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Police polissonne

Chapitre 29

Le vice et la neige.

Hétéro
Alors le sergent se retourne. Les yeux exorbités et la bite à la verticale dans son pantalon, il fait deux pas vers les filles. Contrairement au règlement militaire, il ne porte jamais de caleçon, mais parfois un string homme ; cela fait partie de ses fantasmes de célibataire endurci. Avoir les couilles libres dans son falzar ou la rondelle limée en permanence par la ficelle d’un string trop petit, fait partie de ses plaisirs solitaires. S’il a réussi à résister à la tentation de sauter Sonia la dernière fois, cette fois, la vue des deux filles nues dans la neige fait ressortir son instinct de mâle. Si cela se sait, il en sera fini pour sa carrière ; alors il s’adresse aux filles.
— Ce que vous faites est une véritable torture pour moi. Vous êtes si belles et si désirables que j’ai envie de faire des choses avec vous.— Vous voulez nous sauter, c’est ça ? interroge Sonia.— Enfin ce n’est pas vraiment ça, ici ce n’est pas possible. Même si je le voulais, je n’ai pas le droit de faire cela, c’est interdit ; je risque d’y laisser ma carrière.

Les deux filles se regardent un instant dans les yeux, et leur clin d’œil complice scelle le destin du sergent. Sonia dit :
— Alors comme ça, vous n’avez pas le droit de vous faire plaisir ? Eh bien nous si, alors on va te violer mec ; ainsi l’honneur sera sauf. D’accord ?

Le « Oui » qu’il vient de prononcer est sorti instinctivement de sa bouche, la situation est devenue si excitante qu’il sent comme des fourmillements dans tout son corps, accompagnés d’une terrible érection.
— Toi qui voulais me toucher les seins tout au début de la formation, maintenant je t’y autorise ; viens, ordonne Sonia.

L’homme s’approche, hésite. Tiraillé d’un côté par le désir de satisfaire l’envie de se faire les deux jeunes femmes si appétissantes, et de l’autre le risque de se retrouver en taule, voire de se faire éjecter de l’armée pour harcèlement sexuel. Alors les filles pensent pour lui et surtout à leur cul, imaginez-les se faire sauter par le chef, serait un véritable délice ; Sonia en rêve depuis longtemps. Alors elle n’hésite pas un seul instant et saisit les mains du sergent pour les plaquer contre ses seins ; la chaleur des paluches de l’homme lui fait le plus grand bien. Le chef peut enfin palper les melons de la belle dont les tétons érigés par le froid viennent se blottir dans le creux de ses mains. Myriam ne perd pas un seul instant pour ouvrir la ceinture du pantalon et libérer le phallus surexcité en s’exclamant :
— Putain, t’as vu, il ne met même pas de calbut !

Sans attendre, elle embouche l’engin et se lance dans une pipe au carré. Elle pompe le dard du chef avec une ardeur et un plaisir qui n’a pas son pareil d’avec ce qu’elle a fait ou connu jusqu’à ce jour. Sonia se laisse gentiment peloter les seins en roulant des yeux sensuels et aussi provocateurs que son art de la séduction l’autorise. Elle en profite pour se masturber le con devant les yeux exorbités du chef dont l’excitation a atteint son paroxysme. Mais hélas, l’appel de leurs camarades interrompt leurs préliminaires. Comme Myriam a la bouche pleine, Sonia crie :
— On arrive dans deux minutes !


Le sergent surpris, mais surexcité par cette intervention inopinée envoie de longues giclées de sperme dans la bouche de Myriam en gémissant de bonheur. Sonia s’en aperçoit et dit à la pompeuse.
— Oh, tu n’avales pas tout ; moi aussi je veux y goûter.

La bouche pleine Myriam se relève et partage le précieux nectar avec sa complice dans un roulage de pelle, baveux et dégoulinant. Devant ce spectacle des plus torrides, le sergent se sent obligé de se branler avec vigueur. Alors que les filles s’enfuient vers la maisonnette ; il éjacule une nouvelle fois en laissant son sperme marquer son empreinte sur la neige immaculée.
— Eh bien, vous en avez mis du temps ! s’exclame Olivier.— Et alors, on n’a pas le droit de faire l’amour dans la neige ? Vous auriez dû venir avec nous les gars. Bon, le café est prêt au moins ?

Le crissement des pas sur la neige du sergent se fait entendre, les filles sont encore nues et l’homme entre.
— Alors, tout le monde est prêt ? Ah..., je vois que les filles ne sont pas encore habillées, vous avez l’intention de continuer la formation dans cette tenue ? demande-t-il innocemment en les fixant du regard.— Non, Chef ! Nous avions juste une petite beauté à nous refaire ; vous prendrez bien un café avec nous... ?— Oui, avec plaisir, répond-il.

Pour le café, ce sera du café soluble dilué dans de l’eau chauffée au feu de bois. Tous s’installent à table, Sonia et Myriam rhabillées se placent côte à côte et en face du sergent. Sur la table, il y a tout ce qu’il faut, et notamment des bananes pour se remplir correctement l’estomac avant la marche qui les attend. Sonia et Myriam en prennent chacune une, elles se regardent et commencent à peler leur fruit en roulant des yeux sensuels au sous-officier. Puis, elles la prennent en bouche en la suçant comme elles l’ont fait avec la hampe du chef. Sans quitter son regard, elles caressent le fruit avec la langue, se lèchent les lèvres en jouant la provocation ; puis se l’enfonce jusqu’au fond de la gorge et la masturbe du bout des lèvres. En face d’elles, les images et les sensations que l’homme a ressenties il y a peu de temps lui reviennent en mémoire et son sexe s’en souvient également ; il bande à nouveau.
Les garçons s’aperçoivent du manège fait par les deux filles et Simon intervient :
— Oh les filles ! Vous êtes en manque, ou quoi ? Car si vous avez envie de passer à la casserole ; nous sommes un de plus...

Sonia mord dans sa banane et répond avec la bouche bien pleine.
— Mmon, ç’va, ...— Bien il va falloir penser à prendre le chemin du retour, coupe le sergent au bord de la syncope.

Le petit-déjeuner pris, le feu éteint et les lieux nettoyés ; toute l’équipe prend le chemin du retour.
— Chef, est-ce qu’on repasse par la Tyrolienne et l’escalade ? demande Sonia avec enthousiasme.— Cela vous tente à tous ? — Oui, Chef ! répondent-ils.— J’en suis ravi, alors allons-y ; suivez-moi ! Hein... Heu..., Hein... Heu...!

Sonia qui a le cœur joyeux, mais ne connaît pas de chant militaire ; entonne :
« Jeanneton prend sa faucilleLa rirette, la rirette,Jeanneton prend sa faucilleEt s’en va couper des joncs, ... »
La marche se poursuit sur les airs des chansons paillardes connues de tous. Comme prévu, ils passent par les deux exercices effectués la veille, Sonia toujours dans le même état escalade et effectue la descente en rappel sans aucune assistance. Pour la Tyrolienne, elle ouvre grand les yeux pour profiter au maximum du spectacle. L’air froid lui single le visage, l’idée de sauter en parachute entièrement nue refait surface ; elle se dit qu’il est dommage de ne pas y avoir pensé plus tôt, car elle aurait fait cette descente dans le plus simple appareil. Arrivée en bas, elle demande au sergent :
— Chef, est-ce que je pourrais le refaire ?— Tu y prends tant de plaisir que ça, maintenant ?— Oui, c’est juste génial et j’aimerais le faire ; mais toute nue cette fois-ci.— Tu es folle, et avec ce froid ; tu vas tomber malade. Et après c’est ...— Chef, vous me réchaufferez bien ? Et puis, j’ai la peau dure, vous savez.— Qui veut le refaire ? coupe le sergent.— Moi, dit Myriam. Et à poil bien entendu, et vous les mecs ; vous venez ?

Comme ils se sont fait traiter de cagette (peureux) au petit matin, et que cette fois le chef est là ; alors tous les garçons se portent candidats.
— Eh bien je vais me régaler, se réjouit le chef. Vous pouvez remonter par ce chemin, c’est tout droit ; moi je reste ici pour vous récupérer.— Et après, on repart par où ? — Par ici, dit-il en montrant la direction du doigt.— Bien, dans ce cas on se déshabille ici ; OK les mecs, ordonne l’instigatrice de cette nouvelle épreuve. Chef, vous gardez nos affaires ?— Ce n’est pas très réglementaire, mais exceptionnellement je veux bien le faire.

Il est évident que pour assister à ce spectacle il est prêt à toute concession. Les filles uniquement revêtues de leurs « Rangers » ont déjà pris de l’avance et grimpent la côte d’un pas décidé. En voyant le déhanchement et le rebondi de leurs fesses musclées à chaque pas, le sergent se régale du spectacle. Il sent une fois de plus son membre grossir dans son pantalon sans sous-vêtement, il glisse sa main dans une poche, attrape sa bite et la masse discrètement.
En chemin, elles se font dépasser par les garçons qui avancent beaucoup plus rapidement qu’elles. Elles se retrouvent seules. Au détour d’un virage, Myriam s’arrête brutalement, se baisse et ramasse des marrons tombés des arbres dont les branches dépassent largement sur le chemin.
— Qu’est-ce que tu vas faire avec ça ? interroge Sonia sur un ton d’inquiétude.— Humm, si tu savais... ; courbe-toi en avant et tu vas voir.

Sonia comprend qu’elle ne lui demande pas de se baisser pour compter les marrons au sol, elle a déjà une idée sur ce que va faire sa copine ; alors elle se positionne.
— Écarte bien les fesses, tu vas voir. Je vais te remplir le cul et la moule de marrons et tu verras que c’est aussi efficace que les boules de geisha.

Elle lui enfile les marrons les uns après les autres, et Sonia commence à prendre du plaisir. L’opération terminée, Myriam lui demande de la fourrer également, puis elles repartent. Elles se tiennent par la main pour tenir la cadence et le mouvement des boules dans leur corps commence à faire de l’effet. Leur vagin vibre de plus en plus. Arrivées en haut de la côte, elles sont toutes les deux prises d’un orgasme, qu’elles ont du mal à dissimuler.
— Et maintenant, on fait quoi avec tes trucs dans le cul ? demande Sonia.— Pendant la descente, tu n’auras qu’à pousser et tout sortira et tu vas jouir une fois de plus.— Eh bien, tu es vachement au courant ; toi.— Non, mais quand je n’avais personne, j’allais dans les bois, je me mettais des marrons et je courais, et voilà.— J’ai hâte de passer, conclut Sonia.

Fort heureusement, le dernier des garçons s’élance. Les militaires qui assurent la sécurité interrogent :
— Il est malade le serpât’ de vous faire faire un truc pareil ?— Non c’est notre idée, elle est cool ; non ?— Surtout glaciale.— Tu as tort, tu devrais essayer. Assez discuté, j’y vais.

Elle s’élance. La chute vertigineuse du début du parcours lui procure une terrible montée d’adrénaline, elle crie à la Tarzan, serre ses abdos et éjecte un à un tous les marrons présents dans son corps. Myriam avait raison, le jeu est formidable ; elle vient d’avoir un orgasme. À son arrivée, le militaire qui lui avait proposé le saut en parachute nu l’interroge :
— Alors Sonia tu t’entraînes ?— Oui, c’était génial ; on le fait quand, ce saut ?— Quand tu veux, mais à cette saison il fait très froid là-haut.— Je m’en fous, je ne crains plus le froid ; alors ?— Je vais m’en occuper, je te tiens au courant.— Bien, sur ces belles paroles, interrompt le chef. Nous allons reprendre notre marche.

Après quatre heures de marche, ils rejoignent le TRM et le 4x4. Avant de prendre la route, le sergent ordonne la pose casse-croûte, car après tous ces exercices ; les ventres crient famine. Tous se tournent en autodérision et commentent leur descente, certains racontent avoir senti leur bite battre contre leur trou du cul, d’autres trouvent qu’il faisait vraiment trop froid et avoir craint de se retrouver avec un pic à glace en guise de sexe. Les filles les rassurent en les informant qu’elles se seraient occupées de les dégeler. Elles concluent en disant que le froid est très bon pour la santé, il permet de tenir la ligne et endurcit le corps ; le sergent approuve.
Une fois restaurés, ils montent dans le camion qui les ramène à la base.
[À suivre]
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