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Police polissonne

Chapitre 24

L’anniversaire de Myriam.

Orgie / Partouze
La suite ? La voici :
Olivier, surnommé pour l’occasion Olive, mange non sans difficultés sa chocolatine et lape son café. Si la situation est excitante, elle n’en est pas moins inconfortable : à quatre pattes et le cul à l’air, c’est pour lui l’occasion de recevoir de la part de tous quelques compliments sarcastiques. Simon propose même de lui mettre un gode dans le cul, mais les filles interviennent en disant qu’il était encore trop tôt, et qu’il valait mieux attendre le soir. En entendant cette réflexion, Olivier est déçu mais pour éviter de précipiter les choses, il ne dit rien. Il imagine tout un tas d’actes plus ou moins porno qui ont pour effet de le faire bander, et ça se voit, car il arbore avec fierté un phallus motivé.
Ce petit-déjeuner est des plus animés, tous se jouent de leur servante en lui demandant de leur servir du café, mais pour profiter du plaisir de voir la servante se relever ; ils lui demandent à tour de rôle. Ainsi ils peuvent à loisir passer leur main sous la minijupe et jouer avec ce qui tente de s’y cacher. La situation plaît à Olivier, mais beaucoup moins qu’à Myriam qui se réjouit de voir son amoureux ainsi traité.
Au milieu des rires, elle réfléchit à ce qui est en train de se passer. Elle se demande si Olivier aime vraiment se travestir, se comporter en femme, ce qu’il fait très bien pour le moment, ou est-ce une folie passagère. Est-ce que ce côté extraverti cache quelque chose, de la peur, de la timidité ; voilà pour elle quelques points à éclaircir. Depuis le début de sa rencontre avec Olivier, elle va de surprises en surprise, elle apprécie sa douceur, sa timidité mais aussi sa capacité de passer d’un extrême à l’autre ; parfois doux et câlin et parfois ferme et autoritaire. Elle aime aussi être dominée et un peu malmenée comme ce matin. Ce goût lui est venu grâce à Sonia et son côté maso, elle prend exemple sur elle ; car elle voudrait lui ressembler un peu.
Comme Sonia a tout organisé, elle prend donc la direction des opérations et informe :
— Aujourd’hui en ce joli jour d’anniversaire, Myriam a tous les droits ; nous devrons réaliser tous ses désirs, même les plus fous. Est-ce que tout le monde est d’accord ?— Oui, répondent en chœur tous les garçons.— Parfait. Comme nous avons une magnifique servante et qu’une servante est faite pour servir ; elle va faire la toilette des garçons. Olive, va vous laver le corps sous la douche avec du savon, pour la bitte et le cul ; ce sera avec la langue. Mais attention il vous est interdit de la toucher, si vous lui éjaculez dans la bouche, elle devra tout avaler. Vous passerez à tour de rôle, une fois les toilettes terminées, tout le monde sera entièrement nu. Les garçons s’assiéront sur la table et assisteront au cadeau que je vais faire à Myriam, car pour olive : il lui est interdit de la toucher pour le moment. Est-ce que c’est bien compris ?— Oui, chef ! répondent- ils à l’unisson.— Bien, tu vois Myriam quand ils veulent être sympas c’est super, non ? ... Bien, Olive à poil et tu descends attendre le premier client.— Bien Maîtresse ! répondit-il en se déshabillant entièrement.
Myriam chuchote à Sonia :
— Si c’est possible, je voudrais l’embrasser ; je peux ?— Va ma belle, tu fais ce que tu veux.
Myriam se lève de table et se dirige vers son amoureux, ils s’enlacent tendrement et il lui susurre à l’oreille :
— Je t’aime, et je vais faire tout ce qu’ils me demanderont ; rien que pour toi. Vas-y, amuse-toi et si tu as envie de faire l’amour avec les autres garçons profites-en. Je t’aime si fort que je ferais n’importe quoi pour toi.
— Moi aussi je t’aime très fort, mais je ne veux pas te faire de peine en couchant avec d’autres et devant toi en plus.— Non, au contraire, je veux que tu le fasses. Éclate-toi, c’est ton anniversaire et c’est le seul cadeau que je puisse t’offrir aujourd’hui, lui déclare-t-il en enlaçant son tendrement.
Après un long baiser, ils se séparent et Olivier descend vers les sanitaires. Pendant ce temps les trois autres garçons se sont mis nus et les deux filles gardent leur peignoir resté ouvert. Bien qu’ils aient l’habitude de les voir nues, ils commencent à être excités à cause de l’érotisme dégagé par leurs tenues. L’ouverture de leur peignoir laisse entrevoir quand elles marchent des jambes musclées et joliment dessinées.
En ce déplaçant le vêtement de Sonia virevolte derrière elle et s’ouvre complètement, d’un geste vif elle le fait voler et il se pose comme un papillon sur son lit ; elle est nue. Offrant ainsi à l’assistance, son corps encore en court de modelage et totalement imberbe à l’exception d’une belle chevelure brune et souple ; arrivant juste au niveau de sa nuque. Ce qu’elle préfère ce sont ses seins, devenus fermes et bien ronds - mais sans encore atteindre la taille espérée - ils s’accordent parfaitement avec ses bras et ses abdominaux sculptés par un Rodin imaginaire.
Sonia tire partiellement les rideaux des fenêtres pour créer une ambiance plus intime. Christian cherche un morceau de musique de circonstance sur son portable ; ce sera : « Oxygène de Jean-Michel Jarre ». Sonia rejoint Myriam et lui tend deux doigts comme si elle accompagnait la mariée à la Mairie ; Sonia l’amène jusqu’au lit placé en jumeaux. Debout elle fait glisser au sol le peignoir de la belle, l’enlace et l’entraîne dans un baiser tendre et doux ; les trois garçons nus et assis sur la table admirent le spectacle, et bandent déjà.
Le premier des trois se lève, la bitte à la verticale, et descend vers les sanitaires. Olivier, nus comme un ver l’attend.
— Allez esclave, lave-moi, dit-il majestueusement.— Oui, Maître, acquiesce-t-il humblement.
Olivier s’active, savonne la totalité du corps de Christian avec délicatesse et application, arrivé au pénis ; il le rince mais hésite un peu. C’est sa première fois qu’il va sucer une bitte, et il est un peu stressé. À cause de son éducation : sucer le sexe d’un homme est un véritable parjure, il sait maintenant que les foudres de l’enfer vont s’abattre sur lui. Adieu paradis, je serai damné et j’irai en enfer ! se dit-il. Il s’en fout car le paradis, il est là, dans sa bouche, et mieux encore. C’est quand il est avec Myriam qu’il est le mieux et dans sa tête cette phrase : « Ô Myriam, comme je t’aime... »
Alors il décalotte complètement le gland et le lèche consciencieusement, il pratique cette fellation de la même façon que Sonia ou Myriam savent lui faire pour qu’il arrive à l’orgasme. Puis il doit aussi lui nettoyer le cul ! Mais pour le coup, l’opération devient compliquée ; la honte lui monte jusqu’aux oreilles. Même si le désir d’être le jouet des autres, le fait de lécher le cul d’un mec lui semble insurmontable ; il écoute Christian qui comprend la situation et lui dit :
— Olivier, on fait une pause si tu veux ; et dis-moi pourquoi tu fais ça ? À te voir avec Myriam, et tu n’es pas homo que je sache.— Parce qu’elle me l’a demandé.— Alors ou t’es con ou tu es vraiment accroché.— Choisis la seconde solution alors.— Putain, t’es vraiment accroché alors ; moi je ne le ferais pas. Alors, fais ce que tu as à faire.
Penser que Christian ne ferait pas ça pour une femme le rebooste, il oblige son maître d’un instant à se pencher en avant et lui lèche l’anus. Comme il avait bien savonné l’endroit, et contrairement à ses craintes, il ne trouve pas de goût particulier ; il lèche le trou de balle avec ardeur jusqu’à ce qu’il reluise. Sa détermination paye, car il s’aperçoit que l’homme gémit et bande comme un taureau, alors, n’écoutant que son courage ; il entreprend de le masturber en même temps. Jugeant que la rondelle de Christian est suffisamment reluisante, il embouche à nouveau le chibre et le masturbe entre ses lèvres. Il rajoute un doigt dans le cul de l’homme qui sous l’effet de cette enculade impromptue lui éjacule quelques rafales de sperme dans le gosier qu’il avale rapidement.
— Putain, chapeau mec ; ta gonzesse peut être fière de toi. Je monte, et bon courage pour la suite, remercie Christian en remontant dans la chambrée.
Dans la pièce, les deux femmes répètent les gestes d’une relation saphique prometteuse. Après avoir dévêtu Myriam, Sonia la couche presque de force et s’allonge sur le lit ; les deux garçons restants assistent au début des jeux érotiques des deux filles.
Sonia se met à caresser Myriam avec cette délicatesse qui lui est propre, quand elle a décidé d’être douce et sensuelle, elle parcourt de ses mains la totalité de ce corps si désirable. Des caresses avec les mains, elle passe à celle avec la langue, les tétons hérissés sont les premiers à recevoir les largesses de l’organe vif, puissant et alerte. Quand elle serre les mamelons avec ses dents, la belle gémit, aux coups de dent suivant elle glousse ; le dernier pincement entre pouce et index la fait se tordre de plaisir. Les deux spectateurs sont passés de l’état bande foulard à la belle trique à la verticale.
Arrive le tour du second larron d’aller se faire laver par la soubrette. Les filles continuent leur démonstration de plaisir lesbien, Myriam retourne Sonia et s’assoit sur son pubis ; elle frotte son clito sur son mont de Vénus fraîchement rasé. Elle lui masse les seins en chuchotant de jolis compliments, et Myriam de féliciter Sonia sur l’embellissement de sa poitrine :
— Tu sais qu’ils sont super-mignons tes tétés, j’adore les toucher et surtout tes tétons ; je crois qu’ils ont un peu grossi aussi.— C’est vrai que je commence à bien les aimer, et je voudrais qu’ils grossissent encore un peu plus pour être comme les tiens, répond-elle en ondulant du bassin.
Au retour du dernier garçon et de la réapparition de la servante, Sonia se relève et interpelle la soubrette.
— Esclave ! Tu vas t’occuper de nous deux. Fais-nous aussi une beauté, là ! ordonne-t-elle en désignant du doigt sa chatte et celle de Myriam.
Les deux filles, excitées par leurs préliminaires, ont la moule baveuse et dégoulinante de cyprine brillante. Côte à côte et à quatre pattes sur le lit, elles présentent sans aucune retenue leur intimité ouverte et prête à recevoir une belle toilette de chat.
Trop heureuse, la servante saute sur l’occasion et lèche à tour de rôle les deux chattes dégoulinantes. Les deux filles gémissent et s’embrassent dans de longs et langoureux léchages de museau ; mais :
« Communication générale,... Communication générale,... : Ouverture de la rampe dans cinq minutes. Je répète : Ouverture de la rampe dans cinq minutes ! »
Sonia se redresse :
— On va manger, j’ai faim !— Ouais, on s’habille et on y va, confirme Romain.— Euh..., et moi, je fais quoi ? demande timidement la servante.
Myriam le regarde froidement et lui dit :
— Tout d’abord, tu aurais dû dire : Maîtresse, je dois y aller aussi ? Ou encore : Maîtresse, est-ce que je peux m’habiller autrement ?— Oui Maîtresse, répond-il d’un ton piteux— Ne te casse pas la tête car la réponse est oui, tu viens avec nous, et oui, dans cette tenue.— Bien Maîtresse.— Je pars devant, annonce Sonia qui a déjà enfilé son survêtement et ses baskets.
Le temps de refaire le maquillage d’Olive, et ils se dirigent vers le restaurant. À leur arrivée, ils sont accueillis par de magnifiques : « Happy Birthday to you ! » suivis d’applaudissements et de sifflets à l’attention de la servante.
La petite bande s’installe à table et charge la servante de faire le service. Deux tables plus loin cinq militaires en survêtement dont deux filles rient joyeusement, et en voyant la servante et sa tenue de soubrette ; lui lancent quelques quolibets bien gras. La pauvre servante rougit sans répondre aux blagues plus que douteuses. Leurs voisins de table ont terminé et après avoir débarrassé leurs plateaux, un d’eux vient directement voir Sonia.
— Dis, tu as dit tout à l’heure que c’est l’anniversaire de Myriam, c’est ça ?— Oui, pourquoi ?— Et vous faites quoi, après bouffer ?— Je ne sais pas exactement, peut-être boire un coup au foyer ; pourquoi tu payes ta tournée ?— Si vous voulez, et après ?
Sonia qui est bien loin d’être idiote comprend instantanément l’arrière-pensée de l’homme, et lui répond.
— À ton avis ?— On va se débrouiller pour avoir un peu plus à boire et on pourrait vous rejoindre dans votre piaule ; et...— En gros tu veux un plan cul. Putain soit clair au moins, attends !
Elle se tourne vers Christian, bien occupé à lui caresser la cuisse et même l’entrecuisse ; elle lui demande :
— Tu crois qu’on peut les inviter, je pense qu’ils ont envie d’un plan cul ? Il faudrait plus de trucs à boire et à manger.— Quoi, un plan cul à onze ? Mais c’est le pied ça ! Pour les boissons, l’apéro et le dessert, nous avons ce qu’il faut, bien au frais dans le coffre de ma voiture, nous avons de quoi tenir un siège ; sûr qu’ils peuvent venir.
Elle se retourne vers l’homme et lui dit :
— C’est d’accord, vous pouvez venir ; on se retrouve au bar du foyer ?— Cool, c’est d’accord ; juste une question ? Ton collègue déguisé en servante il n’est pas un peu...— Pédé ? Pas du tout, je peux te le garantir et Myriam est sa copine ; mais ce soir on joue, alors tout peut arriver.— Super, car il a déjà un ticket avec notre pote, le blond ; il est bi.
Après avoir débarrassé leurs plateaux, la petite bande dessert la table et se rend au foyer, en chemin, Olivier interpelle Sonia.
— Dis, qu’est-ce qu’il voulait le mec ?— Devine, nous payer un coup et monter un plan cul ; ça te branche ?— Oui, mais dans cette tenue ; ils vont me... Euh... !— Ah, tu as peur à ta rondelle ? Crois-moi, s’il y en a un qui te propose de te sodomiser ; fais-le, tu m’en diras des nouvelles.— C’est vrai... C’est bien ?— Essaye et tu verras.
Depuis toujours, Olivier fantasme sur cette chose, en dehors du caractère masculin de cet acte ; il voudrait savoir ou plutôt découvrir ce que ressent une femme lors de la sodomie. Quand elle rajoute qu’il a déjà un ticket avec le blond, il se sent presque rassuré ; au moins ce ne sera pas un mec de la section qui le sodomisera.
Au bar, l’ambiance est à la fête, on danse grâce à la musique d’une station de radio diffusée par un gros poste stéréo au son pas vraiment Hifi. Après quelques morceaux de musique endiablée, Myriam se lance avec Olivier dans un slow sensuel ; elle lui pelote les fesses et s’amuse à lever la minijupe ; ce qui a pour effet d’exciter l’assemblé. Lors d’un slow langoureux, Olivier inonde Myriam de « Je t’aime », elle lui répond avec des baisers fougueux sous l’œil admiratif de Sonia qui a bien l’intention de s’amuser aussi.
Quand l’annonce de la fermeture du foyer et de l’ouverture de la rampe se fait entendre. Sonia est passée dans tous les bras et s’est déjà faite peloter les fesses et les seins à travers et dans son survêtement. Le dernier slow est pour Christian qui semble être très intéressé par le corps de Sonia, il la lâche pour rejoindre le groupe des cinq, et disparaître avec eux après avoir glissé à Sonia qu’ils allaient chercher de la bouffe supplémentaire à la rampe ; et qu’ils n’auront qu’à monter directement dans la chambrée.
Lorsqu’ils arrivent tous, il découvre une table généreusement garnie de boissons, et tout ce qui peut remplir les estomacs ou plutôt éponger l’alcool qui sera ingurgité. Un apéro pour commencer et un toast à l’attention de Myriam.
Chose étrange, le chauffage est à fond et les filles ne se font pas prier et se mettent toutes les quatre entièrement nues ; histoire de donner le ton, Myriam qui à bien l’intention de s’amuser annonce :
— Hé les mecs ! Nous, on est Open et que la fête commence !
Dans ces cas-là, il n’y a pas de traînards. Olivier déchaîné, offre au son d’une musique lancinante au titre inconnu et toute droite sortie du Smartphone de Romain, un strip-tease sensuel et parfaitement réaliste. Cette entrée en matière sonne le début d’une véritable orgie, l’alcool coule à flots, les bittes se raidissent, les filles mouillent et sucent à tout va. Les filles passent de bittes en bittes, les bouches s’embrassent, les mains touchent et palpe les seins, les fesses. Les doigts, suivis des membres tendus s’enfoncent dans les vagins et même dans les trous du cul.
Dans un coin de la pièce deux hommes, Olivier et Stéphane (le blond) s’affairent sur un lit. Olivier se laisse entraîner par le blond, qui lui offre une belle fellation. Pour Olivier le plaisir est bien là, grandissant, presque envoûtant ; l’envie de la sodomie devient de plus en plus pressentent. Quand Stéph lui propose de lui faire, son ventre se crispe sa bitte grossit encore ; il se place à quatre pattes et présente son cul.
Sonia qui a vu la scène prévient Myriam et les deux femmes s’installent assises en tailleur juste à côté. Pour ne pas voir les autres, la soubrette ferme les yeux ; il ressent un plaisir étrange. Ce plaisir est un mélange de soumission et de honte, il sait que tous les yeux sont tournés vers lui ; l’envie de fuir lui traverse l’esprit. Mais le besoin de goûter à ce plaisir est plus fort, alors il reste, se cabre en présentant son anus à son enculeur ; et laisse le gland lubrifié toucher sa rondelle. Le blond applique une pression douce et régulière qui force petit à petit le sphincter. Totalement décontracté, Olivier se laisse faire et après une légère douleur, le vit pénètre doucement et régulièrement en lui. Lorsqu’il s’enfonce et touche le point P -pour prostate - une vague de plaisir lui envahit tout le corps.
À chaque mouvement de va-et-vient, des sensations diffuses envahissent tout son corps, au fur et à mesure des coups de reins plus marqués, de nouvelles vagues de plaisir plus intense apparaissent rapidement. L’homme l’empoigne par les hanches, Olivier se sent comme possédé ; son fantasme se réalise au-delà de ses espérances. Nu et à quatre pattes il se laisse prendre comme un chien, cette fois le blondinet lui astique le cul à grands coups de bitte ; la sensation est plus profonde, presque bouleversante. À force de stimulations sur sa prostate, l’orgasme arrive, rapide, profond, électrique ; et pourtant il n’a plus aucune érection et encore moins d’éjaculation. Tout se passe à l’intérieur de lui quand Stéph pousse sa bitte au fond de ses entrailles, il stimule encore et encore son point P etlui décharge un flot de sperme. Un nouvel orgasme arrive, puissant ; la soubrette bande d’un coup. Myriam qui n’a rien perdu de cette séance d’enculade, plonge sous Olivier attrape sa queue et l’engloutit sauvagement. Elle suce cette bitte si raide et si belle, elle la branle, vite, très vite pour en sortir la semence qu’elle va avaler d’un coup. Olivier n’y tient plus il se lâche et expulse une belle quantité de sperme dans la gorge de sa belle, son sphincter se resserre sur le phallus encore présent dans ces boyaux ; il est ravi de cette découverte.
Dehors il fait nuit depuis déjà un long moment. Olivier récupère et termine de savourer son plaisir, il s’est assis en tailleur sur son lit le dos appuyé au mur. Myriam le rejoint avec à boire et à manger, et s’installe contre lui. Ils mettent de côté leur timidité, ils s’embrassent et se caressent sans aucune gêne devant les autres. Olivier se confie à sa belle :
— Tu sais Maîtresse, je ...— Laisse tombée la maîtresse, à moins que cela te fasse vraiment envie ; mais raconte-moi ton expérience, lui demande-t-elle en se blottissant contre son épaule et en se recroquevillant tout contre lui. — Je crois que je n’ai jamais pris autant de plaisir. Je ne sais pas comment t’expliquer, et je pense que le mieux est de le vivre au moins une fois.— Donc tu préfères te faire sodomiser alors ?— Pas du tout, mais j’aime bien les deux et ce qui serait chouette, ce serait de faire les deux en même temps ; comme quand tu te fais prendre par les deux côtés.— Écoute, je ne me suis jamais fait sodomiser mais si c’est toi qui me le fais ; je veux bien essayer.— Maintenant ?— Non, quand nous serons seuls, je veux que tu me le fasses avec douceur et tendresse.
La fête bat son plein, cette fois c’est Sonia qui est aux prises avec trois hommes et une femme :
— Sonia ! interpelle le fameux Christian. Ça va être ta fête ! Trois bittes et une femme ça te tente ?— Avec plaisir, vous pourrez me démonter tant que vous voudrez ; mais pas avant d’avoir bu un coup.
Christian et Olivier offrent aux filles une flûte (en plastique) de crémant d’Alsace. Les garçons se servent à boire et à manger, tout le monde trinque en l’honneur de Myriam ; l’ambiance est très chaude. Les filles s’amusent à exciter les mecs le plus possible, par des allusions et des gestes érotiques ; ce soir c’est la fête et tout le monde à envie de se lâcher. Il est vrai qu’après trois mois d’entraînements intenses, que ce soit de sport, de tir avec depuis peu des armes de guerre ; ce moment de folle rigolade et de baise tombe à point nommé.
Sonia qui n’a pas l’habitude de boire se laisse aller à picoler un peu. Elle se laisse tripoter tout le corps sans retenue, tous ces apollons aux bittes raides comme des obélisques l’excitent terriblement. Les prétendants à une partie à cinq ne cessent de lui toucher tout le corps, la fille au prénom de Thea, elles se lancent dans une embrassade d’une rare intensité. En réalité elles vident leur verre de mousseux en s’échangeant le liquide directement de bouche à bouche.
— Hum... Thea tu es vraiment...
Elle n’a pas terminé sa phrase que les trois garçons la prennent, deux par les pieds et un par les bras, et la jettent littéralement sur un lit. Thea lui saute dessus et lui lèche la chatte et le cul jusqu’à ce que le tout soit parfaitement lubrifié. Sur le signal de la lécheuse, un des garçons se cale sur le dos, les deux autres prennent Sonia par les, chacun par un côté, et l’empalent sur la bitte de Christian. Puis elle se place à quatre pattes au-dessus de lui pour laisser de la place à Thea qui lui gobe déjà les tétons. Romain se place derrière en encule la belle brune qui suce déjà la bitte de Simon à grands coups de langue. Et comme elle l’a demandé, ils la démontent à grands coups de bittes jusqu’à ce qu’elle, complètement épuisée par les multiples orgasmes, les supplie d’arrêter.
Les nouveaux amis aussi ne sont pas en reste non plus ; c’est une véritable orgie.
Le couvre-feu a sonné depuis déjà longtemps, les bouteilles se vident. Passé minuit, il reste encore de quoi alimenter en boisson une section entière, et il reste le gâteau d’anniversaire. Myriam souffle les vingt-quatre bougies disposées en cercle sur le tiramisu resté au frais dans la voiture de Christian ; tout le monde chante le fameux « Happy Birthday to you ! ». On boit, on trinque et on baise à couilles rabattues.
Les deux amoureux mangent une part de gâteau en se donnant mutuellement la becquée, sans compter les doux baisers accompagnés d’un océan de « Je t’aime ! » ; ils trinquent à eux et à leur amour qu’ils souhaitent long et beau. Le temps passe, tout comme les couilles, les verres sont vides, et le sommeil est là ; envahissant. Myriam et Olivier sombrent les premiers, suivis de Sonia qui c’est trouvé un nounours pour la nuit. Quelques garçons font de la résistance, ils vident les restes des dernières bouteilles de whisky et de mousseux avec la ferme attention de tout débarrasser avant de se coucher. Mais, ronds comme des queues de pelles, le sommeil les embraque avant qu’ils puissent se lever et tenter de tenir debout. La fraîcheur de la nuit ne les empêche pas de dormir, et tous ronflent comme un régiment de sapeurs.
[À suivre]
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