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Police polissonne

Chapitre 39

Une soirée de Noël très spéciale.

SM / Fétichisme
L’homme la prend par la main. Il la conduit vers l’entrée d’un lieu repéré par une plaque de bois identique à celle de l’entrée de l’établissement, elle porte l’inscription : « Indécence ».
Une double tenture de velours rouge masque le passage, il l’écarte ; elle pénètre dans les lieux. Dans la pénombre, elle découvre une vaste salle circulaire où des alcôves ressemblant étrangement à des salles d’un donjon sont équipées de tout un tas d’accessoires faisant penser à des engins de tortures moyenâgeux. Une étrange musique se fait entendre et une odeur qu’elle identifie pour être de l’encens envahit les lieux.
Ce qu’elle rencontre en premier est une sorte de table basse sur laquelle un homme nu est attaché à quatre pattes ; il a le visage masqué et les yeux bandés. À ses tétons, des pinces où sont accrochés de lourds poids, étirèrent tellement ses seins qu’ils ont l’apparence d’une poitrine féminine. Sur ses fesses, une inscription faite au feutre noir : « Trou à bites » suivie d’une flèche indiquant le trou de son cul. Elle se fait presque bousculer par un homme qui, la bite à la main, enfourne le trou et le baise avec ardeur. Mais ce qui attire son regard c’est un cercle de personnes, et aperçoit au milieu un homme qui semble suspendu au plafond. Suivie de Bob, elle s’approche, se fraye un chemin parmi les spectateurs plus ou moins habillés, effleure quelques poitrines, touche quelques sexes bandés ; et parvient enfin à se placer devant les autres. Elle se retrouve face à un homme nu, suspendu par les poignets, et qui porte les traces du fouet tenu par un autre homme. Lui est habillé.
D’allure ventripotente, il est vêtu d’une chemise à carreaux grise et d’un pantalon de toile délavé ; il arbore une barbe et une chevelure grisonnante terminée par une courte queue-de-cheval.
Après avoir détaché le supplicié volontaire, du bout de sa cravache qu’il tient dans la main droite, il désigne les spectateurs un à un en leur faisant signe de venir ; certains font un « Non » de la tête et d’autres reculent. À côté de l’homme, une table est garnie de tout un tas de fouets et autres jouets sexuels. Il choisit une fine laisse en cuir, s’approche de Sonia en la fixant droit dans les yeux.
Quand l’homme toise du regard Bob, elle comprend immédiatement que le stage de résistance à la douleur est pour maintenant. À la vue de l’homme au corps lacéré par les coups de fouet qui s’agenouille devant une femme en combinaison de latex noir, à l’allure sévère et qui lui baise les pieds en disant des : " Merci Maîtresse", sa gorge se serre. Elle se tourne vers le sergent qui d’un signe de la tête lui confirme sa prédiction. Son seul souhait est de ne pas ressembler à celui qui vient de sortir. Elle se résigne, se prépare psychologiquement et fait un pas en avant, signe de son accord ; l’homme à la queue-de-cheval lui passe le mousqueton de la laisse dans l’anneau de son ras du cou en velours, et la tire au centre du cercle.
Elle est debout, les mains dans le dos. Elle fait face aux spectateurs avec le plaisir de s’exhiber avec fierté. Oui, il y a en elle la fierté de ce qu’elle a accompli pour arriver à se surpasser, obtenir une force musculaire qu’elle n’imaginait pas il y a encore six mois, un corps qui s’est modelé et surtout une force de caractère qui lui interdit de reculer devant les obstacles ; alors elle se laisse faire.
L’homme lâche la lanière de cuir qu’il laisse pendre entre ses seins, il lui parle en lui caressant le corps avec le bout de sa cravache. Personne n’entend ce qu’il lui dit. On peut juste voir Sonia, le visage fermé, acquiescer ou rejeter ce que lui dit l’homme par des signes de la tête. Il pose la cravache et prend des bracelets en cuir qu’il attache aux poignets de Sonia, puis aux mousquetons accrochés aux cordes pendant du plafond. Puis il lui parle encore, lui caresse la joue, du bout du majeur, touche ses piercings, elle sourit et lui répond ; mais pour la faire taire, il lui met le doigt sur la bouche. Ensuite, il passe ses doigts sur tout son corps, parle, lui tapote la joue, pose son doigt sous le menton de Sonia et parle toujours, il pousse sur son menton, elle redresse la tête en faisant un « Oui ».
Puis il passe ses doigts sur ses seins, fait rouler les tétons, tire légèrement sur les anneaux ; du regard, elle suit les gestes de l’homme. À son expression, elle semble inquiète. C’est alors qu’il lui pince fortement les deux mamelons. Elle se plie en deux en levant la jambe droite, il l’oblige à se redresser, lui parle ; elle sourit à nouveau et lui fait un « Oui » de la tête. Il lui désigne un à un les différents engins, arrivé aux deux derniers, elle acquiesce. L’homme lui sourit, l’interroge, au dernier oui, elle se redresse, sourit en lui tendant ses poignets.
Le sergent regarde la scène avec un très grand intérêt. Pour lui, il est clair que Sonia s’amuse avec l’homme. Son seul regret est de ne pas entendre ce qu’ils se disent, mais il pense que l’homme doit lui expliquer ce qu’il va lui faire. En effet, l’homme dessine des zones sur le corps de Sonia qui hoche affirmativement la tête à chaque parole, un dernier « Oui ». L’homme saisit un chat à neuf queues et retourne Sonia qui présente son dos et ses fesses aux spectateurs.
Elle regarde vers le plafond pour voir ; ou plutôt pour l’aider à patienter. Elle espère que le premier coup lui fasse mal, mais hélas, ce n’est qu’une caresse qui parcourt tout son corps en partant de ses chevilles, il remonte le long de ses cuisses, découvre ses fesses, balaye son dos, descend sur sa poitrine ; l’homme semble s’amuser, elle rit et toute l’assemblée l’entend. Maintenant, ce sont une multitude de petits coups qui lui massent le dos et les fesses ; tout son corps commence à s’enflammer. Elle attend. Il vient d’arriver avec un claquement sec, il est puissant, douloureux. Elle serre les dents, sa fesse droite la brûle ; mais c’est au tour de la gauche de s’enflammer. Maintenant, c’est une avalanche d’éclairs qui lui brûle les fesses, le dos et le haut des cuisses. Elle voudrait crier, mais elle se retient, et se raidit pour mieux supporter cet ouragan de morsures ; elle ferme les poings et pleure.
L’homme la retourne. Son visage est triste, il lui parle et lui essuie du bout du pouce les larmes qui coulent le long de ses joues. Il lui tapote la joue puis lui dépose un doux baiser sur les lèvres ; elle sourit à nouveau. Il lui parle encore en redessinant du bout des doigts ses seins et ses tablettes de chocolat. Il joue avec ses piercings fraîchement posés et tire légèrement dessus ; elle a retrouvé le sourire, et maintenant elle rit. Il passe sa main dans son entrejambe, elle se mordille les lèvres, bascule sa tête en arrière comme si elle prenait du plaisir ; visiblement, elle en prend, car tout son corps ondule doucement. Il lui parle, elle acquiesce, alors il reprend le fouet, reprend et répète le même scénario cinq fois ; à la dernière question, elle fait un non de la tête.
L’homme pose le fouet, passe sa main dans son entrejambe et la garde immobile ; de l’autre, il joue à nouveau avec ses piercings, puis prend un fouet long et fin identique à ceux utilisés pour l’autre homme.

Bob ne comprend rien à ce manège, il se demande même ce qu’ils peuvent se raconter pour passer ainsi du rire aux larmes puis à nouveau aux rires. Il observe le comportement de Sonia qui une fois de plus l’étonne, il se demande comment peut-elle faire pour résister ainsi à la douleur, et surtout sans crier ; à l’inverse de son prédécesseur qui lui, a presque hurlé.
Cette fois, l’homme fait claquer le fouet au sol, et le bruit fait sursauter l’assemblée y compris Sonia ; puis il le lance. Dans un sifflement aigu, la longue lanière s’enroule autour du buste de Sonia et l’extrémité vient claquer ses seins. Puis c’est au tour de ses cuisses, de son ventre, de son dos et de ses fesses en laissant dans un claquement sec des traces rougeâtres. À chaque coup, elle commence à onduler dans tous les sens ; Bob ne sait pas si c’est de plaisir ou de douleur.
L’homme parle à nouveau à Sonia en palpant tout son corps comme s’il voulait tester la température en surface, elle acquiesce à nouveau. Il pose le fouet, décroche et laisse couler la corde qui la suspend au plafond, libère ses poignets, lui caresse la joue, lui attrape les tétons qu’il serre entre pouce et index ; elle se plie en deux de douleur. Il lâche, et elle se redresse en riant. Puis il lui pulvérise un produit à la douce odeur d’arnica sur tout le corps, et telle une princesse qu’il conduirait au bal ; il la raccompagne vers Bob.
— Ça va Sonia ? denmande le sergent.— Ça va, mais il m’a fait vachement mal ; je dois avoir des marques partout.— C’est vrai, et je trouve cela assez sexy...— Non, mais tu plaisantes ! ... Attends tout à l’heure ; tu vas voir ce que je vais te mettre.— Mais non, je te chahutais ; en tout cas, je te tire mon chapeau pour ton courage. J’ai même eu l’impression que tu y prenais du plaisir.— C’est vrai et je dois avouer que cet homme a une façon d’aborder la chose ..., que je qualifierai d’originale ; mais ça, je le garde pour moi. Et maintenant, on fait quoi ?— On fait le tour ? Ou tu préfères passer au dessert ?— On regarde vite fait et on passe au dessert, car pour moi, c’est un double...
Ils font le tour des lieux et découvrent de petits espaces, pour certains transformés en salle de torture, d’accouchement, des hommes et des femmes sont livrés à des bourreaux masqués ; ils leur font subir tout un tas de sévices. Même si Sonia a pris malgré tout du plaisir avec l’homme grisonnant, elle ne se voit pas se livrer aux mains de ces gens ; car elle veut garder le contrôle comme il y a un instant. Puis il passe devant des salons offrant les spectacles de quatre lesbiennes qui sont en train de se lécher à grands coups de langue. Ailleurs, ce sont des hommes qui s’enculent avec ardeur, et enfin une orgie se déroule dans un autre endroit. Elle demande à Bob de retourner dans l’autre salle. En passant devant l’homme au trou du cul à bites, le spectacle qui s’y déroule l’intrigue et ils se posent un instant. En effet, le fameux trou est en train de se faire enduire de gel par une femme entièrement nue, blonde et bien foutue ; elle est équipée d’un gode ceinture.
Mais pas n’importe lequel, il s’agit d’un pénis long comme le bras, imitant le sexe d’un cheval. Elle enduit, en plus du trou de l’homme, l’engin que Sonia regarde avec une certaine appréhension :
« Putain, mais elle ne va pas lui mettre tout ça ! » s’exclame-t-elle intérieurement.
Le braquemart enduit, la femme présente le gland aplati devant l’auréole brunâtre déjà grande ouverte et pousse. Sonia n’en croit pas ses yeux, l’engin s’enfonce inexorablement dans l’anus de l’homme ; il beugle comme un cochon à l’agonie. Mais l’enculeuse continue à enfoncer l’objet de plus en plus profond, il ne reste plus qu’une dizaine de centimètres pour qu’il soit entré dans sa totalité ; mais elle recule et ressort le pénis presque entièrement. Puis elle lui envoie d’énormes claques sur les fesses en le traitant de : "salope, pétasse" et tout un déluge d’insultes. Devant le visage de l’enculé, un homme lui présente sa bite gonflée d’excitation et force l’autre à l’avaler. Puis la blondasse reprend son jeu en baisant l’homme à grands coups de reins et en enfonçant le pénis de cheval de plus en plus loin, et ce, jusqu’à la garde ! Sonia frémit et grimace de douleur pour l’homme ; elle en a assez vu et préfère passer au dessert.
Ils retournent dans la grande salle où sur la scène un couple se livre à un strip-tease torride. Bob fait signe au serveur qui comprend qu’il peut apporter le dessert, en attendant Bob s’adresse à Sonia :
— Tu vas bien ? J’espère qu’il ne restera pas de traces, s’inquiète-t-il.— Oui, ne t’inquiète pas, j’ai juste un peu chaud partout ; son produit semble très efficace. Et pour les traces, cela me fera un souvenir.— J’aimerais que tu gardes un bon souvenir de ce Noël, et surtout de ça, dit-il en jouant avec les anneaux mammaires.— Je pense que je vais garder un excellent souvenir de cette soirée et aussi de notre rencontre, pour les anneaux, je les porterais en permanence ; tout comme toi...— C’est vrai, et j’ai hâte de te voir me les mettre ; dommage que tu n’aies pas ce qu’il faut, autrement, je t’aurais demandé de me les mettre tout de suite.— Humm..., impatient ? Alors il te faudra attendre...
Le serveur revient avec un plateau portant les deux coupes de glace commandées en secret par Bob lors de la prestation de Sonia sur la scène de pole dance. La vision du serveur chamboule l’esprit de Sonia.
Mesdames ! Imaginez-vous à la place de Sonia dans cette boîte de nuit libertine. Devant vous le serveur à l’allure de surfeur, grand, musclé, bronzé et vêtu d’un seul et unique string en cuir noir déformé par une érection naissante.
Et vous Messieurs ! Imaginez-vous à la place du serveur. Devant vous, Sonia, avec sa tête de chipie au regard malicieux et provocateur, ses lèvres sensuelles qui vous donnent envie de l’embrasser ; elle se lève, elle est nue comme un ver. Vous n’avez d’yeux que pour sa poitrine sensuelle avec ses seins ronds comme des melons, arrogants, fiers de se tenir droits. Vous remarquez instantanément les anneaux qui ornent ses mamelons et le diamant qu’elle porte à son nombril qui reflète les rayons des spots laser. Le sang gonfle votre verge comme celle du serveur. Elle s’en approche, passe sa main sur la boursouflure du string, le palpe et sent le phallus grandissant, bloqué contre le pli de l’aine ; elle en extirpe le membre. Elle le tient fermement de sa main droite et la gauche s’amuse à faire rouler ses testicules totalement lisses dans le tissu du minuscule vêtement.
Puis, elle baisse la ceinture élastique pour la placer sous les bourses du serveur qui a, tout comme les autres serveurs, la consigne de la direction de tout faire pour que le client soit satisfait de sa soirée et revienne.
Que diriez-vous, Mesdames, d’avoir entre les mains cette queue bien droite et bien dure, ces bourses lisses comme une peau de bébé et bien remplies ? Vos yeux sont chargés d’envie et de désir ; tout comme ceux de Sonia qui caresse la hampe du bout des doigts. À petits coups de langue, elle lèche le gland nu et surtout le frein qui comme le point G de la femme attise le désir de l’homme placé debout devant elle. Quand elle embouche le gland, c’est un délice. Quand elle le masturbe du bout des lèvres, le plaisir augmente. Dans sa bouche, elle se régale du mélange de salive et de cyprine qui s’écoule doucement de la verge, il lubrifie le fond de sa gorge dans lequel elle y enfonce cette bite qui la remplit. Sa main gauche tire sur les bourses, sa main droite enserre ferment la verge et elle force ; elle est au bord de l’étouffement, mais force encore.
Le gland passe la luette et descend dans le fond de sa gorge, elle voudrait l’avaler en entier, mais à bout de souffle, elle le laisse ressortir. Comme pour se venger de cet échec, elle masturbe doucement ce gland en insistant sur le frein, ce qui a pour effet de faire monter rapidement l’envie que cela ne s’arrête jamais.
Sous l’œil amusé de Bob et la bite à l’air, le serveur commence à serrer les poings, car ses couilles sont en ébullition et la décharge est imminente. Sonia présage l’événement, serre encore la verge, tire sur les bourses, et garde la cadence jusqu’à ce que l’homme lui envoie de grandes giclées de sperme au fond de sa gorge. Puis se tournant vers Bob, elle ouvre grand la bouche et avale la totalité du liquide gluant.
L’homme repart en rangeant son matériel sous l’œil amusé des convives des salons avoisinants. La dégustation de Sonia se termine par la coupe de glace maison au nom subtile : « L’un des sens d’Aphrodite » qui n’est autre qu’un savoureux tiramisu.
Il se fait tard et Sonia demande à Bob de rentrer à l’hôtel, le temps de prendre un café, de passer récupérer leur vestiaire et pour Bob de régler la note ; ils se dirigent vers la voiture. Pour surprendre Bob, Sonia décide de faire le trajet du retour entièrement nue jusqu’à la chambre. En sortant de la boîte, elle est tout d’abord saisie par le froid salutaire qui calme un peu plus ses douleurs.
L’hôtel semble désert, ils se glissent dans l’ascenseur, Sonia s’installe face à la caméra de surveillance ; elle reprend son air provocateur et fait du charme au vigile qui doit sûrement se régaler de ce spectacle. Il entre dans leur chambre et pour donner un peu de piquant à cette fin de soirée ou plutôt ce jour de Noël, sans prévenir Bob, elle reprend ses droits de dominatrice et ordonne :
— Déshabille-toi, esclave !
Bob, surpris, se déshabille. Il apparaît excité à Sonia qui a déjà préparé le matériel destiné à mettre en place les bijoux de Bob.
— Assieds-toi sur le fauteuil ! ordonne-t-elle.
L’homme s’installe, à l’aide de cordelettes, elle l’attache aux bras et aux pieds du meuble ; puis elle saisit la pince à clamper spécialement fournie par la vendeuse du sex-shop. Après avoir pulvérisé le produit désinfectant, elle positionne la pince sur le téton droit de Bob et la serre au maximum. Bob se tend, serre les dents en faisant une grimace qui informe Sonia sur le degré de douleur qu’il encaisse. Elle jubile intérieurement en prenant l’aiguille qu’elle enfonce à l’inverse de ce qu’elle a subi, c’est-à-dire doucement. Le tube de métal entre dans les tissus du téton, le sergent grimace ; Sonia mouille de ce plaisir vengeur. L’aiguille ressort de l’autre côté et elle enfile le bijou type Barbell (en forme de tige terminée par des pointes vissées) dans le trou en repoussant l’aiguille avec la partie dont elle a enlevé une pointe ; puis revisse l’extrémité. Elle répète l’opération pour le second téton.
Reste le Prince Albert. Elle commence par une belle fellation pour simplement rendre le travail plus facile. Une fois le membre bien raide, elle enfonce son petit doigt dans l’urètre pour l’élargir puis place son aiguille par l’intérieur du tuyau et pousse jusqu’à ce que l’aiguille ressorte de l’autre côté ; Bob souffre, mais elle n’en a rien à faire. La seule chose qui l’intéresse c’est de sentir le membre garni de l’anneau dans son étui, alors elle met en place le cercle de métal partiellement ouvert, puis glisse la bille de verrouillage et à l’aide de la pince fournie avec le kit, elle la bloque. Bob a mal et entend le « clic » qui lui interdit maintenant de le retirer.
Elle le détache, s’allonge sur le lit, offerte pour savourer le plaisir de sentir en elle le frottement de l’anneau contre sa paroi vaginale.
[À suivre]
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