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Police polissonne

Chapitre 62

Aller retour Marseille Malaga.

Hétéro
Aller-retour Marseille Malaga.
Appuyée au comptoir de l’accueil de l’hôtel, Sonia dévisage Mike. Elle s’interroge un instant pour savoir si elle va payer de sa personne pour se mettre le trafiquant dans la poche. Elle reprend conscience de l’importance de sa mission et décide de suivre les conseils de Marc, alors elle répond à la question posée sur le nombre de chambres :— Une, s’il vous plaît.— Une ? interroge Mike.— Oui, une, ce n’est pas ce que tu veux ? Tu n’as pas arrêté de me mater les cuisses et les seins durant tout le trajet.— Bah franchement, c’était difficile de ne pas regarder, t’es trop canon comme gonzesse.— Merci pour le canon. En attendant, le canon va aller se prendre une douche et ensuite s’acheter un maillot de bain.— Pourquoi faire un maillot, ici tu es en Espagne et tu peux te baigner toute nue partout ou presque.— Dans ce cas, c’est parfait, évidemment tu m’accompagnes.— Euh... oui.
Une employée de l’hôtel leur montre la chambre proposée par la réceptionniste. Située au premier étage, elle est à l’image du reste de l’établissement, simple, mais décorée avec goût et les couleurs flamboyantes de l’Espagne. Sonia tâte le lit, il lui paraît confortable tout comme la propreté des toilettes et de la salle de bains, car elle qui s’attendait à se retrouver dans un endroit du genre hôtel de passe ; elle est plutôt agréablement surprise. L’employée commence à partir, mais Mike l’attrape par le bras et lui tend un billet. La femme répond à son geste avec un grand sourire et un clin d’œil en direction de Sonia.
— Gracias señor, buenas noches señorita ! (Merci Monsieur, bonne nuit Mademoiselle.)
Sonia file sous la douche, car après mille cinq cents kilomètres, elle se sent un peu humide de sueur. Elle en profite pour laver ses vêtements ultralégers, quand elle sort de la salle de bains, c’est entièrement nue qu’elle se présente devant son coéquipier. L’effet ne se fait pas attendre, l’homme sent sa gorge se serrer à la vue de la nymphette encore tout humide ; Sonia admire le résultat de sa prestation et dit :
— Alors Mike, tu ne vas pas prendre une douche ?— Si, dit-il en s’enfuyant dans la salle de bains pour cacher une érection nettement visible.
Pendant qu’il prend sa douche, elle se choisit une tenue à faire bander un régiment de parachutistes ; minijupe fuseau, haut moulant et claquettes ; sans oublier les lunettes de soleil. Son homme d’un soir fait son apparition et reste une fois de plus bouche bée en voyant la provocatrice de Sonia, car ce soir, elle va mettre entre parenthèses sa règle numéro deux ; elle veut baiser pour assouvir cette envie qui lui taraude le vagin. Ce n’est pas que l’homme l’attire, mais pour elle c’est « hygiénique » comme elle dit. Alors ce soir, ce sera Mike qui va, elle l’espère, la tringler avec force et la faire monter au ciel.
— Prêt, Mike ?— Oui...
— Alors je te suis et direction la plage.
L’homme n’a d’yeux que pour sa compagne d’un soir et se risque même à lui prendre la main pour la conduire jusqu’à la plage toute proche où il y a peu de monde. Sonia n’est donc pas surprise de voir qu’effectivement quelques personnes se baignent nues. Elle ne savait pas que les mentalités espagnoles étaient beaucoup plus tolérantes qu’en France pour arriver à banaliser la nudité à ce point. Ce qui n’est pas pour déplaire à Sonia qui adore se promener nue, elle se dit qu’ici pourrait être une belle destination de vacances pour plus tard ; mais en attendant, c’est l’appel de la mer qui lui est le plus important. C’est sans aucun complexe qu’elle se déshabille entièrement, avec en prime pour (son) homme un petit strip-tease qui le fait immédiatement bander, du coup il se retrouve dans une position assez délicate ; se foutre à poil avec la bite à l’horizontale est une situation quelque peu gênante. Elle se rend bien compte que l’homme a bien du mal à cacher sa bite et s’en amuse en lui disant :
— Alors Mike, un souci, tu es coincé ?— Fous-toi de moi, t’es pas un mec, alors comment veux-tu rester de marbre devant une nana aussi bien gaulée que toi.— Merci pour le compliment, il me va droit au cœur, je vais me baigner ; tu viens ?
À cette saison, la température de l’eau n’est ni trop chaude ni trop froide, est idéale pour se baigner, le sable de la plage n’est pas brûlant comme en plein été, peu de monde à lézarder sur leur serviette XXL. Sonia nage dans cette eau cinq étoiles qui n’a rien à envier à celle des gravières de Sissonne parfois recouvertes de neige ; mais là, c’est le pied, comme elle dit. Elle repère les bouées délimitant la zone des trois cents mètres et s’y dirige, elle nage vite ; ça fait longtemps qu’elle ne s’est pas donnée à fond. Alors elle tire sur ses bras, bat des pieds et rejoint le bord où l’attendant son coéquipier en barbotant tranquillement.
Il est en admiration devant la prestation de Sonia, et sent que cette femme mystérieuse est en train de lui faire de l’effet ; il voudrait mieux la connaître : savoir ce qu’elle fait, qui elle est, et pourquoi elle est venue chercher ce genre de travail. Son dynamisme et cette détermination l’intriguent surtout pour cette jeune femme dont il ignore l’âge, en tout cas la sirène qui s’approche de lui ne le laisse pas indifférent, surtout au moment où elle arrive près de lui en apnée, et lui attrape la bite qu’elle embouche immédiatement. Accrochée aux couilles de Mike, elle sort la tête de l’eau pour reprendre une bonne inspiration, replonge et reprend la petite gâterie que l’homme apprécie au plus haut point ; imaginez-vous à sa place...
Elle sort de l’eau et s’étend sur sa serviette sous le regard amusé des deux femmes placées juste à côté d’elle, et qui ont assisté à la scène ; elles échangent un sourire complice quand elles voient l’homme sortir de l’eau avec la bite à la verticale et le rouge jusqu’aux oreilles. Il s’allonge sur le ventre et s’adresse à Sonia :
— Merci pour le cadeau, mais je vois que tu as enfreint ta règle numéro deux.— C’est vrai, mais là, il y a urgence et quand j’ai envie de baiser, je n’ai plus de règles ; aujourd’hui, c’est le cas, et ce soir, t’as intérêt d’assurer.— Sauf que tu as fait un scandale pour ne pas rouler cette nuit parce que tu étais fatiguée.— L’un n’empêche pas l’autre, tu verras demain matin ; une bonne baise suivie d’une bonne nuit et je pète la forme.— Alors dans ce cas nous allons commencer par aller manger, je t’offre le restaurant, et après je serai tout à toi.— Parfait ! Alors allons-y ; j’ai faim.
Une fois bien séchés, ils se rhabillent et se dirigent vers un restaurant de bord de mer ; le patron les accueille chaleureusement et les oriente vers une table les « pieds dans le sable ». Sur la terrasse sont disposées des chauffes-terrasses à gaz que le patron allume immédiatement, une douce chaleur envahit les lieux ; Sonia sent l’air frais lui caresser la minette. Mike qui est assis en face d’elle en appelant le serveur lui propose un apéritif du pays ; Sonia accepte de prendre un verre de malaga. Tout en regardant la carte qui propose quelques plans typiques comme : la salade de Malaga, la porta antequerana, ou le Pescaito frito ; Mike lui dit :— Sonia, je sais que tu ne veux rien dire sur toi, mais comme nous allons être ensemble pendant un certain temps ; je voudrais savoir comment tu as fait pour apprendre à conduire, à te battre et à être aussi déterminée, car je dois avouer que tu es particulièrement agressive dans tout ce que tu fais ? — C’est comme ça ...— Oui, mais tu peux me le dire, tu sais moi aussi je fais ce boulot par nécessité et j’ai le sentiment que toi aussi.
Elle réfléchit un moment pour essayer de trouver un moyen de lui répondre, car elle doit le mettre totalement en confiance pour qu’il l’amène là où elle veut. Cette arrestation est devenue au fil du temps une véritable obsession ; alors, pour ne pas éveiller les soupçons, elle décide de se faire une vie imaginaire.
— C’est vrai que je l’avais dit, mais comme tu me parais franc et correct, alors je vais t’en dire un peu. Petite, j’ai toujours été un véritable garçon manqué, casse coup au possible, toujours à me battre à l’école et j’en passe. Je me suis fait virer de tous les collèges de Marseille, mon père m’a mis en maison de redressement, car je tapais tout le monde à la maison. Le directeur de l’internat m’a virée, et à treize ans, mon père m’a fait entrer dans une école militaire en me disant qu’ils me casseraient ; j’ai réussi à rentrer dans le rang comme ils disaient. Mais à vingt et un ans, j’ai cassé la gueule à un officier, je suis passée au tribunal militaire et ils m’ont fait une proposition : soit j’allais en taule, soit je partais ; je suis partie. Pour la conduite, j’ai rencontré un mec qui fait du rallye, il m’a emmenée une fois et ça m’a plu ; et si tu veux tout savoir, je me suis payé l’Audi sur un coup de tête. Quand je me suis retrouvée dans la merde, mon pote m’a dit que comme j’avais des couilles ; je pourrais trouver du boulot en allant au Lido. Voilà, tu sais tout et je ne t’en dirai pas plus.— Eh bien, c’est déjà pas mal ; alors à ta santé.— À la tienne et à notre coopération, on mange et on va dans la chambre ; j’ai la chatte en feu, et puis il faut dormir.— C’est vrai, et demain tu veux te lever à quelle heure ?— Ch’sais pas, quatre heures et on pourra rouler vite avant qu’il n’y ait trop de monde. Il faudrait que tu trouves des casse-dalles comme ça, on s’arrêtera juste pour faire le plein.— À vos ordres patron... répond-il en riant.— N’importe quoi... dit-elle en éclatant de rire.
Un climat de bonne entente s’installe entre elle et Mike, c’est ce qu’elle voulait obtenir de façon à arriver à ses fins le plus rapidement possible. Ils terminent leur repas et même s’il n’est que vingt et une heures trente, ils montent dans la chambre, Sonia se déshabille totalement en prévenant l’homme qui lui est déjà prêt ; bite à la main, il attend.
— Tu vas mettre une capote, car je tiens à ma santé, lui dit-elle en lui tendant un étui contenant le précieux doigt en latex.— Pas de souci, c’est normal.
Elle s’allonge sur le lit, ouvre en grand ses jambes et invite Mike à venir la rejoindre. Il enfile le doigt sur sa queue qu’il secoue en permanence pour lui donner de la vigueur comme si la déesse allongée ne lui suffisait pas. Une fois le morceau de caoutchouc en place, il s’allonge sur Sonia et la pénètre directement, c’est exactement ce qu’elle voulait ; se faire prendre sans préliminaires pour assouvir cette terrible envie. Quand le plaisir commence à venir, elle pousse quelques « Ah... oui, c’est bon ... continue... ! » l’homme accélère le mouvement. Quand elle gémit faussement, il accélère encore ; persuadé d’être à l’origine des onomatopées de Sonia. Quand à grands cris de plaisir simulé et de réel plaisir elle lance de nouveau « Ah... oui, c’est bon ... encore ... plus fort... ! » l’homme persuadé que ses cris sont le résultat de son œuvre ; il éjacule dans la capote en râlant de plaisir.
Quatre heures du matin, après une bonne nuit, Sonia est sur le pied de guerre, alors que son coéquipier dort encore, elle se douche et se prépare. Une fois habillée, elle réveille l’homme qui saute dans son pantalon et enfile une chemise. Un copieux petit-déjeuner, réservé la veille, leur est servi en salle et l’homme engage la conversation.
— Sonia, hier soir tu as été géniale, j’adore faire crier les femmes de plaisir et j’ai vraiment senti que tu en prenais. — Merci, tu as raison, j’ai pris du plaisir, dit-elle en pensant « Pauvre nase, j’ai juste simulé... » — Je le savais bien, je fais toujours de l’effet aux femmes quand je baise avec force ; n’est-ce pas que vous aimez la virilité, la puissance l’animal qui sommeille en nous.— C’est vrai, ajoute-t-elle en se disant « Mon pauvre garçon, si tu savais, même si j’aime ça de temps en temps que nous n’avons pas besoin d’un gros bourrin pour jouir... » Bien on ne va pas tarder, je vais prendre mon sac dans la chambre, demande des casse-dalle pour la route pendant ce temps.
Elle grimpe dans la chambre pour récupérer ses affaires et redescend. À la réception, Mike récupère les sandwichs, paie la note puis ils sortent pour récupérer la voiture qui les attend dans un garage bien gardé à dix minutes à pied. Dans la rue, pas un bruit, pas une voiture, pas un passant ; tout est calme, seul le clapot des vagues toutes proches trouble le silence. Après une marche rapide, promenade de santé pour Sonia, mais véritable calvaire pour son coéquipier qui ne s’est sans doute pas remis de sa partie de baise de la veille, il sonne à la porte métallique ; une lueur apparaît. La lourde porte métallique coulisse sur son rail en grinçant, l’Audi apparaît ; un homme se présente.
— Bonjour, nous venons chercher la voiture, dit-il en la désignant du doigt.— Hola Mike, puedes tomar el auto, está completamente caraco. (Salut Mike, vous pouvez prendre la voiture, elle est complètement chargée.)–– Gracias y buen día, conclue Mike. Allez Sonia en route.
Ils s’installent et prennent aussitôt la route. Déjà cinq heures qu’ils roulent, grâce à la faible circulation et au rythme infernal mené par Sonia, ils ne sont qu’à une centaine de kilomètres de Barcelone. Sonia informe Mike de la nécessité de faire le plein, à la première station elle s’arrête ; le pompiste s’approche. Eh oui, en Espagne on vous sert !
— Sonia, je n’aime pas ça ; il risque de poser des questions.— T’inquiète... J’ai des arguments pour le distraire, dit-elle en descendant la fermeture de sa veste de jogging.— Ah, je vois...
Le pompiste s’approche de la voiture, Sonia est déjà dehors pour l’accueillir
— Hola completo por favori, dit Mike. (Bonjour, le plein s’il vous plaît)— Si sénior.
L’homme plonge le pistolet dans l’orifice du réservoir et dit à Sonia :
— Humm, eres bonita, señorita ! dit l’homme en plongeant son regard dans l’ouverture de la veste.— Humm... Tu aimes mater les filles, tu veux toucher ?— No comprendo !— C’est ça, dit-elle en prenant la main de l’homme.
Il se laisse guider et elle le force à lui prendre un sein à pleine main, l’homme bave de désir et Sonia s’en aperçoit ; les litres d’essence défilent. Maintenant, elle reprend la main devenue baladeuse et la passe par la ceinture de son bas de jogging, elle sent immédiatement les doigts de l’homme fouiller son entrejambe et atteindre sa fente. Cette séance imprévue met Sonia dans tous ses états, alors elle ouvre la braguette du pantalon du pompiste, sort la bite espagnole bandée à mort, l’engloutit dans la bouche et la pompe ; l’homme gémit et les litres continuent à se déverser dans le réservoir. Au bruit, Sonia sait que le réservoir est presque plein, alors elle prend la bite en main et la branle avec force, le réservoir est plein, le pistolet claque ; le pompiste éjacule par grandes saccades. Mémoire de pompiste : jamais aucun pompiste d’Espagne n’a eu l’occasion de se faire pomper en faisant un plein.
Et les Shadoks pompaient ! pense M. Claude Piéplu.
— Mike, tu paies et on y va, dit Sonia en se rajustant. — C’est parti !
Le reste du trajet jusqu’à La Ciotat se fait sans encombre. Et ce, grâce aux écoutes et au suivi du trajet de l’Audi, les opérateurs préviennent les brigades de gendarmerie qui se situent sur le trajet de ne pas intervenir. Compte tenu des enjeux et sous couvert du secret-défense, une circulaire officielle du ministère de l’Intérieur a largement été diffusée sur tout le territoire, elle interdit toute interception de cette voiture. Les pays limitrophes appliquent conjointement la même consigne.
Il est quatorze heures, Mike prend son téléphone et numérote.
— Allô patron ! C’est Mike nous serons à la Ciotat vers quinze heures, je fais quoi de Sonia ?— ...— Sonia, te sens-tu de monter en Hollande ce soir ?— Oui, et combien y a-t-il de trajets à faire ?— Elle est d’accord... et vous avez entendu sa demande— ...— OK, je lui dis et on repart après avoir fait une pause.— ...— OK Patron, je lui dis.
Il raccroche et range son téléphone.
— Alors, c’est quoi le programme ?— Comme tout se passe bien, il veut que tu fasses un max de trajets d’ici à la fin du mois. Le dernier sera extrêmement important et il veut qu’on lui apporte directement, car il veut qu’il soit traité rapidement...— Et ce sera où, ton directement ?— Je n’ai pas le droit de te le dire...— Et si, je ...
À ce moment-là, le téléphone de Mike émet un sifflement strident.
[À suivre]
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