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Police polissonne

Chapitre 35

Petite séance de podophilie surprise à trois.

SM / Fétichisme
En entendant Chloé, Sonia s’arrête et l’invite à entrer :
— Oui, vous pouvez entrer ! hèle-t-elle.

Le sergent reconnaît la voix d’une femme, sans savoir qui est-ce ; il lève un regard inquiet vers sa maîtresse. Dans un instant, il va être exhibé dans cette position humiliante, nu et la bite dressée ; il commence à se relever, mais Sonia intervient :
— Ne bouge pas ! ordonne-t-elle.

Chloé entre dans le vestibule en tenue de service. Elle est composée d’une minijupe noire fendue sur la cuisse droite, d’un chemisier blanc à l’encolure légèrement ouverte qui laisse deviner un soutien-gorge noir. Avec ses jambes et ses pieds nus dans des espadrilles souples pour faciliter le service, elle pousse son chariot dans la chambre.
— Entre et viens te joindre à nous, poursuit Sonia.

Quand elle pénètre dans la chambre, elle découvre le sergent entièrement nu en adoration devant le pied droit de Sonia. Il est à genoux, le pied posé sur ses mains placées en forme de calice ; il lui suce les orteils un à un. Quant à Sonia, elle porte un string en cuir noir et un soutien-gorge sans bonnet et uniquement composé de fines lanières de cuir entrecroisées qui soulignent parfaitement ses seins. Elle tient un fouet dans sa main droite. À la vue de ce spectacle, Chloé marque un temps d’arrêt ; son cœur fait un bond dans sa poitrine. Elle ne sait pas si elle doit entrer ou sortir, car un frisson vient de lui parcourir l’échine. Elle ne s’attendait pas à se retrouver devant un tel tableau. Elle est extrêmement surprise de voir la douce Sonia avec qui elle a partagé dans l’après-midi un joli moment de complicité. Elle comprend quel va être le thème de la soirée, le SM qui pour elle n’est jusqu’à présent qu’un fantasme ; elle n’a jamais osé sauter le pas.
Chloé est indécise, hésitante, sans savoir où placer son chariot portant l’apéritif ; elle bafouille :
— Je ... Pardon... Euh...— Hé bien Chloé, que t’arrive-t-il ? — Bah..., c’est que je ne m’attendais pas à vous trouver comme ça. Je suis gênée, je peux avoir la commande pour votre repas.— Entre, n’aie pas peur, je ne vais pas te manger ; du moins pas tout de suite, répond Sonia avec un petit sourire sarcastique. Nous allons nous amuser un peu avant.— Mais Sonia, nous devions ... interrompt le sergent.— Nous amuser à deux, tu veux dire, dit-elle en s’adressant à son esclave. Quelle sotte je fais, j’ai oublié de te dire que Chloé passait la soirée avec nous, pardonne-moi de cet oubli. Ça ne te dérange pas au moins ?
— Non M...— Maîtresse, tu dis bien. Je ne te présente pas Chloé, tu la connais déjà ; tu vas voir comme elle est charmante, et sa tenue est parfaite, tu ne trouves pas ?— Si Maîtresse, elle est parfaite, mais moi, je peux me relever ?— Non, tu restes ainsi. Je pense que Chloé va apprécier ce qu’il va suivre. En attendant, nous allons choisir le repas. Chloé, toi qui es de la maison, que nous conseilles-tu ? — Si vous voulez vous régaler, prenez le plateau de fruits de mer, il est copieux et sublimement bon et les crustacés sont frais, car nous les conservons dans un vivier. Accompagnez-le d’un Alsace Edelzwicker Blanc, et vous aurez une association presque parfaite.— Parfait, tu notes plateau de fruits de mer pour trois, un vin d’Alsace Edelvik j’sais plus quoi, et puis après on voit ?— Mais Sonia, le plateau est copieux et prendre une part de plus me semble déraisonnable.— Pourquoi dis-tu ça, nous sommes trois ; non ?— Mais...— Mais tu es notre invitée, n’est-ce pas Bob.— Évidemment, confirme le sergent sans hésitation aucune.

Pour s’occuper et se faire malmener par les deux filles, le sergent est prêt à y laisser deux mois de solde s’il le faut ; il s’imagine déjà ...
— Merci beaucoup, mais je ne voudrais pas... souffle Chloé.— Moi, je veux que tu fasses ce que je te dis ! lance Sonia. — Pardon, Sonia, je ne dirais plus rien ; je descends porter la commande et me remonter une boisson. Pour le plateau, je demande pour quelle heure ?— Dans une heure, une heure et demie ; ça devrait aller ?— Oui, c’est parfait ; j’y vais...

Chloé commence à se diriger vers le vestibule quand Sonia la rattrape. Elle la bloque contre la porte d’entrée et l’embrasse, tout en passant sa main sous la minijupe qu’elle fait remonter, elle touche le sous-vêtement ; elle la repousse vivement et la questionne :
— C’est quoi cette horreur ?— La tenue obligatoire pour le service, et l’horreur c’est un bon rempart contre les mains baladeuses. Bon, perso, je ne te cache pas que je préférerais mettre un string.— Chloé, quand tu reviendras, je ne veux voir ni culotte ni soutif ; compris ?— Tu veux que je me balade les fesses et les seins à l’air pour traverser les couloirs, prendre l’ascenseur et aller en cuisine ; mais tu es folle, il n’en est pas question, se rebelle Chloé.— Bon comme tu veux, moi qui voulais t’offrir une magnifique soirée ; je suis franchement déçue, tant pis pour toi, maugrée Sonia en fermant la porte derrière Chloé.

En route pour les cuisines, Chloé, qui revoit le sergent dans la position de tout à l’heure s’arrête devant la porte de l’ascenseur, appuie sur le bouton d’appel tout en regardant son reflet dans la porte en inox brillante comme un miroir. Mais ce n’est pas elle qu’elle voit, mais Sonia nue, le fouet à la main. Tout à coup, son antre la picote. Discrètement, elle passe sa main sous sa jupe et touche l’entrejambe de sa culotte en coton blanc, ses doigts passent sur son clito qui frémit et s’imprègnent de son jus. Elle commence à se dire qu’elle vient de faire une connerie, elle pince l’élastique de la culotte au niveau de sa fesse droite et tire vers le bas ; elle descend un peu. Alors elle prend les deux côtés et descend encore, la ceinture de la culotte passe sous ses fesses ; la porte de l’ascenseur s’ouvre sur un couple en plein câlin. Chloé rougit instantanément et le couple s’enfuit en riant ; Chloé s’engouffre dans l’ascenseur.
Elle appuie sur -1 et se plaque contre la paroi, elle respire fort, elle a chaud, et mouille terriblement. Maintenant, elle se voit en entier dans la glace de la cabine, elle retrousse sa jupe, admire son minou, le frotte à deux doigts puis prend sa culotte de chaque côté de la ceinture et descend le tout.
« Étage moins un... » Annonce une voix féminine et électronique »
La cabine s’arrête et la porte s’ouvre. Chloé fait une boule avec sa culotte et la jette dans la première poubelle qu’elle rencontre sur son chemin. Rouge comme une pivoine, elle arrive aux cuisines.
— Bonjour Chef, il me faut pour dans une heure trente, un plateau de fruits de mer pour trois et un Edelzwicker Blanc pour la 421 ; pour la suite, je pourrai téléphoner ?— Bien sûr, mais dis-moi, tu es toute rouge ; ça va ? — Si si ça va ; j’ai juste chaud, ment-elle. Tu me bipes quand c’est prêt ?— Oui, à tout à l’heure.

Chloé prend le chemin du retour en passant par le bar, elle se sert un soda et se dirige vers l’ascenseur :
« Chloé, quand tu reviendras, je ne veux voir ni culotte, ni soutif ; compris ? se remémore-t-elle.
Elle pousse la porte des toilettes situées juste à côté de l’ascenseur et s’y engouffre. Devant la glace du lavabo, elle ôte son chemisier, défait le soutien-gorge qui suit le même chemin que sa culotte et remet son chemisier. Le fin tissu frotte sur ses tétons, ils gonflent et deviennent durs ; Chloé mouille de plus belle. Haletante, elle sort des toilettes et entre dans la cabine dont la porte commence à se refermer. Elle appuie sur le 4, la cabine s’élève et s’arrête au deuxième étage ; la porte s’ouvre. Un couple, la cinquantaine, qu’elle connaît comme client, entre, ils la déshabillent du regard ; Chloé rougit à nouveau, car elle sait qu’ils voient pointer ses tétons.
— Hummm, Chloé, vous êtes toute en beauté, complimente la dame avec un sourire malicieux.— Oui, et vous pourriez faire les massages avec cette tenue, ajoute le mari aux yeux exorbités.— Tu vas te taire ! Appuie plutôt sur le 0, au lieu d’importuner Mademoiselle. Ne l’écoutez pas, il faut qu’il se fasse toujours remarquer.

Mais Chloé doit subir le regard vicelard du mari, car l’ascenseur reprend son ascension.
— Ah, il ne descend pas ?— Visiblement non, répond Chloé avec un sourire agacé.

Enfin, elle arrive au quatrième étage et s’éclipse. Devant la porte de la chambre, elle déboutonne son chemisier de façon à ce que Sonia voit bien que le soutien-gorge a disparu. Pour ajouter une touche d’érotisme, elle noue le bas du chemisier de façon à tendre le tissu sur sa poitrine et que le frottement sur ses tétons fasse monter son excitation d’un cran supplémentaire.
À cet instant précis, et après ce qu’elle a déjà vu, sa curiosité est si aiguisée qu’elle se dit prête, même si ses fesses doivent en rougir, à tout pour découvrir le domaine du sadomasochisme. La caresse qu’elle leur fait et le plaisir ressenti en sont la preuve. Alors, c’est le cœur battant qu’elle ouvre la porte. Un claquement sec la lui fait refermer aussitôt. Elle s’interroge :
« Putain, je fais quoi, j’y vais où je n’y vais pas ? » se demande-t-elle.
Doit-elle entrer, fuir, elle ne sait pas trop que faire ; mais sa chatte dégoulinante lui ordonne d’entrer. Cette fois, elle franchit la porte et se glisse discrètement vers la chambre. Le spectacle qu’elle découvre est particulièrement excitant. Elle voit le sergent debout de dos, les mains sur la tête et le claquement sec du fouet qui vient de lui marquer les fesses de longues stries rougeâtres. Il ne bronche pas et encaisse les coups les uns après les autres. Chloé, appuyée contre le mur, regarde le spectacle, chaque claquement de fouet la fait vibrer. Un court instant, elle s’imagine subir les morsures des lanières de cuir, sa chatte transpire de désir et ses seins se durcissent en laissant pointer leurs extrémités. Elle porte la main à son entrejambe et ne peut s’empêcher d’introduire deux doigts et de se pincer les tétons, sa respiration s’accélère.
Voir cet homme se faire fouetter par cette jeune femme à moitié nue, dont les muscles se redessinent à chaque mouvement en montrant toute la puissance dont elle dispose font chavirer l’esprit de Chloé. Une envie de jouissance l’envahit brutalement.
Sonia qui a senti derrière elle la présence de Chloé se retourne et toute de cuir faiblement vêtue, elle offre à la vue de la belle masturbatrice le string minimaliste en cuir noir, et en plus du soutien-gorge sans bonnet, des gants interminablement longs et de longues cuissardes.
— Ah, te voici ; approche et regarde comme il est beau avec toutes ses belles rayures. Assieds-toi là, ordonne-t-elle en désignant un fauteuil.

Chloé s’exécute docilement en se demandant ce qui va lui arriver. Sonia ordonne au sergent de s’agenouiller devant Chloé et de lui embrasser les pieds, honteux du spectacle qu’il vient de donner ; il s’exécute. Maintenant, il est persuadé que son fantasme va se réaliser, certes, il ne va pas honorer les pieds de Myriam, mais ceux de Chloé. Alors il déchausse les deux pieds et découvre que les ongles de ses orteils sont recouverts d’un vernis rose, tout comme ceux de ses mains. Il recueille les deux pieds de Chloé comme s’il s’agissait de bijoux. Il les regarde, les caresses, hume leur parfum, passe sa langue avec une extrême délicatesse sur les orteils et le dessus des pieds. Pour lui, ce sont des bonbons, alors il les lèche encore et encore, passe sa langue entre chaque orteil pour récupérer la moindre goutte de sueur.
Chloé a tendance à transpirer des pieds et pour elle, c’est parfois pénible surtout l’été, mais pour le sergent, c’est une aubaine : il se régale de cette odeur, de ce goût âpre et de ce mélange de sueur et de poussière. Il est tellement concentré que cette situation ne lui met pas la bite ni à la verticale ni à l’horizontale ; il ne bande pas.
Sonia, le fouet à la main, se régale de ce spectacle. Chloé sent sa chatte transpirer de bonheur. Chatte qu’elle n’hésite pas à exhiber au regard de l’homme en écartant largement les cuisses, ce qui fait remonter sa jupe très haut sur ses cuisses.
Sonia qui s’est placée derrière le soumis peut admirer à la fois son œuvre sur son cul et la chatte de Chloé dégoulinante de cyprine. Elle se prépare à assouvir un des fantasmes du sergent. Elle fait un pas en arrière, évalue avec le plus de justesse possible la distance pour que les extrémités des lanières frappent le cul déjà rougi. Elle lève le bras, attend que le sergent masturbe les orteils de Chloé et frappe. La pointe des bandes de cuir s’abat en un claquement sec sur la fesse droite ; l’homme lâche un râle et le fouet repart dans l’autre sens et frappe de la même façon la fesse gauche :
— Whouah ... Whoooah ... ! Putain..., ça fait maaal... ! hurle-t-il.— Ta gueule ! Écarte les fesses, ordonne-t-elle sur un ton sec.

L’homme ne peut que s’exécuter et ouvre en grand les jambes, Sonia ajuste son tir ; cette fois, le fouet claque les couilles puis le trou du cul du sergent. Et Sonia recommence sadiquement à frapper. L’homme délaisse les pieds et s’engouffre dans l’entrejambe de Chloé pour lui lécher la moule à grands coups de langue. Il a de la mouille sur tout le visage, et cette fois, il bande. Envoûtée par cette scène et par le plaisir, Chloé lâche un râle de bonheur pour accompagner l’orgasme qui vient de la faire vibrer ; elle aussi est comblée.
— Chloé, déshabille-toi et sers-nous l’apéro !

Elle se lève et ôte jupe et chemisier dans un joli petit strip-tease, comme elle doit redescendre, elle dépose soigneusement sa tenue dans le vestibule. Elle et le sergent sont nus, Sonia toujours en tenue de dominatrice, tient en joue avec son fouet l’esclave agenouillé avec les mains sur la tête.
Chloé pousse le chariot jusqu’à la table basse et dispose la bouteille de champagne et son seau rempli de glaçons, y ajoute les verres et tout un assortiment d’amuse-bouches pour accompagner le vin. Elle dispose les fauteuils autour de la table et se prépare à déboucher la bouteille de Mouton Rothschild. Faire le service dans cette tenue est une première pour Chloé qui du genre plutôt coquin, aime surtout s’amuser à allumer ses clientes sans vraiment aller très loin, sauf avec Sonia. Elle ne sait pas encore ce que lui réserve cette soirée, mais une chose est sûre : elle ne la regrettera pas.
Sonia décrète de faire une pause le temps de prendre l’apéro et sans doute pour le repas. Tous s’installent sur les confortables fauteuils recouverts de velours rouge, c’est la première fois que Chloé s’assoit nue sur les fauteuils de l’hôtel et s’amuse à imaginer la tête que ferait sa patronne devant ce spectacle. Sonia s’informe du ressenti de cette première partie de soirée :
— Alors Bob, ce début de soirée ; pas trop cuisant ?— Oh que non ! Tu me combles, mais pourquoi la masseuse est-elle là ? — Au cas où tu aurais oublié, la masseuse s’appelle Chloé. Et si elle est là, c’est tout simplement parce que nous avons discuté. Et qu’il s’avère que cette pauvre fille s’est fait plaquer et qu’avant de bosser comme une folle ; je lui ai proposé de passer la soirée avec nous. Je pense que tu ne vas pas t’en plaindre. — Au non, pas du tout ; j’espère qu’elle mange avec nous et c’est moi qui régale.— Ou qui dérouille... interrompt Sonia.— Parce que ce n’est pas fini ?— Oh, que non ! je pense que tu vas te souvenir très, très longtemps de ton Noël 2016. Finies les questions, on trinque, car nous ne devrions pas tarder à manger.

Chloé en tenue d’Ève fait le service, le trio trinque et discute joyeusement. À la deuxième coupe de champagne, les deux femmes commencent à avoir quelques bouffées de chaleur. Plus d’une heure s’est écoulée, et le Bip de Chloé sonne pour lui indiquer que le plat est prêt. Elle se lève, se dirige vers le vestibule, interpelle Sonia et lui chuchote :
— Dis, tu n’aurais pas un soutif à me passer pour qu’en cuisine je n’aie pas de réflexions et puis traverser tout l’hôtel sans rien dessous... Enfin, tu vois ce que je veux dire. Allez, sois sympa, ne me laisse pas descendre ainsi ; s’il te plaît.— Je vois surtout que tu as grandement besoin de te lâcher, tu es plus vieille que moi et à te voir ; j’ai l’impression que tu ne sais rien en termes de cul, sauf pour les filles. Je me trompe ? Tu vas voir comme c’est excitant de se balader sans rien dessous, je suis certaine que tu mouilles d’envie.— C’est vrai, je ne connais pas grand-chose, sauf avec les filles, mais avec ce que j’ai vu ; je viens de faire un grand pas.— Et tu as aimé ?— Si j’ai aimé ? Tu ne peux pas savoir, bon, tu me prêtes un soutif ?— Non, tu descends comme tu es montée.

Chloé, résignée, sort de la chambre en poussant son chariot de service et se dirige vers l’ascenseur. Devant la porte, la cliente qu’elle a rencontrée avec son mari attend.
— Décidément Chloé, nous sommes voués à nous rencontrer aujourd’hui.— Le hasard, Madame, répond-elle d’un air gêné.

Heureusement, la porte s’ouvre, elle laisse passer la cliente devant elle et constate que vu la taille de la dame, il va lui être difficile de se caser avec son chariot. Mais la dame agrippe la voiturette, se tasse et dit :
— Eh bien, je savais que cela rentrerait, je vais au rez-de-chaussée et vous ?— Moi, au sous-sol.— Alors, appuyez sur le -1, je remontrai après lui, dit-elle en posant une main amicale sur son épaule.

Chloé n’y prête pas plus attention, mais la grosse dame laisse descendre sa main et la pose sur son sein droit. Chloé lui jette un regard inquisiteur et dit :
— Madame...— Pardon, je... j’ai glissé ; mais vous savez, mon mari a raison, vous êtes ravissante et désirable. Vous avez de jolis petits seins qui me font très envie ; je sais que ce n’est pas très correct, mais j’aurais aimé les voir. Je sais que vous n’êtes pas très pudique, car j’ai vu que pour les massages, vous ne portez pas de soutien-gorge.

Chloé, surprise pas cette demande, ne sait quoi répondre, mais l’effet de l’alcool et la séance de SM qu’elle vient de vivre lui laissent un sentiment étrange, entre rester sage et repousser la demande de la dame ou se laisser glisser dans la spirale de la luxure. D’un geste vif, elle ouvre son chemisier et laisse la dame mater ses seins, mais aussi les toucher. En se dirigeant vers les cuisines, elle tente de cacher tant bien que mal ses tétons qui pointent au travers du tissu blanc. Par chance, le chef est occupé et c’est un des cuisiniers qui lui donne la commande, autrement, il l’aurait un peu chahutée, car elle garde le souvenir d’un bon moment passé avec lui. Ça s’est passé à la plonge un jour où elle avait dû remplacer un commis tombé malade [...], mais ça, c’est une autre histoire.
Elle remonte dans l’ascenseur et appuie sur 4, les portes se ferment et il démarre son ascension quand brutalement, il s’arrête et elle se retrouve avec seulement l’éclairage de secours pour lui permettre de trouver le bouton d’appel.
— Encore une coupure de jus, pense-t-elle.— Service de sécurité, que puis-je pour vous ?— L’ascenseur s’est arrêté et je suis dans le noir.— Je sais Chloé, mais je pense que cela ne va pas être long.

Elle n’est pas très rassurée et commence à avoir chaud, car la ventilation s’est également arrêtée.
— Dépêche-toi, j’étouffe là-dedans et j’ai un repas à livrer ; ça va être long ?— Ça dépend de toi, Chloé.— Comment ça ?— Comme tu as montré tes seins tout à l’heure à la grosse dame, je veux que tu me les montres aussi.— Tu me vois ?— Oui, grâce à la caméra, regarde en haut au-dessus de la porte. Tu sais, c’est une source intarissable de belles images parfois très ... très sexy. — Salaud, et tant qu’à y être ; tu ne veux pas me voir à poil non plus ?— Si et que tu te caresses aussi.— Pas question, redémarre l’ascenseur et vite.— Et si je refuse ?— Tu restes là et tes clients ne vont pas être contents.— Bon OK, mais à une condition ; tu me montreras la vidéo, car je suis certaine que tu les gardes.— C’est d’accord, alors ?

Chloé est le dos au mur (ou plutôt au miroir de la cabine) et puis cette idée d’exhibe imprévue a plutôt tendance à lui mettre le feu, elle n’a plus qu’à s’exécuter. Face à cette caméra indiscrète, elle défait son chemisier avec des mouvements sensuels et provocateurs. Se déshabiller dans la pénombre, face à cette caméra indiscrète lui procure un plaisir indescriptible. L’idée de se retrouver nue devant cet homme caché derrière son écran, et s’il n’était pas seul ? Lui donne tout à coup l’envie de le provoquer et tout en défaisant la fermeture éclair de sa jupe, elle lui scande :
— J’espère au moins que tu te branles.

Et le haut-parleur répond un « Oui » nasillard. Alors elle se touche, se caresse, se pince, se triture les mamelons et l’homme répond :
— Tu es bonne, putain comme tu es bonne !

Le courant revient et la cabine reprend son ascension, elle est nue, les chiffres défilent sur le cadran : plus qu’un étage et la porte s’ouvre. Elle vient tout juste de fermer son chemisier. Elle vogue vers la chambre 421 avec la moule en feu et le cul qui la démange...
Ce soir, elle a envie de s’éclater...
[À suivre]
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