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Police xstory (1) - l'intégration de Charlotte

Chapitre 1

Hétéro
Police xstory (1) – L’intégration de Charlotte

Marie-Charlotte du Plessis-Lacourt était issue d’une vieille famille aristocratique, dont elle faisait le désespoir.
C’était une jolie brune de 26 ans, aux yeux d’un bleu acier. Elle était de taille moyenne, avec un corps mince et ferme, de beaux seins ronds aux petites pointes saillantes, une chute de reins affolante, et de longues jambes fuselées.
A l’adolescence, sa libido s’éveilla et son goût pour la sexualité la porta vers des expériences nombreuses. Elle avait beaucoup de succès, et elle enchaînait les aventures, autant avec des garçons qu’avec des filles, sans que faire la fête altère ses résultats scolaires. C’était une élève brillante, dotée d’une mémoire impressionnante, et une sportive accomplie.
Pour elle, ses parents envisageaient des études à sciences po ou HEC, et un brillant avenir dans le monde des affaires, où son père avait de solides relations. Mais Marie-Charlotte n’avait qu’une idée: intégrer la police. Le bac avec mention très bien en poche, elle décida de s’inscrire en fac de droit, au grand dam de ses parents.
En deuxième année, elle rencontra Arthur, un beau professeur trentenaire, dont elle tomba follement amoureuse. A partir de ce moment, elle se rangea, et n’eut plus d’yeux que pour son amant.
Leur liaison dura plusieurs années, mais Arthur tomba sous le charme d’une autre femme, et rompit avec Marie-Charlotte. Cette rupture la plongea dans un chagrin terrible, et elle se jeta dans le travail et le sport, pour tenter d’oublier son amour perdu. Elle engrangea les diplômes, en droit, en langues, en psychologie, et décrocha aussi un titre de championne régionale de karaté. Pendant ce temps, sa vie amoureuse se limitait à des rencontres nombreuses mais sans lendemain, dont le seul but était de satisfaire sa libido volcanique.
Enfin, elle postula pour passer les concours et intégrer la police, son rêve d’adolescente. Le niveau qu’elle avait atteint était tel qu’elle écrasa les autres concurrents, lui permettant ainsi de choisir son affectation.
Parmi les propositions, une la tentait particulièrement. Il s’agissait d’un poste au sein d’une unité créée récemment, la BRCS (brigade de répression de la criminalité sexuelle). Ses motivations étaient ambiguës: si elle avait réellement envie de lutter contre des dérives qui la révulsaient, elle espérait aussi retrouver dans son action le piment d’une sexualité débridée.
Au vu de son dossier, la commissaire Léa Gestin, à la tête de cette brigade, accepta volontiers sa candidature. Compte tenu des méthodes de travail qu’elle voulait imposer dans son unité, l’arrivée d’une femme jeune, jolie et déterminée ne pouvait que la satisfaire.
Léa avait 37 ans. C’était une femme très belle, à la courte chevelure auburn, et son physique était très loin de celui qu’on imagine pour la chef d’une équipe de policiers. Plutôt grande et sportive, on devinait sous sa tenue stricte une poitrine ferme et un corps bien proportionné, et ses yeux verts exprimaient tour à tour la sensualité et une volonté implacable.
En recevant Marie-Charlotte, la commissaire n’extériorisa pas ses sentiments. Elle voulait tester la nouvelle venue, et celle-ci ne devait donc pas se sentir en position de force. Au contraire, l’accueil qu’elle lui réserva fut distant, presque froid.
— Mademoiselle Marie-Charlotte du Plessis-Lacourt… Votre nom sera difficile à porter, dans notre service. Nous vous appellerons Charlotte Lacourt, ce sera plus facile pour tout le monde, et plus discret. Parlez-moi de vos motivations.
Marie-Charlotte – ou plutôt dorénavant Charlotte – expliqua sa vocation dès son plus jeune âge, son intérêt pour le droit, son absence de pudibonderie, omettant de parler de l’opposition de sa famille et de sa déception amoureuse.
— Bien, reprit Léa Gestin, vous allez commencer par intégrer nos bureaux, pour comprendre le fonctionnement de la brigade et ses missions. Puis, vous participerez à quelques interventions de routine, et je déciderai ensuite de votre place dans notre dispositif. Venez, je vais vous présenter à vos collègues.
Charlotte était déçue de ne pas rentrer tout de suite en action, mais sa détermination était intacte. Il fallait qu’elle se fasse apprécier, pour dépasser cette première étape. Avant que Léa lui indique le bureau qui serait le sien, elle fit la connaissance d’une douzaine de fonctionnaires, hommes et femmes, présents à ce moment. Ils et elles étaient en moyenne plutôt jeunes, et très séduisants.
Les premières journées de travail de Charlotte n’avaient rien d’excitant: elle mettait en forme des rapports et des PV d’interrogatoires, elle faisait des recherches sur internet, elle contactait d’autres unités de police pour recueillir des informations… Le seul intérêt résidait dans les contacts qu’elle créait avec ses collègues, très sympas avec elle. Elle reçut aussi des leçons intensives de tir. Puis elle participa à quelques arrestations, à deux interrogatoires, jusqu’au jour où elle fut convoquée dans le bureau de la commissaire.
Léa Gestin la reçut avec le capitaine Jérôme Bertrand, responsable d’une unité qui paraissait à Charlotte assez mystérieuse, et avec Lise Dubois, membre de la même unité.
— J’ai demandé à vous voir, Charlotte, commença Léa, car vos premiers pas dans notre brigade nous donnent satisfaction, et je dois maintenant décider de votre affectation. J’ai pensé à vous pour l’unité d’infiltration, que nous avons créée il y a trois mois, et qui est dirigée par le capitaine Bertrand. Les missions qui sont confiées à ses membres sont très particulières, dangereuses, et exigent des agents un engagement personnel… total.
Jérôme Bertrand prit la parole, et expliqua à Charlotte ce qu’elle aurait à faire: pénétrer des groupes dont les activités sont suspectes, s’y faire une place par tous les moyens, pour découvrir le fonctionnement des réseaux et identifier les criminels. Pour y parvenir, elle serait souvent amenée à se servir de son corps et de ses charmes.
— Êtes-vous prête à vous offrir à des inconnus des deux sexes pour arriver à vos fins?,demanda Léa à Charlotte, à faire du strip-tease dans un club, à coucher avec des criminels, à participer à des orgies? Réfléchissez bien à ce que ça implique, avant de vous décider.
Marie-Charlotte prit quelques secondes avant de répondre, mais en réalité, elle trouvait cette proposition très excitante. Elle aimait tout ce qui provoquait en elle des montées d’adrénaline, et elle accepta.
— Votre réponse ne me surprend pas vraiment, reprit la commissaire. Pour ne rien vous cacher, nous avons fait notre enquête sur vous, et nous savons que vous avez, disons… du goût pour le sexe, et du tempérament. Mais je ne peux pas me permettre de prendre le moindre risque, et nous allons vous faire subir un test.
— Lise va se charger de cet examen de validation, lui annonça le capitaine Bertrand. Elle est elle-même passée par là, et je crois que vous avez déjà fait connaissance.
Effectivement, Charlotte avait eu l’occasion de travailler et de discuter avec Lise, et elle avait été conquise par le mélange de charme et de détermination qui émanait de cette belle brune au teint halé, âgée de 29 ans.
Elle la suivit, jusqu’en salle d’interrogatoire. Les chaises autour de la table avaient été enlevées, et un matelas avait été rajouté à côté, face à la vitre qui permettait habituellement aux policiers d’observer les suspects interrogés.
— Le test va se passer ici, lui annonça Lise. Tu vas faire l’amour avec moi, et avec deux collègues mâles qui vont nous rejoindre. Tu connais maintenant suffisamment la maison pour que je ne te raconte pas d’histoire: tes ébats seront suivis par la commissaire Gestin et par le staff, à travers la vitre sans tain. J’espère que tu n’es pas déçue de faire ça avec moi, mais en mission, tu n’auras pas le choix de tes partenaires sexuels.— Pas du tout, je te trouve au contraire très attirante, répondit Charlotte, avec un sourire mutin.— C’est réciproque, et moi aussi, je suis bi, avoua Lise, en se rapprochant. Oublions nos spectateurs, occupe-toi de moi.
Elle passa ses bras autour du cou de Charlotte, et leurs bouches s’unirent. La langue de Charlotte partit à la rencontre de celle de Lise, leurs poitrines s’écrasaient l’une contre l’autre, leurs mains s’égarèrent…
Charlotte souleva le débardeur de Lise, et le fit passer par dessus sa crinière frisée. En prévision de ce moment, Lise n’avait pas mis de soutien-gorge, et sa nouvelle partenaire découvrit deux superbes seins ronds, aux aréoles sombres, qui durcirent dès que ses doigts commencèrent à les caresser.
En l’embrassant de nouveau, Lise déboutonna son chemisier, et s’attaqua à la fermeture de son soutien-gorge. Dans les secondes qui suivirent, Charlotte se retrouva elle aussi topless, et sa poitrine n’avait rien à envier à celle de Lise.
Le désir grimpait chez les deux filles, et leurs gestes se firent plus rapides et sensuels. Charlotte fit glisser a fermeture de la jupe de Lise, et baissa son string, mais elle prit quand même le temps d’admirer sa toute petite toison taillée en ticket de métro. Lise dégrafa la ceinture de Charlotte, et la débarrassa en un tour de main de son jean et de sa petite culotte, dévoilant son mont de Vénus entièrement épilé. Manifestement, toutes les deux pratiquaient le bronzage intégral…
Charlotte partit à l’exploration du corps de sa coéquipière, dont la respiration s’accélérait, appréciant la fermeté de ses fesses cambrées. Elle glissa sa main entre ses cuisses, et y trouva une fente déjà humide. Lise répondit aussitôt à ses caresses, jouant avec les pointes dardées des seins de Charlotte, et les premiers gémissements des deux femmes s’élevèrent dans la pièce.
D’une poussée, Charlotte amena Lise contre la table, et la souleva pour l’asseoir dessus. Celle-ci se pencha en arrière en prenant appui sur ses bras tendus, et passa ses jambes autour du cou de Charlotte, qui plongea la tête entre les cuisses largement ouvertes.
— Tu veux que je dévore ta petite chatte ?, lui demanda-t-elle.— Oui, oui, vas-y, répondit Lise, mais tu ne perds rien pour attendre.
La bouche de Charlotte se posa sur sa chatte. Lise frémissait de plaisir sous ses petits baisers légers, et elle sa cabra quand elle sentit la langue qui se glissait dans sa fente. Charlotte savourait la cyprine qu’elle recueillait sur la pointe de sa langue, chaque fois qu’elle s’insinuait à l’entrée de sa grotte. Puis, en remontant, elle trouva le petit bouton de Lise, sorti de son fourreau. Lise poussa un cri à ce contact, et ses jambes serrèrent plus fort le cou de Charlotte. Cette dernière enfonça un doigt, puis deux, dans la fente trempée, et les plaintes de Lise redoublèrent.
Derrière la glace sans tain, Léa Gestin, le capitaine Bertrand, et la psy de la brigade suivaient la scène. Les deux femmes étaient placées de telle façon qu’ils avaient une vision totale de ce qu’elles faisaient, et les micros répartis dans la salle d’interrogatoire leur permettaient de ne rien perdre de leurs paroles et  de leurs cris. Jérôme Bertrand, malgré son expérience et son professionnalisme, avait du mal à rester insensible à ce spectacle: les deux femmes étaient très belles, leur érotisme l’excitait, et la proximité de la commissaire – qu’il avait toujours eu envie de baiser – n’arrangeait rien.
Surtout que, de l’autre côté du miroir, Charlotte se cambrait et avait glissé une main entre ses cuisses, pour se masturber, offrant à son regard sa fente luisante de mouille. Elle avait envie de se faire bouffer aussi la chatte, elle n’en pouvait plus. Elle se redressa, prit la main de Lise, et la fit allonger sur le matelas.
C’est à ce moment que deux hommes rentrèrent dans la salle d’interrogatoire.
L’un était Ludovic Savignac. Grand et athlétique, blond aux yeux bleus, il faisait partie de l’unité d’infiltration, et Charlotte avait fait sa connaissance pendant ses premières semaines de travail à la brigade. L’autre s’appelait Thierry Paillet. Originaire de la Réunion, il était membre d’une équipe d’intervention, et Charlotte l’avait croisé seulement une fois. Elle en avait gardé une impression désagréable. Plus grand et peut-être encore plus musclé que Ludovic, l’expression de son visage traversé par une longue balafre était presque effrayante de dureté.
— Ce sont les prochains partenaires de Charlotte, dit la commissaire via son micro, mais continuez comme s’ils n’étaient pas là.
Lise, qui s’attendait à cette entrée en scène, écartait généreusement ses jambes, en jetant des regards coquins à destination de Marie-Charlotte. Celle-ci, reprenant ses esprits, vint s’installer sur elle, en 69. Elle commença par frotter son corps contre celui de sa partenaire, lui faisant sentir la dureté de ses seins qui, même dans cette position, ne pendaient pas.
Puis elle excita sa chatte , titillant son clito avec ses doigts qu’elle suçait régulièrement. Lise répondait à ses caresses, explorant le minou qui s’exhibait insolemment à quelques centimètres de son visage. La première, Lise poussa de petits cris de plaisir, imitée par Charlotte, et elles se lancèrent toutes les deux dans un cunnilingus torride.
Bientôt, elles ne se contentèrent plus de caresses buccales. Leurs doigts se mirent à fouiller leurs grottes respectives. Chacune répondait à l’audace de l’autre, par des pénétrations de plus en plus profondes, le nombre de doigts introduits augmentaient: deux, trois, quatre… Charlotte prit l’initiative de glisser son autre main entre les fesses de Lise, de les écarter, d’enduire son petit trou de salive, et d’y introduire un doigt.
Lise hurla sous cette nouvelle caresse, qu’elle lui rendit bien vite. Charlotte sentait la bouche de Lise sur son clito, quatre doigts s’agiter dans sa moule, et maintenant un doigt, puis deux dans son petit cul. Le plaisir montait en elle, elle éprouvait cette sensation d’une vague qui avance au creux de son ventre, inexorablement, qui envahit tout.
— Je vais jouir… Oooh, je vais jouir, feula-t-elle.— Moi aussi, ça vient, gémit Lise.
La cyprine coulait en abondance de leurs deux minous, et le spasme qui secoua Lise déclencha l’orgasme de Charlotte. Des cris aigus remplirent la salle d’interrogatoire, mais Léa Gestin attendait maintenant de voir comment aller se comporter sa nouvelle recrue face aux deux mâles, dont elle connaissait les capacités et les exigences.
Les deux femmes restèrent un long moment allongées sur le matelas, peinant à retrouver leurs esprits et à reprendre leur souffle. Progressivement, Charlotte prit conscience de ce qui l’entourait. Elle découvrit que Ludovic Savignac s’était déshabillé sans qu’elle s’en rende compte. Nu, il la dévorait des yeux, et Charlotte pensa qu’elle était plutôt bien tombée, pour ce «test». Ses yeux descendirent jusqu’au sexe du policier: il était long, épais, comme elle les aimait.
Il s’approcha d’elle, et l’aida à se relever. Pendant ce temps, Lise récupérait ses vêtements et sortait de la salle, rejoignant la commissaire, le capitaine Bertrand et la psy. Elle était encore sur un petit nuage, après l’orgasme que lui avait procuré Charlotte, et elle n’avait pas pris conscience qu’elle était toujours en tenue d’Eve. Lorsqu’elle le réalisa, elle rougit légèrement et se rhabilla.
Dans la salle, Charlotte avait remarqué que Thierry Paillet, l’autre policier, était resté habillé, mais elle n’eut pas le temps de chercher à deviner pourquoi. Ludovic l’avait prise dans ses bras, et elle se sentait toute petite à côté de lui. Elle leva les yeux vers lui, les lèvres entrouvertes, et elle se frotta contre lui pendant qu’il l’embrassait.
Ils restèrent un long moment enlacés, pendant que la langue de Ludo tournait dans la bouche de Charlotte, et que ses mains pétrissaient son corps. Puis elle se dégagea un peu, pour se laisser glisser et s’agenouiller, sa tête à la hauteur de la verge maintenant dressée à la verticale.
Charlotte prit l’énorme engin dans sa main, commença à caresser la tige, et les bourses gonflées, puis elle le regarda droit dans les yeux, et ses doigts effleurèrent le gland. Elle le décalotta doucement, puis le prit entre ses lèvres. Elle le couvrit de petits baisers, sa langue s’attarda sur le méat, descendit le long de la longue hampe, revint sur le gland, que Charlotte finit par engloutir. Ludo, les yeux mi-clos, savourait en connaisseur cette fellation, tandis qu’elle le suçait, le mordillait, le léchait. L’excitation gagnait le couple, elle avait agrippé solidement ses fesses, pendant que lui imprimait son rythme en la tenant par la nuque.
Charlotte appréciait aussi la situation. Quelle bite! Et Ludo savait manifestement s’en servir! Elle poussait des gémissements étouffés, lui grognait de plaisir… Jusqu’à ce qu’il décide que ces préliminaires avaient assez duré. Il empoigna Charlotte par la taille, et il l’assit sur le bord de la table.
Les joues en feu, les yeux brillants de désir, elle admira le dard qui se dirigeait vers son petit abricot, et elle passa ses jambes autour de la taille de Ludo. Elle avait tellement mouillé qu’il s’enfonça en elle d’un seul coup, sans autre préparatif, malgré la taille de son pieu.
Il marqua un temps d’arrêt. Elle restait silencieuse, dans l’attente de la tempête, qui finit par se déclencher. Il se mit soudain à pilonner sa chatte, comme un taureau en rut, et Charlotte se mit à hurler. Elle se sentait entièrement remplie, et à chaque ample coup de reins, le gland de Ludo lui délivrait une décharge électrique au niveau de son point G.
Si elle n’avait pas connu le plaisir quelques minutes avant dans les bras de Lise, l’orgasme l’aurait terrassée immédiatement, mais elle parvint à se contrôler. Ludovic, lui, n’avait qu’une seule idée en tête: la faire jouir, épuiser cette fille que sa hiérarchie lui avait demandé d’éprouver. Il la souleva, la maintenant sous les fesses, et, debout, il continua d’aller et venir en elle, au plus profond de sa chatte. Charlotte passa ses bras autour du cou du policier, pour se soulever elle-même et se laisser retomber sur le mât qui la perforait. Et cette fois, elle ne put se retenir.
— C’est trop bon... qu’est ce qu’elle est bonne, cette grosse queue… Je jouis, je jouiiiiis!!!
Le rythme des pénétrations ralentit au rythme du reflux de son plaisir, mais Ludovic n’avait pas éjaculé.
— Ce n’est pas fini, ma jolie, dit-il. Une agent de l’unité d’infiltration doit avoir plus de résistance que ça !
Il la reposa sur le sol, et Charlotte s’aperçut que Thierry, le réunionnais, s’était déshabillé à son tour. Nu, il était encore plus impressionnant, mais c’était surtout sa verge qui l’affola: elle n’en avait jamais vu de si grosse. Encore plus longue et plus épaisse que celle de Ludo, la tige, sombre, était parcourue de grosses veines saillantes, et elle se terminait par un gland renflé.
Pour l’instant, Thierry semblait se contenter du rôle de spectateur, regardant le couple en se branlant. Charlotte ne pouvait détacher son regard de l’énorme chibre, et elle n’eut aucune réaction lorsque Ludovic l’amena contre la table et la fit se pencher en avant, cambrée, les mains en appui sur le plateau.
Il se plaça derrière elle, plia les genoux, et d’un geste brusque la pénétra de nouveau. Elle ne put retenir un cri de plaisir, et Ludo commença ses va-et-vient dans sa grotte, sans précipitation. Et pour cause. Le réunionnais s’approchait, et présentait sa bite à la nouvelle recrue.
— Commence par la caresser, pour l’apprivoiser, dit-il d’une voix de basse dont la douceur contrastait avec son physique.
Hypnotisée, Charlotte posa une main hésitante sur l’énorme engin. Elle caressa la longue tige, le gland turgescent, sentant sous ses doigts le sang palpiter dans les grosses veines. Petit à petit, sa peur s’estompait, et ses caresses se firent plus sensuelles.
Ludo continuait de baiser doucement sa chatte, faisant renaître le désir chez sa partenaire. Celle-ci s’abandonnait à ce sentiment trouble, et oubliait sa crainte. Elle se pencha un peu plus, et posa ses lèvres sur le pénis dressé, l’embrassa sur toute sa longueur, et commença à le lécher. Mais malgré sa bonne volonté, elle n’arrivait pas à prendre le gland en entier dans sa bouche.
Derrière la glace sans tain, la commissaire attendait avec impatience de savoir jusqu’où irait sa petite nouvelle. Lise, restée à ses côtés, se remémorait son propre test: Thierry était parvenu à la pénétrer, mais son  abricot était resté sensible jusqu’au lendemain…
Dans la salle d’interrogatoire, Ludo avait réussi à exciter suffisamment Charlotte, pour que son désir la pousse à tenter l’expérience. Il se retira de sa fente gorgée de cyprine, et la prit par la main pour la guider vers le matelas, sur lequel le réunionnais s’étendit. Lorsqu’il était couché, sa bite dressée semblait encore plus imposante!
Charlotte enjamba le grand corps du black, et commença à plier les genoux. Avec des gestes pleins de délicatesse, Ludo écarta ses petites lèvres, tandis qu’elle empoignait la longue colonne de chair pour la guider vers sa grotte.
Charlotte se laissait descendre de plus en plus, mais le gland poussait contre ses petites lèvres, sans arriver à la pénétrer complètement. Instinctivement, elle se mit à astiquer son petit bouton, pour exacerber son désir. La cyprine coulait sur le sexe de son partenaire, le lubrifiant aussi, et soudain, il passa l’obstacle.
Doucement, elle s’emmancha sur le dard de Thierry. C’était une impression étrange, à la fois douloureuse et agréable, mais en même temps un sentiment de victoire, qu’elle savourait, les yeux femés. Le plus dur était fait. Maintenant, la verge la remplissait doucement, et Thierry saisit ses fesses pour commencer à la faire monter et descendre sur son sexe. Lentement d’abord, puis un peu plus vite, un peu plus profondément. Il attendait que les gémissements de sa partenaire se transforment franchement en cris de plaisir, et il accéléra encore.
Ludovic s’était retenu d’éjaculer, et il bandait toujours. Il présenta sa tige devant la bouche de Charlotte, qui la prit entre ses lèvres avec gourmandise. Elle la pompait avec une sorte de rage, pendant que son ventre palpitait à l’unisson des va-et-vient du sexe de Thierry.
Sauf qu’il était prévu d’aller encore plus loin avec elle. Ludovic se plaça derrière elle, et le black la força à se pencher en avant. Elle sentit des mains écarter ses fesses, des doigts lubrifier son œillet, puis forcer l’entrée du petit orifice. Elle avait compris: ils voulaient la prendre en sandwich. Une double pénétration… avec de tels engins!
— Non, pas ça, glapit-elle. Vos queues sont trop grosses.— Voyons Charlotte, vous n’allez pas flancher si près du but.
C’était la voix de Léa Gestin. Subjuguée, Charlotte se cambra davantage, en signe de capitulation.
Ludo prit d’infinies précautions pour pénétrer son étroit fourreau. Charlotte pensa que ce n’était ni sa première sodomie, ni la première fois qu’elle se faisait prendre en double. Et finalement, tout se passa bien mieux qu’elle ne l’avait craint.
Lentement, Ludovic la pénétra complètement, et il se mit à bouger, imperceptiblement, jusqu’à ce que des cris de plaisir renaissent dans sa gorge. Alors seulement, il commença à coulisser dans l’étroit fourreau.
Mais ce fut aussitôt feu d’artifice de sensations pour Charlotte. Elle avait l’impression que les deux membres ne faisaient plus qu’un, que l’étroite paroi se rompait, que tout son corps se concentrait entre ses reins. Ses partenaires étaient parvenus à synchroniser leurs mouvements, et elle même contractait ses muscles autour des deux pénis.
Un nouvel orgasme la surprit, soudain, violent, mais son plaisir semblait ne devoir jamais s’arrêter. Ses hanches ondulaient, malgré elle, et les deux hommes éjaculèrent, presque simultanément. Elle jouit une dernière fois, quand le sperme gicla en elle, en longs jets brûlants.
Le trio resta un moment étendu, sans se désunir, épuisé. Ludo se releva enfin, suivi de Charlotte, et enfin de Thierry. Ils embrassèrent leur nouvelle collègue, et lui apportèrent une serviette, pour qu’elle essuie le foutre qui coulait en abondance entre ses fesses et entre ses cuisses.
— Félicitations, Charlotte. Vous prendrez dès demain vos fonctions au sein de l’unité d’infiltration, et j’offre un pot ce soir pour fêter votre arrivée avec vos collègues, annonça la commissaire.
Marie-Charlotte remercia la commissaire, ainsi que Lise, Ludo et Thierry, et se rhabilla, presque à regret.
La manifestation organisée en son honneur fut particulièrement chaleureuse. A la manière dont ses collègues la regardaient, ils savaient ce qui s’était passé dans la salle d’interrogatoire…
La nuit suivante, Marie-Charlotte dormit comme un bébé. Et quand elle arriva dans son bureau, le capitaine Bertrand lui annonça le contenu de sa première mission.
A suivre...
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