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Police polissonne

Chapitre 37

Préparation du réveillon de Noël.

Divers
Allongée sur le ventre avec la tête posée sur ses mains croisées, Sonia se réveille. Il est d’autant plus délicieux qu’une main se promène doucement sur tout son corps ; elle reconnaît la paluche du militaire, indiscrète qui s’attarde sur le clito et provoque sans le savoir le mini-orgasme dont elle raffole. Elle se retourne et constate que Chloé a disparu.
— Bonjour Maîtresse, bien dormi ? lui demande Bob.— Très bien et toi ? — Après tous ces plaisirs je pense que dire avoir mal dormi serait incorrect.— C’est vrai, mais où est Chloé ?— Parti travailler, elle commence à six heures et toi, tu as rendez-vous chez le coiffeur à neuf heures.— C’est vrai, et il est déjà sept heures ; j’ai l’impression d’avoir dormi douze heures. Pas toi ?— Disons plutôt cinq.— Ah ouiii..., je vais aller me doucher et nous descendrons petit-déjeuner.— Pas la peine, je vais appeler la réception pour qu’on nous l’apporte et je vais te laver comme tu le souhaites. Je voudrais aussi te demander quelque chose.— Oui, quoi ? répond-elle inquiète.— Je voudrais réaliser quelque chose et je suis certain que tu es capable de le faire.
Cette fois elle comprend ce que le sergent veut subir, mais lui transpercer les couilles et la bite ne l’enchante pas du tout, et pourtant elle s’est engagée ; alors elle attend la mauvaise nouvelle avec une certaine appréhension.
— Et c’est quoi ton nouveau délire ? demande-t-elle un peu agacée.— Tu m’as l’air contrariée, je peux te le dire et après tu décideras.— Oui, vas-y.— Non, j’appelle la réception avant.— Bon alors je vais me doucher.
Il appelle, elle fonce sous la douche ; et revient nue car il manque son peignoir.
— Dis-moi, Chloé est partie avec mon peignoir ?
— Oui, vu l’état dans lequel tu as mis sa jupe.
« Service, Service... Je peux entrer ? »
— Entrez, répond Bob.
Chloé se présente, toute pimpante avec une nouvelle tenue.
— Bonjour les amis, je pense que vous devez avoir faim après cette belle soirée. Merci encore. Tiens j’ai rapporté un peignoir propre.— Bonjour Chloé, tu es toute belle, et ta jupe a été réparée ?— Non, elle est partie à la poubelle ; j’ai dit que je m’étais accrochée. Et regardez, dit-elle en levant sa jupe. Fini les culottes de grand-mère, j’ai réussi à convaincre la patronne de nous laisser le choix de nos sous-vêtements.— Waouh... ! Un string et pour le haut ? — Elle veut qu’on garde le soutif, mais nous laisse le choix du modèle. Bon, je vous laisse car l’hôtel est plein à craquer et j’ai un boulot de dingue. À plus.
Ils n’ont pas le temps de répondre qu’elle est déjà repartie.
— Eh bien, c’est de l’express, bon on déjeune et tu me racontes ce que tu veux ?— Oui, installe-toi, je te sers : café, thé ?— Mets-moi un café... mais dis-moi, ce que tu veux.— Je te sens inquiète, alors voilà : comme je pense n’avoir pas la possibilité de trouver une femme comme toi, à moins que... Mais c’est impossible, alors j’aimerais passer un réveillon et un jour de noël avec une femme qui accepterait de faire tout ce que je lui demanderais. Il ne s’agit pas de choses bizarres, je voudrais une sorte de soumise qui acceptera que je choisisse sa tenue pour ce soir, et que je l’emmène dans un restaurant une peu particulier où l’on prend du plaisir.— Tu veux qu’on inverse les rôles, tu veux me fouetter, m’attacher, ou je ne sais quoi, comme te percer les couilles ? — Comment ça me percer les couilles, mais tu es folle ; je tiens à mon matos, moi... Je crois comprendre, c’est la vendeuse du sex-shop qui t’a parlé de ça. J’avoue avoir acheté une vidéo une fois pour voir.— Ouf ! J’ai eu peur, dans ce cas je te suis... dans ce rôle de soumise. À ce propos, que penses-tu des piercings ?— Je ne suis pas contre, bien au contraire, pourquoi ?— Pour rien...— Bon, mais je suis contant, et je pense que tu vas aimer ce qu’on va faire. Pour t’en dire un peu plus je voudrais que tu arrives à comprendre, mais juste avec le regard, ce que je voudrais que tu fasses. Je voudrais que tu sois comme une poupée sans expression, avec le regard dans le vide.— J’ai un peu de mal à comprendre, tu ne veux pas qu’on fasse un essai ?— Si tu veux, déjeune en me regardant dans les yeux et essais de deviner ce que je cherche à te faire faire.
Elle prend une chocolatine, croque dedans et plante son regard dans celui de l’homme qui se concentre sur elle. Au bout de sa chocolatine et un demi-café, elle ressent quelque chose d’étrange en elle, une sorte de force l’oblige à poser sa tasse de café et se caresser le sein gauche avec sa main droite. Puis elle fait des cercles autour de son aréole, touche son téton et le caresse doucement. Sa main gauche descend vers son entrejambe arrive à sa vulve, s’enfonce deux doigts dans son vagin. Deux ou trois mouvements et un mini-orgasme (celui du matin au petit-déjeuner) l’ont fait vibrer.
— C’est exactement ce que je voulais que tu fasses, bravo.— Mais comment tu fais ça, tu as un don de télépathie, ou quoi ?— Je ne sais pas si c’est un don mais c’est la première fois que ça marche du premier coup, et toi comme as-tu ressenti ça ?— C’est très étrange car je ne pouvais pas résister, je me suis sentie possédée par une force étrange et j’avais presque honte de me faire jouir devant toi ; mais qu’est-ce que c’était bien. Fais-moi faire tout ce que tu veux. J’ai hâte de vivre cela, on commence quand ?— Dès que nous serons dehors, et je vais t’emmener acheter une robe pour ce soir.— Mais j’en ai acheté une, elle est très sexy ; je te la montre ?
Sonia va chercher le vêtement dans la penderie, l’enfile et exécute une véritable présentation de mode.
— Alors ?— Effectivement elle est très jolie et très sexy, mais trop sage ; alors je vais t’emmener là où j’en ai vu une qui t’ira à ravir.— Je te fais confiance, je vais me doucher.
Pendant qu’elle prend soin d’elle, Bob s’occupe de mettre un peu d’ordre dans la chambre, il cache tous les jouets et efface les traces de leur activité sexuelle extrêmement riche. En plaçant son sac il fait malencontreusement tomber celui qui contient les achats de Chloé au sex-shop, il découvre le bijou anal.
— Sonia, je suis désolé ; j’ai fait tomber ton sac de course et il y a ceci qui s’en est échappé.— Flûte ! Et tu as vu autre chose ? — J’ai senti qu’il y avait une ou deux boîtes, mais je ne me suis pas permis de regarder.— Merci.
Bob le sergent passe à la salle de bain et en ressort rapidement habillé d’un Jeans, tee-shirt, pull et baskets. Sonia a aussi opté pour le même style de tenue. Ils sortent et se dirigent directement vers le salon de coiffure ; Bob ne désirant pas attendre, il la laisse aux mains expertes du personnel. Lorsqu’il la récupère deux heures trente plus tard, il découvre une Sonia métamorphosée. Sa coupe de cheveux attire en premier son regard, en effet la coiffeuse avait conseillé la coloration de mèches dans un rouge très foncé, et surtout une coupe en coiffé décoiffé très sexy. Qui selon la posture qu’elle prend la transforme en femme fatale, ou encore en coquine irrésistible voire provocante. Un maquillage du visage et des ongles parfaitement réussis font se retourner bon nombre de passantes et passants rencontrées dans la rue.
— Tu es magnifique, bravo. Je vais avoir la plus belle femme pour passer cette belle soirée de réveillon. Nous allons essayer la robe que je t’ai choisie.— C’est vrai que ma coupe te plaît ? J’ai hâte de voir cette robe si fantastique...— Toi, tu ne la verras que ce soir, je veux que tu gardes les yeux fermés pendant l’essayage.— Je ne pourrais pas résister.— Alors je te les banderai...— Oh... oui, ça fera encore plus soumise ; puisque c’est ce que tu veux.— Toujours partante ?— Plus que jamais.— Alors suis-moi.— OK ! mais avant je voudrais m’acheter un blouson en cuir, car j’ai un peu froid.
En entrant dans le centre commercial, ils passent devant une boutique de cuirs qui fait de belles soldes pour noël. Au bout d’un quart d’heure elle a trouvé le blouson dont elle rêvait. Bob lui indique même qu’avec une casquette elle ferait une jolie Biker, ou suivant le modèle de coiffure une belle Gavroche. Fière de ce compliment elle se dirige vers l’endroit qui va donner le point de départ de sa vie de soumise d’un soir. Bien qu’elle ait déjà pratiqué cette forme de sexualité, mais à l’époque c’était contraint et forcée, donc sans plaisir. Même si Bob lui paraît entouré de mystère, l’exemple de ce matin en est la preuve ; elle aborde cette soirée avec sérénité et un brin d’excitation.
La boutique choisie est vaste et dès leur arrivée ils sont accueillis par une charmante vendeuse au sourire commercial.
— Ah, Monsieur Bob ; vous venez avec Mademoiselle pour l’essayage. Veuillez me suivre, je vous prie.
Elle les conduit vers une cabine de taille XXL.
— Je vais chercher la robe, si vous voulez bien vous déshabiller en attendant ; j’en ai pour une minute.
Elle ôte son blouson, son jeans et se retrouve en string, pieds nus et torse nu. Comme prévu Bob lui bande les yeux, elle sent un léger courant d’air, signe que la vendeuse est entrée avec la robe ; elle entend quelques bribes de conversation qui se termine par : « surprise ». Elle met en action tous ses sens de façon à détecter le moindre indice qui pourrait lui faire deviner à quoi ressemble cette foutue robe. Les premiers indices arrivent en même temps qu’un tissu léger effleure sa poitrine en la faisant frissonner. Le second est qu’on lui noue derrière la nuque un fin cordon, qui lui laisse penser qu’il doit soutenir le devant de la robe qu’elle sent à peine, et lui lasse le sentiment que le décolleté doit être profond et le tissu fluide. Le troisième indice est qu’elle a le dos entièrement nu jusqu’à la naissance de ses fesses. Pour le quatrième, c’est l’air frais qui lui caresse la cuisse droite, en lui faisant présager une échancrure montant très haut sur sa hanche. Pour preuve, la réflexion de la vendeuse :
— Je pense qu’il faudrait choisir un string dans le genre brésilien, car pour le modèle que vous portez ; la ceinture est trop voyante et cela ne fait pas beau du tout ... Pardon.
Le silence règne tout à coup et Sonia sent deux mains se saisir et faire descendre le sous-vêtement. Elle est maintenant persuadée que cette robe, si robe il y a ; elle est extrêmement légère et très échancrée pour l’obliger à être nue dessous.
— Nous allons faire quelques pas, dit la vendeuse en la prenant par la main et en la dirigeant.
Elle suit docilement et au moment où le léger brouhaha qui règne dans le magasin s’estompe puis disparaît totalement ; elle se dit qu’elle est dans la boutique et que sa tenue doit attirer tous les regards. Après quelque allée et venue elle se retrouve déshabillée et la vue retrouvée.
— Rhabille-toi, et je peux te dire que grâce à toi, la robe est magnifique.— Si j’avais pu le voir cela aurait été mieux.— Tu la verras ce soir. En attendant je t’invite à manger un morceau, puis nous pourrions flâner dans les boutiques, et aller au cinéma avant de rentrer pour nous préparer.— Cool, ça fait des lustres que je n’ai pas fait de lèche-vitrines ; il faut aussi que j’achète un bouquin de code ; je passe le permis après le stage. Je vais profiter de la semaine prochaine pour le bosser.— Sage décision, il faudra que tu bosses aussi les cours du stage.— Tu parles, je connais tout par cœur ; tu veux que je te les récite ?— Non... allez, on va manger et on se fait un ciné ?— Super, depuis le temps que je n’y suis pas allé ; c’est une belle idée.
Après un repas diététique pris dans une des nombreuses brasseries du centre commercial, ils flânent de boutiques en boutiques. Sonia s’attarde dans un magasin d’accessoires, elle en ressort avec une pochette et quelques bijoux fantaisie ; dans la seule et unique librairie, elle dégotte un « Code de la Route Rousseau ». Leurs emplettes terminées, ils se dirigent vers le cinéma aux sept salles situées à deux pas du centre commercial. Devant les affiches Bob demande à Sonia :
— Quel film désires-tu voir ?— Celui que tu veux, je suis ta soumise et je ne décide de rien.— C’est vrai, je l’avais presque oublié ; alors ce sera celui-ci, dit-il en désignant l’affiche ou est ajouté une dizaine de photos extraites de quelques scènes de « 50 Nuances de Grey ».
Sonia comprend immédiatement le thème du film et c’est avec une certaine impatience qu’elle prend place dans la file d’attente, et c’est main dans la main qu’ils s’installent au plus haut de la salle. Après les bandes-annonces, le film débute et dès les premières images, le ton est donné, elle s’installe confortablement dans son fauteuil pour pouvoir apprécier au maximum ce film hautement érotique. Un homme vient s’asseoir juste à sa gauche, elle ne le remarque pas plus que cela, mais lui si. Il sait immédiatement signaler sa présence en posant sa main sur la cuisse gauche de sa voisine qu’il commence à caresser. Elle se penche ouvertement vers Bob (ce qui permet à l’homme de lui tripoter la fesse gauche) et lui chuchote :
— Il y a un mec qui est en train de me peloter juste à côté.— Alors laisse-toi faire, lui répond-il en lui prenant la main et en la posant sur la bosse de son jeans.
Elle comprend que cette séance de cinéma, ces places tout en haut de la salle, cet homme qui lui caresse la cuisse et la fesse ne sont pas le fruit du hasard ; alors elle se laisse aller vers l’inconnue. Absorbée par ce film si prenant, elle se surprend à dégrafer son jeans, et à le descendre au sol. C’est alors que deux mains indiscrètes commencent à fouiller son entrejambe. Prise par l’érotisme du film, elle empoigne les deux bites sorties de leur carcan et raide comme des bâtons. Quand dans le film, la jeune femme est allongée et attachée nue sur le lit et que l’homme lui cingle les fesses ; elle sent chaque coup. À chaque fois qu’elle voit le visage de la femme se tendre sous les coups, son ventre se crispe, sa chatte pleure de plaisir. Machinalement elle branle les deux phallus, leur caresse le gland, le frein et leur malaxe les testicules jusqu’à ce qu’elle sente leur jus chaud et gluant lui couler sur les mains. À la fin de la séance Sonia remercie Bob :
— Merci pour cette belle séance, j’aurais bien aimé être parfois à la place de cette femme. — Nous rentrons à l’hôtel pour nous préparer, conclut-il.
À l’hôtel, Sonia trépigne d’impatience. Le sac, contenant la boîte dans laquelle se trouve sa robe, est posée sur le lit comme pour la narguer ; elle voudrait le prendre et l’ouvrir. Arracher cet emballage, se glisser dans ce vêtement si énigmatique, se mirer dans le miroir ; alors elle demande :
— Bob, on va se préparer ?— Humm... Je te sens impatiente de découvrir cette robe, elle est magnifique et te va à ravir ; mais il faut être patiente, il est encore trop tôt. Déshabille-toi, je vais jouer avec toi ; n’oublie pas que ce soir tu es mon jouet.— C’est vrai, mais j’ai hâte de la découvrir, répond-elle en faisant glisser son jeans en tortillant du derrière.
Une fois nue, il l’a conduit vers un fauteuil et la fait s’asseoir. Toujours habillé, il s’accroupit devant elle, prend son pied droit et tout en le massant avec une extrême délicatesse ; il lui confie :
— Tu sais Sonia, dans à peine trois semaines tu vas partir, je vais te regretter et je vais être triste. Je sais que l’amour est impossible entre nous, tu vas me laisser dans cette caserne avec mes souvenirs et tes gestes parfois si doux, ou si forts. J’aime ton côté rebelle, j’aime la femme que tu es devenue, j’aime ton corps, ... Sonia, je t’aime tout simplement.
La gorge de Sonia se serre car elle aussi se rend compte qu’elle éprouve des sentiments pour cet homme, elle sait qu’ils pourraient faire un beau couple ; mais il est trop tôt, elle doit terminer cette formation, passer à la suivante et retourner à Marseille où le devoir l’appel. Elle savoure ce moment où il lui masse les jambes comme il le ferait avec une pommade, quand il remonte très haut le long de ses cuisses pour atteindre son écrin toujours humide. Puis il lui prend la main et l’a fait se relever.
— Va te faire une beauté.
Elle passe dans la salle de bain, prend une rapide douche avec précaution pour ne pas abîmer sa coiffure et détruire son maquillage. Bob la rejoint et se douche, elle se plonge dans un nuage de parfum et retourne dans la chambre ; il la suit et la place devant l’immense miroir. Sans un mot il se place derrière elle et lui pose un bandeau sur les yeux et la serre tout contre lui. Il bande très fort et presse son gland contre de l’anus de Sonia. Elle comprend qu’il va la sodomiser, elle écarte les fesses prêtes à recevoir le mandrin qu’elle apprécie tant. Mais à sa grande surprise, ce n’est pas la queue du sergent qui entre en elle, mais le bijou intime que lui a offert la vendeuse du sex-shop ; il est froid et sen sphincter se resserre sur lui. Puis c’est le tissu léger qui recouvre son corps avec la même sensation que dans la boutique, la fluidité et le cordon que Bob lui attache derrière la nuque. Puis c’est au tour d’un tissu doux comme du velours qui lui enserre le cou, et enfin la délivrance et la découverte de cette robe.
Toutes les sensations sont là, il ne lui manquait que la couleur et la forme pour apprécier pleinement le vêtement. Dans la glace elle ne voit que cette robe argentée qui lui arrive à mi-cuisse et dont le décolleté si large et le tissu si vaporeux effleure à peine sa poitrine qui reste pratiquement visible en permanence. En se tournant elle remarque l’échancrure qui monte très haut jusqu’à sa taille en laissant voir la totalité de sa jambe droite. Le dos est tel qu’elle l’avait ressenti lors de l’essayage, nu. La fine bretelle soutenant le haut de la robe est suffisamment lâche pour laisser entrevoir le côté de ses seins qui n’ont besoin de rien pour se tenir bien droit. Le large tour de cou en velours noir et équipé d’un anneau au niveau de sa gorge termine sa tenue de soumise.
Cette tenue, Sonia la trouve à la fois élégante et provocatrice, sa sensualité lui donne déjà envie de vivre la suite...
[ À suivre]
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