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Police polissonne

Chapitre 89

Les retrouvailles avec les amis.

Hétéro
  Sonia rejoint sa cousine sur le parking, et fait la connaissance de Benoît, le petit ami d’Amélia. Elle découvre un beau jeune homme beaucoup plus grand qu’Amélia, son visage fin et hâlé lui fait penser à un Réunionnais à l’allure un peu décalée à cause de ses cheveux hirsutes et châtain foncés. Derrière ses lunettes ovales qui lui donnent un air malicieux, se cachent des yeux marrons foncé qui détaillent le corps nu de Sonia.    — Bonjour vous deux. Alors voilà ton petit ami ? — Oui, bon ne fais pas trop attention, car il est un peu timide ; enfin pas toujours, n’est-ce pas mon amour ? — Bonjour Sonia, je ne m’attendais pas à me retrouver dans … et avec…, dit-il en rougissant. — T’inquiète, tu vas t’y faire assez vite ; et puis tu sais Benoît, une fois dans le bain ça va aller. Déshabillez-vous si vous voulez et suivez-moi, mon infirmière préférée est là. — Et toi comment ça va ? Je vois que tu as pris la bonne décision, c’est endroit est à tomber par terre. Je pense que tu vas nous voir souvent, pas vrai chéri ?   Le jeune homme acquiesce et se déshabille un peu timidement. Sonia apprécie le choix de sa cousine car le jeune n’est visiblement pas si timide, car un début d’érection pointe le bout de son nez. Sans relever la chose, Sonia guide le couple vers le camping, Benoît se délecte du spectacle du village et de ses habitants. Petit à petit sa timidité s’efface et il semble même être très à l’aise. Persuadée que la Chipie est dans la laiterie, Sonia s’y dirige directement. Elle entre-ouvre la porte discrètement mais se ravise aussitôt, devant ce qu’elle vient de voir, elle décide de faire visiter le camping à ses hôtes et se dirige vers une yourte.   — Bon, je vais vous faire visiter le camping et vous allez pouvoir choisir l’endroit où vous voulez dormir, vous restez le temps que vous voulez et si cela vous tente vous pourrez essayer les yourtes de quatre à dix places, les cabanes dans les arbres ou encore les espèces de tonneaux ovales. Pour ce soir, j’avais pensé que nous, et mes amies de Marseille pourrions prendre une yourte dix places et faire la fête. — C’est une bonne idée, tu en penses quoi Benoît ? — Oui, mais c’est pour dormir ou pour… — Devine ? Tu ne vas pas me dire que tu es frigide au point de ne pas vouloir t’amuser un peu. Et toi, Amélia ; tu en penses quoi ? — Moi ? Il fait ce qu’il veut tant qu’on n’est pas définitivement ensemble.   Nouvelle interruption, cette fois c’est Marc qui fait son apparition, suivi des membres de la section de Sissonne. C’est avec joie qu’elle les salue tous un à un dans une chaleureuse embrassade. Chacun ils échangent en expliquant ce qu’ils sont devenus. Devant la foultitude de questions, Sonia leur raconte ses péripéties dans la BS, et les raisons de ce changement de cap.   - Myriam et Olivier informent qu’ils sont en couple, et que comme elle avait pu le constater au moment de la course-poursuite sur l’autoroute du côté d’Aix-en-Provence lors d’un Go Fast ; Olivier avait demandé à être muté dans la brigade des douanes d’Aix. Ils indiquent vouloir un enfant dans quelque temps et probablement passer devant Monsieur le Maire.   - Christian Aubin est maintenant passé chef de section à la BRI de Nancy. Célibataire endurci, il indique préférer courir les filles en premier, pour le reste il verra plus tard.   - Romain Malard et Simon Roussel sont toujours à la brigade financière de Paris. À les regarder il est évident qu’ils ont un peu viré de bord à cause des partouzes organisées par Sonia.  
 - Le sergent Bogdan Gorki est quant à lui toujours instructeur à la SIUS de Sissonne et est maintenant chef de compagnie avec six sections sous ses ordres. Il est en couple avec une charmante jeune femme tatouée de partout dans le style gothique. Le sergent indique à Sonia qu’il a mis sa photo dans son bureau avec les résultats de ses performances lors de sa formation et précise qu’elle est le light motive de nouveau arrivant et que pour le moment elle reste en tête de classement. À la vue des installations et à l’écoute des explications de Sonia sur le camping, tous se déshabillent. Le sergent Bob a pour l’occasion, retiré le Prince Albert que Sonia lui avait mis à noël, mais il a gardé ceux aux tétons. Sa nouvelle compagne plaît beaucoup à Sonia : elle est percée et tatouée de partout, elle porte un tour de cou en velours noir avec un anneau destiné à y attacher une laisse.  — Tiens Bob, c’est toi qui joues au maître maintenant ? — Non, répond Érika (sa nouvelle compagne), c’est moi, il va falloir que tu m’expliques certaines choses, car il ne parle que de toi pour certains jeux ; alors je veux bien quelques astuces car il est gourmant… N’est-ce pas mon esclave adoré ? lui dit-elle en lui pinçant fortement les tétons. Pendant ce temps dans la laiterie :    La Chipie qui a décidé de faire honneur à son surnom est aux prises avec Auguste, car après bien avoir tortillé du croupion devant l’homme, posé ostensiblement les yeux sur le membre joufflu, puis effleuré plus ou moins accidentellement. Elle se retrouve plaquée par l’homme contre le mur en carrelage blanc du laboratoire en lui malaxant ses seins généreux.    — Alors ma belle, on dirait que je te fais envie, je suis certain que tu n’as encore jamais vu ni avalé une bite comme la mienne ? Tu sais elle est un peu âgée, mais encore largement capable de satisfaire une horde de poulettes comme toi, lui dit-il en posant ses pognes sur les épaules de la belle. — Mais …, je… Euh …   Ne sachant que répondre, elle se laisse glisser au sol sous la pression des mains et se retrouve à genoux nez à nez avec le phallus qui commence à monter doucement par petites saccades ; comme le ferait cette sorte de ballon, long et relativement fin, qu’une pompe gonflerait. L’image si réelle fait sourire, mais commence à donner sérieusement envie à Émilie qui s’empare d’une main, de la belle paire de couilles bien velues et pendantes. Son autre main, la droite, se saisit de la hampe dont elle arrive à peine à en faire le tour.   — Maintenant suce-moi ! dit-il avec autorité.   Il lui agrippe les cheveux et la force à emboucher sa matraque. Elle accepte avec joie prendre cette chose, une bite de montagnard, elle est comme envoûtée par cet homme à la stature imposante. Et comme pour narguer la belle, il lui dit :   — Alors ma belle, tu n’en as jamais eu une comme la mienne dans la bouche ? Attends que je te la mette dans le con, et si tu es courageuse, je te la mettrai dans le cul. — Slurp…Slurp…Slurp ! Est la seule réponse que la Chipie est capable de fournir. — J’espère que tu aimes le fromage frais de chèvre ou de brebis, car une fois que je t’aurais bien enculée, je vais enfoncer ma bite dans le fromage de ton choix et tu vas me bouffer la queue jusqu’à ce que je te remplisse la bouche de mon sperme. Tu vas voir, il a un goût de noisette.   « Pfff…Un goût de noisette ? N’importe quoi ! Si ! À Marseille on exagère, lui, il est un peu vantard. Cela dit, il a une belle bitte pour un jeune retraité… » pense-t-elle.   Alors qu’elle termine ses divagations, qu’elle se sent soulever et porter sur une table en inox. L’homme la courbe en deux et la plaque sur le plateau détrempé de petit-lait, ses seins glissent dans le liquide. Elle ouvre en grand ses jambes et offre son postérieur au nonagénaire qui passe sa main sur la moule de l’infirmière en disant :   — En voilà une belle chatte, et ces lèvres bien baveuses, attend je vais y goûter.   L’homme s’agenouille derrière elle et se délecte du nectar bien goûtu qu’elle lui sert par petits filets.   — Oh toi, tu ne vas pas regretter d’être venue me voir…   Il se relève, se place derrière la Chipie qui piaffe d’impatience, elle reçoit le mandrin dans son vagin, et suit la cadence imposée par le berger. Lui se plaît de la femelle en chaleur et c’est à grands coups de boutoirs et les couilles qui claquent contre les cuisses de la belle qui arrive à un premier orgasme. L’homme qui lui a promis autre chose attrape un pot de fromage frais, y plonge sa bite et l’enfourne dans le cul ardent de désir. Il la lime, elle gouine, il la bouscule, elle geint, il la tamponne ; elle glousse et miaule au second orgasme. Mais il n’en a pas terminé avec elle. Il l’attrape par la crinière, elle connaît la suite ; alors elle s’agenouille et embouche la queue enrobée de fromage de chèvres frais. Elle se délecte du mélange sexe, fromage, cyprine et salive ; un filet suinte de sa doucement de sa bouche et coule entre ses seins. Au moment où l’homme éjacule, elle manque de s’étouffer et perd le précieux liquide qui s’épanche sur ses seins ; elle déglutit et découvre avec stupeur que le sperme de l’homme à bien un petit goût de noisette. Elle se redresse en récupérant le précieux liquide, Auguste la regarde d’un air amusé et dit :   — Alors ma belle, comment tu as trouvé ça ?   Devant la question la Chipie reste coite.   — Oh, ferme la bouche, autrement tu vas gober une mouche !   Après cette mise en bouche, Émilie prend une douche salvatrice et rejoint Sonia qui l’accueille avec un large sourire.   — Alors la Chipie, on s’amuse avec le berger ? J’espère que c’était bien au moins ? — Bah, … Je … Euh tu as goûté ?  — À quoi ? — Bah à son sperme ? — Non, je suis devenue sage, et pourquoi cette question ? Du sperme c’est du sperme. — Pas le sien, il a le goût de noisette ; et puis il baise bien pour un mec de son âge. Au fait, tu le connais … — Quoi, son âge ? Oui, il va bientôt avoir quatre-vingt-dix ans, pourquoi ? — … — Eh oui a belle, tu viens de te faire niquer par un vieux qui à mon avis a dû t’en mettre plein les fesses, conclue Sonia en riant.   C’est bientôt l’heure de l’apéro et Sonia annonce :   — Venez ! Venez tous ! J’ai un truc à vous dire ! crie-t-elle en agitant les bras.   Tous ses amis font un cercle autour d’elle, ils sont une quinzaine ; entre les Marseillais, la section, sa cousine et son petit copain, Marc et elle.   —  Bon, eh bien je suis très contente de vous voir tous réunis ici aujourd’hui. J’ai une, même plusieurs grandes nouvelles à vous annoncer, elle marque une pause et reprend : vous êtes tous plus ou moins au courant que j’ai eu un accident qui m’oblige à quitter la police. Alors après avoir cherché longtemps j’ai trouvé cet endroit magnifique, et j’ai racheté cette ferme qui, comme vous le voyez a été transformée en camping ; mais ce n’est pas fini.    Elle s’amuse de voir tous ses amis scruter les alentours, échanger des commentaires et Julien intervenir :   — Mais Sonia tu vas quitter Marseille ?  — Eh oui, c’est la vie ; mais tu as une femme maintenant… Bon, je continue : Marc et moi allons-nous marier, dit-elle en prenant la main de son chéri. Voilà … Vous avez pu constater que dans ce village on vit nu ; c’est une volonté de tous. Marc et moi allons fabriquer du fromage et nous occuper du camping, avec le maire nous sommes en train de réhabiliter des commerces. À ce propos nous recherchons deux couples, poursuit-elle en regardant alternativement les jumelles et Nathalie et Julien. Pour s’occuper de l’hôtel avec ses dix chambres, et d’un salon de bien-être qui sont tous deux en cours d’aménagement.   Devant cette annonce les quatre amis de Sonia qui croyaient à une blague restent sans voix, leurs visages chargés d’émotion laissent apparaître quelques tremblements ; Julien et Nathalie écrasent une larme, Sonia coupe court ;   — Ce soir c’est la fête, vous êtes mes invités ! Suivez-moi.   Elle se dirige vers une des plus grandes yourtes, l’ouvre et explique :   — En souvenir du bon vieux temps, nous dormirons tous ici sur les matelas, l’apéro et la bouffe c’est dans l’autre yourte juste là. Ce soir c’est open bar ! Et chacun se démerde !   Une salve d’applaudissement accueille la nouvelle, et tous se dirigent vers le point ravitaillement et se servent, on trinque, on mange et on boit, on parle, des groupes se forment. Sonia va à la rencontre de ses amis de Marseille et leur explique avoir pensé à eux pour prendre l’hôtel et le salon et leur faisant visiter les lieux.    — Sonia, mais c’est sérieux ?  — Tout des plus sérieux, je ne disais pas cela en l’air tout à l’heure. — Tu es vraiment incroyable, mais ça va coûter combien tout ça ? — La commune reste le seul propriétaire, au début pas de loyer, l’idée n’est pas de faire du fric mais de faire revivre ce village qui est génial, n’est-ce pas ? Vous aurez donc les charges de fonctionnement, les petites réparations et vos salaires. Ça va ? — Si ça va ! s’exclame Nathalie, et tout le monde vit nu ? — Tu as tout compris. — Franchement, je ne sais pas quoi dire, dit Julien.  — Bah… Juste si vous venez ou pas.  — Nat, on vient ? — Et comment, répondent les trois filles.   Sonia n’en attendait pas moins, elle réussit à entraîner avec elle ses amis pour ne pas casser ce cercle si intime et complice. C’est avec joie qu’elle les reconduit vers le camping, car la fête bat son plein. En arrivant au camping Amélia les rejoint et demandent à Sonia.    — Eh bien quelle surprise, et pourra question que je t’ai posée en secret ? — C’est prêt, il est au courant ? — Pas du tout, je lui ai juste dit que nous venions passer quelques jours dans un camping naturiste, et pour le reste, il ne sait rien. — Dis-moi, c’est un joli cadeau que tu lui fais là ; tu vas voir ce que je t’ai préparé… Mais c’est une surprise… Au fait, j’espère qu’il n’est pas complexé. — Non ça va, regarde-le discuter avec la fille du sergent…   Sonia s’aperçoit qu’à cause de l’alcool les esprits s’échauffent un peu et intervient :   — Hé les gars, on va se baigner ? hurle-t-elle. — Oh ! Ça ne va pas, elle va être glaciale… — Bande de fillettes ! Allez arrêter de faire vos "caguettes"! À Sissonne vous ne disiez pas ça s’il s’agissait de nous sauter après ! s’exclame Sonia.    Sonia attrape Myriam par le bras et l’entraîne vers le barrage, rapidement suivit par les restes des invités. Malgré la température un peu fraîche de l’eau, tous se baignent et s’amusent comme des enfants. Le soleil commence à descendre, alors Sonia demande à Marc de faire remonter tout le monde dans une heure et elle s’éclipse avec Amélia, les esthéticiennes, et la copine gothique du sergent.    En arrivant au camping, elles se dirigent toutes vers un petit chalet en bois, c’est celui où habitent Marc et Sonia ; Amélia est inquiète car elle connaît la suite mais elle ne sait pas comment cela va se passer…    [À suivre]
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