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Police polissonne

Chapitre 33

Le massage de Chloé.

Erotique
Nus sous leurs peignoirs, ils descendent au sous-sol de l’hôtel où se trouvent les installations de bien-être. Ils sont chaleureusement accueillis par une charmante jeune femme, la trentaine, brune aux yeux couleur noisette. Elle est à peu près de la même taille que Sonia mais bien loin de ses soixante-dix kilos de muscles. Du premier coup d’œil, Sonia sait que la jeune femme n’est visiblement pas sauvage, car sous sa très courte blouse blanche, elle ne porte visiblement pas de soutien-gorge et peut-être pas de culotte. Sonia a beau inspecter la blouse qui ne montre pas la trace d’une quelconque ceinture de culotte ni de bretelles de soutien-gorge ; elle est obligée de se rendre à l’évidence :
« Putain elle est à poil sous sa blouse ! Je me la ferais bien en guise de quatre heures.» se dit Sonia avec gourmandise.

Le petit bout de femme physiquement jolie et souriante les accueille avec entrain.
— Bonsoir, dit-elle d’une voix douce et suave. Je m’appelle Chloé et c’est moi qui vais m’occuper de vous. Je peux vous proposer un hammam pour commencer puis un massage pour vous relaxer. Vous pouvez faire les soins ensemble si vous le souhaitez, mais si vous choisissez cette option, dites-le moi maintenant pour que je demande à une collègue de venir. Pour la tenue, je vous propose de mettre un string jetable ; mais vous n’êtes pas obligés, vous pouvez rester nus si vous le souhaitez. Vous faites comme vous voulez, tenez, voici la carte des soins ; vous avez un large choix.
Sonia consulte la carte et s’arrête sur une des spécialités de la maison :
— Pour moi un hammam et un massage relaxant aux senteurs d’orient, commande Sonia.— Et Monsieur ? — Je ne suis pas trop massage, alors je prendrai le hammam puis les jets stimulants.— Dans ce cas, vous pouvez rester le temps que vous voulez au hammam, et pour les jets ; il s’agit d’une cabine automatique. Vous serez seul aux commandes, et libre de choisir les jets, la puissance et la durée du massage. Un détail : l’eau y est froide et les jets puissants. — C’est parfait, je peux aussi le faire nu ? demande Bob.— Naturellement, d’autant que vous serez seul, vous savez les gens sont plus sur les achats de noël qu’à faire des soins ; alors profitez-en.
La masseuse les précède jusqu’au hammam, à côté de la porte un indicateur à LED rouges marque : Temp : 45 °C et dessous, Hygro : 98 %. Sonia sent déjà la chaleur humide s’échapper par le dessous de la porte en verre qui laisse voir un épais brouillard régner à l’intérieur de la pièce.
— Vous pouvez ôter vos peignoirs ici, des strings jetables sont là. Il n’y a personne alors vous faites comme vous le souhaitez. Voici du savon noir et des gants de crin. Je vous conseille de bien vous frictionner, c’est très bon pour la peau. Madame, je viendrai vous chercher dans une vingtaine de minutes ; et vous Monsieur, vous faites comme vous voulez. La cabine à jets est juste à côté ; je vous montre ?— S’il vous plaît.
Elle ouvre une porte et leur fait découvrir quatre vastes cabines. Dans chacune d’elles, trois des parois sont bardées de buses de massage de toutes les tailles. Devant la paroi centrale est fixée sur un pied à hauteur de ceinture une petite lance dont l’orifice laisse présager de la puissance du jet. Chloé explique le fonctionnement du tableau de commande étanche.
— Pour le fonctionnement, c’est simple, là : le bouton marche/arrêt. Ici : le réglage de 1 à 5 pour la puissance des jets. Là : le sélecteur pour choisir le nombre de jets désirés. Et ici sur le pied, le joystick pour diriger la lance, vous vous placez ici et vous pilotez comme cela, dit-elle en prenant la position. Avez-vous des questions ? Le sergent ne répond pas, alors elle enchaîne : Non, alors on passe au hammam.
Ils ôtent leur peignoir et pénètrent nus dans la salle de hammam. La chaleur y est suffocante et au bout de quelques minutes, leurs corps ruissellent de sueur. Ils suivent la consigne, se savonnent le corps avec le gant enduit de savon noir additionné de sable, ils se frictionnent avec vigueur ; l’effet abrasif du sable conjugué au savon est immédiat. Un jus foncé coule à leurs pieds.
— Tu as vu Bob, on dirait qu’on ne s’est pas lavé depuis des semaines ! — Par contre, nous avons la peau toute douce, tu me fais le dos ?— Vas-y et après tu me le feras.
Après s’être parfaitement frotté le dos et le reste du corps, ils s’assoient et attendent patiemment que le temps passe. Sonia regarde avec surprise et amusement les gouttes de sueur ruisseler entre ses seins puis jusqu’à son nombril et inonder le banc en pierre sur lequel ils sont assis. En se penchant en avant, les gouttes perlent de ses tétons et s’écrasent sur ses cuisses ; elle sourit de la situation. Au bout de la vingtaine de minutes annoncée, alors que Sonia commence à avoir du mal à supporter cette chaleur étouffante, la porte s’ouvre et Chloé fait son apparition dans l’épais brouillard ; elle vient à la rencontre de Sonia.
— Vous venez, lui dit-elle.
Sonia lui emboîte le pas, elles sortent de la pièce, Chloé attrape au vol le peignoir de Sonia et ouvre la première porte à sa droite et s’efface pour laisser entrer la belle brune dégoulinante de sueur.
— Le temps que je prépare la table de massage, vous pouvez prendre une bonne douche ; histoire d’enlever les restes de savon. Au fait, le hammam vous a-t-il plu ?— Oui, et le savon est d’une efficacité redoutable, je me sens toute douce.— C’est le but, décrasser la peau en profondeur. J’oubliais : vous pouvez m’appeler Chloé.— Eh bien moi, c’est Sonia ; on se dit tu ?— Avec plaisir, alors vas-y ; la douche est par là.
Sonia se dirige vers la vaste cabine qui se trouve dans une petite pièce contiguë à la salle de massage. Elle entre dans la cabine sans porte et ouvre le robinet d’eau froide en grand. La température de l’eau lui semble glaciale, elle est saisie, alors elle se frotte avec un gant plus doux cette fois. Une fois la douche terminée, elle s’enroule dans un grand drap de bain qui couvre tout son corps, elle se sèche puis se dirige vers la table de massage.
Chloé s’y affaire. Cette table est en réalité un bloc de granit recouvert d’un matelas lui aussi recouvert d’un drap de bain. Sonia remarque avec plaisir qu’en se baissant, la belle brune laisse entrevoir un bout de sein et que sa blouse s’ouvre très haut sur ses jambes effilées.
— Excuse-moi, dit Chloé. Je te trouve très belle et surtout hyper-musclée, tu es une sportive de haut niveau ?— Non, je suis en formation au camp de Sissonne.— Militaire, alors ?— Non, flic.— Eh bien les voleurs vont avoir intérêt à surveiller leurs abatis.— Oui, c’est le but.— C’est ton mec qui est avec toi ?— Pas vraiment, c’est mon formateur ; dans trois semaines, je serai partie. — Dommage, vous formez un beau couple et puis côté..., Chloé s’interrompt brutalement, car elle vient de comprendre qu’elle était à deux doigts de parler de cul.— Tu veux dire côté cul ?— Non non, oublie ça ; j’allais dire des conneries. Bon, allonge-toi sur le dos je vais te masser.
L’intuition toute féminine de Sonia lui laisse penser que cette jeune femme a l’air d’aimer le sexe, et à sa façon de la regarder qu’elle est certainement lesbienne. Cette pensée la réjouit car elle ne serait pas contre un joli câlin avec elle ; d’autant qu’elle est en tenue et que la petite ne sera pas longue à se déshabiller. Alors elle s’allonge sur le dos et se laisse emporter par la musique douce à la sonorité orientale.
Chloé verse de l’huile de massage à la rose, étale avec délicatesse le liquide sur la totalité du corps de sa patiente, puis lui masse les bras en étirant bien la peau jusqu’au bout des doigts. Puis elle passe au visage en commençant par les tempes en leur appliquant des mouvements circulaires avec les pouces. Ses joues et le tour de ses yeux ont droit aussi au même traitement ; Sonia se laisse aller, elle se détend et commence même à somnoler. Après un petit moment, le bien-être a totalement envahi tout le corps de Sonia ; elle se sent bien et décontractée. Elle se laisse bercer pas la musique mais surtout par les doigts qui passent sur ses seins.
Elle sursaute quand sa masseuse effleure ses tétons qui se dressent d’un coup. Ces doigts qui redessinent ses seins et courent jusqu’aux pointes maintenant érigées et sensibles font frissonner Sonia de désir. Chloé en admiration devant le corps sculptural de sa cliente laisse son instinct guider ses doigts qui ne manquent pas de continuer leur course en descendant le long du ventre musclé qu’elle envie. Sonia ouvre les yeux au moment où le tissu de la blouse lui caresse le bout du nez et une discrète odeur d’un parfum de marque lui remplit les narines. Elle entrevoit par l’ouverture de la blouse l’entre-sein qui lui apporte la preuve que sa masseuse ne porte pas de soutien-gorge. Mais les mains agiles poursuivent leur chemin et massent les abdos en grands cercles concentriques, puis descendent encore un peu vers le pubis lisse de Sonia qui ouvre ses jambes dans l’espoir que sa bienfaitrice comprenne le message.
Leurs regards se croisent, Chloé ressent comme une invitation à aller plus loin, et avec un joli sourire, elle laisse descendre ses doigts sur la vulve tout humide qui semble l’appeler. Elle rencontre et titille le clitoris, Sonia frémit. Chloé insiste et entre un doigt dans la caverne dégoulinante ; n’y tenant plus, elle demande :
— As-tu déjà fait un body massage ? — Non, c’est quoi ? demande Sonia dont le corps enflammé par le doigté semble l’abandonner.— C’est un massage qui se fait, non pas avec les mains mais avec le corps. — Nu ? — Oui, si tu veux, je te le fais. Je me mets toute nue et je te masse partout avec mon corps ; tu veux essayer ?— Avec plaisir...
Chloé quitte sa blouse, et les doutes de Sonia se confirment : la fille était bien nue sous sa blouse ! Sonia découvre le corps de la masseuse au teint un peu hâlé et pense qu’elle est visiblement une adepte du bronzage intégrale.
« Humm, ... Ses seins sont trop mignons, bien ronds comparés à ceux que j’avais il y a six mois ; au pif, elle doit faire un 85B. Bon mais elle a de jolies fesses bien rondes, par contre elle a la taille plus fine que moi et elle s’épile. C’est cool ça ! J’ai hâte de la sentir sur moi..., elle est vraiment craquante ! » se dit Sonia.
Chloé grimpe sur la table de massage et s’allonge de tout son long sur le corps de Sonia qui n’attend que cela. Elle laisse la belle masseuse faire des mouvements de va-et-vient, ventre contre ventre, seins contre seins. Les tétons qui se frottent les uns contre les autres commencent à faire monter en elles le désir si doux d’aller plus loin. L’incitation de Sonia en écartant les jambes est sans équivoque pour Chloé, elle y glisse son genou et frotte le clito de sa cliente qui commence à gonfler d’envie. Sonia remonte sa jambe et applique sa cuisse contre l’abricot de la brunette, puis frotte le fruit qui commence à laisser échapper son suc. Le baiser, ou plutôt la pelle gourmande qu’elles s’échangent est digne des plus belles scènes érotiques d’un film lesbien. Leurs langues enflammées se mélangent et dansent dans une valse entraînante ; Sonia est en feu.
— Laisse-moi faire, dit Sonia en se glissant hors de la table et en laissant son amante sur le dos.
Quand elle remonte, c’est pour se placer en position de 69 et entraîne Chloé dans un cunni hors normes. Sonia sait qu’elle ne va pas résister longtemps à la pro du massage et se retourne pour lui masser les seins. Elle les prend à la base et remonte en serrant de plus en plus ses mains pour finir par les tétons qu’elle pince et étire. Chloé emportée par ce jeu saphique ne veut pas rester à la traîne et plonge sa langue dans l’antre qui suinte de plaisir. Elle veut conclure. Deux doigts dans le vagin de Sonia pour les humidifier en tournant et en s’agitant dans le fruit bien mûr, passent dans le trou du cul de Sonia qui pousse un petit cri de plaisir et redouble d’ardeur sur le cunni qu’elle est en train de réaliser. Chloé reprend le sien, étire sa langue le plus loin possible pour attraper le maximum de jus qu’elle aspire aussitôt.
Pour les deux femmes, le point de non-retour est arrivé, le mécanisme de l’orgasme vient de démarrer par une envolée de papillons multicolores qui semblent traverser tout leur corps. Un vent violent chasse les lépidoptères imaginaires et l’ouragan du plaisir secoue les deux femmes dans un orgasme puissant. Elle reste ainsi avec leurs doigts dans les fesses de l’autre et la langue plantée dans le vagin à aspirer le nectar qui s’échappe de leur caverne.
Mais Sonia n’en a pas terminé. Elle se retourne et s’assoit sur le ventre de Chloé pour s’adonner au plaisir qu’elle aime et veut faire partager en attrapant les tétons de Chloé et en les écrasant doucement. La masseuse qui n’avait jusqu’à présent jamais essayé ce genre de petit supplice apprécie au point d’encourager sa douce tortionnaire :
— Oh, ... ouiii... que c’est bon encore ... continue ...
Sonia comprend que la belle réclame encore plus et tout en massant d’une main les seins à tour de rôle, elle continue de maltraiter les pointes brunâtres ; puis elle se recule un peu. Elle enfonce alors ses doigts dans l’antre de la belle qui, après un court instant, se retrouve à nouveau prise par les spasmes du plaisir. À peine le temps de récupérer qu’elle repousse Sonia, descend de la table et l’oblige gentiment à s’allonger sur le dos. Pour ne pas laisser sa cliente en reste, elle reproduit les mêmes gestes, caresse les seins, mordille les tétons, et masturbe le con de Sonia qui est au bord de l’orgasme. Elle lui demande de se retourner pour s’occuper de son dos, mais Sonia se retrouve rapidement avec un, puis deux et trois doigts dans le cul ; Chloé en ajoute trois dans la moule baveuse de sa cliente. À force de se faire astiquer le cul et le con, elle est prise d’un joli orgasme qui semble ne pas vouloir s’arrêter.
— Eh bien Chloé, si tu fais cela à toutes tes clientes ; tu dois avoir un succès fou, ...— Non, pardon ; je me suis laissée aller. Je n’ai pas pu résister à l’appel de ton corps, pardonne-moi ; je ne le referais plus.— Te pardonner ? D’accord, mais à condition que je te le refasse.— Alors tu as aimé ?— Si j’ai aimé ? Mais c’était divin ma chère. Dis-moi, que fais-tu pour les fêtes de fin d’année ? demande Sonia qui vient d’avoir une idée lumineuse.— Comme je suis seule, mon copain vient de me laisser tomber ; alors j’ai demandé à travailler pendant toute la période des fêtes. Je commence dès demain matin pour deux semaines non-stop.— Mince, et moi qui voulais t’inviter à passer une soirée avec nous.— Je n’ai que ce soir de disponible, mais je ne veux pas vous déranger ; et puis ici... La patronne ne va pas être d’accord.— Écoute-moi, je vais te confier un truc : l’homme qui est avec moi, est comme je te l’ai déjà dit mon formateur, je suis un entraînement très poussé ; mais lui a un fantasme [...] — Quoi, tu me dis qu’il adore les pieds des femmes ! — Oui, et pas que ça ; il veut que je le fouette et je ne sais pas quoi encore.— Il est maso ?— Oui, et un peu fou aussi ; mais tu vois, quand je suis entré à la base il y a six mois, j’étais à peu près de ton gabarit, il m’a tout appris, il m’a repoussée dans mes derniers retranchements, il m’a fait surmonter mes peurs et mes angoisses et m’a entraînée au sport de combat pour réussir dans ma vie professionnelle.— En gros, il t’a transformée en Wonder-Women, et tu vas faire quoi avec tout ça ?— Je suis flic dans une brigade très spéciale [...] voilà. Alors, une soirée avec nous ; ça te dit ?— Franchement oui, mais il faut que je demande l’autorisation.— Ta patronne ? Laisse tomber, je m’en charge...
[À suivre]
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