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Police polissonne

Chapitre 70

L'arrestation.

Trash
Les deux filles retournent se baigner, elles continuent à s’amuser sous l’eau, puis s’embrassent dès qu’elles sortent la tête de l’eau. Puis, Sonia s’assoit sur le bord de la piscine en ouvrant ses jambes en grand. Elle offre son intimité à sa partenaire, qui en profite pour lui lécher la chatte avec délectation. Les deux hommes ne perdent pas une miette de ce spectacle qui devient de plus en plus chaud. Dès qu’elles se font un 69 torride, accompagné d’un doigté vaginal et anal ; elles peuvent voir les pantalons des deux malfrats se déformer au niveau de leurs braguettes. Puis elles passent à un roulage de pelle digne d’un film porno, qui enflamme complètement les deux hommes. Mais Sonia n’en a pas fini, car elle veut arriver à ses fins avec certitude, alors, elle fait discrètement une suggestion à Amélie. Prête à tout pour se sortir de ce merdier, elle accepte et demande même à Sonia de ne pas la ménager pour que ce soit réel. Alors Sonia commence à lui pincer les tétons, sous la douleur Amélie se rebiffe et en fait autant ; les deux femmes commencent à crier.
— Putain ! Mais tu me fais mal… !— Quoi ? Mais tu aimes ça te faire pincer, et tordre les tétés ! Tiens prend ça ! dit Sonia en pinçant les bouts de seins encore plus fort ; Amélie crie de plus belle.— Attends, tu vas voir ce que je vais te mettre, dit-elle en tirant sur les piercings de Sonia.— Aïe… ! Tu m’as fait mal, espèce de salope, sale pute ; attends tu vas voir, injurie Sonia.
Les deux hommes se redressent pour mieux assister au spectacle, C’est maintenant un crêpage de chignon en règle et une véritable empoignade que les deux filles leur offrent. Elles se tirent les cheveux se griffent, se giflent en s’injuriant jusqu’à ce que Sonia retourne sa complice, et lui administre une magistrale fessée. Les coups pleuvent, les fesses d’Amélie rougissent à chaque fois que les mains de Sonia percutent les adorables rondeurs, quand elles commencent à tétaniser Sonia arrête, la soulève et la jette dans la piscine, Alors le Boss dit :
— Quel spectacle ! Amélie, tu vas aller demander qu’on nous prépare de quoi manger, Et comme tu m’as joué un beau spectacle je t’autorise à manger avec nous ; enfin si tu arrives à t’asseoir, dit-il en riant d’un rire bien gras.— Spectacle ? Hein, ça vous plaît de voir deux filles se battre.— La vache, tu m’as fait grave mal aux fesses, dit Amélie dans le creux de l’oreille de Sonia.— Bon, tu y vas, on ne va pas y passer la nuit.
Amélie s’éclipse et le Boss demande à Sonia :
— Dis-moi, tu as l’air d’aimer la fessée ?— Oh oui, mais surtout la donner et même plus…— Mike, va voir en cuisine ce que le chef a prévu pour ce soir ? Moi je mangerai bien un truc vite fait, genre pizza.— OK, je vais voir, Sonia, pizza aussi ?— Oui, quatre fromages si c’est possible.— Ici tout est possible, il suffit de demander ; Mike, je voudrais discuter avec Sonia alors prend ton temps.— OK Patron, vous n’aurez qu’à sonner.
Mike et Amélie quittent la piscine laissant le Boss et Sonia seuls.

— Bien, tu as réfléchi à ma proposition ?— Eh bien, puisqu’on se dit TU, tu vas me dire pour combien je t’en ai transporté ? Honnêtement, je pense que tu te fous de ma gueule. Alors tu vas allonger la monnaie.— Je ne te dirais pas pour combien il y en avait, mais bon, je fais un effort : pour ce que tu as fait, je te donne de quoi rembourser ta voiture. Ensuite tu travailles pour moi aux conditions que je t’ai données tout à l’heure, disons le Van, tous les frais et cinquante mille par mois.— Eh bien tu vois quand tu veux. OK top-là.— Marché conclu, Top là ! se claquent-ils dans la main.— Pas de contrat ?— Non, je travaille toujours en confiance ; maintenant je voudrais te demander un truc.— Vas-y ?— Je t’ai regardé t’amuser tout à l’heure avec Amélie, j’ai l’impression que tu aimes l’amour qui fait mal.— Oui, mais uniquement quand c’est moi qui dirige ; moi on ne me frappe pas.— D’accord, alors je voudrais que tu restes ce soir et cette nuit. Tu m’as tellement excité que j’aimerai te servir d’esclave.
Intérieurement elle n’en demandait pas autant. C’est exactement ce qu’elle voulait, le piéger et cela grâce à Amélie. Elle lui répond avec désinvolture :
— Tu es maso alors et tu veux me servir de lopette, tu veux quoi exactement : être attaché à poil avec les yeux bandés, un bâillon et être bondagé ; les couilles ficelées et des pinces sur les tétons ?— C’est ça, je voudrais que tu me fasses mal et qu’à chaque fois que tu reviendras de livraison, nous nous livrerions à ce plaisir ; comme une sorte de rituel.— Oui, mais il faudra fixer des limites.— Pour l’instant non.— C’est d’accord, et je vais même t’offrir ces trois piercings ce soir, dit-elle en lui montrant les siens.— Ceux-là, dit-il en les montrant.— Oui, les miens…
ooOoo
Il est vingt heures. Marc qui entend tout ce qu’il se passe grâce au micro-émetteur dissimulé dans le piercing nombril de Sonia appelle Julie en lui indiquant que Sonia sera rentrée dans la soirée. Sur une idée de Marc les quatre amies de Sonia ont prévu de longue date, une petite fête pour honorer le succès de la mission de Sonia. Cela se passera dans son appartement à cause de la terrasse, Julie se charge de prévenir les autres.
ooOoo
Mike et Amélie font leur apparition avec les bras chargés de victuailles, ils déposent tous sur les tables basses. Le menu est beaucoup trop copieux pour les estomacs féminins ; elles grignotent pendant que les deux hommes se servent largement tout en parlant affaires. Le Boss demande à Mike d’acheter rapidement un Van Mercedes, et à Sonia de prendre contact avec son ami mécano.
— D’accord, acquiesce-t-elle. Mais il faut que j’aille le voir pour en discuter avec lui, il me dira quel modèle sera plus facilement transformable. J’irai dès demain matin, c’est bon ?— Pour moi c’est parfait, bon vous ne mangez rien ? dit le Boss.— Moi, c’est bon, j’ai assez, dit-elle en se tournant vers son amie et continue : on va se baigner ?— Oui, je veux bien et on fait la course : un aller-retour de bassin, et la perdante devra… ? entame Amélie.— Se faire enculer par les deux hommes pendant que l’autre regardera en se caressant, propose la fliquette.— C’est très inégal, constate Mike.— De toute façon je vais perdre, comme d’habitude, maugrée Amélie.— Allez, on y va ? Un, deux, trois ; partez, décompte Sonia.
Les deux amies sont dans l’eau et donnent tout ce qu’elles ont, mais c’est Sonia qui arrive au bout du bassin la première, appuyée sur le rebord de la piscine elle attend Amélie.
— Tu traînes…— Je le savais, je ne fais jamais le poids.— Ne sois pas inquiète : ce soir tu seras dehors pour toujours. Alors ça vaut bien une fessée et deux coups de bites dans le cul.— C’est vrai.— N’oublie pas de faire ce que je t’ai demandé, vas-y fonce et prépare ton cul…
Évidemment Sonia gagne, et peut admirer son amie se faire sodomiser à quatre pattes sous ses yeux tout en se caressant la minette. Les deux filles gémissent de plaisir, elles s’amusent beaucoup.
À l’issue de cette sodomie le jour commence à décliner doucement, Amélie se relève, se plie en deux en se tenant le ventre et crie :
— AAH… ! Aïe… Aïe aïe… ! J’ai mal… J’ai mal au ventre…— Tu n’as qu’à aller te coucher… Tu es vraiment bonne à rien. Dégage !— Mais elle a l’air d’avoir vraiment mal, tu veux que j’aille la voir ?— Non, laisse tomber ; c’est une bonne à rien. Je t’invite ?
Il semble que Mike ait compris le message, il se lève et dit :
— Bon, je suis un peu crevé, je vais aller me mater un film et me coucher, tu veux quelque chose, Patron ?— Oui, remonte-moi une bouteille de champagne, nous allons trinquer à notre association ; pas vrai Sonia ?— Oui, avec grand plaisir, dit-elle en pensant :
« Tu vas voir ce que je vais te mettre dans la gueule, sans compter sur la belle surprise qui t’attend. Mais avant tu vas avouer le meurtre dont tu m’as fait porter le chapeau ! »
Mike, qui connaît bien les goûts de son patron, remonte en portant un plateau sur lequel il a déposé un seau à glace avec une bouteille de champagne, et des mignardises, bombons et deux coupes.
— Mike, tu déposes cela dans ma chambre et qu’on ne me dérange pas ; si j’ai besoin j’appellerai.— Bien patron, bonne soirée dit-il en sortant avec un large sourire en direction de Sonia.— Bonne soirée Mike, et à demain.
L’homme s’en va en fermant la porte de la pièce derrière lui.
— Tu viens, je te fais visiter mon petit nid.— Avec plaisir, répond-elle innocemment.
Car elle connaît parfaitement cette pièce. Elle y a passé des soirées entières à fouetter le Boss, mais aussi à souffrir des perversités du patron. La pièce n’a pas changé depuis son départ, le lit XXL faisant face à la porte-fenêtre donnant sur la piscine et ses deux chevets dans lesquels se trouvent normalement deux revolvers 357 Magnum. Il lui montre le dressing avec un large choix de tenues de dominatrice, des strings de toutes les tailles et matières, des soutiens-gorge en cuir et sans bonnet. Accrochés sur la porte du meuble elle découvre des fouets, martinets, des menottes et des vraies ! Il y a aussi des bâillons avec ou sans boules pour obstruer la bouche. Bien rangés sur des étagères sont disposés des godes, avec et sans ceinture. Elle découvre quelques nouveautés comme un gode imitant le sexe d’un cheval aussi long que le bras. Dans un tiroir des pinces en tout genre, certaines avec des chaînes ou des poids. D’autres sont munies de pics pour transpercer les chairs. Elle va de découvertes en découvertes, mais elle sait déjà ce qui va lui servir.
Près de la porte de la pièce un petit salon avec deux fauteuils et un canapé en cuir blanc font face à un écran de télévision aux dimensions considérables. Sur la table basse qui paraît être en or est posé le plateau avec les rafraîchissements.
— Ça te convient pour passer une bonne soirée ?—C’est parfait, alors c’est parti ! dit Sonia. Cette phrase qui semble anodine, et le signal de départ de l’intervention convenue entre elle et Marc.— Bien, alors on commence par quoi ?— Par me payer ce que tu me dois, après on joue.— Eh bien toi tu ne perds pas de temps.— Non, les affaires d’abord et ensuite le plaisir. Mais avant je vais passer une tenue de circonstance, dit-elle en se dirigeant vers le dressing.
Elle choisit un boxer en cuir hyper moulant et très court pour qu’il lui rentre bien entre les fesses, il sera assorti avec un soutien-gorge en cuir, une paire de cuissardes à talons et une paire de gants en latex qui lui montent jusqu’aux biceps. Elle s’habille sous les yeux exorbités de son futur esclave ; l’homme s’approche pour la toucher mais :
— Tu ne me touches pas, tu le feras que lorsque je te l’ordonnerai. Maintenant tu te fous à poil et tu me payes.
Elle s’est emparée d’un fouet très court et claque l’air ; l’homme se dirige vers son coffre, l’ouvre et en sort un paquet de liasses de billets de cinq cent et mille euros. En disant :
— Tiens, voilà soixante mille, tu peux recompter.— Merci, et pour la soirée ? Tu me files un pourliche, cinquante balles le coup de fouet fois cent ; ça fait cinq mille balles.— Putain tu es dure en affaires.— Les affaires sont les affaires et puis tu as les moyens ; pas moi.— Bon d’accord, mais tu as intérêt à être au top.— Fais-moi confiance, tu ne vas pas être déçu ; je suis en train de te concocter une petite séance dont tu vas te rappeler jusqu’à la fin de tes jours.— Cool ! Mais avant tu fermes la porte-fenêtre.— OK, je te bande les yeux avant et je te passe des menottes. Voilà comme ça et mains sur la tête pour ne pas me gêner.
Elle lui pose un bandeau sur les yeux et un bâillon à boule dans la bouche.
Elle se dirige vers la porte-fenêtre, sort, tapote sur le micro et dit : « Marc j’aperçois des lumières en face de la piscine, si c’est toi fais-les clignoter » immédiatement deux lampes clignotent. « Super, alors à toit de jouer, tout douar être ouvert en bas et tu vas trouver une fille planquée dans ma voiture ; sors là de là ».
Elle rentre et ferme la baie sans la verrouiller, puis elle s’approche de sa victime et lui inflige ses premiers coups de fouets.
— Alors espèce de lopette, tu aimes te faire fouetter !— Mmm… é bo… enco..e….!— T’en veux plus ! Alors tiens, prends ça.
Le fouet cingle l’air et s’abat sur le dos, systématiquement elle descend sa main et le fouet laisse une trace de quelques centimètres sous la première. Le dos de l’homme se couvre petit à petit de stries régulièrement espacées et rougeâtres. Elle descend sur les fesses, puis les cuisses et les mollets. Il gémit de douleurs, elle ne lâchera pas, elle sait que ça vengeance sera terrible et ne le lâchera pas tant qu’il n’aura pas avoué.
Dans sa tête la devise de la brigade défile : « Faire avouer à tout prix, et peu importe les moyens utilisés »
Elle se déplace et cette fois le fouet claque le devant des cuisses et remonte inexorablement. Les coups portés sur les testicules de l’homme sont si violents qu’il se plie en deux de douleur, sa verge bandée devient violacée, et les stries continuent à monter jusqu’en haut de son torse ; Sonia arrête et pose le fouet sur le lit.
— Alors, tu aimes le fouet ?— Mmm… fait-il en affirmant d’un hochement de tête.— Tu en veux encore ? Tu n’as qu’à me faire oui ou non de la tête.
Il fait non.
— Bon, on va jouer à autre chose, tu veux bien ; bon, de toute façon tu n’as pas le choix. Tiens, je vais être sympa, je vais te faire un cadeau. Mais avant tu vas te mettre à genoux, comme ça, c’est parfait.
Puis elle lui ôte le bandeau. Ça va ?
Il fait oui de la tête.
Parfait alors on continue. Elle défait son soutien-gorge et enlève ses piercings puis elle se retourne et sans rien montre à son supplicié elle retire celui qu’elle a au clito. Dans le matériel qu’elle avait repéré dans le dressing elle récupère une grosse aiguille fixée à une seringue. Elle saisit à deux doigts un téton de l’homme et le transperce avec l’aiguille et la remplace par un de ses anneaux ; l’homme râle dans son bâillon. Elle procède de la même manière pour le second téton et pour le gland du mec. Malgré les râles elle dit :
— Alors, ça fait mal ? Tu vois pour les femmes le fouet et les percements ça fait aussi très mal. Je pense que cela doit te rappeler quelques souvenirs ?
Hébété, il la regarde et fait non de la tête.
— Tu es sûr que cela ne te rappelle rien ? Attends, je vais te rafraîchir la mémoire.
Elle prend une cordelette, fait deux tours à la base du scrotum de l’homme, fait un nœud qu’elle serre de toutes ses forces. Le sang ne peut plus retourner, vers le cœur ; la verge gonfle et devient violacée.
— Et là, toujours rien, mais tu sais qu’on se connaît, continue-t-elle et lui envoyant un violant coup de pied dans les couilles. Et même très bien.
À son regard elle sait que l’homme commence à comprendre, elle lui enlève son bâillon.
— Non tu te trompes, je ne t’ai jamais vu ; je n’ai jamais rencontré de Sonia.— Et Noémie, ça te parle ?
L’homme fait une pause, il semble chercher ses mots, et répond :
— Non, ça ne me dit rien.— Tu te fous de ma gueule ! Et la fille que tu as plantée dans la cour de la boîte ; là où tu as flingué un pauvre garçon parce qu’il ne pouvait pas payer les mille balles qu’il te devait. Je peux même te donner la date : c’était le 5 décembre 2015. Tu vois Noémie c’est bien moi !— Ce n’est pas possible, elle a été tuée sur le port de Marseille.— C’était du cinéma, je ne suis pas morte ; ce n’était qu’une mise en scène pour faire disparaître Noémie. C’est vrai que j’ai changé, j’ai fait six mois d’entraînement militaire j’ai appris à conduire vite et même très vite ; demande à Mike. C’était pour moi le seul moyen de sortir de prison, car tu as dû voir dans les journaux que j’avais été incarcérée pour meurtre, et à ta place.— Écoute on va négocier, prends tout ce que tu veux dans le coffre, et va-t’en je te jure que je ne chercherais pas à me venger. Je reconnais, l’avoir tué, j’ai été lâche ; et puis il l’avait cherché.— Ah, mais je n’en veux pas de ton fric ! J’ai trouvé mieux, tourne-toi et regarde par la baie vitrée, dit-elle en s’approchant de la porte-fenêtre.
Elle appuis sur l’interrupteur de commande d’éclairage extérieur. L’homme meurtri pivote sur ses genoux et regarde dehors.
— Tu vois, je suis consciencieuse dans mon travail, regarde bien ton entreprise s’effondrer. Tous tes acolytes sont en train de se faire arrêter par la police et pire encore tous les endroits où je suis passée avec ton ami Mike sont actuellement perquisitionnés, et tous les hommes arrêtés. Tu peux me proposer tout l’or du monde, mais tu es fini. Je suis flic maintenant et je t’ai piégé, depuis que ton Mike m’a embauché, la police a mis tous les téléphones sur écoute, nous avons été suivis, surveillés… Tu as voulu échapper à la police en changeant de visage et de lieu d’habitation, mais tu vois je suis plus intelligente que toi, et…

[À suivre]
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