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Police polissonne

Chapitre 57

Place aux choses sérieuses.

Erotique
 Surexcitée par sa soirée, Sonia a dû employer la méthode militaire pour arriver à s’endormir ; mais la nuit fut bonne. Une bonne odeur de café la sort de sa torpeur.
   « C’est top d’avoir un mec à la maison ! » se dit-elle.    Elle s’imagine voir Marc dans la cuisine à préparer le petit-déjeuner et revenir, nu, en tenant un plateau en mains et le lui déposer…, mais hélas ce n’est pas pour aujourd’hui.  Elle se décide à sortir du lit et rejoint Julien qui termine de préparer le petit-déjeuner ; elle découvre qu’il semble avoir adopté sa robe de chambre en satin rose, elle sourit en le voyant et lui dit en lui faisant la bise :   — Bonjour Julien, tu l’aimes bien ma robe de chambre on dirait ? — Bonjour Sonia, excuse-moi, je n’avais pas vu que tu étais rentrée, je vais te la rendre… — Pas la peine, je suis bien ainsi. — C’est bien pour toi, mais pour moi, c’est très compliqué ; je suis obligé de me forcer pour rester nu à longueur de temps. Je préfère avoir quelque chose sur moi. — Si la nudité te pose un problème, ne te force pas et reste habillé. — Merci, bon, et toi ta soirée ? — Ma soirée ? Disons qu’elle a été géniale… — Je vois ça, tu es tout excitée ; raconte… — Eh bien, je crois que c’est la première fois de ma vie qu’il m’arrive un truc pareil. — Toi, tu es amoureuse ! — Ça se voit tant que ça ? — Noonnn… Je ne vois que ça, tu es rayonnante ; c’est super pour toi. Je sais que je ne suis pas l’heureux élu mais tu vas au moins me dire qui est-ce. — Marc…, c’est Marc ; il est tellement, tellement … j’sais pas quoi… — Eh bien toi ! — Julien, je vais être obligée de m’absenter plusieurs jours et je voudrais que tu ne restes pas ici ; ce n’est pas que je te chasse mais c’est pour ta sécurité. — Waouh… ! Tu me fais flipper, que se passe-t-il ? — Je ne peux rien te dire, car je suis tenu au secret. Je vais appeler Nathalie pour savoir si tu peux aller chez elle quelque temps, en plus elle habite aux dessus de son magasin ; je sais qu’elle est super-cool et je suis certaine qu’elle acceptera. — Ah oui, ce serait top. Je vais accepter sa proposition pour le poste de vendeuse, j’en ai rêvé toute la soirée ; je suis certain que ça va marcher. J’ai même un peu réfléchi à ce que tu m’as dit sur le changement de sexe, l’idée me plaît ; mais j’ai la trouille.
 — À cause de tes préjugés sur l’avis des autres, je suppose ; prends ton temps, parles-en à Nat et aux filles du salon, elles, vont t’écouter et sans doute te pousser à le faire. Après il y a la psy de la police qui pourra t’aider surtout pour les démarches. Mais avant il te faut tes papiers, je vais voir si le commissaire peut te recevoir ce matin ; parce que je vais avoir une journée chargée. — OK, on fait comme tu veux. — J’appelle Nathalie… — Je peux le faire ? — Pas de soucis, tiens, prend mon téléphone, dit-elle en recherchant le numéro dans son répertoire.   Elle confie son mobile à Julien qui engage la conversation avec Nathalie. Sonia en profite pour prendre son petit-déjeuner, pour ne pas changer ses habitudes se sera entièrement nue sur la terrasse. Alors que Julien vient tout juste de raccrocher, le téléphone sonne ;  c’est Marc qui envoie un SMS pour annoncer sa venue imminente ; il tend l’appareil à Sonia en lui disant sur un ton joyeux :   — Elle est d’accord que je vienne chez elle, et que je pourrais même rester tout le temps que je voudrais. Dis-moi, mais tu les as connus comment ces filles, car elles sont vraiment géniales ? — Le plus simplement du monde ou presque… — Raconte ? — T’es vraiment curieux, après tout je n’ai rien à cacher. C’était juste avant ma première mission. J’avais envie d’une robe et en passant devant sa boutique j’en ai vu une très courte, à fleurs printanières et qui se boutonnent devant ; alors j’ai poussé la porte et je suis entrée. Je dois avouer que quand je l’ai vue avec son visage d’androgyne j’ai craqué. Après avoir choisi ce que je voulais, je suis passé en cabine, elle me demanda si je voulais de l’aide ; j’ai évidemment accepté. À un moment je me suis retrouvé face au miroir de la cabine, la robe ouverte et sans rien dessous ; elle était juste derrière moi. Son parfum m’enivrait, je sentais son souffle sur mon épaule ; elle chercha à fermer la robe, mais ses doigts glissèrent sur mes seins nus. Puis ils descendirent sur mon ventre pour atteindre mon pubis, je renversais ma tête en arrière et elle m’embrassa en me poussant contre la paroi de la cabine. À mon tour je lui ai caressé les seins, puis j’ai soulevé sa robe en effleurant ses fesses et en faisant glisser sa culotte. Nous nous embrassions comme deux vraies lesbiennes en manque d’amour, mais quand j’ai voulu lui caresser la minette j’ai rencontré un sexe de garçon ; elle m’a souri en me laissant faire. J’ai alors pensé que c’était un transsexuel, et que tout compte fait ce n’était pas bien grave, alors je me suis agenouillée pour lui faire une belle pipe ; et là nouvelle surprise. Il n’avait pas de testicules, mais en cherchant plus loin j’ai fait une découverte qui m’a laissé sur le cul ; il avait aussi un vagin ! C’est comme ça que j’ai découvert que Nathalie est en réalité hermaphrodite.  — Eh bien … ! Et vous avez fait quoi ? — Devine… Après, elle m’a parlé des filles du salon et voilà, depuis, nous avons formé le club des pas normaux  dont tu fais partie maintenant. — Tu sais que je suis fier que vous m’acceptiez comme je suis, j’ai hâte de discuter avec elle et surtout qu’elle veut bien de moi quelque temps. — Je suis ravie pour toi, mais surprise qu’elle te dise que tu pourras rester longtemps, elle est plutôt du genre sauvage et ne se laisse pas envahir facilement ; tu ne lui as rien dit de spécial au moins ? — Non, pourquoi ? répond-il en rougissant. — Au moins ce qui est bien avec toi, c’est que tu ne sais pas mentir ; et ce n’est pas la première fois. Tu lui as parlé de Marc et moi ? — Je suis tellement content que la vie te sourit que je n’ai pas pu m’empêcher de partager la nouvelle.   Mais la sonnerie du téléphone met fin instantanément à leur discussion, elle décroche.   — Oui, Marc… — … — Ah, d’accord … quand ? — … — Si tu veux, — … — Non, mon appart est intact et je n’ai pas été accueillie par des Tontons flingueurs ! — … — Je t’attends… — … — Moi aussi je t’aime…   Puis elle raccroche et s’adresse à Julien :   — Julien ! Marc, vient me chercher et il passe te voir en même temps. — Mais… Oh là-là, qu’est-ce qu’il va se passer… ? Et je vais avoir l’air de quoi avec mes cheveux tout ébouriffés et le maquillage à moitié parti… — Pas de panique, je suis là ! Tu as le choix entre prendre une douche, te démaquiller et d’enfiler un survêtement ou, rester comme tu es et assumer ce que tu veux devenir… — Oui, mais je reste comme ça que va-t-il me dire ? — Tu veux savoir ? Il te dira que tu es super-sexy avec ta robe de chambre rose, tes jambes fines et parfaitement épilée et que s’il avait le temps ; il te foutrait bien un coup de bite dans le cul ! — Noonnn… ? — Je prends le pari, en attendant va te préparer, car il ne va pas tarder… — Je fais quoi ? — Tu te débrouilles, je veux que tu assumes.   Quand elle ouvre la porte d’entrée, Julien a disparu dans la salle de bains ; les deux amoureux s’enlacent. Leurs corps se laissent aller dans cet élan amoureux qui les enveloppe dans un nuage de coton à peine perceptible, tout comme l’air frais du matin qui se glisse dans l’appartement par la porte-fenêtre grande ouverte. Ils continueraient bien encore un peu, mais le bruit de la porte de la salle de bains et le raclement de gorge de Julien mettent fin à ce langoureux baiser. Julien s’avance à pas hésitant et se présente devant Marc. L’étonnement de Marc est sans commune mesure quand il toise une Julie remaquillée au regard vif et déterminé. Pendant le peu de temps de sa préparation il décida d’affronter le regard de l’homme que Sonia avait décrit pour être une baraque, bourrue et parfois un peu critique. Ce n’est sans une certaine appréhension qu’il articule un « Bonjour » chaud est sensuel sous le regard amusé mais encourageant de Sonia. Marc trop occupé à mater les jambes qui, par un hasard volontaire passent par l’échancrure du peignoir de Sonia, l’entend à peine ; mais sous le regard insistant de Sonia, il finit par ouvrir la bouche :   — Eh bien si je m’attendais à ça ! Je ne sais pas quoi penser… — Alors ne pense pas et viens prendre un café sur la terrasse. — Je fais le service, intervient Julien.   Un prétexte pour passer un court moment seul dans le coin cuisine et évacuer les bouffées de chaleurs qui lui ont rempli tout le corps. Fièrement il savoure cet instant où il s’est montré presque nu devant cet inconnu sans qu’il ne fasse de réflexions désobligeantes ; sa hantise !    La cafetière moud le café et prépare deux tasses qui laissent échapper des vapeurs chargées d’arômes de café et de vanille. Une tournée pour la dernière tasse et les voilà bien alignées sur le plateau en bambou juste devant le sucrier et les cuillères. Julien saisit le plateau et se dirige vers les amoureux qui ne peuvent s’empêcher de reprendre leur baiser là où Julien l’avait interrompu ou presque. Sonia voit tout du manège de Julien qui, soit pour se donner du courage, soit pour entendre la phrase de Marc que Sonia lui a prédit ; il laisse largement sortir la totalité de sa jambe jusqu’au pli de l’aine. Sonia lui jette un coup d’œil complice et un pouce dressé en guise d’approbation. Encouragé pas ces gestes il fait le tour des amants, Sonia lâche la bouche de Marc pour lui laisser admirer ce que julien est en train de faire.   La scène qui se déroule laisse Marc sans voix. Lui qui s’attendait à trouver face à un garçon sale, mal habillé, et mal embouché ; comme le sont généralement les traîne-savates des quartiers chauds de Marseille ou d’ailleurs. Bien au contraire, il se retrouve face à une sorte de personnage à l’allure androgyne, qui de par sa position accroupie lui offre la vue d’une jambe totalement imberbe, et en déposant le plateau sur la table basse le peignoir laisse entrevoir une poitrine tout juste naissante, comparable à celle d’une adolescente. Sonia ne s’attendait pas à tant de sensualité de la part de ce jeune homme en pleine mutation, elle se réjouit de voir que Julien a pris du poil de la bête en si peu de temps ; comme cela arrive parfois, une simple rencontre, déclic et tout bascule. Elle soupçonne que le coup de fil avec Nathalie n’est pas étranger à l’affaire, mais ne dit rien et observe le comportement de Marc qu’elle est en train de chauffer en lui caressant discrètement la cuisse. Lorsqu’elle remonte vers l’entrejambe de son amoureux, force est de constater ; qu’il bande comme un Turc !   — Alors mon chéri, tu vois bien qu’il est inoffensif ; mon soi-disant dangereux dealer … — Putain, si je m’attendais à ça…, je ne sais pas d’où tu sors mais tu es en train de me donner envie de te foutre ma bite dans le cul…   Sonia est satisfaite et se tourne vers Julien avec ce regard qui veut dire : « Tu vois ce que je t’avais dit… » Malgré la trouille qui lui noue les boyaux, Julien est content et rassuré ; il pense même que s’il devait se faire péter le trou de balle pour que Marc l’accepte tel qu’il est. Marc n’en revient pas et n’arrive pas à détacher son regard de la cuisse de Julien qui lui est apparue à l’improviste un peu comme dans un film. Dans ce genre de scène qui arrive d’on ne sait où : un homme ou une femme entièrement nue qui dégage un érotisme torride et vous envoie une poussée brutale d’adrénaline ; c’est ce qu’il se passe en ce moment dans le corps de Marc. Sonia toujours aussi coquine et consciente de l’état d’excitation de son homme, commence à déboutonner la chemise à carreaux rouges du style western, avec des pans qui descendent sur les fesses. Sa main, blottie entre peau et poils, cherche les petits boutons déjà exacerbés, ils sont prêts à recevoir les doux pincements qu’elle commence à faire du bout des doigts ; Julien observe la scène et imagine le déroulement de la suite des événements. Il préfère s’éclipser discrètement pour laisser les deux tourtereaux roucouler tranquillement, car l’éducation que lui a infligée sa mère le met mal à l’aise.   Sonia est presque déçue de sentir Julien partir, car elle aurait bien voulu lui montrer comme l’Amour est beau ; alors, elle préfère entraîner Marc dans sa chambre. Allongés nus côte à côte sur son lit, elle confie à Marc entre deux câlins que la veille ; elle n’avait jamais ressenti une émotion si forte jusqu’à l’emporter vers les larmes. Mais que maintenant elle voit les choses différemment, elle lui confirme vouloir régler cette mission au plus vite de façon à ce qu’elle puisse faire la paix avec elle-même et passer ensuite à autre chose. Sa détermination renforcée par le fait d’avoir rencontré un des sbires du Boss lui donne des ailes.    Leur petit câlin amoureux terminé, laissant Julien seul, ils partent en direction du commissariat où les attend de pied ferme M le Commissaire Karl. Sur la route, Marc explique à Sonia qu’il a eu le commissaire au téléphone et que ce dernier veut faire un point précis avec elle. À leur arrivée dans la cour du commissariat il les attend sur le parking avec la clope au bec ; à peine le temps de dire bonjour qu’il les pousse dans son bureau et referme la porte en retournant la pancarte « Ne pas déranger ! » qui marque l’interdiction formelle à toute personne de venir jouer le trouble fait tant que l’écriteau est présent :   — Installez-vous, café ? Sonia, je t’écoute. — M. le Commissaire j’ai rencontré dans la boîte un des sbires du Boss à qui j’ai demandé du boulot comme chauffeur. Au début il m’a prise pour une conne et il a fini par accepter de me faire passer un test cet après-midi et ce soir. — Humm…Très intéressant, donc tu joues les pilotes pour faire des Go-fast je suppose. Ainsi grâce à ta balise GPS, nous allons pouvoir te localiser et repérer les dépôts …Voici une très, très bonne idée. Mais bon, restons prudents et attendons de voir le résultat de ce test. Et toi comment la sens-tu cette affaire ? — Pour moi, très bien. Je connais bien ce mec, par contre lui m’a complètement zappé, c’est de ses griffes que j’avais arraché la fille qui refusait de faire la pute et qui c’était faite fouettée. Commissaire, je vous jure que je vais tous les enterrer, conclut-elle avec fougue. — Bien, Marc tu l’accompagnes au dépôt récupérer la voiture et jusqu’à l’heure de son rendez-vous ; elle se fait la main sur le circuit Paul Ricard que j’ai réservé et fait fermé la route d’accès. — Merci commissaire, faites-moi confiance ; ça va marcher. — Alors je te dis bonne chance.   Marc et Sonia ne perdent pas de temps et se rendent directement au soi-disant dépôt, mais qui est en réalité le laboratoire de la police scientifique avec des ateliers de préparation et d’expérimentation de nouveaux matériels, comme l’implant GPS qu’elle porte sur elle.   Dans l’un des garages placés sous vidéosurveillance où l’accès y est strictement contrôlé. Elle peut découvrir La voiture qui va être sa partenaire pendant de longs trajets ou du moins c’est ce qu’elle espère. L’Audi A6 break rutilante, trône en plein milieu du garage. Des hommes s’affairent autour et en s’approchant elle peut admirer le moteur de ce monstre. Le chef du garage que tout le monde appelle : « Chef ! » lui explique à qui elle a affaire :   — Tu vois Sonia tu vas pouvoir te régaler avec cet engin que nous avons un peu boosté, je ne t’en dis pas plus pour t’éviter de faire inconsciemment des révélations qui pourraient te porter préjudice. Je ne sais pas ce que tu as raconté au mec que tu vois ce soir ; mais reste discrète. — Chef ! Je lui ai dit que je m’étais acheté cette voiture à une vente aux enchères et que je voulais bosser pour payer le crédit. — Ça c’est parfait, alors ne perdez pas de temps ; dernière chose : pour ces premiers essais tu vas être accompagné par le pilote d’essais de l’atelier ; il vous attend là-haut.   À cet instant le mécanicien qui était en train d’effectuer les derniers réglages à l’aide de la valise ad hoc démarre le moteur ; curieuse Sonia s’approche de ce qu’elle considère déjà comme son joujou. Le mécanicien monte le régime et les six cylindres, lâche un hurlement rageur, mais le mécanicien ne semble pas satisfait du résultat ; il pianote sur le clavier de son ordinateur et relance une accélération. Cette fois le hurlement devient agressif, l’œil du mécanicien semble satisfait, il laisse redescendre le régime, effectue un petit réglage et relance l’accélération ; le moteur hurle tel une F1, des flammes sortent de l’échappement ;  le mécano est satisfait. Il s’adresse à Sonia :   — Tu vas voir ça ma belle, même les Mégane de la gendarmerie n’arriveront jamais à te rattraper ; pas vrai Chef ? — Même si elle est un bon pilote, ne lui donne pas de mauvaises idées. Sonia, elle est à toi et fait du bon travail avec.   Les quarante kilomètres qui séparent Marseille du circuit ne sont qu’une formalité, Sonia s’amuse sur la route sinueuse qui monte jusqu’au circuit. Ils sont accueillis par le pilote d’essais qui prend Sonia en main immédiatement, Marc prétexte préférer regarder les formules 3 ; ce qui surprend le pilote.   — Mais il peut venir avec nous. — Non, je crois, qu’il n’aime pas quand je conduis… — Ah …. Un mec quoi…   Les premiers tours de circuits s’effectuent vivement. Grâce aux conseils de son moniteur elle se sent de mieux en mieux et pousse la voiture dans ses derniers retranchements dans les lignes droites l’Audi atteint les 300 km/h :   — Vas-y Sonia pousse-la, si elle commence à partir en crabe, c’est que tu atteins ses limites : à ce moment c’est à toi de gérer mais en attendant tu as de la marge. J’y suis arrivé en prenant le virage là-bas à 320 et elle est revenue comme une fleur.   Sonia ne dit rien, concentrée sur sa conduite elle écrase l’accélérateur, le virage arrive : 300 ! La voiture passe fièrement et en douceur Sonia est convaincue et enchaîne les tours. En deux heures elle maîtrise la bête, le moniteur lui demande de stopper au stand ; Marc est là sur le bord de la piste.   — Marc, tu as une sacrée coéquipière, grimpe avec elle ; tu vas te régaler.   Il voudrait refuser mais, piqué au vif il s’installe un peu à contrecœur à côté de Sonia qui démarre immédiatement en trombe.   [À suivre]
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