchent chez les deux femmes une terrible envie de s’aimer. Les bouches se collent et elles s’embrassent avec fougue. Elles glissent leurs mains dans l’entrejambe glacé de l’autre qui s’ouvre instantanément. Elles se frottent le clito, la vulve, et s’enfoncent des doigts dans le vagin jusqu’à avoir un orgasme.
— Hmmm… Putain, Myriam, j’ai envie de toi…— Moi aussi ; tu me rends folle, mais j’ai terriblement froid.— Bon anniversaire, Myriam !— Oh, merci, merci… Quel beau cadeau ! Mais comment tu as su ? —Top secret, et ce n’est pas fini… Go, on se frictionne et on y va. — OK, alors tourne-toi, je te fais le dos.
Myriam se tourne et Sonia lui frictionne le dos énergiquement, puis elles se le font mutuellement. Résister au froid fait partie des exercices de cette formation ; elles savent que si elles s’entraînent elles auront plus de chance de résister aux exercices à venir. Au bout d’un moment de cette stimulation réciproque et des cinq degrés de l’air extérieur, elles ont presque chaud. Dans la clarté grandissante du lever du jour, Sonia plaque encore Myriam contre un arbre et l’embrasse goulûment, puis elles reprennent la direction de leur chambrée au galop, traversent la cour centrale par le milieu avec l’espoir de croiser quelques regards d’hommes agrippés aux carreaux des fenêtres. Elles s’engouffrent dans les sanitaires et ouvrent les robinets d’eau chaude à fond.
— Sonia, on va leur mettre le feu ; et je voudrais qu’on fasse l’amour pour de vrai. Tu sais ce dont on avait parlé ? Pas un truc porno, un truc tout en douceur, en cadeau.— J’allais te le proposer.— Cool, et dommage que je n’y aie pas pensé : j’aurais pu sortir et acheter à boire et un gâteau pour fêter ça, dit Myriam d’un air dépité. — Moi si… Je ne t’en dis pas plus.
Les filles, en tenue d’Ève, montent dans la chambrée et découvrent avec surprise que les garçons sont là, sauf Olivier.
— Waouhhh… Comme vous êtes belles, les filles ! Bon Anniversaire, Myriam ! scandent-ils en chœur.
Il est neuf heures lorsque Olivier entre dans la pièce, les bras chargés de sacs, et découvre avec stupeur qu’il n’y a pas que les filles.
— Ah… Salut, les gars. Déjà rentrés ? — Eh oui, mec ; on s’est dit qu’il faisait trop froid pour rester dehors ; tu ne crois pas ?— Oui…
Pour Olivier, c’est la déception car il s’était imaginé pouvoir rester seul avec les filles en espérant pouvoir jouer.
— J’ai pris des viennoiseries pour le petit déj’ mais il n’y en aura pas assez pour tout le monde ; il faudrait en chercher d’autres. Et du café aussi.— T’inquiète, on a tout prévu. On déjeune ? dit Romain.— Tiens, Myriam, et bon anniversaire, dit Christian en tendant un paquet à Myriam.— Oh, merci, vous êtes trop sympas ! continue-t-elle et faisant la bise à tous.
Arrivée à Olivier, il lui dit :
— Je suis désolé ; je n’ai rien prévu. Je ne savais pas…— Olivier, nous si : le cadeau que tu vas faire à ta chérie est là-dedans, dit-il en montrant un sac en papier marron sans marques. En attendant, va te doucher. Et à fond !— OK. C’est quoi ? — Tu verras. Tiens, Sonia, c’est pour toi ; comme on ne sait pas quand tombe ton anniv’… continue Christian en lui tendant un petit paquet.— Ah, merci ; c’est trop sympa. Pour mon anniversaire, c’était en août, mais je ne le fête jamais ; c’est comme ça.
Elles déballent leurs cadeaux et découvrent deux peignoirs en imitation soie.
— Oh, c’est trop cool ! Ici, il ne fait pas très chaud en ce moment ; je vous fais la bise, dit Sonia.— Pour quelqu’un qui se balade à poil, et dans la cour en plus, vous ne devez pas avoir si froid que ça. Et qu’est-ce que vous foutiez dans cette tenue, un dimanche et à cette heure-ci ?— Ah, vous nous avez vues ? On va dire qu’on s’entraînait à résister au froid, répond Myriam.— Drôle d’idée, mais bon… Olivier, va te doucher ! Tu as dix minutes.
Olivier disparaît. Au fond de lui, il sent qu’il va se passer quelque chose ; il est bien décidé à céder aux caprices de tous. Se rendant compte de son indélicatesse envers les filles, il est prêt à tout assumer. En moins de dix minutes, et avec tout un tas de fantasmes en tête, il est de retour parmi les autres. Il découvre les filles en peignoir et les garçons appuyés sur la table. Tous le fixent avec un regard vicieux.
— À poil ! Et enfile ça ! ordonne Myriam en jetant un sac sur le lit d’Olivier.
Il l’ouvre et découvre une tenue de soubrette achetée dans un magasin de déguisements.
— Esclave, mets ça ! Et vite !
Pour lui, c’est l’humiliation : se déguiser en soubrette devant ses compagnons de formation est bien au-delà de ce qu’il avait espéré. Son fantasme se limitait à faire ça avec les filles et se faire mettre un ou deux doigts dans les fesses ; mais là, c’est le comble ! Honteux et avec horreur, il sent l’excitation monter à l’idée de se retrouver avec la bite à la verticale devant eux tous.
— Magne-toi, on a faim !
Il se déshabille. Il est à présent nu, le sexe en demi-érection en découvrant la minijupe, le chemisier blanc, le string blanc et le petit tablier, sans oublier la petite coiffe à dentelles de soubrette. Passant au rouge pivoine, il enfile le déguisement puis Myriam met les dernières touches en le maquillant avec de la poudre et du rouge à lèvres rouge vif.
— Regardez, les gars… Elle n’est pas mignonne, notre petite servante ? demande Sonia.— Humm… Si : elle est à croquer !
Il est vrai qu’il rentre parfaitement dans le costume. Ses jambes longues, fines et imberbes contrastent avec le manque de poitrine ; malgré tout, le résultat est saisissant et joli.
— Nous allons déjeuner. Esclave, fais le service ! Tu déjeuneras là au milieu, à quatre pattes le cul à l’air et tourné vers nous pour qu’on ait un peu de spectacle, que diable ! ordonne Christian.
Olivier est de plus en plus excité : le fantasme tant espéré est en train de se réaliser. Lui qui rêvait d’humiliation, recevoir de tels ordres de la part d’un homme lui procure un immense plaisir.
Les filles savourent la performance d’Olivier et commentent la tenue et la démarche de la soubrette.
— Elle est pas mal, notre petite Olive… Il faudrait que tu tortilles un peu plus du cul ; voilà, comme ça. Hé, les gars, vous ne lui passez pas une main au cul ? C’est comme ça qu’on fait avec les servantes, non ?— Oui, tu as raison ; on va l’aider moralement à préparer la table. Ah oui, elle a vraiment de belles fesses ; et toutes douces en plus, commente Christian.— C’est vrai… reprend Simon.
Olivier prépare tout ce qu’il faut sur la table, et à chaque fois qu’il passe à proximité de quelqu’un il se prend une main au cul, et un pelotage des testicules de la part des filles.
— Maîtresse, le petit-déjeuner est servi, annonce Olivier qui ne peut que jouer le jeu.
Tous s’installent. La servante verse le café, approche les viennoiseries et attend. Elle a du mal à poursuivre, car manger à quatre pattes et le cul à l’air semble impossible à réaliser ; c’est le comble de l’humiliation.
— Esclave, en place comme je te l’ai indiqué ! insiste Christian.— Oui, tout de suite.— Oui, qui ? Les esclaves disent « Oui Maître, ou Maîtresse ». Vu ?— Oui Maître.
Olivier se place à quatre pattes avec son bol de café et un croissant posés sur un plateau à même le sol. Dans cette position, la minijupe remonte à mi-fesses, et la vue des deux jolies rondeurs, du string et de sa ficelle ancrée dans la raie du cul mettent en valeur une paire de couilles débordant de chaque côté du string. Mettre un string de femme et faire entrer tout le matos quand on est bien équipé relève du défi ; pour le moment, les commentaires fusent de tous les côtés.
Olivier, honteux mais excité, savoure ce moment tant rêvé en espérant que ce qui va suivre lui réserve de belles surprises. Dans sa tête c’est : « La suite… Vite, la suite… La suite, viiiiiiite… ! »

[À suivre]
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