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Police polissonne

Chapitre 60

Une incroyable partie de cul,

Orgie / Partouze
   Dimanche 23 Avril 2017 neuf heures trente du matin, Sonia se réveille. Elle s’étire et cherche son amoureux, mais à part elle le lit est vide. Déçue de ne pas avoir un câlin, elle se lève, fait le tour de l’appartement mais il est vide ; sauf un sachet en papier d’où émane une douce odeur de viennoiserie, et un mot :   « Bonjour ma chérie, sauf si le mec t’appelle aujourd’hui tu as quartier libre mais évite de sortir pour ne pas te faire repérer ; on n’est jamais trop prudent. Tu peux m’appeler quand tu veux, bon appétit ; je t’aime ! »   Ces quelques mots lui font chaud au cœur, elle a l’impression de vivre une nouvelle vie avec cet homme attentionné, doux quand il s’occupe d’elle, par contre le contraste est impressionnant lorsqu’il est au travail ; il devient alors ferme et autoritaire avec ceux qui ne respectent pas les lois.    « Du coup, je vais en profiter pour prendre des nouvelles de Julien. Ah ! Mais il faut que j’évite de sortir …Bon dans ce cas je vais passer un coup de fil à Nat »   Elle appelle aussitôt Nathalie, et comme aujourd’hui c’est « le jour du Seigneur », ni elle ni les filles ne travaillent ; une belle occasion pour les inviter :   — Allô Nat ?  Ça te dirait de venir passer la journée chez moi avec Julien et les filles ? — Oui, mais on pourrait sortir et faire un peu de shopping. — Oui, sauf qu’en ce moment je dois éviter de trop me montrer. — Ah, rien de grave au moins ? — Non, non ; c’est à cause du boulot. — Bon alors d’accord, j’appelle les filles et on arrive ; tu veux qu’on prenne de quoi manger ? — Si tu veux, il fait beau on pourrait se faire un truc sur la terrasse. — Super idée ! Je m’occupe de tout ; à toute…   Nathalie appelle aussitôt Fanny et Cathy qui sont folles de joie de passer la journée chez Sonia, car elles savent qu’elles pourront se laisser aller sans pudeur ni retenue. Une heure après l’interphone alerte Sonia sur l’arrivée de la petite bande. En leur ouvrant la porte de son appartement dans sa tenue préférée, les filles lui roulent une pelle à tour de rôle et elle prend Julien de force pour qu’il fasse la même chose ; mais un détail la frappe. Julien est habillé en fille, maquillé et coiffé à la perfection, elle s’exclame de la situation :   — Eh bé, Julie se promène en fille maintenant ! — Oui, nous avons beaucoup discuté tous les deux, d’autant qu’au magasin elle fait de véritables prouesses ; les clientes l’adorent et apprécient ses conseils.  — Il fait super beau, alors vous venez sur la terrasse on va prendre un coup et discuter.
 — On peut se mettre à l’aise… — Fanny, c’est toi qui demandes ça ? Habituellement tu es toujours à poil la première. — Oui, mais peut-être que Julie ne veut pas le faire. — Si, allez-y, même si j’ai du mal avec ça, ne vous gênez pas pour moi.    Les amies s’installent sur les transats, Sonia prépare de quoi boire et grignoter, quand elle rejoint ses amies ; Nathalie la harcèle de questions : — Bon, tu nous racontes pourquoi tu ne dois  pas sortir ; des problèmes de boulot je suppose ? — Non, mais je suis sur une affaire où il faut être très prudent pour ne pas faire tout foirer ; alors motus… Je préférerais qu’on parle d’autre chose pour le moment comme de faire plus ample connaissance surtout avec Julie, tu es d’accord qu’on t’appelle Julie ? dit-elle en s’adressant à Julien. — Oui, avec plaisir, mais je n’ai pas grand-chose à dire sur moi. — Bah si, je vois que tu sors habillée en fille, ce qui veut dire que cela te plaît ; je me trompe ? — Non Sonia, tu as raison. Nathalie m’a vraiment donné envie de m’affirmer dans ce corps qui n’est qu’imaginaire pour moi, car il manque des éléments importants pour que je puisse ressembler à une vraie femme. Je n’ai pas de poitrine et puis il y a ce sexe qui ne me convient pas. — Alors fais-toi opérer, suggère Fanny. — Non, pas pour le moment, je ne suis pas prêt et puis cela reste une opération avec les risques et les conséquences que cela comporte. J’aimerais prendre un peu plus de poitrine, car c’est une partie du corps que j’apprécie beaucoup chez la femme. — Remarque Nathalie à au moins un mec en cas de besoin… — Si tu veux parler baise, tu te goures complètement. Même si nous dormons souvent ensemble, nous n’avons jamais fait l’amour ; j’ai horreur de ça, et si j’ai vraiment besoin je peux me débrouiller toute seule. J’ai eu des aventures par le passé, mais quand les mecs me voyaient à poil avec mes deux sexes, la partie de jambes en l’air se terminait en drame ou en cauchemars ; une fois, j’ai failli être étranglée par un demeuré. Par contre Julie est très douée pour les massages, je ne dis pas que nous ne nous caressons pas de temps en temps. Honnêtement ça fait peu de temps que nous sommes ensemble à longueur de temps et j’ai l’impression que nous nous connaissons depuis des années. Julie je suis bien avec toi.   Ce que Nathalie vient de dire bouleverse Julie, sans le savoir le hasard vient de lui faire rencontrer quelqu’un de bien. Lui aussi se sent bien avec cet être, mi-homme mi-femme, elle ne lui a jamais fait de réflexion sur son état, bien au contraire elle l’encourage à persévérer dans sa démarche.   Tout en buvant et en grignotant quelques amuse-bouches chacun parle de soi, et, l’alcool aidant, les langues se délient ; les conversations, grâce à Sonia, glissent rapidement vers un sujet plus léger :   — Alors les filles, toujours aussi amoureuses ?  — Plus que jamais, mais il faudrait peut-être expliquer la situation plus en détail à Julie ? — Bah, je sais que vous êtes jumelles et amoureuses, pas de quoi fouetter un chat… — C’est vrai, mais je croyais qu’on t’avait dit être lesbienne aussi ? enchérit Cathy. — Oui, et alors ? — Alors tu n’es pas choqué de nous savoir en couple et que nous faisons l’amour ? — Ah, c’est de l’inceste ; bon après-tout c’est votre vie et vous faites ce que vous voulez. — Waouh ! Tu es vraiment cool, et tu as déjà vu deux filles faire l’amour ensemble ? — Non, pas vraiment …   Mais la conversation est brutalement interrompue par la sonnerie du téléphone de Sonia. Un SMS l’informe : « Départ demain 9 h, comme d’habitude  pour petites vacances en Espagne, répondre OK ». Sonia appelle immédiatement Marc pour l’informer de l’évènement.   — Bon, les filles Marc arrivent pour me porter un truc. — Euh…On se rhabille peut-être ? interroge Fanny. — Pourquoi, vous êtes complexées à ce point ?  — Non, mais quand il va nous voir toutes à poil, il va faire une syncope ou il nous saute dessus… Je dois dire que cela ne me déplairait pas, dit Fanny. — Eh bien Fanny, je croyais que tu n’aimais que les filles.  — Ah mais non, un bon coup de bitte de temps en temps ne nous déplaît pas non plus,  d’autant que ton Marc est plutôt bien foutu de ce côté-là ; mais maintenant que vous êtes ensemble… — Pas du tout, nous nous laissons le droit de profiter de la vie, c’est une sorte de pacte entre nous ; en plus je viens de voir sur mon téléphone, qu’aujourd’hui c’est la Saint Marc. Alors si ça vous tente on pourrait lui faire une surprise. — Génial ! Alors tu nous le prêtes ?  — Oui, j’ai même une super idée ; voilà ce qu’on va lui faire […]   Les filles acceptent avec joie l’idée de Sonia, Julien est quant à lui un peu moins motivé, car Sonia lui a proposé, puisqu’il veut devenir et vivre comme une femme, de s’offrir à Marc en guise de test. Toutes se rhabillent sauf Julien qui garde le peignoir en satin rose de Sonia qui a choisi de mettre, sans rien dessous, la robe très courte en tissu argenté et décolleté extrêmement fluide et plongeant qu’elle avait porté lors de la soirée de réveillon passée avec le sergent. Cette robe, Marc ne la connaît pas, tout comme les minijupes des trois autres filles. Quand l’interphone sonne, Julien semble fébrile, mais Sonia le rassure en lui disant que son mec a craqué sur lui ; cette fois c’est la sonnerie de la porte de l’appartement qui retentit.   Sonia ouvre et saute au cou de son amoureux ; elle l’embrasse avec fougue puis le lâche.   — Eh bien ma chérie, tu as une robe très, très sexy ; tu es seule ? — Merci pour la robe, elle te plaît ? Et je suis toute nue dessous… — Hummm… Mais avant que je te viole, prends ça et envoie la réponse.   Sitôt dit, sitôt fait, elle insert la carte SIM dans le téléphone  et renvoie le «OK» demandé.   — Bon, la voiture sera prête pour demain matin, ils font quelques améliorations, mais on en parlera demain. — Merci mon chéri, et tu restes avec nous ? lui dit-elle en lui roulant des yeux taquins. — Avec vous ?  — Oui, on a de la visite et je suis certaine que tu vas aimer. — J’ai fini ma semaine, et tu m’offres un verre car aujourd’hui … — C’est ta fête ! … Bonne fête mon chéri ! s’exclame-t-elle en l’entraînant vers la terrasse.   En arrivant sur la terrasse, Marc découvre un joli spectacle. Les filles se sont rhabillées et ce sont les jumelles qui, en se levant de leur transat, lui offrent un court instant la vue de leur vulve, puis de leurs jambes longues et fines sortant de leur minijupe ultracourte. Mais le spectacle ne s’arrête pas là, car il remarque qu’elles arborent une jolie poitrine dont les tétons forment des pics à travers le tissu de leur haut. Leur chevelure blonde tombante sur leurs épaules encadre de jolis minois au sourire coquin. Quand Nathalie se lève pour le saluer, il est conquis par le visage androgyne de la jeune hermaphrodite ; il ne sait pas trop laquelle il choisirait si par bonheur le destin voulait bien en jeter une dans son lit. Mais il ne sait pas trop si ce n’est pas Julien qui l’attire le plus, car cette fois il ne lui offre pas qu’un bout de jambe mais son corps en entier simplement recouvert du peignoir de Sonia ; Marc est troublé par tant de belles créatures.   — Alors mon chéri, que penses-tu de mes fréquentations ? Plutôt pas mal, non ? — Mais ce n’est pas possible, tu veux ma mort ? — Non, ton bonheur ; regarde et laisse-toi faire.   Sonia termine sa phrase par un baiser, enfin plutôt une galoche pleine de cette fougue dont elle est capable de donner, car, rien qu’à l’idée de voir son chéri au bord de la syncope devant ce spectacle ; elle est aussi très excitée. Vaincu, il laisse Sonia ouvrir sa chemise, défaire la ceinture de son pantalon et l’ouvrir, perdre sa chemise qui finit au sol alors que Sonia lui mordille les tétons. Elle sent déjà son sexe se bander quand elle effleure la fermeture Éclair et l’a fait descendre doucement. En passant ses mains entre les fesses de son homme et le coton de son caleçon elle fait descendre doucement le Jeans de Marc qui lui malaxe avec tendresse les fesses en lui remontant sa robe pour faire profiter à l’assemblée de la vue imprenable sur le cul de sa belle. Mais le jeu ne dure pas très longtemps car il vient de perdre son pantalon et son caleçon ; l’inspecteur se retrouve nu sur un des transats en position semis assise, et peut admirer les jumelles en pleine action de léchage de bouille. Elles sont amoureuses et cela se voit à leur façon d’être, de se comporter, dans la rue elles se montrent telle qu’elles sont ; elles n’ont pas peur de ceux qui oseraient se moquer. Sonia qui est passée par là, les entraîne régulièrement à se défendre en leur apprenant des prises faites pour désarmer et enlever toute intention mal attentionnée.   Leurs caresses continuent de plus belle et cette fois, c’est sans aucune pudeur qu’elles se lèchent et se titillent leur minette rose comme de jolies fleurs tout juste écloses ; Marc peut maintenant admirer les deux entrejambes. Encore pleine de fraîcheur, tout comme leurs seins qu’elles arborent fièrement comme des trophées, résultat de leurs séances de sport, de courses dans les calanques juste à côté de Marseille qu’elles pratiquent souvent en string ou totalement nues quand Sonia les accompagne.    Elles sont maintenant entièrement nues et se lancent dans un 69 effréné ; Marc admire ; Julien contemple. Les deux hommes sont terriblement excités et Julien se prépare à se prouver ou pas, si ce désir de devenir une femme est justifié ; quoiqu’il arrive il doit faire ce que Sonia lui a suggéré. Debout devant Marc, il laisse glisser au sol le peignoir de Sonia, sur le moment il se trouve ridicule avec son maquillage, ses cheveux longs délicatement coiffés par Cathy, et le sexe en demi-érection. Une sensation étrange lui taraude le bas du ventre et une envie soudaine de se faire prendre par derrière devient irrésistible ; c’est décidé, il va se faire enculer … Marc, il va s’offrir à un homme pur la première fois ; alors il s’agenouille et saisit le sexe bandé au maximum.   La silhouette totalement imberbe, presque blanche avec des seins naissants excite encore plus le policier. Julien redevient Julie dans sa tête et après avoir pris l’engin en bouche, il le suce presque aussi bien que le ferait Sonia qui, placée derrière le transat malaxe les pectoraux de Marc et joue avec les petites pointes. En se penchant en avant elle lui offre ses seins qu’il titille du bout de la langue et mordille doucement ; il sent à peine le préservatif englober son sexe que Julien est en train de lui enfiler.    Nathalie s’est mise nue et observe Julien dans son œuvre, elle l’encourage intérieurement à franchir le pas ; elle a de l’admiration pour lui qui s’est entièrement dévoilé à elle sans aucune gêne et sans détour. Il ose à peine regarder autour de lui au moment où il se prépare à s’asseoir sur le sexe de Marc, mais il croise le regard de Nathalie qui se masturbe les deux sexes et se prépare à faire l’amour toute seule, devant lui. Elle lui sourit, le regarde fixement comme pour lui envoyer de bonnes ondes, quand elle s’enfonce son sexe mâle ; Julien descend sur le phallus. Même s’il hait son sexe de garçon, il le masturbe malgré tout, avec les mouvements de va-et-vient qui lui taraude le cul, il n’a jamais connu un tel plaisir, il est indescriptible, immense ; enfin il se sent femme, mais ne jouira pas. Quand il sent Marc remplir le préservatif, il se retire, mais il a encore envie de quelque chose.   Sonia le remplace et après avoir retiré l’enveloppe, car elle veut sentir son homme en totalité, elle s’enfonce sur lui en l’embrassant ; tout son corps vibre de bonheur. Julien rejoint Nathalie qui lui a tendu la main il y a si peu de temps, et l’invite à venir à côté d’elle. L’ambiance torride qui règne sur la terrasse pousse les deux êtres à se rapprocher encore plus et à s’embrasser avec ces gestes de débutants, presque pudiques. En se regardant dans les yeux, ils se caressent les mains au début puis les cuisses et enfin tout le corps ; un courant circulerait-il entre ces deux êtres hors normes ?   Le soleil commence à décliner doucement, Sonia décide de porter un toast à cette merveilleuse après-midi.    — Hé les filles ! Et si on trinquait ? — Belle idée ! s’exclame Julien. Oui, répondent les autres. — Alors à cette belle journée !  — Oui, et à la prochaine poursuit Fanny. — Ah…Eh bien pour la prochaine ce sera avec plaisir, mais il va falloir attendre un peu car je pars demain en mission.  — Oui, et elle ne pourra pas communiquer…enchaîne Marc à peine remis de ses émotions. — Mais c’est quoi ce truc ?  — Un truc de flic, n’insistez pas, je ne peux rien dire. Marc vous donnera des nouvelles si vous voulez ; bon, c’est dit. Allez, santé ! Et puis à la prochaine, pas vrai mon chéri ? — Ah oui alors, et toi Julien ou Julie ? Tu es incroyable, demain je m’occupe de tes papiers ; tu as toute la nuit pour décider du sexe que tu veux que j’inscrive sur les documents. — On peut attendre quelques jours ? Je ne sais pas trop en fait. — D’accord, mais pas trop longtemps, il ne faut pas que tu te fasses choper sans papiers.   La soirée se continue dans un climat de volupté et de sensualité, les jumelles sont même venues faire une proposition surprenante.   — Marc, dit Cathy. Comme aujourd’hui c’est ta fête on va te faire un cadeau. — Oui, c’est cool ça, et c’est quoi ? — Nous deux et j’espère que tu es endurant, car on voudrait que tu nous défonces la chatte et le cul, on veut que tu nous fasses gueuler de plaisir. — Wouaih… C’est cool ça ! Vas-y défonce les, ces deux petites salopes de gouines ! — Eh bien quel langage. — T’inquiètes mon chéri, elles adorent ça ; tu veux un scoop ? J’ai toujours un gode ceinture ou deux quand on va courir, et je peux te dire qu’elles aiment ça ; pas vrai les filles ? — Sonia … T’étais pas obligée de le dire ; on va passer pour quoi maintenant ? — Pour deux belles salopes qui ne pensent qu’au cul…   [À suivre]  
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