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Police polissonne

Chapitre 68

Le dernier convoyage.

Avec plusieurs hommes
Alors que l’anniversaire de Julien a tourné au drame, Sonia est passée par la villa de Cassis pour décharger la cargaison venant d’Allemagne. Elle a par la même occasion pu découvrir le fameux tunnel qu’elle n’avait jamais vu auparavant, et pour cause ; son rôle de l’époque consistait à amuser le Boss. Elle en est repartie sans voir celui avec qui elle a un compte à régler. Après une nuit calme, mais courte passée dans un petit hôtel, elle a repris la route. Alors qu’il fait encore nuit, elle est concentrée sur sa conduite quand Mike rompt le silence.
— Dis-moi Sonia, ça te fait quel effet ce dernier voyage ?— Rien de spécial, juste l’idée que je vais me faire un paquet de thunes.— Et tu vas en faire quoi ?— Je vais payer ma voiture, pardi, et s’il en reste ; je verrai.— Hum..., je vois. En tout cas, je suis ravi d’avoir travaillé avec toi, tu es surprenante par moments, et en plus, très sexy.— Merci pour le compliment. Je suppose que tu as une idée derrière la tête ?— Tu devines tout, toi, on ne peut vraiment rien te cacher...— Que veux-tu, c’est ça les femmes ; nous devinons tout. Je pense même savoir ce qui te trotte dans la tête.— Ah bon ! — Oui, tu veux savoir quand je vais conduire à poil, c’est ça ? — Euh... Oui, tu me l’avais promis. — Tu as au moins de la mémoire, alors je vais le faire et même plus encore.
Sonia est depuis deux jours surexcitée, elle a beau se masturber, mais rien n’y fait. L’envie de faire un truc incroyable lui taraude l’esprit, et comme c’est son dernier trajet, elle a sa petite idée. L’autoroute qui les mène vers l’Italie est presque déserte, alors elle réduit un peu sa vitesse et passe en dessous de la limitation ; Mike s’en étonne :
— Mais qu’est-ce que tu fais ? — Déshabille-toi, allez, à poil !— Mais...— Il n’y a pas de, mais j’ai dit à poil et caresse-toi la bite ; quand elle sera bien raide, tu me déshabilleras en me caressant. — Et tu comptes aller jusqu’où dans cette tenue ? — Jusqu’à l’arrivée, et on aurait pu aussi faire le retour, mais je pense que ça craint un peu à cause du chargement.— Mais bien que je n’aie pas le permis, je crois qu’il est interdit d’être à poil dans sa voiture. — Aucun texte ne l’interdit, en voiture, tu es chez toi et tu peux être à poil si ça te chante. Par contre, si on se fait contrôler et si tu ne veux pas te prendre une prune, il faudra que tu mettes un truc sur ta bite ou que tu enfiles un short.
— Putain ! Comme c’est excitant, et tu as prévu autre chose ?— Oui, mais c’est une surprise ; tu vas voir ...
L’homme se déshabille et a déjà la queue à la verticale. Il débute la lourde charge que lui a confiée sa partenaire en commençant, à la demande de Sonia, par ses espadrilles ; elle conduira donc nue et pieds nus. Elle s’est déjà adonnée en solo à ce genre d’exercice, et le constat est sans appel, aussi surprenant que cela puisse paraître : la sensation de nudité est dix fois plus grande en conduisant nue et sans chaussures qu’avec. Sonia en a oublié la présence des caméras qui filment en permanence l’intérieur de l’habitacle. Cette situation n’est pas pour déplaire aux techniciens chargés de surveiller tout ce qu’il se passe à l’intérieur de la voiture. Sonia est de plus en plus impatiente d’arriver à l’endroit qu’elle connaît. Mike la force à ouvrir les jambes et lui doigte la moule avec vigueur. Son zguègue à la verticale laisse échapper du liquide pré-séminal qui coule doucement le long de son membre. Il est tellement occupé à lécher les tétons de Sonia qu’il ne sent pas la voiture ralentir et s’arrêter.
— Allez, bouge ! lui dit-elle.
Il lève la tête, regarde dehors et demande :
— Pourquoi tu t’arrêtes là ?— Regarde dehors, c’est ta surprise...
L’homme tourne la tête et aperçoit un bloc sanitaire qui semble être dans un état assez pitoyable.
— C’est quoi ce truc ?— La pire des chiottes de toutes les autoroutes, tu vas aimer, descends.— À poil ?— Oui, à poil et suis-moi.
En sortant de la voiture, elle aperçoit dans les fourrés un homme qui ressemble plus à un clandestin en manque d’hygiène, mais pas d’alcool ni de drogue. Elle lui fait un signe de la tête, l’homme fait deux pas en titubant puis s’arrête et attend. Elle s’est arrêtée là, car l’endroit est réputé pour voir passer toutes sortes de gens bizarres, exhibitionnistes et marginaux. En pénétrant dans les lieux, le ton est donné ; une forte odeur d’ammoniaque envahit tout le bâtiment. Il lui arrive de temps en temps de « péter un câble » comme elle dit et de faire n’importe quoi en matière de sexe ; un peu comme elle l’a fait pour les fêtes de fin d’année à Sissonne. Pour elle, c’est une sorte de défouloir quand la pression est trop grande comme en ce moment, car elle sait que ce soir, elle sera de nouveau à Cassis. Elle entre dans le premier des gogues turcs qui n’a plus de porte, l’intérieur correspond à ce qu’elle avait prédit ; une décharge municipale est sans aucun doute dix fois plus propre. L’homme qui les a suivis attend, il a déjà sorti sa queue et se branle en matant le cul de Sonia qui se penche en avant et appuie ses mains en appui sur la paroi au carrelage blanc (seulement par endroits). Elle n’ose poser ses pieds sur les emplacements réservés à cet effet. Pour ne pas voir la chiotte surchargée de toutes sortes de choses, elle ferme les yeux et fait de longues apnées pour résister à l’odeur.
— Mike, amène-toi, baise-moi et encule-moi ; fais-toi plaisir...
Il ne se laisse pas prier et empale la fliquette, sa bite entre sans difficulté dans le vagin trempé de cyprine ; l’homme derrière s’exclame :
— Vas-y mec, baise cette salope, baise-la à fond, et après, tu me la passes que je l’encule ; je vais lui péter le trou du cul. Je vais la faire gueuler, elle va pleurer sa mère.
Sonia sent bien l’excitation des deux hommes et se met à gémir pour les exciter encore plus.
— Ah oui..., vas-y Mike, plus fort...! Humm c’est bon... Plus fort...! Je vais jouiiiireee... Putain, encore ... Je jouieee... Ouieee... !— Ah, tu aimes ça espèce de salope, tu aimes te faire baiser comme une chienne ... t’as pas fini ... de gueuler ! hurle Mike en lui envoyant de magistrales claques sur les fesses.— Ah ouieee...! Vas-y ... Claque-moi le cul ! Tu aimes ça frapper les femmes ... gros conard...! Putain, mais vas-y plus fort ... Encore...!— Han...! Han ...! Ahan...! C’est bon là, tu as ta dose ?— Non, pas encore ! Laisse-moi sortir, je vais te sucer ta bite bien baveuse, et toi, le pédé, tu vas m’enculer.
Elle se retrouve avec la bite de Mike dans la bouche et le suce à grands coups de Slurp... slurp bien bruyant ; la simulation est un art qu’elle maîtrise à merveille. L’autre homme lui a enfourné sa queue dans le cul et il la burine avec force, il n’a sans doute pas tiré son coup depuis longtemps ; il y met du cœur. Il empoigne la belle par la taille et lui inflige une quantité de va-et-vient incroyables, ses lourdes baloches se balancent en claquant l’arrière des cuisses de Sonia ; l’homme éjacule dans son anus en râlant comme une bête féroce. D’un geste vif, elle repousse Mike et dit :
— Toi le pédé, tu vas me nettoyer la chatte et le cul ; Mike ! Encule-le.
Elle se plie en deux et présente à l’homme son anatomie qu’il ne peut s’empêcher de toucher et d’y enfiler ses doigts.
— C’est ça, nettoie-moi bien la chatte, suce bien tes doigts, et maintenant, lèche-moi le trou du cul et mets-y la langue bien en profondeur.
Les deux hommes s’exécutent, et la plus heureuse, c’est Sonia. Quand Mike éjacule dans le cul du mec à grands jets, elle lui ordonne de sortir et dit au suceur :
— Allez, sale pédé, suce-le maintenant !— Mais...— Mais, quoi ; tu veux un billet et de la came ? — Oui Madame, s’il vous plaît... Je suis en manque et je ferais tout ce que vous voulez...— Alors à genoux et suce !
L’homme à genoux dans la flotte embouche le sexe de Mike encore gonflé de plaisir, Sonia en profite pour passer derrière lui, attrape ses tétines, les pinces si fort qu’il éjacule dans la bouche du suceur. Ils ressortent, suivis par l’homme qui n’a pas eu le temps de se refagoter, et se dirigent vers la voiture.
— Tu as de quoi lui filer un billet et un peu de votre merde ? Et après, on se casse.— Oui, je m’en occupe ; tu veux continuer à poil ?— Ça dépend, il nous reste combien ?— Si tu roules vite, nous y serons dans... disons une heure.— OK, dans ce cas, je vais mettre un maxi tee-shirt, cela me fera comme une robe ; je pense que si je suis à poil dessous, ça te va ?— Parfait, et moi je vais juste enfiler mon short ; en tout cas, je m’en souviendrais de ces convoyages, et j’espère qu’il y en aura encore plein d’autres.— Pourquoi pas, si le Boss est d’accord, et que ça paye bien ; je ne dis pas non. Et je voudrais te demander un truc...— Tout ce que tu veux ma belle.— C’est juste en cas de coup dur, j’sais pas, une attaque, une agression ... Tu prendrais ma défense si je n’y arrive pas toute seule ?— Évidemment que je volerais à ta rescousse, on fait équipe ; non ?— Super... dit-elle en pensant qu’elle n’a pas fait des trucs même dégueu pour rien.
« C’est bon, celui-là, je l’ai dans la poche ; enfin si on peut dire... » pense-t-elle.
La suite du trajet jusqu’à Gènes se fait dans la bonne humeur, avec un trafiquant heureux de ce qu’il vient de lui arriver et qui ne cesse de peloter une Sonia calmée, mais toujours aussi accro de sexe. À l’approche de la ville, ils font une pause sur une aire de repos, après avoir fait le plein à la station-service, ils passent par le restaurant pour un repas rapide. Lorsqu’elle est assise à table, son maxi tee-shirt remonte très haut sur ses cuisses et laisse entrevoir un peu de son entrejambe. Ce qui attire les regards des clients, pour leur plus grand plaisir ; certains peuvent aussi contempler un peu de ses fesses posées nues à même le siège. Elle sait parfaitement qu’on la regarde et s’en amuse en tirant un peu sur le vêtement pour découvrir un peu plus de peau à chaque mouvement de son corps. Le repas terminé, ils achètent de l’eau à la boutique et reprennent la route. Sonia est en pleine forme, car pour elle, chaque heure qui passe la rapproche de l’instant où elle va rencontrer l’homme qui dirige toute cette entreprise de trafic de drogue et d’autres choses qu’elle ne connaît pas pour le moment.
Mike la guide vers le lieu de rendez-vous, les Italiens sont pressés de se débarrasser de cette cargaison embarrassante, l’opération de chargement est rapide ; Sonia reste tout près de la voiture et en profite pour se changer discrètement. Elle quitte son tee-shirt et enfile un boxer ultra-moulant et un débardeur un peu large, au décolleté plongeant et aux emmanchures très échancrées qui laissent voir ses seins par les côtés. En une demi-heure, l’arrière du break est plein jusqu’au plafond et recouvert d’une sorte de couverture avec une face recouverte d’aluminium et d’un tissu molletonné de l’autre ; ce qui permet de protéger le produit des scanners de la police. L’opération terminée, Mike s’installe et remarque aussitôt la tenue très sexy de sa conductrice. Ils reprennent l’autoroute en sens inverse, Sonia règle la vitesse du régulateur à 150 kilomètres/h afin de lui permettre de réfléchir à ma façon dont elle va s’y prendre pour arrêter le malfrat.
Alors qu’ils approchent de Vintimille, le téléphone de Mike sonne, il décroche :— Allô, oui patron.— ...— OK, d’accord, dit-il en raccrochant.— Que se passe-t-il ? demande Sonia.— Le patron vient de m’informer que le péage de la Turbie est bloqué par les flics, il paraît qu’ils contrôlent tous les véhicules. Il me demande de prendre par le bord de mer et de passer la frontière à Menton, car il n’y a pas de barrage. Nous reprendrons l’autoroute juste avant Nice.— Il faut qu’on prenne la direction de Monaco.— C’est ça, tu sors à Vintimille.— Ça marche, il va falloir s’accrocher, car la route du bord de mer est très sinueuse, dit-elle en traversant la ville italienne. Tu programmes le GPS pour Nice, comme cela, nous aurons les infos trafic.
Sur la route très sinueuse qui rejoint Menton, Sonia conduit vite. Elle aime ce genre de situation où l’attention doit être maintenue au maximum, elle négocie chaque virage et la vingtaine de kilomètres qui sépare le poste-frontière désaffecté de Menton à Vintimille est avalée en moins de vingt minutes. Le poste-frontière est en vue, mais une mauvaise surprise les attend. La frontière est fermée par des cars de la gendarmerie, des barrières interdisent toute possibilité de faire demi-tour ; ils n’ont aucune échappatoire. Ils se regardent, interrogatifs.
— Putain de merde ! Tu es certain des infos de ton Boss ?— Bah oui ; en tout cas, on est dans la merde, dit-il en sortant son arme.— Euh... tu comptes faire quoi avec ça ?— On ne sait jamais... Il va falloir qu’on passe. J’en blesse un et le temps qu’ils réagissent, tu forces le barrage et tu fonces.— Bon, en gros, tu as envie de te faire flinguer ; tu as regardé de l’autre côté du poste frontière ? Tu as vu le blindé ? Je fais quoi ? Je passe dessus ou dessous ? Alors on va faire simple, tu me ranges ton pétard, tu la fermes et tu me laisses faire, lui ordonne-t-elle sur un ton autoritaire.— OK, comme tu voudras, mais ce n’est pas la bonne solution.— Tais-toi, dit-elle en regardant le gendarme lever le bras en guise de signal d’arrêt.
Elle stoppe la voiture, ouvre sa vitre, prépare ses papiers et attend.
— Messieurs Dames, bonjour, gendarmerie nationale ; contrôle d’alcoolémie et du véhicule. Présentez-moi la carte grise, attestation d’assurance et permis de conduire.— Tenez Monsieur, dit-elle en tendant ses documents.— Que transportez-vous ? Descendez et ouvrez-moi votre hayon, s’il vous plaît.
Sonia est très inquiète, car ce contrôle semble ne rien à voir avec une mise en scène pour mettre la pression à son coéquipier. Elle sort de la voiture et ouvre le panneau arrière, le gendarme regarde le revêtement aluminium, le touche et demande :
— Pourquoi cet emballage molletonné en aluminium ?— Nous sommes antiquaires et ce sont des objets précieux en cire que nous mettons dans de la glace pour ne pas qu’ils se ramollissent.— Hmm, drôle de méthode, vous ne pouviez pas prendre une escorte et un camion frigo— Non, c’est plus discret de cette manière et il faut éviter de trop les secouer pour ne pas les casser.— Vous avez donc des documents pour justifier ce chargement ?— Jamais, pour éviter toute revente en cas de vol ; les documents sont déjà chez l’acquéreur.— C’est bon, vous pouvez refermer, dit le gendarme, l’air sceptique.
L’homme finit par récupérer les papiers, mais il est plus occupé à regarder dans le décolleté de la belle conductrice que les papiers ; il sort un alcotest électronique, met un embout tout en poursuivant sa réflexion :
— Vous avez peut-être raison, je vous fais un contrôle d’alcoolémie. Je tiens l’appareil, vous prenez une bonne respiration et vous faites un souffle continu.— Vous savez, je n’ai pas bu ; je ne bois jamais quand je conduis.— Je sais, tout le monde le dit, et dans trois quarts des cas : c’est positif.
Elle embouche l’appareil et souffle, mais rien ne se passe ; le gendarme s’interroge.
— Bon, vous avez l’air de souffler correctement, mais ça n’a pas l’air de marcher ? Je pense que l’appareil a un problème, nous allons procéder autrement. Suivez-moi s’il vous plaît, dit-il en interpellant un gendarme : Brigadier ! Surveillez-moi cette voiture que personne ne s’y approche !
Mike suit la scène. Il est inquiet, car il est obligé de se rendre à l’évidence : tout seul, il ne fera jamais le poids face à ce déploiement de force. Il prie en silence pour que Sonia les tire de ce mauvais pas. Elle suit le policier en ondulant du postérieur, un léger vent gonfle son débardeur en laissant entrevoir furtivement ses seins par moments ; un bon moyen pour la coquine d’aguicher les gendarmes en faction. L’homme l’a fait entrer dans le poste de douane, transformé en QG policier pour l’occasion.
[À suivre]
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