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Police polissonne

Chapitre 54

Le secret de Julien

Erotique
Ch 54 : Le secret de Julien    Elle vient de découvrir Julien nu dans son peignoir. Confus de la situation, il devient rouge de honte, il est alors aussi mal à l’aise que le jour où sa mère lui était tombée dessus alors qu’il essayait ses tenues, il dit :   — Je suis désolé Sonia, je ne savais pas que tu rentrerais…, je …, — Et tu te sens bien dans mon peignoir ? — Oui, enfin non, ce n’est pas ce que tu crois, je …, — Julien, ne te cherche pas d’excuses, j’ai compris ce qu’il se passe dans ta tête, je ne te juge pas ; j’ai la confirmation de mes doutes et je voudrais comprendre pourquoi. Julien, tu m’enlèves ça et tu vas tout m’expliquer, tu vas te mettre à nu. Sache que je ne t’empêcherai pas de t’habiller en fille, de te comporter comme une fille ; si c’est ce que tu veux. Je suis même prête à t’aider pour choisir les fringues, j’ai des amies maquilleuses, coiffeuses et aussi une qui tient un magasin de vêtements. Alors si tu veux je te les présenterai, tu verras elles sont très cool. — Tu es en train de me dire que tu m’acceptes comme ça ? — Oui pourquoi, je te choque ? — Non,  mais je ne suis pas habitué à ce genre de réaction ; la plupart du temps c’est l’inverse, j’ai plus le droit aux insultes et aux coups qu’à autre chose, je ne sais pas comment te remercier. — Tu me diras merci plus tard, en attendant, demain je t’emmènerai rencontrer mon patron, il veut parler avec toi avant de prendre une décision pour tes papiers. — Tu as réussi, il est d’accord ? — Pour le moment je ne sais pas, pour ton info personnelle, je me suis prise un savon par mon patron pour t’avoir amené chez moi. Il m’a dit que j’étais inconsciente et que tu es peut-être un délinquant en train de me piéger. Julien, je t’ai fait confiance et j’espère que tu n’es pas en train de me la faire à l’envers ; car si c’est le cas, je te préviens, je te démonte la tête, dit-elle en haussant le ton. — Non Sonia, je te le jure, tout ce que je t’ai raconté est la stricte vérité ; et puis je suis incapable de te faire un coup pareil. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée depuis toujours, je vais lui dire à ton patron, et il pourra vérifier, je n’ai jamais eu de problème avec la police. — Je sais, car ils ont vérifié, demain tu auras juste à lui dire le minimum sur ton passé, car je lui en ai déjà parlé. Bon ce soir je ne suis pas là et tu passeras la soirée seul, je ne sais pas à quelle heure je rentrerai ; alors débrouille-toi pour faire à manger, car moi je suis une quiche en cuisine. — Une quoi ?  — Une quiche, enfin je suis nulle ; je ne sais pas cuisiner. — Alors tant que je serais ici, c’est moi qui ferais à manger ; je connais quelques bonnes recettes espagnoles que je faisais avec ma tante.  — Eh bien voilà une belle façon de me remercier, j’adore la cuisine espagnole. Bien je me mets à l’aise et on casse une petite croûte.   Sonia passe par la salle de bains et en ressort nue, Julien en fait autant par respect du mode de vie de cette maison ; mais aussi parce qu’elle lui a demandé. Dehors, il fait un temps magnifique et elle décide de manger sur la terrasse ; alors elle prend un plateau et y dispose tout ce qu’il faut.   — Tu viens Julien, on va profiter du soleil…,  
 Sans dire un mot et après avoir abandonné le peignoir de Sonia sur le canapé et la suit avec un plateau chargé des boissons et des verres.    En cette moitié du mois de mai, il fait déjà chaud. Dans le quartier où est situé son appartement, loin de la circulation, elle n’entend que le bruit des sirènes des pompiers ou de la police. Avant le printemps, elle s’était offert quelques jardinières en bois (à monter soi-même) pour y planter quelques fleurs qu’elle avait disposé sur le pourtour de sa terrasse. Le vendeur de la jardinerie lui avait conseillé d’ajouter des arceaux, vendu en option, car elle avait choisi de planter des passiflores de différentes couleurs, ainsi qu’un ou deux plants de jasmin. Dans un autre bac, elle a semé des herbes aromatiques, car même si elle se dit « être une quiche » en matière de cuisine ; elle aime les saveurs et l’odeur des herbes provençales. Et pour couronner le tout elle avait acheté trois autres bacs, mais cette fois d’un demi-mètre cube chacun, dans lesquels elle a planté un citronnier « Caviar » avec l’espoir de récolter quelques fruits au prix exorbitant dont elle avait gardé un souvenir impérissable lors des fêtes de Noël. Dans le second, et pour rester plus modeste, elle s’est contentée d’un citronnier des plus classiques à fruits jaunes ; et pour terminer son verger, dans le troisième pot elle a installé un « Kumquat » aux fruits particulièrement amers, mais qui une fois confits sont un véritable régal pour les papilles.    Après avoir déposé le plateau sur la table de la terrasse, et afin de détendre Julien, elle l’invite à venir voir ses plantations :   — Julien, regarde toutes les fleurs qu’il y a ; tu ne trouves pas cela joli ? — Si, et c’est quoi tout ça ? — Viens, je t’explique, c’est un […]   À cause de ses premières plantations réussies, elle s’est vouée de passion pour les fleurs et les arbres fruitiers ; à chaque fois qu’elle reçoit quelqu’un elle en parle avec enthousiasme. Avec l’aide d’internet, tout ce qui est planté dans les bacs n’a aucun secret pour elle, alors elle explique comment bien s’en occuper pour obtenir de beaux fruits et de belles fleurs ; elle s’émerveille en voyant quelques abeilles butiner les fleurs de ses grumiers. Puis elle lui explique ses projets d’aménagement de sa terrasse, et l’attente de l’accord de la copro pour y installer un jacuzzi. Elle lui avoue aimer la nature, se promener nue sur une plage ou dans un bois, profiter des douceurs de la vie ; puis elle lui dit avoir un grand projet, un rêve en quelque sorte. Mais pour le moment elle le garde secret, elle invite Julien à l’accompagner un de ces jours ; Julien oublie petit à petit ses soucis et sa misère. Il se laisse bercer par le discours passionné de Sonia qui n’en finit plus de parler.      Installé sur leur transat Julien est parfaitement détendu, il est tout simplement bien avec elle. En le voyant en pleine « Zen attitude », elle revient sur le sujet évoqué par Julien.   — Julien explique-moi pourquoi tu veux changer ta façon d’être ? — Je te l’ai dit, c’est à cause du fait que ma mère m’ait rejeté. À partir de ce jour j’ai ressenti en moi un dégoût profond pour mon corps, ce truc que j’ai entre les jambes ne m’appartient pas. — Pourtant, tu m’as prouvé hier et ce matin qu’il marchait très bien. — Oui, mais ce n’était qu’un plaisir sans sentiment. Je n’ai pas eu envie de crier ou de râler comme certains le fond, c’était plat ; c’est pour ça que je ne me donne jamais de plaisir.  — Et ensuite tu m’as parlé d’une adolescence difficile. — Oui, en grandissant, mon visage s’est affiné et avec les cheveux longs j’avais vraiment l’air d’une fille. C’est là que tout est parti en vrille, les insultes et les railleries, il y a eu les bousculades et après les coups, puis le jour où je me suis retrouvé à poil ; avec ces mecs qui m’ont fait des trucs dégueulasses. Vois-tu quand je m’habille en fille, je suis bien, j’ai l’impression d’être une autre personne, d’être moi, tout simplement. Malheureusement sortir en ville, habillé en fille, m’attire encore les insultes et les attouchements ; tout ça parce que je ne sais pas me maquiller. Parfois j’ai envie que tout s’arrête, j’ai envie d’en finir avec cette vie de merde ; je pense que si tu n’étais pas arrivée, j’aurais fini par avaler une grande quantité de drogue pour en finir une bonne fois pour toutes. Mais tu es arrivée et maintenant que j’ai retrouvé espoir, je vais m’accrocher et assumer cette fausse féminité qui me plaît tant. — Et si tu changeais de sexe en te faisant opérer ? — C’est impossible, car je ne suis pas certains que ce soit réalisable, ni combien ça coûte et encore moins comment faire ; et puis il y a les autres et ma famille, ma tante, mon père et mes sœurs. Une fois j’ai tenté d’aborder ce sujet en parlant de quelqu’un d’autre avec mon père, pour savoir ce qu’il en pensait, et là sa réaction a été assez violente. Pour lui un mec qui fait un truc pareil est un fou tout juste bon à rien, un pédé ; il ne supporte pas ça. — Tu sais ce qu’on va faire ? — Non, mais ne me force pas à faire ce que je n’aime pas. — Pas du tout, je vais te prêter un survêtement et tu vas me suivre, avec l’argent de l’autre imbécile tu vas t’acheter des fringues de fille, nous irons dans un salon de coiffure que je connais bien pour te coiffer. Viens, je passe un coup de fil et on y va. -- C’est vrai !   En compagnie de Sonia, il se sent bien, ils se rendent à pied jusqu’au salon de coiffure ; comme à son habitude, elle marche vite et Julien à du mal à suivre. Elle s’en aperçoit et ralentit, arrivés devant le salon de coiffure elle sent qu’il est tendu et le rassure :   — Ne t’inquiète pas, tu vas voir ça va bien se passer. — Ça, c’est toi qui le dis.   En entrant dans la boutique au décor épuré, Julien est surpris devant l’accueil chaleureux de la coiffeuse et de l’esthéticienne. Avec leur accent marseillais, les deux filles jolies et bien foutues, parlent fort, et lancent un « Bonjour » chantant.    — Bonjour les filles ! s’exclame Sonia. — Alors ma belle, toujours aussi belle lui répond la coiffeuse.    En effet Sonia s’est habillée en fonction de la température, et aujourd’hui c’est shorts ultracourts et débardeur, le tout sans rien dessous.   — Oui, il faut beau, alors je m’habille en conséquence. Remarquez, vous n’êtes pas mal non plus.   —  Tu aimes ?   Sonia les inspecte des pieds à la tête, pour voir si la minijupe est suffisamment courte pour que l’on puisse voir leurs fesses si par bonheur elles doivent se baisser, que le chemisier soit assez transparent pour permettre de distinguer les pointes bien saillantes de leurs seins ronds et réguliers. Les deux jeunes femmes sont pour la plupart des clients sauf pour Sonia et quelques autres des associées, mais en réalité elles sont sœurs jumelles, lesbiennes et amoureuses l’une de l’autre depuis toujours. Elles affichent leur relation incestueuse sans aucun complexe et malheur à celui ou celle qui leur fera une quelconque remarque. Elles connaissent Sonia par cœur, c’est elle qui les a aidés à vaincre la peur du regard des autres, elle leur a aussi appris à se défendre grâce à des entraînements poussés qu’elles font toujours nues dans l’appartement de Sonia. Si elle a amené Julien ici c’est pour lui montrer qu’il ne faut pas avoir peur des autres en affirmant son état.   — Vous n’êtes pas mal non plus les filles, bien je vous présente Julien. Vous allez me le transformer en une ravissante jeune femme, et ça, vous savez bien mieux le faire que moi.   La coiffeuse s’approche de Julien, l’embrasse et lui dit :   — Bonjour Julien, viens t’asseoir au fauteuil et je vais te faire belle, d’accord Julie ?    Il est alors surpris par le comportement chaleureux de la jeune femme et se laisse conduire jusqu’au confortable fauteuil du poste de lavage. Elle lui passe une cape plastifiée, puis il s’installe sur le fauteuil en offrant sa tête aux mains de la coiffeuse qui l’accompagnent sur le bac à shampoing. C’est avec délicatesse qu’elle tire les longs cheveux de Julien en arrière, ouvre le robinet d’eau, passe sa main sous la pluie fine de la pomme de la douchette et commence à arroser la tête de son client. En lui disant d’une voix douce et suave.   — Ça va, pas trop chaud ? — Non ça va, répond-il sur un même ton.   L’ambiance de ce salon de coiffure lui convient parfaitement, les mains de la femme qui passent dans ses cheveux, les doigts qui massent la peau de son crâne lui procurent une grande sensation de bien-être. Pour la première fois de sa vie, quelqu’un s’occupe de lui avec attention, les gestes sont doux, la voix agréable ; avec Cathy la coiffeuse ils parlent simplement. Plus le temps passe et plus il se sent bien ici, ce changement de vie lui donne du baume au cœur, il savoure son bonheur.    Le shampoing est terminé. Dans le miroir il regarde avec attention comment Cathy modèle ses cheveux à qui elle donne du volume.   — Tu as de très beaux cheveux, laisse les pousser et la prochaine fois je vais te faire une coiffure sublime à en rendre jalouses toutes les filles, lui dit-elle.   Ému par ce compliment, Julien rougit ; il suit l’évolution du travail de la coiffeuse qui est en train de le métamorphoser ; puis arrive le tour de Fanny l’esthéticienne, elle l’accompagne à une table où est installé tout un matériel qu’il reconnaît facilement. À son tour elle s’affaire autour du visage de la future Julie qui cette fois ne peut pas suivre l’évolution de sa transformation. Après quelques instants Sonia et Cathy s’installent à la table et s’affairent sur les mains et les ongles de Julien qui dans son for intérieur sent une transformation ; il devient peu à peu femme. Autour de la table les discutions vont bon train, il découvre petit à petit les réelles relations qui existent entre les trois femmes ; Cathy confirme.   — Julie, parce qu’à partir de maintenant pour nous tu seras Julie, et je pense que tu as compris que nous faisons partie des gens « Pas normaux ». Toutes les deux, nous sommes jumelles, lesbiennes et amoureuses l’une de l’autre ; alors ici tu n’as pas à rougir de ce que tu es. N’écoute pas les autres et suit ta route.   Dans le miroir que lui présente Fanny, il découvre le visage d’une belle jeune femme. La transformation est bluffante, grâce aux traits fins de son visage, et à la faible épaisseur de ses sourcils ; la professionnelle a réussi à lui faire un joli visage.   — Voilà Julie, tu n’as plus qu’à aller t’habiller et sur ce coup-là Sonia est une championne.  — Merci beaucoup, je vous dois combien ? — Laisse, nous sommes trop contentes de t’aider, alors pour cette fois c’est gratuit. — Merci… — Bon, on y va ? À bientôt les filles !   Sonia et les filles s’embrassent, mais Julie est surprise de constater de quelle façon elles se saluent.    — Tu es surprise ? demande Sonia à Julie  — Bah oui… — Alors si tu veux faire partie de notre équipe, tu fais comme nous : le baiser, c’est sur la bouche et avec la langue, c’est une sorte de pacte entre-nous, c’est faire partie de notre monde ; celui des « Pas normaux »  — Mais Sonia, n’est ni lesbienne ni transgenre…, s’étonne Julien en marquant un long temps d’arrêt, car il vient de prononcer le mot qui le qualifie. — Tu as raison, elle est pire que nous : elle est complètement folle ! reprend Cathy en riant.   Dans la rue qui les mène jusqu’à la boutique de vêtements, Julien devenue Julie pour l’espace d’un instant, à la belle surprise de constater que personne ne se retourne sur leur passage, aucune réflexion déplacée ; les passants voient deux filles, une en minishort et l’autre en survêtement aller d’un pas pressé vers leur destination. C’est Nathalie, Nat pour les intimes, qui les accueille. Elle est à l’image des deux coiffeuses et fait également partie du cercle très fermé des « Pas normaux » comme elles disent ; elle est androgyne à la silhouette élancée avec peu de poitrine.   — Salut Nat ! s’exclame Sonia en entrant dans le magasin.    Leur étreinte est cordiale, le baiser sur la bouche qui s’ensuit également, Julien n’est maintenant pas surpris de cette nouvelle façon de se dire bonjour et vient tout naturellement saluer la commerçante.   — Nat, je te présente Julie elle est transgenre au passé très compliqué ; mais nous en reparlerons. Julien ne soit pas surpris, tu as affaire à une belle androgyne ; vois-tu, elle, c’est de naissance et elle assume. — Bonjour Nat, je suis ravi de faire ta connaissance, je peux regarder ce que tu as ?  — Bien sûr, c’est là pour ça, si tu as besoin d’un conseil n’hésite pas, je suis là pour ça.  — Merci, mais je pense que ça va aller.   Pour lui, c’est comme si Noël était déjà là. Quand tout allait bien, il prenait un grand plaisir à aller regarder les tenues féminines, les essayer puis en acheter pour les porter chez lui, en secret, à l’abri des regards. Au fil du temps, couvrir son corps avec des vêtements féminins est devenu une façon de former un rempart autour de lui, se travestir n’est pas pour lui une jouissance sexuelle comme le font bon nombre d’hommes. Par fantasme ils deviennent le temps d’une soirée le travelo qui se fera enculer en se branlant la bite par plaisir. Pour lui, c’est une carapace dans laquelle il retrouve ce corps de femme que la nature lui a refusée en le faisant garçon alors que sa mère voulait une fille, parce qu’une fille c’est mieux qu’un garçon. Un garçon c’est sale, désordonné, bruyant comme elle le lui disait quand elle rentrait dans sa chambre. Aujourd’hui il découvre un monde dont il ignorait totalement l’existence. Devant les portants il cherche, regarde, trie et demande d’essayer ce qu’il a mis sur son bras, comme s’il lui fallait la permission.    — Sonia, je peux essayer ça ? — Mais tu n’as pas besoin de demander, fais-toi belle.   Pendant tout le temps où il a choisi et essayé, les deux femmes ont parlé de lui. Sonia a tout expliqué à Nathalie qui comprend et encourage cette démarche de transformation. Quand Julien sort de la cabine et offre un petit défilé de mode qui engendre un « waouh… ! » de la part des deux femmes. Mais pour Julie il manque un détail à sa tenue il se dirige vers les sous-vêtements, choisi un soutien-gorge, deux paires de chaussettes pour lui faire une poitrine et un string brésilien pour qu’il se sente vraiment femme. En ressortant de la cabine, il se regarde dans la psyché : Julie est née !    Alors qu’elle repart dans les rayons une femme entre et s’adresse directement à Julie pour avoir des renseignements ; il s’occupe de la personne avec un naturel déconcertant, ce qui surprend Sonia et Nathalie. Nat l’observe sans rien dire et quand la cliente passe en caisse et ressort du magasin ; la patronne s’adresse à Julie :   — Dis-moi Julie, tu ne chercherais pas du travail par hasard ? — Oui, mais pour le moment c’est compliqué… — Bien. Pour le compliqué je suis au courant, Sonia m’a tout expliqué, par contre je me rends compte que tu as plus de goût que certaines femmes ; alors si ça t’intéresse je t’embauche.  — Moi ? — Oui, toi…   [À suivre]
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