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Police polissonne

Chapitre 64

Halte très sexy.

Orgie / Partouze
En passant devant la piscine, Sonia aperçoit Mike avec sa casquette et ses lunettes de soleil, comme il lui tourne le dos, elle ne peut pas savoir s’il est nu ou pas. Mais en fait, elle s’en fout un peu, car avec ce que lui a mis Marc ; elle pense être rassasiée pour le reste de la journée. Elle monte prendre une douche, histoire de se remettre de ses émotions et se refaire une beauté. Quelques instants plus tard, elle redescend, nue et parfumée vers la piscine. En passant devant le bar, les patrons la dévorent des yeux et quelques pensées perverses leur traversent l’esprit ; Sonia va saluer le patron qui lui propose un verre. Elle choisit un cocktail sans alcool et se dirige vers la piscine ; après l’avoir vu de face, en la suivant du regard, il peut l’admirer de dos.
La température de l’eau est excellente à cette saison. Sonia en profite pour faire quelques brasses, histoire de se détendre les muscles encore un peu ; après quoi, elle s’allonge sur un transat à quelques pas de Mike, la patronne en tenue d’Ève lui apporte sa boisson et lui chuchote quelque chose à l’oreille, puis demande à voix haute.
— Voici votre boisson, vous vous êtes déjà baignée ? — Oui pourquoi ?— Eh bien, j’aurais aimé vous accompagner.— S’il n’y a que cela, allons-y, j’adore nager.— Vous avez de la chance, car moi, j’ai peur, mais surtout de mettre la tête sous l’eau.— Je vous apprends si vous voulez...— Vous feriez ça ?
Sonia se lève et entre dans l’eau avec la maîtresse des lieux.
— Vous savez que vous êtes magnifiquement belle Mademoiselle, dit la dame en passant discrètement sa main sur la partie immergée du corps de Sonia.
Elle le fait en lui adressant un regard coquin et provocateur. Sonia qui n’est pas dupe se dit que le problème de mise de tête sous l’eau n’est qu’un prétexte à autre chose, elle lui répond avec un regard aussi provocateur et une main dans l’entrejambe de la femme.
— Bon, je vous montre comment faire pour mettre la tête sous l’eau.
Sans attendre, elle s’enfonce sous l’eau et se place pour un cunnilingus aquatique qui rend la femme folle de désir : celui d’en faire autant. Quand Sonia fait surface en lui disant :
— Vous voyez, ce n’est pas si compliqué ; vous prenez une bonne inspiration et vous plongez.
La femme s’exécute et offre à Sonia le même et délicieux cunni qui réveille tous ses sens, mais surtout l’envie de faire l’amour avec cette femme aussi surprenante que coquine. De son transat, Mike ne distingue que des silhouettes déformées par les remous de l’eau, intrigué, il s’écarquille les yeux pour tenter de deviner ce qu’elles peuvent bien faire. À un moment, elles sortent la tête de l’eau et se parlent, Mike n’entend rien ; mais cette fois, elles replongent. Mike se lève, s’approche du bord et regarde ; à la position des deux corps, il devine aisément ce qu’elles sont en train de faire ; mais le patron arrive, Mike se rassoit sur son transat.

Les deux femmes sortent et s’assoient sur le bord en gardant les pieds dans l’eau, tout en battant ses pieds, Sonia lui pose une question à voix basse :
— Dis-moi, ton histoire de tête dans l’eau ; c’est du pipeau ?— Oui, je suis confuse, mais tu es tellement belle que je n’ai pas pu résister à la tentation.— Eh bien, moi je suis ravie de cette surprise ; je t’avoue que j’ai beaucoup aimé.— C’est vrai ? Alors je voudrais te demander un truc, bon, c’est un peu spécial et si tu me fous ton poing dans la figure je...— Je vois... Vu ce qu’on a fait, en vrai, tu as envie de faire l’amour avec moi ?— Oui, mais c’est pour... enfin c’est mon mari qui a un fantasme ; il voudrait me voir faire l’amour avec une femme. Mais sans nous toucher, juste regarder ; enfin, voilà.— Ah oui, en fait, vous êtes deux cochons, et le truc de se mettre à poil à la piscine, n’est qu’un prétexte pour mater des culs ? Mais bon, c’est votre problème, par contre, ton idée me plaît beaucoup. — T’es trop cool, on va se mettre sur le transat à deux places, pas trop près des mecs. Mince, ton mec ne va pas apprécier.— Quoi, lui ? Ce n’est pas mon mec, juste une relation de travail et occasionnellement mon gode.— Eh bien toi ! Tu termines ton cocktail, je vais en préparer un et je vous offre l’apéro, dit-elle en s’adressant à ses deux clients.
Sonia s’installe sur son transat le temps de terminer son cocktail sans alcool, Mike curieux de savoir ce qu’il a bien pu se passer sous l’eau lui demande.
— Dis-moi, j’ai l’impression qu’il s’est passé de drôles de choses sous l’eau.— Humm... si tu savais, mais tu n’as pas encore tout vu.
Au bout de quelques minutes, la patronne fait son apparition en poussant devant elle une servante sur laquelle sont disposés des verres en partie remplis de glaçons, d’un pichet visiblement rempli de sangria, et de deux petits plateaux sur lesquels sont disposés des amuse-bouches. Elle remplit les verres et en dépose deux avec un plateau garni de canapés sur la petite table en bambou placée entre les deux transats individuels. Le patron apparaît à son tour avec à la main des bouteilles d’alcool en disant :
— Si quelqu’un préfère un alcool fort, j’ai ce qu’il faut.
Avec son sexe à demi bandé, Sonia et les autres peuvent remarquer que ledit patron est dans une forme presque olympique. Sans rien dire, il dépose les bouteilles sur la petite table en bambou, signe qu’il est au courant de la suite des événements. Il s’installe sur le transat que Sonia vient de quitter pour rejoindre le double bain-de-soleil et s’y allonge. La patronne s’installe à son tour aux côtés de Sonia. Une discussion démarre sur tout un tas de banalités dont les hommes se moquent éperdument, Sonia vient de passer à l’action en caressant les cuisses de sa partenaire, s’amuse avec les anneaux mammaires de la jeune femme. Pour laisser planer le mystère sur leurs intentions, elles se parlent à voix basse ; pendant que Sonia explore la fente de la belle hôtesse, elle se laisse palper les seins que la patronne malaxe avec douceur, puis descend directement vers cet entrejambe qui s’ouvre en grand pour accueillir une éventuelle langue. Puis elles se touchent du bout des langues et laissent les deux muscles jouer ensemble avec la délicatesse de deux amoureux en pleins préliminaires. Les leurs passent rapidement et se transforment en un torride 69 pour le plus grand plaisir des deux hommes qui observent la scène en se caressant la bite d’une main et en tenant leur verre de sangria amélioré de rhum de l’autre. Les deux femmes commencent à gémir d’un plaisir théâtral. Sonia qui avait prévenu que le mec qui l’accompagne aime entendre les femmes jouir bruyamment ; alors les deux complices s’en donnent à cœur joie. Elles continuent leurs ébats qui vont jusqu’au léchage de cul et le doigté anal ; elles s’astiquent en miaulant jusqu’à ce que les deux mâles se branlent à s’en faire cramer le gland. Elles se redressent juste au bon moment pour admirer les deux fauves se secouer le zguègue jusqu’à voir leur jus éclabousser leur torse et leur visage pour le patron. Elles terminent cette exhibition en s’embrassant à pleine bouche et en se doigtant la moule. Les hommes disparaissent vers la douche de la piscine pour se refaire une beauté, mais surtout éliminer le liquide gluant et visqueux dégoulinant de leur corps ; puis ils reviennent.
— Belle soirée en perspective ! s’exclame le patron.— Je ne sais pas, mon chéri ; tu as des envies particulières peut-être ?— Écoute, je vois que nos amis ne sont pas farouches ; nous pourrions nous échanger nos partenaires.— Ah nous y voilà ! Eh bien pour moi, c’est d’accord, et vous ?— Moi, je suis toujours open et j’avoue que j’ai un petit faible pour la bite de Monsieur, dit Sonia. — Moi, pas de soucis.— Tu te rends compte ma chérie, nous allons faire notre première partie à quatre, je vais aller allumer un feu dans la cheminée de la salle à manger ; nous serons très bien.— Bonne idée, je pense qu’on va bien s’amuser, ajoute la patronne.— Oui, à condition qu’on le fasse sans limites... dit Sonia qui vient de se faire embarquer par son démon : le sexe !— C’est-à-dire ? demande le patron.— Eh bien, on échange tout : les femmes et les mecs, si j’en crois le résultat ; on vous a offert un joli spectacle ; donc à vous de jouer aussi. Je veux vous voir vous enculer comme de vrais pédés, bien à fond, la bite jusqu’à la garde ! s’exclame Sonia en plein délire.— D’accord, répond l’homme en se dirigeant, suivi de Mike vers la salle à manger.
La patronne est ravie de cette proposition qui est le fantasme qui lui tient le plus à cœur et qu’elle espérait vivre depuis longtemps. Pour elle, c’est une aventure vers un inconnu extrêmement excitant. Dans la petite prestation avec Sonia, elle avait déjà le sentiment de tromper son homme avec une femme, cette fois, elle va se faire prendre par un autre homme et qui plus est, inconnu. Une pointe de jalousie apparaît lorsqu’elle s’imagine voir Sonia se faire astiquer le con par son homme. Par contre, l’idée de voir son mec se faire sodomiser par un autre homme l’amuse et l’idée lui vient d’acheter un énorme gode ceinture pour enculer celui qu’elle veut tout à coup en faire son esclave sexuel.
Sonia pensait se coucher de bonne heure pour bien récupérer après ces dures journées de conduite intensive, mais ce début de soirée lui convient parfaitement et la met dans une forme éblouissante. Le maître de maison propose de passer à table pour réchauffer la pièce et l’ambiance rapidement il a décidé de faire un feu de fagot dans la cheminée ; le résultat est chaud et magnifique. Les deux femmes félicitent l’homme pour la délicate attention et se laissent placer côte à côte face au feu ; mais dans une volonté d’égalité, elles proposent que la table soit déplacée et placée perpendiculairement au foyer de façon à ce que tous puissent profiter de la chaleur et du spectacle du fagot enflammé et crépitant de tous ses rameaux bien secs.
Le patron fait le service et annonce en entrée de la soupe faite avec les parures de poisson du plat suivant ; il l’a accompagnée de rouille, de fromage râpé et de croûtons de pain grillés. Comme pour l’encourager, les deux femmes s’amusent à tour de rôle avec son sexe de façon à lui redonner une allure correcte ; Sonia invite Mike à servir le vin en se levant bien évidemment et de profiter des largesses féminines. Les discussions s’enflamment aussi vite que la bûche posée sur les braises et aussi chaudes que le feu qui dévore le fagot de sarment de vigne.
Au service du plat suivant, les caresses manuelles se transforment rapidement en fellation pour maintenir dans une forme olympique les phallus ; ce qui est loin de déplaire aux deux mâles. Pendant la dégustation de la bourride, personne ne parle, seules les mains des deux femmes fouillent leurs entrejambes, car Sonia donne à sa partenaire un petit cours de masturbation, celle qu’elle se fait le matin quand elle est seule au petit-déjeuner.
Pour le dessert, le patron propose de déguster, enfin s’ils y arrivent, des calissons d’Aix accompagnée de café et de digestifs provenant d’une distillerie située à une petite centaine de kilomètres de là. Les canapés disposés en U face à la cheminée équipé d’un pare flammes, au sol un tapis en laine bien haute et confortable attend les nouveaux amis. Sonia se dit qu’il n’est pas là par hasard et que les propriétaires doivent s’en servir souvent pour y faire l’amour ; ses entrailles approuvent l’idée et lui ordonnent de prendre les devants.
C’est ainsi qu’elle s’agenouille devant le patron. Prend sa bite en bouche et suce l’engin devant les yeux ébahis de sa femme qui sent une pointe de jalousie monter en elle. Au moment où Sonia se tourne en disant :
— Maintenant, baise-moi devant ta salope de femme !
Celle-ci n’a qu’une envie : c’est de bondir sur cette gamine qui est en train de se faire enfiler par son homme. Mais à sa grande surprise, elle sent couler entre ses jambes sa cyprine chaude et son vagin réclamer réparation ; elle saute sur la bite du malfrat en disant à son mari :
— Alors, ça te plaît de baiser une autre femme devant moi, comme si je ne te suffisais plus ! Alors regarde bien ce que je vais faire ! Et toi sale pouffiasse ce que je fais de ton mec !
Elle saute sur le sexe de Mike et l’embouche, elle le pompe à grands « slurp ! » puis présente son cul à l’homme en lui disant :
— Encule-moi et fais-moi gueuler de plaisir !
À cause du vocabulaire issu tout droit du porno et employé par Sonia et de ce candaulisme assumé, la femme sent une terrible excitation l’envahir. Aussitôt dit, aussitôt fait. Pour le plus grand plaisir du patron, Mike empale sa partenaire. Pour le couple, c’est l’extase, ce fantasme tant désiré est en train de se réaliser. Ils arrivent à l’orgasme à grands cris et râlements de plaisir. Sonia, comblée par cette journée sexe décide de se poser un instant sur le canapé, elle regarde le spectacle que lui offre le trio avec Madame se faisant cette fois avec le vagin remplie par son mari et la bouche envahie par la bite de Mike dégoulinante de sperme.
Au bout d’un moment, les quatre compères fatigués par tant de plaisir font une pause en dégustant quelques calissons d’Aix accompagnée d’un café et d’une liqueur. Mais il se fait tard et comme Sonia veut remplir sa mission avec sérieux, elle annonce vouloir aller se coucher et se reposer en laissant la femme déchaînée par ces excès de sexe continuer à se faire prendre par tous les trous par les deux hommes et quelques objets. Sonia annonce :
— Les amis ! Je vais aller me coucher, car demain il y a de la route à faire, mais si vous voulez continuer ; ne vous gênez surtout pas. Mike, profites-en...— Pour une fois que j’ai deux bites à ma disposition, je veux bien continuer encore un peu, enfin si personne n’y voit d’inconvénient.— Pas de soucis, dit Mike. Sonia, je te souhaite une bonne nuit. — Et vous, amusez-vous bien, répond-elle.
Elle monte dans la chambre et s’endort comme une masse. Après une nuit réparatrice, Sonia se lève et constate qu’elle a dormi seule, elle se lève, se prépare et descend pour déjeuner ; dans la salle à manger, la patronne s’affaire.
— Bonjour, bien dormi ?— Oui, Sonia et toi ? — Parfaitement bien, mais Mike est où ?
D’un coup de tête, la patronne indique le canapé où est allongé Mike avec juste une couverture sur lui et une jambe découverte jusqu’à la fesse. Sonia le secoue, il se réveille, se frotte les yeux et dit :
— Bonjour, j’ai dormi là ?— Oui, dit la patronne. Nous avons préféré te laisser ici, car avec le boucan que tu faisais, nous avons pensé que Sonia ne dormirait pas bien.— Désolé, mais je crois que nous avons un peu picolé ...— Tu as un peu picolé ? reprend le patron. Si je devais te facturer tous les digestifs que tu as bus, je pense que ton salaire ne suffirait pas ; mais soit rassuré, car avec la soirée que nous avons passée avec vous ; c’est cadeau. Si ça vous a plu, il faudra revenir.— Pourquoi pas ... répond vaguement Sonia.
Mike préparé, et le petit-déjeuner dégusté ; le couple reprend la route en direction des Pays-Bas pour un nouveau transport.
Mais pendant ce temps, que se passe-t-il à Marseille ?

[À suivre]
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