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Police polissonne

Chapitre 74

L'opération de la dernière chance.

Avec plusieurs femmes
6 heures 55, Aéroport de Marseille Marignane, le vol sanitaire en provenance de Paris se pose sur le tarmac. Il roule et se place à côté de l’hélico du SAMU, la caisse contenant la prothèse y est transférée et le professeur monte à bord. L’arrivée imminente de l’hélico est annoncée à l’hôpital, Émilie qui sera en charge de guider le Professeur est réveillée par son amie Martine qui, avec un large sourire aux lèvres, lui rapporte sa blouse.
— Allez debout, l’hélico arrive, tu as juste le temps d’enfiler ça et de te rendre à l’héliport.— C’est toi qui m’as piqué ma blouse ? Tu sais que j’ai dû traverser la moitié de l’hôpital à poil ! Tu vas me le payer.— Oh... Mais c’était pour blaguer...— Blaguer ou pas, tu vas me le payer ; petite S...—...
Sept minutes plus tard, il se pose sur l’héliport de l’hôpital de la Timone, le Professeur Lacdure en descend. Elles découvrent un bel homme à l’allure plutôt sévère et autoritaire, grisonnant, le sourcil épais, une longue barbe taillée au carré avec des moustaches tournées dans les extrémités, et une coupe de cheveux peignés en brosse ; ce qui lui donne un air sérieux et élégant. Un cocktail à faire craquer les filles qui restent sans voix un court instant. Après l’avoir salué, elles récupèrent tout le matériel, le déposent sur un chariot ; elles se dirigent vers les urgences, et se présentent devant le bureau du chef de service.
— Bonjour cher confrère, dit le patron.— Bonjour... Vous me mettez à disposition un chirurgien orthopédiste, un anesthésiste, trois infirmières bloc et deux AS.— Hou Là ! Comme vous y allez, je sais que cette intervention est compliquée, mais il ne faut pas pousser. Matériellement, je ne peux pas, car je n’ai pas autant de personnel à disposition.— Moi, je ne veux pas le savoir, c’est moi le patron, et tant que je suis ici ; c’est moi qui commande, je suis Professeur tout de même. J’ai des droits et vous des obligations, point !— Biiien... ! Je sens que ça va être sportif. Il semblerait que vous ne m’ayez pas compris. Ici, vous êtes à Marseille et que dans tous les hôpitaux de la région : on n’aime pas trop les gens qui se croient au-dessus de tout, donc le patron ici ; c’est moi. Ensuite, je n’ai pas le budget pour mobiliser tant de personnel pour une telle opération. Je vais vous attribuer Émilie qui est une infirmière bloc très expérimentée et une très bonne AS : Martine, l’anesthésiste sera à la demande, car j’en ai besoin pour les interventions d’urgence. — Ce n’est pas acceptable.— Eh bien moi, j’ai un service à faire tourner avec ce qu’on veut bien me donner. Actuellement, il faudrait m’ajouter au minimum un médecin, un anesthésiste, un chirurgien, six infirmières et aide-soignante pour faire tourner le service correctement. Mon personnel est fatigué, et par conséquent, devient agressif (j’en ai quatre en arrêt maladie) je n’ai pas de moyens financiers pour acheter du matériel. Sans compter les incivilités et les agressions, pas loin d’ici une infirmière a été tuée à coups de couteau. Alors votre petit confort, je n’en ai rien à faire. Je vais être très clair, soit vous vous occupez de ma patiente au prix normal, soit nous le faisons nous-même. Vous savez, j’ai de très bons chirurgiens ; vous n’aurez qu’à regarder le travail qui a déjà été fait, dit le chef de service sur un ton ferme.
Le Professeur reste sans voix devant le médecin. Émilie n’est pas surprise de la réaction de son patron qui n’aime pas les « m’as-tu-vu » qui veulent régner en Maître partout où ils passent.
— Bon, je vois que je n’ai pas le choix, alors allons-y, réplique le professeur.
Émilie précède l’homme pour le conduire jusqu’aux vestiaires, en chemin, il constate que tout le personnel porte comme son IDE et l’AS qui lui sont attribuées un dossard sur lequel est écrit : « EN GRÈVE ». Alors qu’ils viennent de se faire bousculer par deux vigiles et du personnel hospitalier.
— Mais que se passe-t-il ?
— Ça ? Encore une agression comme d’habitude. Bon, dépêchons-nous, il faut se changer, et en plus, c’est plus long ; on est au stade de stérilité Zéro !— C’est quoi ce stade Zéro ?— Le seul moyen que nous avons trouvé pour faire des économies tout en assurant sécurité du patient. En deux mots, c’est la douche et à poil sous la tenue de bloc.— Mais...— N’y a pas de mais, c’est comme ça pour tout le monde.
Martine et Émilie précèdent le Professeur qui ne dit mot, car l’idée de mater les deux filles lui plaît beaucoup ; dans le vestiaire et elles commencent à se déshabiller.
— Je me change où ? demande l’homme.— Ici, le vestiaire homme sert de réserve, nous avons dû faire des sacrifices pour avoir un bloc de plus ; vous savez qu’il y a sur Marseille et les environs au moins un blessé par balle en plus que tous les autres accidents corporels. — Je vois cela, et je ne pensais pas que... en tout cas, vous êtes très jolies toutes les deux... je...
Le regard de l’homme en dit long sur le fond de ses pensées. Quand il rentre dans le bloc, il commence par observer la blessure de Sonia, prend des photos avec son téléphone enveloppé dans un sachet récupéré à la STÉ, et dit :
— Effectivement, elle est sérieusement amochée, je vois que le travail de nettoyage a été fait avec application, c’est vous ?— Oui, avec le chirurgien ; et nous y avons passé beaucoup de temps.— Je m’en doute, et maintenant, la tâche est colossale ; alors, j’espère que vous êtes endurantes et que vous restez précises dans les gestes malgré la fatigue.— Nous allons faire de notre mieux Professeur.— Parfait, vous, c’est Martine et vous Émilie ? Donc Martine, vous serez en charge de passer les instruments que je vous demanderai. Vous les connaissez tous ? Et de pomper le sang.— Oui Docteur, je suis prête.— Et vous Émilie, vous allez m’aider à dégager les chaires qui se trouvent collées aux os. Si.
Vous pouvez faire toute cette partie, ce serait parfait.
— Pas de soucis, je l’ai déjà fait.— Vous cuisinez ? — Oui...— Alors vous faites comme pour désosser un lapin pour en faire un bon civet. Mais attention ! Il ne faut sectionner aucun nerf ni blesser les chaires, dit-il en passant derrière Émilie.
Qui au passage se frotte contre les fesses nues sous la tenue de l’IDE, elle sent le sexe du professeur en pensant tout à coup qu’élargir son tableau de chasse avec un Professeur en faculté de médecine serait royal. Mais elle doit se concentrer sur son travail.
L’opération est longue et fastidieuse et dure des heures. Martine passe le matériel, pompe le sang qui s’échappe par moments, surveille les écrans des appareils de surveillance cardiaque, respiratoire et encéphalique.
— Comment sont les constantes ? demande le chirurgien.— Parfaites docteurs.— Bien alors nous allons découper l’omoplate ici, et l’humérus là ; vous avez déjà vu pratiquer ce geste ? dit-il en manipulant la prothèse.— Oui, c’est très impressionnant. Je suis curieuse de nature et je voudrais savoir ce que cette prothèse a de spéciale justifie ?— C’est bien de se renseigner. Elle fait partie de toute une série de nouvelles prothèses d’articulation complète. Pour faire court, contrairement aux autres, celle-ci ne peut pas se déboîter grâce à un ingénieux de verrouillage, le plus est que le matériau dans lequel elle est fabriquée permet aux tissus et aux tendons de s’y accrocher. Bon, il faut beaucoup de patience et de rééducation avant que tout rentre dans l’ordre, mais elle récupérera normalement toutes les fonctionnalités de son membre. Mais que lui est-elle arrivée, car elle est très jeune ?— Oui elle jeune, tout ce que je sais. C’est qu’elle participait à une grosse opération de police sur des malfrats, elle est inspecteur de police et l’arrestation a très mal tourné, car en plus d’elle, il y a deux morts et une autre blessée.— Quel dévouement !
Au bout de quatre heures de travail acharné, il entame le sciage de l’omoplate et de l’humérus. Mis à part les demandes de matériel, le travail du professeur s’effectue en silence, le geste est précis et la découpe parfaite, puis il dit :
— Bien, nous allons vérifier que rien ne reste, comme des fragments de balle ou d’os. Martine, vous aspirez partout en essayant de repérer tout ce qui n’a rien à faire ici.
Pendant que les deux jeunes femmes travaillent, il vérifie une dernière fois que la prothèse fonctionne parfaitement, puis la pulvérise avec un produit désinfectant. Il la positionne et semble satisfait du résultat.
— Parfait ! On fixe la prothèse à l’omoplate ici et là avec des plaques. Et l’humérus avec les deux vis là et là, et on referme.
Une fois les pansements terminés, l’opération aura duré sept heures. Sonia est à la fois exténuée et excitée, car le chirurgien a pris un malin plaisir à venir se frotter contre ses fesses ; ce qui n’a cessé de faire monter en elle une forte dose d’adrénaline génératrice d’envie de sexe. L’opération est terminée, une fois les pansements faits, elle appelle les brancardiers pour qu’ils viennent prendre en charge la patiente et l’emmener en réanimation. Elle y restera plusieurs jours avant de sortir du coma artificiel dans lequel elle a été plongée.
Les deux jeunes femmes et le chirurgien passent au vestiaire pour se changer. Elles enlèvent la combinaison de bloc et se retrouvent nues devant les yeux gourmands du praticien dont le membre grossit à vue d’œil. Il s’avance vers Émilie, et d’un geste vif, il lui met sa main droite autour de sa gorge et la plaque contre la paroi du local. Elle est tout d’abord surprise, puis une véritable excitation l’envahit. À moitié étranglée, elle ressent un véritable plaisir. Le fantasme ancré dans son esprit et qui hante parfois ses nuits : être prise de force, être dominée par un homme beau, puissant et viril. Prisonnière de cet homme, elle ressent une étrange sensation envahir tout son corps qui se remplit de picotements. Ses seins se gonflent et ses tétons deviennent durs comme des pics ; l’homme en touche un et elle ressent comme un éclair parcourir tout son corps.
Arrivée à ce stage, elle sait qu’elle serait capable de faire n’importe quoi, elle pourrait traverser tout l’hôpital, entièrement nue et s’offrir aux SDF qui mendient à l’entrée de l’établissement. Elle ne se maîtrise plus, elle laisse le toubib plonger sa main entre ses. Il sent la cyprine chaude humidifier ses doigts, enfonce deux doigts dans le vagin qu’il ressort dégoulinant de liquide ; il tend ses doigts à l’AS et dit.
— Suce ! Et toi « la Chipie », tu aimes ce que je suis en train de te faire. Tu aimes aguicher, provoquer le désir chez l’autre, tu es une rebelle et ce que tu veux en ce moment même : c’est que je serre encore plus ma main posée contre ta gorge, tu veux que je te prenne là, contre le mur. Tu aimes les rapports de force, parfois tu veux gagner et parfois perdre puis être prise de force. Alors je vais te prendre, et toi Martine, tu vas regarder en te caressant, et quand j’en aurais fini avec elle ; je m’occuperai de toi, alors sois prête.
Émile est au comble de l’excitation, le toubib a raison, et dans son for intérieur, elle se dit « Humm... J’adore ce qu’il me fait, pourvu qu’il aille encore plus loin ; qu’il me prenne comme ça sans prévenir... »
— Oh oui Docteur... ! s’exclame l’AS en sautillant comme une gamine.
Il desserre sa main, regarde Émilie dans les yeux, il hoche la tête pour obtenir l’approbation de l’IDE qui lui envoie un clignement d’œil d’approbation. Alors il la prend les cheveux et la force à s’agenouiller, elle vient de comprendre qu’elle va devoir sucer le membre du quinquagénaire ; il est juste là devant son nez avec cette odeur de mâle en rut. Elle n’en a pas vu d’aussi beau et majestueux depuis longtemps, elle s’en empare, le caresse du bout des doigts, pour exciter encore plus l’homme sera ; de l’autre main, elle commence à palper les couilles bien rondes et velues. Quand elle embouche le phallus imposant, elle prend les boules à deux mains et les malaxe comme elle le ferait avec une boule de pâte à pizza, dont elle s’est fait une certaine réputation. Mais pour l’heure, il s’agit de prendre du plaisir, beaucoup de plaisir, car dans cet hôpital, il n’est donné à tout le monde de se taper un toubib et encore moins un Professeur d’Université.
La Chipie qu’elle est ne se gênera pas pour s’en vanter dans le service, quitte à en rendre jalouses certaines grandes gueules, mais surtout ; tenir sa réputation. Elle redouble d’énergie en suçant, léchant, malaxant couilles et bite. Une inexorable envie de se faire baiser par la bouche lui traverse l’esprit, alors elle enfonce la bite au plus profond de sa gorge. L’homme qui a compris lui prend la tête à deux mains et force, Émilie est au bord de l’étouffement ; mais rien ne rentre. Le praticien abandonne et la tire vers le haut en la tenant par les cheveux.
— Tourne-toi, pose tes mains contre le mur et présente-moi ta chatte.
L’homme l’empale d’un coup sec et vigoureux et il lime à grands coups de reins et de « Han... Han... ! ». Les lourds seins se balancent d’avant en arrière sous les coups de boutoir que lui inflige le chirurgien. Martine observe la scène avec de grands yeux et les doigts dans sa moule dégoulinante de jus en se malaxant les seins et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Regarder son amie se faire tringler avec force par le Professeur, la rend presque jalouse ; elle a hâte de prendre sa place et de se faire démonter ...
— Allez Martine, prépare-toi...
Elle se place juste à côté de sa copine. Émilie sent en elle venir un orgasme avec la certitude qu’il sera puissant, et c’est le cas ; les spasmes en la transpiration de son corps en sont la preuve. Ses doigts griffent la paroi en toile peinte en y laissant la trace de ses ongles pourtant coupés court. Le front en appui contre le mur, elle s’attrapa les seins et le malaxe, puis elle se presse les tétons toujours aussi durs. Dans son ventre, l’orgasme explose, l’envol des papillons qu’elle aime tant quand elle s’amuse avec Martine ou avec un homme doux et câlin, se transforme en un ouragan de spasmes ; elle crie de plaisir.
Dans cette salle d’attente un peu particulière certes, mais qui n’a d’égal à aucune autre, Martine attend son tour, courbée en deux, les deux mains en appui contre le mur, les jambes bien écartées, le dos cambré et le cul bien en arrière. Quand le sexe du praticien pénètre son antre juvénile, Martine pousse un petit cri de douleur, car la bite est plus imposante qu’elle ne pensait. Émilie observe sa copine et la vue de la taille du mandrin lui rappelle une anecdote entendue sur une station de la radio régionale. Les animateurs rapportent tout un tas de faits plus ou moins humoristiques, ou à la limite de la véracité : l’animateur racontait que dans une université réputée des États-Unis, des chercheurs affirmaient avoir calculé que la quantité de sang contenu dans le sexe en érection de taille normale était égale à la quantité de sang contenu dans le corps d’un hamster.
Forte de ce raisonnement, Émilie cherche à estimer quelle sera la taille dudit hamster s’il fallait le remplir du sang contenu dans le braquemart du professeur...
Elle en sourit.
Pendant ce temps, Martine glousse sous les coups de reins, et finit par lâcher un long et sonore « J’arriveee... ! » et l’homme satisfait se retire.
— Alors les filles, heureuses de vous avoir fait un Professeur d’Université ? Et ne me dites pas non, car je ne vous croirai pas. — C’était inattendu, mais génial, merci Professeur, dit Émilie.— Moi aussi je suis ravi par ce qu’il vint de se passer, mais aussi par le travail que nous avons fait ensemble ; je ne peux que vous féliciter. Je voudrais parler avec votre chef de service pour les Trans, vous pouvez m’y conduire une fois que nous serons présentables.— Bien sûr, après une douche ?
Douchés et revêtus de la tenue réglementaire, elles accompagnent le praticien dans le couloir des Urgences où le chef de service s’affaire.
— Patron, le Professeur voudrait faire les Transmission avec vous. — Allons dans mon bureau.— Alors Professeur ?— Tout d’abord, je voudrais féliciter le professionnalisme de votre infirmière et de l’aide-soignante. Je n’ai jamais vu une telle efficacité, et je vous suggérerais de leur faire passer des concours pour passer au niveau au-dessus. Je verrai bien Émilie, médecin urgentiste ou chirurgienne ; Martine peut faire le module d’infirmière. Je suis même prêt à les accueillir à la Fac de médecine à Paris, s’il faut les héberger, je m’en occuperai personnellement. Maintenant en ce qui concerne l’intervention où tout s’est merveilleusement bien passé.— Merci Professeur, disent les deux filles à l’unisson.— Ne me remerciez pas, je sais reconnaître la valeur des gens à leur juste valeur. Bien pour votre patiente, je pense qu’il va falloir la laisser dans le coma artificiel pendant une huitaine de jours, car les chairs ont beaucoup souffert, j’aimerais, à titre strictement personnel, connaître ce qu’il s’est réellement passé. — Je peux appeler son chef, il a tout vu ou presque, dit Émilie.— Alors, faites-le, s’il vous plaît, demande le chirurgien.
Émilie sort pour téléphoner à Marc, car les portables sont brouillés dans la zone des urgences.
— Allô ?— Oui, c’est Émile, l’infirmière des urgences, est-ce que vous pouvez venir, le chirurgien voudrait vous rencontrer.— Oui, bien sûr et quand ? Et Sonia.— Bon, je vous rassure tout de suite, l’opération s’est bien passée et elle est en réanimation. Et si vous pouvez venir tout de suite, ce serait parfait. Vous venez à l’accueil des urgences et vous me demandez directement à un vigile ; je les préviens. — J’arrive tout de suite...
Le policier ému aux larmes se prépare et fonce vers le CHU.
[À suivre]
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