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Police polissonne

Chapitre 36

Plan surprise à trois.

SM / Fétichisme
   Quand elle entre dans la pièce le calme règne. Elle découvre Sonia assise dans un fauteuil, les jambes posées sur les accoudoirs, ses talons en appuis sur ses fesses, cuisses largement écartées et la moule dégoulinante de cyprine. Le sergent est à genoux avec sa tête enfouie dans l’entrejambe de sa maîtresse, il suce et aspire le jus au goût si délicieux ; puis il prend en bouche un maximum d’orteils et les masturbe.     Chloé se racle la gorge pour signaler sa présence, Sonia entend et dit :   — Tu as été bien longue, mon esclave était mort de faim et ne pouvait plus attendre ; alors il a commencé à manger les moules, enfin la mienne… — Je suis désolé, mais j’ai dû attendre ; car il y a pas mal de monde au restaurant, ment-elle. — Bon, ce n’est pas bien grave ; approche.   Chloé s’avance docilement et se présente face à Sonia qui plonge rapidement son verre vide dans l’eau glacée du seau à champagne, et jette l’eau sur le chemisier de Chloé. Le froid l’a fait frissonner, ses tétons durs et érigés pointent instantanément au travers du tissu devenu transparent.   — T’es bien plus belle comme-ça, un point c’est tout, un point c’est toi, chantonne Sonia. Allez, passons à table.    Frissonnante, Chloé dresse la table et la dégustation des fruits de mer arrosée du Mouton Rothschild blanc peut commencer. Mais avant tout, elle recherche une chaîne musicale sur la télévision, et se lance dans un strip-tease langoureux. Elle ôte le chemisier avec lenteur et délicatesse, puis descend sa jupe en se dandinant. Le sergent découvre la fine silhouette de la serveuse et la surprise de sa nudité en dessous de sa tenue de service ; il ne peut s’empêcher de lui lancer un coup de sifflet admiratif. Enfin ils peuvent passer à la dégustation du plateau de fruits de mers composé d’huîtres, de trois demi-langoustes et araignées de mer, de divers coquillages, crevettes, et autres fruits de mers, … Le tout, accompagné de pain, de beurre, et de mayonnaise ; sans compter le vin blanc. Une bonne ambiance conviviale et joyeuse règne, accompagnée de quelques allusions sur leurs activités sexuelles passées. Chacun doit aussi décrire un fantasme qu’il aimerait voir se réaliser […].    La bonne humeur et le vin aidant Chloé prend une huître dans sa bouche et la partage avec Sonia dans une galoche sensuelle et baveuse. Le sergent ne perd pas une miette de cette scène aussi saphique qu’imprévue, et sent déjà son chibre gonfler de bonheur ; Chloé s’en aperçoit et se dirige vers le sergent.    — Recule avec ta chaise, lui dit-elle.   Il obéit docilement, et Chloé chevauche les cuisses de l’homme, elle s’empale doucement sur le membre dilaté en le laissant glisser dans son vagin. Le regard malicieux, elle attrape les tétons de l’homme en lui dit en serrant les dents mais surtout ses mamelons :   — Alors comme ça, tu aimes souffrir …, comme ça ? demande-t-elle en lui écrasant les tétines. — Oh oui, Chloé, tu ne peux pas imaginer… — Alors tu vas être servi, reprend Sonia qui, à la vue de ce spectacle ; ne peux s’empêcher de se branler la chatte.  
 Chloé, la moule humide de cyprine regagne sa chaise avec ce petit picotement qui annonce l’arrivée d’un orgasme. Elle aime se maintenir en état d’excitation jusqu’à ne plus pouvoir tenir, et être obligée de se faire arriver à l’orgasme par n’importe quel moyen ; alors elle reprend sa dégustation. Elle savoure ce plat avec bonheur, car c’est la première fois qu’elle goûte à quelque chose d’aussi merveilleux, et proposé par le restaurant, car ses moyens financiers ne lui permettent pas de s’offrir un tel met.   La dégustation se termine, et Chloé sent la fatigue arriver doucement :   —  Je vous propose de débarrasser et de remonter un dessert, car il se fait tard et je voudrais rentrer car demain je prends mon service à six heures. — Pas question, nous n’en avons pas terminé avec lui ; alors tu restes et tu dors ici. — Mais le lit est un peu petit pour dormir à trois, constate Chloé. — Mais qui t’a parlé de dormir à trois dans ce lit ? — Personne, ça me paraissait évident ; alors dessert ou pas dessert ? — Dessert et je descends avec toi pour te donner un coup de main. — C’est normalement c’est interdit aux clients sauf exception. — Dans ce cas on dira que je veux féliciter le chef.   Du téléphone de la chambre, Chloé appelle les cuisines, commande la spécialité du chef : la Dame Blanche XXL ; Bob ajoute une bouteille de champagne. Les deux femmes s’habillent avec le strict minimum, pour Chloé sa jupe et son chemisier qui a eu le temps de sécher ; pour Sonia c’est minijupe et le haut noué au déçu du nombril. Chloé est ravie du coup de mains car elle pense qu’elle n’aura pas à subir les assauts du vigile dans l’ascenseur ; Sonia passe la consigne à Bob de mettre en place sur le lit les indices.   Dans l’ascenseur, Sonia ne peut s’empêcher d’embrasser Chloé et de lui peloter les seins et la chatte en lui levant très haut sa jupe.   « Merde, moi qui croyais échapper à l’autre voyeur, eh bien pour le coup c’est raté ! » pense Chloé.   En sortant de la cabine, Chloé dit :   — Tu es folle de faire un truc pareil. — Pourquoi, tu n’as pas aimé ? — Si, mais il y a une caméra et les vigiles voient tout ce qu’il se passe en direct. — Ah, mais ça c’est cool ; tu aurais dû me le dire plutôt, je t’aurais mis à poil…   Chloé pousse le chariot avec les déchets de leur repas, en cuisine Sonia complimente le chef pour la cuisson parfaite des langoustes, de l’excellence des huîtres et du vin. Le chef remercie à grands coups de courbettes, mais sans oublier de lorgner dans l’encolure des filles sans pour autant faire de réflexions ; il offre même le champagne. Elles remontent par le même chemin tout en discutant de la suite de la soirée. Mais cette fois c’est Sonia qui, comme par magie, se retrouve entièrement nue dans l’ascenseur et doit subir les assauts de Chloé. Quand l’ascenseur arrive au quatrième étage, Sonia est nue ; Chloé se dirige déjà vers la chambre, en riant.   Sonia la rattrape et arrivée à sa hauteur, elle saisit sa jupe par la taille et tire d’un coup sec, la fermeture craque et la jupe tombe au sol. Chloé est à moitié nue dans le couloir, elle est alors parcourue par un mélange de peur de se faire surprendre par des clients et de subir la honte de sa vie ; mais une vive excitation lui enflamme son abricot.   Les filles entrent dans le vestibule, Sonia tient ses vêtements et la jupe déchirée de Chloé qui annonce :    — Comme ce sont des glaces, il vaut mieux ne pas tarder pour les déguster, je sers le champagne, dit-elle en ôtant le peu de vêtement qui lui reste sur le dos, puis s’adressant à Sonia :   — Tu as vu ce que tu as fait ? Je mets quoi demain pour me rendre aux vestiaires ? — Humm, à toi de te débrouiller…   Ils sont tous nus et s’installent à table. Chloé ne se gêne pas pour faire l’article du dessert :   — Les amis, vous avez devant vous le summum des desserts de l’hôtel, je vais me permettre de vous présenter : la Dame Blanche XXL revisitée par le chef pâtissier. Tout est préparé sur place, vous allez découvrir une glace à la vanille en provenance directe de Madagascar ; tout comme les fèves de cacao qui arrivent d’Équateur. Le chef associe la glace vanille, avec de la glace pralinée et le caramel beurre salé. Au fond, vous trouverez une larme de vodka pour la douceur et le peps, ensuite une meringue surprise noyée dans une chantilly montée à la main et striée de crème de marrons. Le tout est parsemé de praliné pour apporter du croquant et d’une coulée de chocolat fondu pour la gourmandise. Je vous souhaite une bonne dégustation. — Merci, eh bien tu es une très bonne commerciale ; je suppose que les clients ne résistent pas à cette gourmande description. — C’est exact Madame, j’en vends pas mal ; vous savez, il faut se bouger le cul pour arrondir les fins de mois.   Le « C’est exact Madame » de Chloé vient de titiller les oreilles et les sens de Sonia qui commence à mettre sur pied un plan machiavélique pour jouer avec ses deux soumis esclaves. Elle reste persuadée que Chloé n’est pas une femme réservée comme elle veut le faire paraître par moments ; mais plutôt quelqu’un qui a envie d’aller plus loin sans savoir ou pouvoir le demander ouvertement. Elle interpelle son esclave :   — Esclave ! As-tu disposé la totalité de tes jouets sur le lit ? — Non, mais je vais le faire. — Tu as juste le temps que nous nous refassions une beauté. — Bien, Maîtresse.   L’homme se dirige vers le placard où il a rangé ce qu’il a acheté et ce qu’il possède déjà ; les deux femmes vont à la salle de bains.   — Chloé, tu vas voir je vais te former à dresser les hommes ; ils ne demandent que ça. — Sonia, je ne peux pas le frapper ni lui faire des choses que je n’aimerai pas qu’on me fasse…   Sonia fouille dans le regard de sa partenaire et lui dit :   — Chloé tu mens, tes lèvres disent non mais tes yeux te trahissent ; tu as les mains moites et tu mouilles comme une fontaine.   Chloé vaincue répond :   — Mais que dois-je lui faire ? — Tout ce que je te dirais de faire. — Et si je refuse ?  — Je te fouetterai jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Je vais te faire découvrir le plaisir dans la souffrance. — Tu es folle, tu ne vas pas faire ça. — Si, et tu ne vas pas le regretter, alors tu vas faire tout ce que je te dirais de faire, lui répond Sonia sur un ton sec et autoritaire.    Chloé est tout à coup traversée par un sentiment très étrange. La soumission fait partie de l’un de ses multiples fantasmes. Ils animent souvent ses nuits et parfois ses journées. Régulièrement elle s’imagine dans des situations délicates comme ce que lui est arrivé dans l’ascenseur, mais plus encore. Parfois attachée et traînée nue dans un bois avec des pinces aux tétons qui lui meurtrissent les chaires, puis obligée de courir nue dans ce même bois avec des chiens qui la rattrape et la jettent dans la boue. Puis les chasseurs arrivent, sans fusil mais la bite à la main et la baise à tour de rôle, comme une bête, et finissent par lui éjaculer dessus en la recouvrant d’un mélange de sperme et de boue.   Partagée entre le fouet qu’elle redoute, l’envie de jouir comme jamais elle la fait jusqu’à présent et obéir aveuglément à Sonia qui est capable de l’envoûter au premier regard ; elle bât en retraite et capitule :   — Alors, j’accepte. — Bien et tu finiras par me demander de te fouetter, tu verras. — Sonia, je ferais ce que tu veux ; je voudrais tant jouir avec force, me faire emporter dans ces plaisirs étranges. Quoi que tu me demandes, je le ferai. — Alors va choisir deux pinces à seins. — C’est pour qui ? s’inquiète-elle. — Ça, tu le sauras quand le moment sera venu.   Elle s’approche du lit, repère les jouets qui comportent, en plus d’une pince à la forme bizarre, un poids plus ou moins gros. Elle hésite, car un éclair lui traverse l’esprit :    « Et si c’était pour moi ? »   La tentation de prendre les plus grosses pour Bob est grande, mais si elles lui sont destinées ; les petites seront largement suffisantes. Ne voulant pas faire sa caguette, elle ferme les yeux, mélange les jouets de la main gauche et de la main droite en attrape deux. Sonia s’amuse de la situation car elle sait à qui sont destinées les pinces, elle admire l’audace de Chloé qui se retourne et présente les pinces et leur poids de deux cents grammes chacune à Sonia.   — Quel courage tu as Chloé, car elles sont pour toi ; mets-les ! ordonne-t-elle d’un ton sec.   Chloé regrette son choix, mais ce qui est dit, est dit. Elle prend la première pince, l’ouvre ; la force qu’elle doit exercer pour les ouvrir lui laisse présager que la douleur va être vive. En effet dès qu’elle laisse les pinces se resserrer la morsure est à la limite du supportable, même si elle ne crie pas ; des larmes coulent le long de ses joues. Sonia qui a pitié d’elle lui enlève les engins de torture.   — Tiens, mets-les à notre esclave ; lui va apprécier.   Comme elle n’a aucune envie de retenter l’expérience, ni de se faire fouetter (du moins pas pour le moment) elle prend les pinces et les poses sur les tétons du sergent qui ne réagit pas à la douleur. Surprises, les deux filles se regardent et Sonia ajoute :    — Chloé, tu vas dominer Bob, il veut du sexe qui fait mal ; alors on va lui en donner. Tiens ordonne-t-elle en lui tendant le fouet ; fouette-le, il aime ça.   La jeune femme débutante en matière de domination hésite un court instant, en réalité elle commence à ressentir une légère excitation ; un filet de cyprine humidifie son entrejambe. Elle saisit le manche du fouet, prend son élan et frappe de toutes ces forces, les lanières de cuir claquent les fesses du sergent qui lâche un cri. Surprise, elle s’excuse :   — Oh pardon, je crois que j’y suis allé un peu fort. — Ne t’excuse pas, il va en redemander, n’est-ce pas ; Esclave ? — Oui Maîtresse. — Avoue que tu aimes être frappé. — Oui Maîtresse. — Tu vois Chloé, alors régale-toi.   Douce, féministe jusqu’aux bouts des ongles, Chloé a comme une envie de vengeance et ce n’est pas sur le cul du sergent qu’elle voudrait frapper, mais sur celui de son Ex qui l’a plaqué pour une blonde. Alors elle frappe, frappe et frappe encore, les fesses du sergent sont passées du blanc au rose, puis au rouge en maintenant au violet, puis brutalement elle lâche le fouet se prend la tête à deux mains et éclate en sanglots ; laissant Sonia et Bob désemparés. S’apercevant de la gêne qu’elle vient de causer, elle s’enfuit dans la salle de bains pour se rafraîchir ; Sonia la rejoint immédiatement :   — Eh bien ma belle, que se passe-t-il ? Tu veux arrêter ?  — Non Sonia, c’est que je suis en train de m’apercevoir que je suis sen train de me venger de mon ex sur cet homme qui ne m’a rien fait. — Rends-toi compte que c’est à lui que tu fais plaisir, lui que tu sois en train de te venger où que tu cherches à lui faire plaisir il s’en fout ; ce qui compte ce sont les coups que tu lui portes qui l’intéresse. Tu sais, les hommes sont parfois tordus. — Alors d’accord, je vais continuer ; mais j’aimerais qu’il me fasse un face-setting, qu’il me bouffe la moule jusqu’à plus soif. — Tu as raison, et je vais lui fister le cul en même temps. — Waouh … ! Ça va être le pied.   Elles retournent dans la chambre où le sergent les attend, indécis ; il demande :   — Que se passe-t-il ? — Rien, allonge-toi sur le dos sur la moquette, et écarte-moi ton cul.   L’homme s’exécute et Chloé prend position, accroupie au-dessus de sa tête ; elle présente sa vulve dégoulinante à la bouche de Bob. Lui se régale du jus qui lui coule abondamment jusqu’au fond de la gorge. Chloé admire Sonia qui enfile des gants en latex interminablement longs qu’elle lui présente. Chloé les lèche avec sensualité, le plaisir commence à monter en elle. Sonia lubrifie copieusement les gants et présente sa main droite devant le rectum du sergent. La main en forme de fuseau pénètre dans l’orifice et Sonia constate que le sergent n’en est pas à son coup d’essais ; sa main entre sans difficulté et progresse. Chloé aperçoit des ondulations se former sur le ventre du sergent dû à la main indiscrète de Sonia. Elles mouillent toutes les deux encore plus. Ce spectacle leur donne des envies étranges. Le sergent rugit dans la moule baveuse de Chloé qui n’a qu’une envie : peser de tout son poids sur le visage du sergent en se malaxant les seins et en s’étirant les tétons. Ce qu’elle fait immédiatement, et en pesant sur le visage de l’homme, elle sent son nez lui rentrer dans le trou du cul ; ce qui augmente son plaisir.   Sonia ajoute sa main gauche dans le sphincter dilaté. L’homme se cambre, elle continue d’enfoncer ses mains ; dans deux centimètres elle en sera aux coudes. Chloé attrape d’une main les couilles et le sexe en leurs bases et tire de toutes ses forces comme pour les lui arracher ; de l’autre elle masturbe l’engin en le serrant aussi fort qu’elle peut. Le sergent a le cul explosé, les couilles étranglées et la bite en feu à force d’être astiquée sur toute sa longueur. Il ne lui faut que peut de temps pour décharger plusieurs salves de sperme chaud et gluant.   — Aah … ! Que c’est bon… Vous avez été géniales ; merci pour cette soirée. — Si tu es satisfait de cette soirée, nous en sommes ravies ; n’est-ce pas Chloé ?  — Oui, moi aussi j’ai bien aimé. — Pour terminer nous allons t’offrir un petit spectacle qui va te plaire je suis certaine. Comme tout esclave qui se respecte tu dormiras sur la moquette. — Cela ne me dérange pas, j’ai l’habitude… — Et menotté au radiateur ? Histoire que tu nous laisses dormir. — Ah, je n’y avais pas pensé ; mais je me plierai à vos exigences, maîtresse. — Mais avant nous allons t’attacher sur un fauteuil de façon à ce que tu ne puisses pas te toucher, dit Sonia en saisissant les cordelettes préparées par le sergent.   Il se laisse attacher sur le fauteuil à l’assise large profondeur ; être assis nu dans ce type de meuble est particulièrement confortable. Elles lui saucissonnent les avants bras aux accoudoirs puis les chevilles et les cuisses aux montants du meuble, ce qui ne lui laisse aucune possibilité de mouvements. Chloé s’empare des testicules bloqués entre les cuisses de l’homme et les étire vers le haut puis les laisse reposer sur l’entrejambe. Satisfaite, elle embouche le chibre et lui applique une fellation pendant que Sonia s’amuse à lui étirer et pincer les tétines. L’homme, la bite à la verticale, est chaud ; le spectacle peut commencer.   Les deux femmes s’assoient, chacune sur un genou qui leur sert à se masturber le clito tout en se roulant une pelle digne de ces actrices porno, car c’est dans ce genre de rôle qu’elles ont décidé de finir la soirée. Elles se lèvent, se retournent, se penchent en avant et offrent au sergent le spectacle impudique et provocateur de leur trou du cul et de leur chatte baveuse. Le sergent dévore leur anatomie avec des yeux exorbités, car il n’a jamais eu l’occasion de voir un tel spectacle en direct.    Pour pimenter encore l’affaire, elles sautent sur le lit et se lancent dans un 69 effréné, accompagné de par de grands « slurp ... ! et de grands gloup … ! » mais aussi par quelques mots : — Vas-y bouffe moi le cul, ordonne Sonia. — Et toi bouffe moi la chatte…réplique Chloé. — Tient salope, prend mes doigts dans ta moule ; je te préviens je vais te fister le con !   Les deux femmes ondulent, roulent sur elles-mêmes, les corps s’entremêlent, elles bavent et continuent de plus belle. Sonia retourne Chloé qui se retrouve sur le ventre lui lève le bassin en disant :   — Lève ton cul que le sergent voit bien quand je vais te fister ta moule de salope que tu es ! — Je te préviens, si tu fais ça, je te …Aïe ! Putain de salope.   Chloé a réussi à attraper les seins de Sonia, elle pince et tire sur les tétons de son adversaire de toutes ses forces tout en gesticulant pour tenter de se dégager.    — Ah, tu veux jouer, alors attend !   Sonia se lève et va chercher des gans en latex et de la pommade lubrifiante. Le sergent au sexe hypertendu ne rate pas une seule miette de ce spectacle. Sonia revient et jette un gant à Chloé :   — On va bien voir qui va gagner, et à ce petit jeu tu pars perdante. — Ah, tu crois ça, alors attend un peu. — On verra ce que tu diras quand tu auras une main dans ta chatte et l’autre dans ton cul. — D’accord, alors on va fixer une règle… — Vas-y, tu pars perdante, enchaîne Sonia sûre d’elle. — OK, la première qui se retrouve qui couche l’autre sur le ventre et qui réussit à s’asseoir sur les fesses de l’autre aura gagné, la perdante devra se laisser fister par les deux trous, explique Chloé.   Elle qui n’a encore jamais pratiqué ce genre de chose ; a envie de le faire que de le subir. En une petite journée, la quasi-totalité des verrous qui l’empêchaient de profiter pleinement de la vie et surtout du sexe ont sauté.   — OK, alors défends-toi, répond Sonia en sautant sur le lit.   Elle bloque déjà Chloé, mais sur le dos, et la bougresse se débat et donne tout ce qu’elle peut pour se libérer de Sonia qui la chatte dégoulinante lui inonde le bas-ventre. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que sont adversaire est aussi une sportive et que malgré la différence de poids et de force ; elle peut créer la surprise. C’est par une ruse savamment calculée que Chloé réussit à déséquilibrer Sonia qui manque de chuter du lit ; Chloé profite de cet instant pour lui sauter et s’asseoir sur son dos.    — Bravo Chloé, je t’ai sous estimée ; alors à toi de jouer, félicite-t-elle.   Les deux femmes récupèrent un instant, se désaltèrent en trinquant au nez et à la barbe de sergent dont le sexe est passé à l’état de gourdin volumineux. Dans ses couilles c’est l’ébullition, son souhait le plus grand est qu’elles s’occupent de lui et l’amène au paradis grâce à une rapide branlette.   — Chloé, je suis prête, informe Sonia en se plaçant à quatre pattes sur le lit et en exposant impudiquement à l’homme toute son anatomie.   La gagnante enfile un gant sur sa main gauche et s’enduit les deux mains de gel lubrifiant. Sonia, la tête dans les draps et le cul bien surélevé, attend. De sa main non gantée, Chloé enduit l’anus de mouille et introduit un doigt, puis deux ; ils entrent tout seul. Alors elle passe à l’abricot luisant de cyprine dont le clito gonflé de désir attend avec impatience quelques douceurs qui ne tardent pas à arriver. Le petit bouton se retrouve titillé, pincé, étiré et même sucé jusqu’à ce qu’un doigt, puis deux et trois commencent à fouiller la caverne qui s’enflamme. Chloé agite ses doigts à l’intérieur du vagin tout en continuant à faire entrer sa main, elle sent le périnée résister, alors elle marque une pause puis rentre sa main un peu plus loin.   — Putain, c’est bon…Vas-y Chloé, force encore un peu et fous-moi ton autre main dans le cul ; je veux jouir grâce à tes mains.   Encouragée par ces paroles Chloé continue sa progression tout en introduisant trois, puis quatre doigts dans le trou de balle avide de plaisir. Elle sent le sphincter résister, ses deux mains prises en étau lui donnent brutalement l’envie de subir la même chose, elle chuchote à Sonia :   — Tu me le feras après ? — Oui, mais vas-y force ; je vais bientôt jouir .   Alors, Chloé force les passages, ses deux mains progressent à nouveau ; Sonia respire fort en ondulant comme un  À deux mains elle écarte le plus possible son trou du cul, pour que les mains vicieuses entrent entièrement. Son périnée se détend et son sphincter se décontracte, les deux mains s’enfoncent en elle et explorent les deux cavernes ; à travers les parois les doigts se touchent et jouent ensemble. Mais la rencontre des dogues avec le mystérieux point G déclenche chez Sonia, non pas une envolée de papillons mais une tornade ; ses muscles se resserrent en emprisonnant les mais bienfaitrices qui, pour accentuer le plaisir gigotent dans les cavités. Sonia se cabre et crie de plaisir :   — Ah oui…Putain que c’est bon… ! Encore…Encore …Bouge….Ah…Ouiiieee…Je jouiee… !   Les mains prisonnières, Chloé s’amuse jusqu’à ce que Sonia s’écroule sur le lit, le temps de laisser son corps se remettre et de rouvrir les passages pour que Chloé puisse récupérer ses mains.   — Waouh… ! T’es une championne, je suis contente d’avoir perdu ce combat ; à toi maintenant. — Super… J’ai vachement envie de le faire, mais je ne sais pas si ça va rentrer ; j’ai jamais fait si gros dans mon cul. — OK, si tu as trop mal, tu me le dis et j’arrêterai ; c’est donc to qui fixera la limite. — Cool, lui répond Chloé en l’embrassant à pleine bouche.   Puis à son tour, elle saute sur le lit, se place en position de grenouille ; Sonia débute l’apprentissage du fisting pour Chloé. Il se déroule de la même manière mais s’arrête plus rapidement, car Chloé est trop étroite ; ce qui n’enlève rien à la jouissance qu’elle vient d’avoir.   Le sergent est au bord de l’apoplexie, alors les deux femmes décident de le soulager à leur façon. Chloé empoigne la bite au bord de l’explosion, et la branle avec une telle force que l’homme éjacule de longs jets de sperme qui lui inonde la poitrine. Chloé s’arrête mais Sonia intervient :   — Attends, il faut continuer, on va le branler jusqu’à ce qu’il ne puisse plus éjaculer. Je prends le relais et toi tu lui mets un bâillon et tu t’occupes de ses tétons.   Elles prennent place et pendant que Sonia s’active sur le mandrin, Chloé prend un malin plaisir à étaler le jus de l’homme sur ses pectoraux ; elle joue avec les tétines du sergent qui râle dans son bâillon. Après cinq minutes de branlette et de tortures, il éjacule de nouveau pour le plus grand plaisir des filles qui l’enduisent de sa propre semence. Sonia ne lâche pas le morceau et continue à secouer le phallus ; mais pour l’homme, le plaisir est en train de se transformer en une véritable torture. Sonia sait qu’un homme ne peut quasiment pas éjaculer plus de deux fois de suite, mais elle insiste. C’est au bout d’une vingtaine des minutes de gémissement et de spasmes de douleur que l’homme sort les quelques dernières gouttes de sperme.    Exténuées les filles libèrent l’homme qui est lui aussi arrivé au bout de lui-même. Elles vont se doucher, puis vient le tour du sergent qui a lui aussi besoin d’un bon nettoyage. Au bout de quelques minutes, il se présente tout propre et ravi de sa soirée, propose de terminer la bouteille de champagne et apporte les menottes.   — Ah, tu n’as rien oublié ; alors pour le champagne c’est oui. Pour les menottes Chloé va s’occuper de toi.    L’homme est attaché au radiateur, et les filles, enlacées dans les bras l’une de l’autre se font un dernier câlin aux endroits sensibles ; jusqu’à ce que le sommeil les emportent vers une doux et réparatrice nuit.     [À suivre]
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