Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 123 J'aime
  • 7 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

La pomme et le dildo

Chapitre 1

Lesbienne
Bonjour à vous tous,
Je me nomme Nancy, originaire du Kenya et habitant au Canada depuis 5 ans. Je vais vous raconter une histoire qui m’est récemment arrivée.
Je me trouvais chez moi en train de faire le ménage et de préparer la pièce pour une soirée chaude qui nous attendait, ma copine et moi. Cette dernière venait de prendre sa douche et regardait des vidéos sur la tablette, bien au chaud dans notre lit. Je finalisai le lit de la chambre d’amis en y ajoutant de jolis tissus sur les lampes d’appoints et en déposant une jetée sur le meuble principal afin d’y déposer notre collection de jouets. Nous attendions notre invitée, Érika.
Étant une collègue et amie du travail, nous l’avions rencontrée fortuitement dans un café de Montréal. Pour la première fois, Érika faisait la connaissance de ma copine, Kloé. Elles s’étaient plu immédiatement et nous avions entamé une discussion sur un tas de choses, dont la sexualité. Il faut savoir ici, que la dernière fois qu’Érika et moi nous nous étions retrouvées, j’étais en couple avec un homme. Vous comprendrez donc que je suis bisexuelle, et j’ai maintenant peu d’attirance pour les hommes.
Avant notre rencontre à trois, j’avais revu Érika plusieurs fois et finalement, nous avions échangé nos numéros de téléphone. À chaque rencontre, elle était subjuguée par la relation que j’avais avec Kloé. Elle me posait des questions, s’interrogeait sur l’amour entre femmes et demandait des précisions sur nos ébats sexuels. Une idée m’était venue et ce, malgré la culpabilité que je ressentais. Sachant qu’elle était en couple, je me suis quand même lancée et lui ai proposé de vivre une expérience lesbienne avec nous. Ses yeux se sont agrandis et j’ai pu lire dans son regard qu’elle attendait juste ce moment. Nous avons ri de bon cœur en croyant que c’était juste une suggestion faite sans aucune véritable intention, comme si la personne disait simplement « Je n’attendais que ça de ta part ». Nous avons tous trouvé cela amusant, en pensant que ce n’était que des paroles lancées sans lendemain. Cependant, ces paroles se sont avérées vraies.
Environ une semaine plus tard, Erika m’a appelé pour m’annoncer qu’elle avait eu des billets pour aller voir un spectacle d’un chanteur, que son conjoint détestait au plus haut point. Mario Pelchat pour ne pas le nommer. J’ai été super contente pour elle durant sept secondes avant de réaliser qu’elle se moquait de moi. Mario, c’était Kloé et moi qui l’aimions ! Elle avait trouvé cette idée pour ne pas éveiller les soupçons.
Revenons aux préparatifs. Je sortis donc notre sac à jouets et les déposai bien alignés côte à côte. En ordre de grandeur bien évidemment. Je suis minutieuse dans tout. Le petit dildo anal rose, puis le favori de Kloé, qui s’insère dans le vagin avec une petite pompe direct sur le clitoris. Ensuite, un tas de dildos aux formes bizarroïdes et finalement, mon favori, ma main de latex... Qui n’était pas dans le sac ! Moment de panique. À ce moment précis, j’ai commencé à me repasser dans la tête les endroits où j’aurais pu le laisser traîner mais, sans succès.
Quand Amélie était venue, on avait fait ça dans le salon ? Dimanche, Kloé était seule à la maison et je sais qu’elle aime bien essayer de se fister avec mon dildo quand elle est dans son bain ? Dis-je, tout haut en allant tourner tous les coussins des divans et en tentant de me souvenir de certaines positions assez acrobatiques.
Je décidai donc d’aller vérifier dans la salle de bain, car il m’arrive parfois de les laisser après les avoir nettoyés. En passant devant la chambre, je demandai à Kloé, toujours sous les couvertures, si elle ne les avait pas vus. C’est alors que je remarquai la tablette qui s’inclinait et deux yeux bleus qui me fixaient intensément. Il y a eu un moment de silence, puis j’ai froncé les sourcils et lui ai lancé un regard dur qui aurait pu être mortel si j’avais retenu mon petit sourire en coin. La petite chipie, m’aurait-elle joué un tour en cachant mes affaires volontairement ?
J’ai fait la salle de bain en entier. Tous les paniers à linge et tout d’un coup, je me suis souvenu d’avoir apporté quelques objets, lorsque j’étais allée chez des amies. Mes jouets étaient probablement restés dans mon sac, car l’une d’entre elles avait ses règles et cela avait légèrement coupé notre plaisir. Je repassai devant la chambre et je vis ma chère Kloé, toujours bien étendue et au chaud.
Arrivée à l’entrée, j’attrapai le petit sac fourre-tout, l’ouvris et... rien ! Juste deux petit dildos, un tube de lubrifiant et des gants en latex (car ça facilite le fist). Malgré mon bon caractère, je commençais à être frustrée et en colère.
Je commençais à perdre patience, alors je retournai dans la chambre d’amis pour compléter mon décor. En repassant pour une Xème fois devant notre chambre, je dépassai le cadrage, stoppai net et reculai de deux pas. Étrangement, la pomme du iPad était à l’envers cette fois-ci. J’entrai doucement dans la pièce et d’un seul coup, je soulevai les draps et qu’est-ce que je découvris ? Mon dildo bien enfoncé au fond du vagin de Kloé. Je lâchai un cri de frustration et elle, elle se contenta d’éclater de rire au point où ma main de latex fut catapultée hors de son sexe et vint frapper mon genou.
Elle s’était bien moquée de moi la petite et j’étais en même temps un peu fière d’elle, car jusqu’à tout récemment, il n’entrait pas. Érika est venue comme prévu le soir même et nous lui avons fait découvrir l’amour au féminin. Un jour, je vous raconterai cette soirée, ou une autre...
Diffuse en direct !
Regarder son live