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Police polissonne

Chapitre 46

L'école de conduite rapide.

Hétéro
A peine montée dans la voiture que Sonia est ravie de faire la connaissance de cet homme à l’allure joviale et visiblement sportive ; elle lui fait également bonne impression et engage la conversation :
— Alors, c’est vous qui allez me former ? Comment se passera cette formation ? Vous pouvez m’expliquer tout ça, car j’ai hâte de commencer.
— Avec plaisir, et comme nous sommes amenés à être ensemble en permanence ; je pense que nous pourrions nous appeler par nos prénoms et nous tutoyer. Qu’en pensez-vous ?
— Avec plaisir; et tu viens de dire qu’on serait ensemble en permanence, tu veux dire jour et nuit ?
— Euh..., non, enfin pour le travail ; je voulais dire.
— Hum, dommage... en fait, je déconnais.
Si elle prend la chose sous forme de rigolade, c’est qu’elle s’est aperçue que son chauffeur regarde souvent ses cuisses ; et elle s’en amuse. Elle pousse même le vice jusqu’à glisser discrètement sur son siège pour que le bas de sa jupe remonte aussi haut que possible et laisse apparaître un peu du tissu de son string blanc. En observant son formateur, elle se rend compte qu’une bosse se forme doucement au niveau de son pantalon.
— Je l’ai bien compris, mais cela dit, je te trouve charmante et très sexy ; je pense que nous allons bien nous entendre. Comme nous avons plus de deux heures de route, nous pourrions faire plus ample connaissance et parler de cette formation.
— Oui avec plaisir, mais quand tu parles de faire connaissance, tu penses... vraiment faire connaissance ? Parce que moi je suis toujours « Open ».
— Je vois, et tu as un petit copain ?
— Non, personne, alors tu vois, la voie est libre et je suis une gourmande... si tu vois ce que je veux dire, continue-t-elle en posant sa main sur la cuisse de son chauffeur.
Sur l’autoroute qui les mène à Abbeville, la circulation est extrêmement fluide, les kilomètres défilent tout en leur laissant le temps de discuter sans risque.
— Et toi, t’as une copine ?

— Non plus, mais je voudrais pour le moment savoir où tu en es avec le permis de conduire.
— Pour faire simple, j’ai bossé le code pendant trois semaines avec le bouquin, et une semaine, sur un site d’apprentissage.
— Ah, c’est toujours ça ,depuis, et autrement, tu as déjà conduit ?
— A part un Alpha Jet pour aller à ma formation, je n’ai pas conduit de voiture.
— Un Alpha Jet ! Waouh... tu as un brevet de pilote ?
— Non, juste un instructeur qui m’a laissé les commandes pour aller de Salon-de-Provence à Villacoublay avant ma formation. J’ai posé l’avion seul et je peux te garantir que j’ai pris un pied pas possible.
— Ah oui !... Si je comprends bien, t’as peur de rien.
— Je suis comme je suis, car la vie ne m’a pas fait de cadeaux ; alors je prends la vie comme elle vient ; et je peux te dire que je suis hypermotivée pour le permis et surtout pour la conduite rapide.
— Je vois, alors si tu as tant bossé que ça, je te propose de faire des tests dès notre arrivée et que sur le trajet tu m’indiques ce que je dois faire à chaque manœuvre.
— Comment ça te dire ce que tu dois faire ?
— Eh bien si tu as bossé ton code, tu dois être capable de me donner les instructions ; comme en ce moment. Je voudrais dépasser le camion devant nous.
— OK, je vois, dit-elle en abaissant son pare-soleil. A l’aide du miroir de courtoisie, elle peut voir ce qu’il se passe derrière et continue : rien derrière, clignotant à gauche, accélère... Attention à la vitesse, c’est 130 ici. Bien, on est passé, clignotant à droite, tu te rabats et voilà.
— Parfait, on continue ?
— Oui, mais pour le moment il n’y a pas grand-chose à faire...à moins que...
— A moins que quoi ?
Elle pose à nouveau sa main sur la cuisse de Mathieu, commence à la glisser doucement vers son entrejambe et dit :
— Tu vois de quoi je veux parler maintenant ?
— Oui, j’avais bien compris, mais je pense que nous devrions mieux nous connaître avant, et puis sur l’autoroute ; c’est dangereux de faire ce genre de chose.
— Pourquoi, tu ne t’es jamais fait sucer en conduisant ? Moi je sais que les mecs adorent ça, et encore plus, si la fille est à poil juste à côté.
— Tu sais aussi que te faire arrêter en faisant ça, c’est la garde à vue et 400 € d’amande ? Et ça peut aller encore plus loin, car si tu es à poil, tu prends aussi pour exhibitionnisme. Mais cela dit, je pense que ça doit être très excitant.
— Ça l’est, répond-elle en touchant la bosse du pantalon.
— Non, ne fais rien, car ce que je vois est déjà pas mal ; parle-moi plutôt de toi, ce que tu fais comme métier, et pour quoi tu vas suivre une formation chez nous.
— Quoi ? Tu n’es pas au courant, tu n’as pas vu mon dossier ?
— Non pas encore, car c’est le commandant qui reçoit tout en premier.
— OK, bon, alors voilà : je suis flic dans une brigade nouvellement créée; et il me faut le permis de conduire, car j’ai un compte à régler avec...
Sonia lui raconte tout depuis le début, car maintenant elle n’a plus honte de dévoiler sa vie et tout ce qu’elle a fait par le passé ; mais c’est toujours avec émotion qu’elle parle de la perte de sa mère, et aussi de l’absence de sa famille. Les images d’Amélia qui lui reviennent en tête de plus en plus souvent la troublent et renforcent son désir de la revoir ; ainsi que toute sa famille. Le formateur s’en émeut et se permet de poser sa main sur la cuisse de Sonia en signe de réconfort ; celle-ci le regarde ; ils échangent un sourire amical. Mais elle ressent tout à coup ces petits picotements au niveau de son sexe, signe annonciateur d’une envie naissante de faire l’amour. Alors elle se risque :
— Mathieu, j’ai envie de toi.
— Eh bien, au moins toi tu es directe...
Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle est déjà en train de défaire sa braguette et extirpe le phallus trop à l’étroit dans le caleçon bleu de l’homme. Elle commence à caresser l’engin, et force la main posée sur sa cuisse à venir caresser sa minette en écartant son string. Cette fois, leurs regards sont différents, la sympathie est remplacée par la gourmandise. Et c’est d’un coup de volant que le policier dirige la voiture au fond du parking d’une aire d’autoroute ; il se stationne bien à l’abri des regards. Ils descendent et se cachent derrière des arbres, elle abandonne son string, offre une belle fellation à Mathieu, puis elle se plaque contre l’arbre, et se laisse prendre comme cela, debout. Elle enroule ses jambes autour de la taille de l’homme, l’acte est rapide, sauvage, presque bestial ; son envie était tellement forte qu’elle arrive à l’orgasme en un éclair.
L’homme n’a pas eu le temps de jouir, alors elle le finit à la main ; lui, appuyé contre l’arbre, envoie de puissantes giclées au loin. Puis, sans un mot, ils reprennent la route.
Une fois arrivés au centre de formation, il la présente au commandant.
— Commandant, je vous présente Sonia Wolski.
— Bonjour, Commandant, dit-elle en position de garde-à-vous.
— Ah, voici notre stagiaire, bienvenue chez nous. J’ai reçu votre dossier et je l’ai regardé avec une grande attention. On m’avait parlé d’une personne très dynamique, mais à en croire ce qu’il y a de noter ici, je pense que vous êtes plutôt quelqu’un d’extrêmement déterminé. J’ai les appréciations d’un certain sergent Bogdan Gorki, votre instructeur, je suppose, qui vous qualifie de tornade.
— Merci, mon Commandant.
— Bien, Mathieu ; je suppose que vous avez fait connaissance..., vous vous occuperez de l’intendance, pour le logement, j’ai un problème, je ne sais pas trop comment faire, car la partie « hôtel » est actuellement en travaux ; et je ne vais pas vous faire dormir dans la poussière.
— Elle pourrait venir chez moi, j’ai deux chambres...
— Eh bien, si cela ne vous dérange pas, et que Mademoiselle est d’accord ; je trouve cette solution acceptable. Qu’en pensez-vous ?
— Pour moi, c’est parfait, et ainsi nous pourrions travailler le soir... confirme Sonia.
— Exact; alors, c’est d’accord, dit le supérieur en regardant les deux compères avec ce genre de regard qui marque bien son incrédulité sur le mot « travail » puis il reprend. Bien, vous l’installez et ensuite vous lui faites passer des tests sur le Code de la route, afin que je détermine le nombre de leçons à lui donner. Vous savez Mademoiselle que nous n’avons que quinze jours pour vous faire passer le permis et vous initier à la conduite rapide.
— Oui, je sais tout ça et c’est pour cette raison que j’ai bossé le code à fond.
— Ah, voici une bonne nouvelle...
— Oui, et sur le trajet, je lui ai demandé de m’expliquer quelles opérations je devais accomplir pour effectuer les manœuvres de conduite ; et je suis certain que l’obtention du permis ne sera qu’une formalité pour elle.
— Je ne demande qu’à vous croire, alors au travail ; vous pouvez disposer.
Les deux acolytes sortent du bureau et Mathieu accompagne Sonia pour l’installer dans sa seconde chambre. Puis il l’emmène dans la salle de cours où un écran géant est installé sur un mur face à des fauteuils de conférence avec tablette incorporée pour pouvoir écrire et poser des documents.
— Installe-toi et prends ce boîtier, tu as les touches : A, B, C, D pour répondre aux questions, fais attention, car il peut y avoir plusieurs réponses. La touche verte pour valider et la jaune pour corriger, sur l’écran tu as le numéro de la question et tes réponses. Tu as le temps de répondre et de corriger si besoin est, sur l’écran de la télé, tu auras l’information pour la validation ; ça va ?
— C’est bon, j’ai pigé et je suis prête.
— Alors, je lance la vidéo ; c’est parti.
La première diapo apparaît, Sonia se concentre, lit, scrute, détaille, et décortique la diapo ; elle coche et valide...les photos se succèdent, elle coche, valide encore. La série se termine, et le résultat tombe :
— Eh bien, pour une première, c’est pas mal du tout, félicite le formateur. Tu n’as fait qu’une seule faute, et non éliminatoire.
— Cool, c’est bon ça !
— Si tu veux en faire une ou deux de plus, on peut et si tu fais le même score ; peut-être que le commandant te donnera ton code.
— Ah oui, ce serait super ! Alors, envoie.
Trois heures et quatre séries plus tard, ils se rendent chez le commandant pour apporter les résultats.
— Tenez, commandant, voici le verdict sur l’épreuve du code de notre stagiaire.
Il tend la feuille avec les résultats des quatre séries au commandant, qui, en voyant le score impressionnant de Sonia, s’exclame :
— Eh bien, je n’ai jamais vu une chose pareille ! C’est bien Mademoiselle ; je dirais que c’est même très bien. Normalement, cela ne se passe pas comme ça, mais aux vues de vos résultats ; je valide votre code ; félicitations.
— Merci Commandant ! s’exclame Sonia en sautillant comme une gamine.
— Vous avez raison d’être contente, maintenant je commence à comprendre pourquoi vos notes de votre formation sont si hautes. Nous allons gagner un temps précieux. Mathieu, demain vous la faites rouler sur le circuit et en fonction de ses aptitudes et ses réactions ; vous la ferez sortir sur route.
— Reçu, c’est une bonne idée Commandant.
— Parfait, pour moi c’est terminé ; vous pouvez disposer.
Ils saluent d’un coup de tête et se dirigent vers l’appartement de Mathieu. Arrivée sur place elle demande :
— Est-ce que je peux prendre une douche ?
— Oui, naturellement ; je vais te donner une serviette, mais par contre je n’ai pas de peignoir à te prêter, sauf le mien.
— Ce n’est pas grave, il fait chaud chez toi et j’aime bien rester nue ; à moins que cela te pose un problème ?
— Pas du tout, car j’aime bien moi aussi rester nu dès que je suis chez moi.
— Alors on est fait pour s’entendre.
— Ce n’est pas faux, si tu veux, je vais préparer un apéro le temps que tu te douches ; histoire de trinquer à notre rencontre qui, je pense, va être riche en événements.
— Humm... Je vois que Monsieur à une idée derrière la tête...
— Moi ?...
Il lui indique où se trouve la salle de bains, lui sort un drap de bain et part préparer l’apéro promis. Pendant ce temps, Sonia profite de la spacieuse cabine de douche, elle est si grande qu’une douche à deux serait parfaitement possible ; elle se surprend à s’imaginer avec Mathieu dans cet endroit avec quelques câlins. Lorsqu’elle sort de la cabine, elle peut alors se mirer dans l’immense glace qui tapisse la totalité d’un mur en face du lavabo à double vasque. Elle se regarde sous toutes les coutures, cela fait longtemps qu’elle n’a pu s’admirer en pied, alors elle en profite. Elle se tourne et se retourne, se palpe les fesses, les seins, glisse ses mains sur son ventre puis sur sa minette, joue avec ses piercings, se passe les mains dans les cheveux ; et en conclue que sa formation l’a rendue belle et désirable.
C’est enroulée dans le drap de bain qu’elle rejoint Mathieu qui s’affaire en cuisine.
— Alors cette douche ?
— Extra, tu veux un coup de main ?
— Non, j’ai terminé ; je vais vite prendre une douche et j’arrive. Installe-toi dans le salon, je n’en ai pas pour longtemps...
— D’accord, je vais garder la serviette, car en réalité, je ne me suis pas essuyée et je ne veux pas mouiller partout.
— Ah, après ce n’est que de l’eau, alors ne te casse pas la tête.
Sonia acquiesce et passe au salon. La pièce est simplement meublée d’un canapé et d’un fauteuil un peu vieillot, ils dénotent avec l’écran de télé ultramoderne à la taille gigantesque qui trône, à côté d’une console de jeux, juste au milieu d’un meuble bas, noir. Elle en déduit que ce célibataire doit passer pas mal de temps à jouer. En poursuivant son exploration, elle découvre la partie salle à manger qui comporte l’essentiel pour prendre les repas correctement installés ; en effet, la table, les chaises et le buffet bas semblent eux aussi sortir tout droit du même magasin d’antiquité que le reste.
En attendant que Mathieu réapparaisse, elle en profite pour jeter un coup d’œil sur son portable, mais personne ne lui a envoyé de message ; alors elle décide de donner de ses nouvelles à Marc.
[SMS, Marc, Sonia]
> Bonjour Marc ! Je suis super contente, j’ai réussi ma formation et je suis la première de ma promo ! J’ai bossé mon code comme une folle et je l’ai eu du premier coup ! Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse. Et toi comment tu vas, j’ai hâte de travailler avec toi. Bisous Sonia.
< Bonjour Sonia, félicitations ! Nous aussi avons hâte que tu reviennes. A très vite. Bises.
Elle pose son téléphone et se lève toujours enroulée dans sa serviette, s’approche de la fenêtre qui donne sur la cour de la caserne où le calme règne. Après quelques minutes, Mathieu fait son apparition avec sa serviette nouée autour de sa taille et dit :
— Alors, tu admires le paysage, un peu triste, tu ne trouves pas ?
— C’est vrai, répond-elle en se retournant. Mais ce que je vois en face de moi me paraît plus prometteur, enchaîne-t-elle en laissant glisser doucement sa serviette à terre.
— Et ce que je vois est tout simplement sublime... Tu es magnifique, complimente Mathieu, en imitant Sonia.
Ils sont nus tous les deux et s’installent au salon. Sonia découvre le corps d’un homme dans la fleur de l’âge, bien musclé ; elle le complimente également sur son physique. Il propose de prendre un verre.
— Nous allons fêter ton code, car tu le mérites bien. En tout cas, je n’ai pas encore eu l’occasion de rencontrer une personne aussi motivée, j’aime ta façon d’être et je pense que ce n’est que le début de ma découverte.
— J’espère que tu as quelque chose sans alcool, car je veux être en forme demain.
Lui n’a d’yeux que pour Sonia; il la détaille sous toutes les coutures et commence à avoir une érection.
— C’est moi qui te fais cet effet ?
— Oui, toi et tes piercings, c’est tellement sexy et ça te va super-bien. Je dois dire que si je rencontrais une femme comme toi, je serais le plus heureux des hommes.
— Bon, au moins tu vas droit au but, et je prends cela pour un compliment ; dis-moi, tu ne serais pas en train de me draguer par hasard ?
— Je peux toujours tenter, on sait jamais...
— C’est vrai, mais je ne veux pas te donner de faux espoirs, car j’ai autre chose à faire avant de penser à moi ; mais par contre, je veux bien m’amuser.
Pendant l’apéro sans alcool, Mathieu, assis sur le canapé, commande deux pizzas. Sonia ne peut s’empêcher d’attraper le phallus en demi-érection et de le masser pendant que Mathieu téléphone, puis elle se penche sur lui, embouche l’engin au max de sa forme, le suce avec une telle vigueur que l’homme en perd le fil de la conversation. Il ne sait plus quelle pizza commander et est obligé de repousser Sonia pour lui redemander ce qu’elle veut.
— Moi, c’est une quatre fromages, et toi un calzone, lui dit-elle en riant.
Puis, elle reprend son activité jusqu’à ce qu’il raccroche. Elle s’applique à lécher, sucer, laper et aspirer le sexe de plus en plus tendu ; il raccroche, l’attire vers lui. Assise à califourchon sur les cuisses de l’homme et sans lâcher son jouet, elle s’attaque maintenant aux tétons tendus de Mathieu ; en levant les yeux régulièrement vers lui, elle peut constater sur le visage de l’homme le résultat de son ouvrage. Quand elle le voit fermer les yeux et respirer de plus en plus fortement, elle sait que pour lui le moment approche. Pour elle aussi, elle mouille de plus en plus ; son vagin réclame et tout son corps pétille d’impatience. Mathieu ouvre les yeux. Délicatement, il la fait basculer sur le canapé et plonge son visage entre les cuisses de sa belle, à sa grande surprise ; sa langue heurte le piercing qu’elle porte à son clito. Son sexe se durcit encore plus, il lèche et aspire le si joli fruit qui lui est offert; Sonia vibre de plaisir ; elle l’attire à lui.
Il la prend d’un coup sec, sa hampe pénètre le vagin trempé d’envie, la douceur de l’étui, la découverte du piercing et le jeu avec les autres attisent l’homme qui se lance dans une joute de va-et-vient puissants, rapides, profonds. Sonia sent en elle le plaisir arriver doucement, son vagin semble être envahi de milliers de fourmillements ; comme si tout un tas de petites bêtes courait dans tous les sens. Sous les coups de boutoir de Mathieu, son orgasme arrive très vite, comme un éclair, et c’est ensemble qu’ils arrivent au plaisir suprême.
Il était temps, on sonne à la porte !
— C’est le livreur de pizza, dit Mathieu.
— OK, c’est moi qui régale et c’est moi qui lui ouvre, reprend-elle en se dirigeant vers la porte.
— Tu n’y vas pas comme ça ?
— Pourquoi, tu es jaloux ? Et puis ça lui fera plaisir de voir une femme toute nue lui ouvrir la porte.
— Tu es incroyable et exhibitionniste en plus !
— Eh oui, tout le monde n’est pas parfait...
Elle ouvre la porte. À la découverte de la nymphette, le jeune livreur écarquille les yeux et reste bouche bée et en perd tous ses moyens ; il bafouille :
— Bonsoir... Madame... je...
— Je vous dois combien ?
— 25... S’il vous plaît.
Quand il repart, les deux amants éclatent de rire devant cette situation. Mathieu ouvre les deux boîtes et chacun mange avec appétit. Après ce bon repas, Sonia tombe de sommeil et demande la permission d’aller se coucher en expliquant que la semaine passée a été difficile et le sommeil rare.
— Je suis désolé, mais je tombe de fatigue, comme je veux être en forme demain, je vais me coucher.— Je comprends, alors je te souhaite une bonne nuit.Sonia rejoint sa chambre, se couche et s’endort rapidement.
[À suivre]
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