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Le pompon

Chapitre 1

Erotique
Nous sommes dans les années 60 et j’habite Champigny sur marne.Je suis à quelques jour de ma majorité. Un après midi un camarade d’école un an plus vieux que moi est venu nous saluer. J’ai été subjugué par le pompon rouge sur sa casquette. Il est entré à l’école des mousses d’Hourtin en Gironde.
Mes parents me tarabustent depuis des mois pour que j’exprime mes souhaits pour mon orientation professionnelle. Je ne suis pas un bon élève. J’ai plus de facilitée naturelle pour glander et lire Tintin que de travailler mes bouquins d’école.
Ce matin après une nuit à réfléchir à la décision qui risque d’orienté ma vie entière, je leur annonce que je souhaite entrer dans la Marine Nationale. D’abord surpris-ils me dise qu’ils vont se renseigner comment je peux faire. C’est à la Caserne de la Pépinière à Paris 8ème qu’ils vont récupérer les renseignements sur les possibilités qui s’offre à moi.
Mon attention se porte sur les Apprentis Mécaniciens de Saint-Mandrier dans le Var. Je remplis les formulaires.
Tous les jours je vais regarder le courrier. Rien, jour après jours mes espoirs sont déçus. Depuis huit jours j’oublie d’aller relever le courier. Ce matin je suis dans le jardin au moment ou le facteur passe.
— J’ai une lettre pour vous !
Je le remercie et je l’ouvre.
« Monsieur votre demande de vous engager avec une obligation de cinq ans et accompagner d’une prime de 5000 francs dans la Marine Nationale a été acceptée. Vous serez incorporé le 1er mars de l’année prochaine, à l’école des apprentis mécanicien de Saint-Mandrier » Suivi les modalités pour rejoindre l’école dans le sud de la France.
J’entre donner la bonne nouvelle à mes parents. Mon père me promet le champagne au dessert à midi lorsque la bouteille sera assez fraîche. Je monte dans ma chambre ou je prends mon Atlas pour situer Saint-Mandrier par rapport à la ville de Toulon. L’école est située à l’opposé de la rade et donc à quelques kilomètres de la grande ville.
Nous sommes en décembre. Il me faut donc attendre presque trois mois avant de voler de mes propres ailes.
Devant un verre de champagne, le temps restant avant mon incorporation. Deux thèses s’opposent. Celle de mon père souhaitant que je continue mon année d’études et la mienne qui voudrait quitter dès le lendemain cette institution très honorable mais que je ne supporte de moins en moins. Comme d’habitude, c’est ma mère qui prend la décision finale. Je continue l’école jusqu’à mon départ. Dès le lendemain, la nouvelle fait le tour du collège. Je suis assaillie de questions dont je n’ai pas le moins début de réponse mais que je contourne avec un aplomb digne d’un acteur de théâtre.
Le plus surprenant c’est la réaction des professeurs. Certains pour qui j’étais le cancre du collège même s’ils n’ont pas tort. J’ai déjà redoublé deux années de collège. Cette annonce doit les soulager, je vais les quitter et ils en auront terminé avec ce grand benêt qui pourrit leurs cours depuis des années. Pour d’autres le nom de « marin » a tendance à les subjuguer.
Parmi eux, notre professeur d’anglais. Jeune femme avec peu d’écarts d’âge avec moi. Elle a été nommée pour son premier poste en début d’année scolaire. Depuis, elle doit subir le jeu pervers que je lui inflige.
J’ai constaté que je peux bloquer mon regard sur les yeux d’une personne qui immanquablement lutte avec moi et finit par les détourner. Certaines plus malines profitent de leur position professorale pour s’échapper en m’interpellant. Ils cassent la lutte entre nous.
Depuis qu’elle est arrivée, je suis toujours arrivé à les lui faire baiser. Je la provoque aux moins deux fois par cours gagnant à tous les coups.
De dix à onze, elle est là devant nous. Son style sent le personnage fabriqué. Tailleur strict, chemisier blanc acceptant une seule concession, le dernier bouton n’est pas attaché laissant voir la commissure de ses seins. Chaussure à talon plat et des jambes gainées par des bas de couleur sombre. Bas, attaché par un porte-jarretelles que j’ai aperçu un jour où je rentrais en classe et qu’elle s’asseyait à son bureau. Sa jupe était remontée intempestivement. Elle a remarqué que cette vision ne m’avait pas échappé. Elle l’avait redescendu prestement. Nos regards s’étaient croisé et le rouge était monté à ses joues. Tout le cours, je ne l’ai pas provoqué. À la sonnerie, j’ai traîné pour ranger mes affaires et suis sorti le dernier. Je l’ai fixé avec un sourire au coin des lèvres. Elle a rapidement baissé les yeux et ses joues son devenues pivoine.
Son personnage était complété par deux artifices, une paire de lunettes à monture ronde et noire et un chignon perché à l’arrière de sa tête. Bref, le personnage représenté dans toutes les bandes dessinées que je dévorais dans ma chambre à l’insu de mes parents. Le jour où j’ai annoncé mon départ, j’avais cour avec elle. Malgré les sollicitations de mes copains qui souhaitaient que je mette le souk comme je sais si bien le faire. À la fin de l’heure au moment où je sortais.
— Christophe pouvez-vous rester s’il vous plaît ?
Mes camarades sont un peu surpris mais aucun ne fait de réflexion.
— Oui, mademoiselle !
Elle descend de son estrade réduisant par ce geste la distance entre son rôle de professeur et moi.
— Je voulais vous féliciter pour avoir décidé d’enter dans la marine. Cette école fera de vous un homme !— Je suis déjà un homme, j’ai été défloré pendant mes vacances dans le Doubs !
Le rouge monte à ses joues à l’évocation de ma défloraison.
— Ne rougis pas, j’ai eu la chance qu’une jeune fille en vacances avec nous soit très porté sur le sexe.
C’est reparti, le rouge monte de plus bel.J’avance ma main vers sa joue que je caresse doucement.Sa réaction me met en joie, elle penche la tête pour qu’elle s’appuie dessus.Avec mon autre main, je monte un doigt jusqu’à sa bouche que je passe délicatement sur ses lèvres.
— Pas ici !
Elle vient de lâcher ces deux mots qui font bondir ma verge dans mon pantalon.Je concrétise mon avantage en avançant ma bouche vers la sienne. Nos lèvres se trouvent. Un instant hésitant, sa bouche laisse pénétrer ma langue.Ma main descend jusqu’à sa chatte que je masse à travers sa jupe.
—Où ?
Bouche à peine décollée.
— Pas ici c’est trop dangereux.— Où ?— Demain, je te donnerais mon adresse, je n’ai pas cour dans l’après-midi tu n’auras qu’à sécher et me rejoindre.— Tu promets.— Oui, je serais tout à toi !
Fort de cette promesse je la libère. Alors que mon instinct de mâle voudrait que je lui enlève ses lunettes, que je défasse son chignon et que je la fasse monter sur l’estrade pour la prendre assise sur son bureau.Nous nous séparons et nous tenons la main jusqu’au bout des doigts qui ont du mal à se séparer.
Je sors de la classe. Le couloir est vide. Pas besoins de me justifier devant mes copains.
Dans la rue, lorsque je remets devant mes yeux la scène que je viens de vivre une phrase me revient. « Tu n’auras qu’à sécher les cours »Un professeur qui insiste pour qu’un élève n’aille pas en classe montre l’envie que je lui inspire. La nuit que je passe est emplie de chattes, de seins, de bureaux de salle de classe ou mon sexe devenu autonome par rapport au reste de mon corps m’incite à la masturbation. La peur de ne pas assumer le lendemain après midi me retient de me toucher.
Au matin ma mère me trouve un air fatigué. Nous sommes très complices entre nous-mêmes sur le sexe.
— Arrête de tirer sur ton élastique, regarde la tête que cela te fait le matin.
Maman, pour une fois je ne peux rien te dire bien que l’envie soit grande de te raconter l’exploit réussit en levant ma professeur d’anglais.Prudent tant que je n’ai pas concrétisé ce début de liaison, je me tais.
Arrivés au collège, certains veulent savoir pourquoi notre prof m’a retenu. Je biaise en leur expliquant qu’elle devait remplir des papiers pour l’administration en vue de mon départ. Comme elle est notre professeur principal il lui fallait certains renseignements qu’elle n’avait pas !
— Tu n’as pas essayé de la baiser ?— Oh, un professeur !
Ces mots suffisent à les calmer. La cloche sonne et nous appelle à entrer en cours. Math pendant une heure, je rêvasse en regardant dans la cour par la fenêtre. Tous mes potes ne me reconnaissent pas tellement je suis sage. À la cloche, je suis le premier à sortir et à m’isoler pour cacher la trique qui gonfle mon jean.La cloche tinte, il faut y aller.En classe, elle est déjà assise sur son estrade, je passe sans lui adresser un regard. Je suis arrivé à faire descendre ma turgescence sans me toucher et je ne souhaite pas que ma bitte reparte à la hausse. Pendant les trois quarts du cours, nous nous ignorons.
— Christophe apportez-moi votre cahier de correspondance, je dois mettre un mot à vos parents il me manque des renseignements.
Je me lève pour lui apporter. Je le dépose et rapidement je reprends ma place, mon sexe, au moment où nos yeux se sont croisés, est reparti à bander et risque de me poser problème.
Pendant que l’exercice écrit, sur les quels mes collègues planchent, se poursuit. Pour une des rares fois depuis que je la connais, elle descend et tout en contrôlant certains devoirs de potes, passe vers moi et dépose mon cahier à mon côté. Elle passe au fond de la classe et en redescendant distraitement elle me pose la main sur l’épaule.
C’est reparti, cette main me fait bander. Il me faut faire des efforts désespérer pour que tout rentre en ordre, dans mon futal avant la fin du cours.
Cahier rangé, je file dans les toilettes pour constater si elle a respecté de me donner son adresse.« Christophe, je t’attends en début d’après-midi 3 place de la gare du R.E.R. 2ème étage porte C. »
À la simple évocation de son adresse, ma tige se redresse. Une fois de plus, il me faut faire un effort de concentration pour la faire retomber.Un collège tape à la porte.
— Qu’est-ce que tu fais, tu te masturbes ?
Je ne réponds pas. La cloche de reprise vient me sauver. Je ne retourne pas en cours et discrètement je quitte le collège. Le cours de français on verra cela plus tard.
Place de la mairie je vais consulter le plan de la ville, je sais où se trouve le R.E.R donc la place doit se trouver là. Je file vers la gare afin de bien situé où elle habite. Impeccable, la maison est face à la gare dans un immeuble ancien de cinq étages. En me plaçant à la terrasse du café, j’ai une vue parfaite sur son entrée. La chaleur bien que nous soyons au mois de décembre me permet de rester dehors. Je sais qu’elle a cours avec les cinquièmes jusqu’à midi.
Que l’attente est longue lorsque des plaisirs que je n’ai plus connus depuis mon dépucelage m’attendent malgré de nombreuses tentatives avec des filles emballées à Joinville au Petit Robinson !
Il est 12 heures 15 quand je la vois arriver. Elle marche rapidement et entre sans attendre dans son immeuble. Quelques minutes, une porte-fenêtre s’ouvre au deuxième étage. J’ai le temps de l’apercevoir secouer un coussin.J’attends encore cinq minutes, je traverse la rue et monte au deuxième. Je n’aie pas le temps de frapper, la porte s’ouvre. Elle me tend la main et m’attire à l’intérieur.Immédiatement elle me plaque sur ses seins. Son personnage est bien fabriqué, car il est impossible de remarquer les deux obus qu’elle a dans son corsage. Je la prends dans mon bras le temps que nos bouches se trouvent. Je défais un par un les boutons de son chemisier pour mettre à jour ses seins que je sens magnifiques. Je ne suis pas déçue. Aucune des filles que j’ai plot tais ne m’en ont montré d’aussi beaux. Son soutien-gorge à balconnets demi-seins me laisse voir ses mamelons au centre de ses aréoles ressemblant à des poires. Ils attendent ma bouche. Je les gobe un à un. Ils réagissent et Malaurie émet des gémissements prouvant que mon traitement leur fait de l’effet.
— Tu aimes mon soutien-gorge, je suis allé l’acheter pour toi hier au soir !— Il est magnifique, il met très bien tes bombes en valeur. — Mes bombes ?— Oui ce sont des obus que je veux faire éclater en appuyant là !
Je joins le geste à la parole et j’appuie sur le premier bouton que trouvent mes doigts.
— Oh ! J’ai senti du courant passer par ton doigt.— Et l’autre ?— Il est mon sensible mais il aime.
Je lui reprends les lèvres et ayant repéré sa chambre derrière elle je la guide sans la lâcher vers ce lit qui nous tend les bras. Avant de la coucher pour m’occuper de sa chatte, je défais son chignon. Ses magnifiques cheveux tombent en cascade sur ses épaules.
— Malaurie, c’est un scandale de nous cacher ses merveilles. Ils sont si beaux.
Ce compliment lui plaît car elle aspire ma bouche et me fait passer des frissons depuis le bas du dos. Je ne vous dis pas dans quel état est ma bite. Mon jean a du mal à la contenir. Elle me défait la ceinture et sort une verge dont je suis peu fière car son diamètre pour un homme jeune comme moi n’a rien à envier avec des mâles plus murs. Elle se baisse et la prend en bouche. Sa position me permet de voir ses saints que je surplombe. J’ai le temps de lui remplir la cavité buccale. J’espère qu’elle sera ma petite femelle jusqu’à mon départ fin février. J’aurais donc tout le temps de lui déverser des litres de spermes sur la glotte. Sentant que ma sève monte, je lui enlève sa sucette qu’elle nettoyait consciencieusement.
— Tu me l’enlève ?
En disant cela, je la relève et en reprenant sa bouche dans un souffle.
— C’est pour mieux te baiser ma petite caille !— Oui, viens me baiser, mais faite attention je suis vierge.— Tu es pucelle à ton âge ?— Oui j’ai tellement voulu avoir mes diplômes pour pouvoir quitter Dijon, que je me suis refusé à prendre du bon temps.— Je vais faire attention à être patient et te déflorer tout en douceur. J’espère être un bon amant et te faire jouir dès ta première fois.
Elle m’embrasse une nouvelle fois.
— Je t’aime mon amour !
Lorsqu’elle est relevée, je lui enlève son chemisier. Elle passe ses mains dans son dos pour enlever son soutien-gorge. Je l’arrête d’un geste de la main.
— Non laisse-le ! Tes demi-balconnets les mettent en valeur et tu es très bandante pour mes yeux!
De plaisir, elle attrape mes lèvres, sa langue me fait voir toutes les envies qui doivent la tarauder.
—Depuis des mois que je rêve de trouver un amant qui saura me déniaiser, je n’aurais jamais imaginé que ce soit un jeune homme comme toi qui plus est un de mes élèves. Viens mon cœur, enlève-moi mon hymen !
Elle fait tomber sa jupe emportant par là même son string assorti à la partie haute.
— Laisse ton porte jarretelle, mais enlève tes bas.
Elle se laisse tomber en arrière m’attirant sur son corps.Elle saisit ma verge et s’applique à la présenter à sa petite chatte que je sens mais que je n’ai pas encore vue.
— Attends !
Son regard marque du dépit, pourquoi je refuse de la prendre ?Rapidement je glisse vers le bas de son corps, en passant, je suce un à un ses tétons qui recommencent à bander. J’aime le chant qui sort de sa gorge.Je les dépasse et m’attarde sur son petit trou qui la reliait à sa maman. J’y insinue ma langue. L’effet est immédiat, son chant s’amplifie. Je continue, mon déplacement et j’atteins sa féminité. Je peux enfin admirer son abricot brun. J’écarte ses grandes lèvres pour trouver sa petite excroissance.Je l’aspire sur ma langue et la fais rouler. Son chant me prouve que je réussis ce que je cherche à obtenir. J’ai appris avec ma première copine qu’une femme que l’on fait jouir une fois, vous est acquise pour longtemps.J’ose un geste qui peut me donner la victoire. Son clitoris est assez gros pour que je le saisisse avec mes dents délicatement. Je fais rouler mes dents dessus sans pour cela risquer de lui faire mal. Des petites giclées de liquide sont envoyé dans ma bouche. Son corps se raidit et je reçois sa jouissance que j’attendais tant.
Elle sert ses mains sur ma tête sans se rendre compte qu’elle me fait légèrement mal. Son plaisir prime sur ma douleur et je remonte vers sa bouche en respectant les étapes faites à la descente. Au moment où mon corps épouse son corps et que je sens son bas-ventre cherché à être pénétré par ma verge. Un peu sadique, je m’écarte d’elle.
— Mon cœur, je veux que tu te déflores, toi-même sur ma verge !— Comment ?
Je m’installe au centre du lit appuyé aux oreillers.Ma verge au sommet de sa tension se dresse vers le ciel. Elle se retourne et sa bouche ne peut s’empêcher de l’aspirer.
— Arrête, tu boiras mon foutre plus tard, il est l’heure de devenir une femme complète.— Comment veux-tu que je fasse ?— C’est facile, met toi les jambes repliées de chaque côté de mes hanches. Tu vas prendre ma hampe dans ta main et tu la présenteras à ta minette. Il ne te restera plus qu’à la faire glisser au fond de toi à la vitesse que tu souhaiteras.
Elle se positionne, va chercher ma verge avec sa main et se l’introduit entre ses lèvres vaginales. Bien dans l’axe je la vois hésitée à descendre sur le pieu qui va la clouer et déchirer son hymen.
— Vas-y mon bouchon, descend !— Je suis comme toi tout à l’heure, j’aime faire durer notre plaisir. Je porte ma virginité depuis 26 ans et c’est le jour de mon anniversaire que tu vas me déflorer !— Mon bébé, je n’y tiens plus, tu vas me faire mourir.— J’y vais.— Elle commence à descendre et je vois ma verge entrer millimètre par millimètre au fond de son corps. D’un coup elle se laisse tomber en poussant un léger cri.
— Tu m’as défloré, mon beau mâle. Toute ma vie je penserais à toi.
En même temps qu’elle se penche pour saisir ma bouche je récolte son plaisir sur mes lèvres par un râle qui n’en finit pas de monter en intensité. Dans le même temps sa chatte déverse sur mon bas-ventre des petits jets de liquide. Ils sortent de sa foune augmente son plaisir et me fait moi aussi lui envoyer mes jets de sperme au fond de son corps. La décharge est si forte pour les deux que nous restons dans cette position de longues minutes à récupérer.
Elle bascule sur le côté et me sert dans ses bras.
— J’ai bien fait d’attendre aussi longtemps pour rencontrer un amant comme toi, tu continueras à venir me faire l’amour jusqu’à ton départ ?— Comme aujourd’hui, tous les jeudis je sécherais et nous nous aimerons.— Tu n’auras pas de problème, le prof principal signal les absences aux parents, j’intercepterais tout.
Pendant que nous récupérons, je vois bien qu’elle se pose des questions.
— Qu’est-il arrivé lorsque nous avons joui tous les deux ensemble, j’ai eu l’impression que de grandes quantités de liquide sortait de mon corps, ais-je uriné ?— Tu sais, depuis que j’ai connu le sexe en vacances, je n’ai pas eu d’autres contacts physiques avec des jeunes filles. J’arrive à en embrasser. Jamais à les emmener à s’occuper de mon sexe. La plupart n’acceptent que si la bague au doigt leur ait promis. Dès qu’une fille me demande « tu viens chez mes parents, je pars en courant »Elle se lève et va se nettoyer. Elle m’appelle pour me faire constater que je l’ai bien défloré.
—Regarde, toutes les traces de mon sang.
Elle semble avoir récupéré et s’agenouille devant moi pour gober ma virilité.
— Tu as vu comme je suis une bonne suceuse, tu bandes déjà. Viens m’enfiler. Tu ne peux pas savoir comme j’aime dire des mots orduriers, pines, couilles, chattes. Je crois que tu as fait de moi une salope.— Si tu es ma salope Malaurie, prouve-le-moi ?— Je suis à toi autant que tu le voudras.— La copine qui m’a dépucelé m’a appris quelques positions.
La position du missionnaire, la plus simple la femme est dessous et les cuisses écartées, elle reçoit l’homme. À cette évocation les images de ma copulation avec Chantal me reviennent devant les yeux et je bande.
— Christophe mon chéri prend moi dans la position du missionnaire !
Elle se positionne le dos calé par un oreiller et écarte les cuisses.La vue de sa chatte me fait bander et rapidement je la pénètre.
—Tu n’as pas mal si près de la rupture de ton hymen ? — Un peu, mais je suis prête à souffrir pour toi, je veux être entièrement à toi. J’accepterais tous de toi !— Juré ?
— Jurée !
Je commence à la limer tranquillement.
— J’aime beaucoup le missionnaire, j’aime le poids de ton corps sur moi. Je te sens bien au fond de mon vagin. Je commence à sentir. Raaaa…
Quelle baiseuse j’ai trouvé, une ou deux pénétrations et elle s’envole.
— Tu as joui ?— J’ai senti une petite pointe de jouissance.— On change ?
Cette conversation entre adultes consentants me paraît irréelle.
— Je connais la levrette !— C’est comment ?— Enfantin, tu te mets quatre pattes.
Je me dégage de sa chatte et bascule sur le côté. Elle se positionne. Je passe derrière lui prend les hanches, écarte un peu ses jambes et d’un coup, la poignarde.
— Oh ! J’aimais le missionnaire mais là, alors la levrette nous le ferons souvent.
Je la lime tendrement. Elle se cambre le dos en repliant ses avants bras et en y posant sa tête. Afin de la stimuler bien quelle n’en ait besoin pour jouir, je passe ma main sous son corps et je lui titille le clitoris.
— Eh ! Chérie, tu as trouvé mon bouton, fait attention chaque fois que j’y touche. Je deviens folle.
Elle jouit et des jets de liquide sortent de sa chatte et viens inonder le lit.
— Tu vois, tu as déclenché ma fontaine. J’en ai mis partout.
Je lui claque assez fortement les fesses, des deux trois.
— Je n’ai rien fais de mal, pourquoi tu me donnes la fessée ?— Tu n’as pas aimé ?
Je lui remets une deuxième vague de claques.
— Plus tu m’en donne plus je veux que tu m’en donnes, chaque fois que tu me claques, ta bite bouge en moi et augmente mon plaisir.
Je sens une nouvelle vague de plaisir monté en elle, j’enlève mon doigt de son clito et immédiatement je le place au fond de son œillet.Elle se tortille pour rejeter l’intrus. Plus elle se tortille et plus mon sexe ressent ses mouvements, plus je bande.Fort de mon avantage je clisse un deuxième doigt dans son anus.
—Mon cœur qu’est-ce que tu me fais. Pourquoi mets-tu tes doigts dans mon petit trou ?— En ce moment ce sont mes doigts qui te taraudent, quand je vais les enlever, c’est ma bite que je vais y mettre. Cela s’appelle une sodomie. Ma copine adorait que je lui fasse, elle me disait toujours par-là, pas de gosses !
— Sodomisez-moi Christophe.— Cela risque de te faire mal.— Je commence à aimer de plus en plus quand tu me fais mal, j’ai l’impression que tu sens comme mon cœur est à toi !
Je quitte sa chatte et je plonge dans son anus. Elle relève la tête de surprise et lâche un. Ohoooo ! Je profite de mon avantage et manie mon sexe dans son fondement sans ménagement. Je me surprends à aimer lui donner du plaisir en lui infligeant des douleurs bien supportables il est vrai. Les cris de plaisir qu’elle émet me rassurent.
Serait-elle adepte potentielle de jeux érotiques plus pervers. Mes deux mains sont libres, je la claque droite gauche, droite gauche. Ses fesses sont rouges et ses cris de plaisir me prouvent qu’elle a beaucoup apprécié.
Pour clore cette séance un jet supplémentaire coule le long de ses cuisses.Je ne tiens plus et moi aussi j’inonde dans un râle le fond de son rectum.
Nous tombons sur le lit, sans que je ne quitte son anus.Lover dans mes bras, je la sens reprendre son souffle.
— Chéri, tu es le diable, dans la même journée tu m’as défloré et sodomisé.Je suis sur que tu resteras le meilleur amant de ma vie.Si tu vois Chantal, ta copine qui t’a appris ces jeux remercie là !Dans la mêlée, ses lunettes sont tombées. Je les saisis et pour m’amuser, je les place sur mon nez.Surprise, je voie comme si je n’en avais pas.
— Pourquoi mes-tu des lunettes à verres neutres ?— C’est pour faire plus sévères !— Tu nous trompes ? Tu me trompes ?— Non chéri, je ne le ferai plus !— Tu feras trois choses à partir de demain.
Plus de lunette.Plus de cheveux en chignon. Je les veux tombant sur tes épaules comme aujourd’hui et surtout pas de petite culotte. Je veux te savoir la chatte toujours prête à me recevoir si j’en trouve l’occasion.
— Sinon mon cœur ?— Plus de baises avec moi, d’ailleurs ais-tu libre samedi après midi ?— Oui !— Si tu as respecté mes ordres, je viendrais t’honorer.— Bien mon amour !
Ma bite a quitté sa rondelle.
— Nettoie-la-moi !— Comment ?— Avec ta bouche !
Elle baise sa tête et me suce consciencieusement la tige. Rapidement je rebande et pour clore notre premier après midi je lui remplis la bouche d’un long jet. Elle cherche où elle pourrait cracher.
— Avale !
Elle me regarde et déglutis, elle avale la totalité de ma sève.
Je ne m’étais pas aperçu que nous baignons dans un lit dévasté par les éjaculations de sa chatte. Je me lève après un dernier baiser langoureux.
Je vais me doucher et la quitte avec un dernier regard de sa part m’envoyant tout l’amour qu’elle a pour moi.
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