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Police rapprochée

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Comme d’autres rêvent de jardins fleuris ou de flotter sur un nuage, Jean-Baptiste lui rêvait du cul de Bernadette sa nouvelle voisine. Ils partageaient le même étage, l’avant-dernier, le dernier ne donnant que sur une salle de bain inusité et servant désormais de remise pour la concierge. Le membre de Jean-Baptiste s’éveillait rien qu’à l’énoncé du nom de Bernadette. Cette femme aux cheveux blonds longs de près de 38 ans, possédait un postérieur à ce point excitant qu’on l’imaginait inventé pour la baise. Et s’il est exact que certains rêves deviennent rapidement des rites celui que faisait Jean-Baptiste avait au moins l’originalité pour lui. A chaque fois il retrouvait Bernadette toute nue, elle semblait vouloir fuir la police ou quelque chose d’approchant. Sans doute que le fait que Jean-baptiste soit policier n’était pas étranger à ce fantasme. Soudainement devant elle comme pour arrêter sa fuite, un sexe énorme se dressait. Bernadette ne pouvait éviter de s’y empaler dans un râle extasié. Quand Jean-Baptiste se réveillait, il découvrait à chaque fois son sexe encore tout émotionné de sa nuit. Mais ce que Jean-Baptiste ignorait c’était que la jeune femme était soupçonnée d’être une des têtes pensantes d’une dangereuse organisation qui visait à l’exploitation féminine et recourrait à des méthodes expéditives pouvant aller jusqu’au meurtre pour masquer ses dérives. Quand il l’apprit, il ne pût contenir son étonnement, et c’est tout naturellement qu’une fois passé la surprise il se porta volontaire pour aller fouiller l’appartement de sa voisine dont il ne croyait guère à la culpabilité. Alors qu’il s’était mis à fouiller dans les affaires de la séduisante femme plutôt dans l’espoir de percer quelque secret inavouable que dans celui de prouver sa perfidie, il tomba sur un document qui sans ambiguïté attestait que Bernadette participait bien à ce trafic de prostituées. Il découvrit ensuite une revue dans laquelle la jeune femme s’exhibait tantôt en domina sévère, tantôt au sein de roman photos érotiques. Une constante qui n’était pas pour lui déplaire: elle était souvent nue. Il n’en espérait pas tant. Sans doute Bernadette avait-elle commencé par évoluer dans ce milieu avant d’en devenir une des pièces maîtresse et même comme le document l’attestait la tête pensante.
Soudainement, il entendit un bruit, léger, provenant de la chambre, comme un feulement. Il croyait pourtant l’appartement vide ? Il s’avança, poussa la porte, et vit Bernadette toute nue en train de dormir sur son lit, les seins tendus et expressifs, le visage au repos.
C’est la première fois qu’il la voyait nue. Son corps rose était peuplé de tatouages et exposait sa juteuse maturité avec science. Sa main, posée lascivement sur sa cuisse, semblait vouloir se porter à son sexe.
Elle passa du coté face au côté fesses, se donnant à voir pour la première fois cul nu à Jean-baptiste qui avait une de ces triques. Il fît du bruit et Bernadette se réveilla d’un bond
En un instant elle reconnu Jean-Baptiste dont elle ignorait tout, sauf évidement son voisinage et bien sûr qu’il fût policier.

— Mais qu’est-ce que vous faites-là ? s’étonna-t-elle— Je sais tout Bernadette de vos petites manigances, il est temps d’en rendre compte à la justice…
Bernadette s’empara prestement d’un couteau…
« Jamais je n’irais en prison… »
…avec lequel elle menaça le policer
Elle gagna le dernier étage. Jean-Baptiste la prit en chasse. Il avait vue directe sur le postérieur nu de la plantureuse blonde.
Et quel cul !

Bernadette arriva dans la petite salle de bain qui malheureusement pour elle était en cul de sac. Ne sachant que faire, tout en menaçant Jean-baptiste de son couteau, elle recula de quelques centimètres en arrière suffisamment pour atteindre le rebord de la fenêtre ouverte …
Ne vous approchez pas ou je vous embroche !!!

…et perdre l’équilibre, la tronche effarée.
« HOoO »
surprise autant qu’effrayée voyant derrière elle le vide se dessiner elle ne pût contenir un cri d’effroi
« HO NON NON JE TOMBE NON ! A…A… »
…avant de culbuter tête la première et toute nue par la fenêtre dans un grand hurlement.
« AAAAA… »
Bernadette disparu dans le vide la voix et les attitudes accordées à sa fin……et termina sa chute plus de 10 étages plus bas.
« Quelle mort horrible et toute nue en plus ! Dommage, c’était un beau brin de fille », s’exclama Jean-Baptiste qui ne savait qui du policer en lui ou de l’homme devait parler en premier. Une seule certitude : il bandait !
    FIN
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