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Ponga "Femme de la forêt"

Chapitre 1

- Rêve initiatique en Océanie -

Zoophilie
Cette histoire est l’adaptation de rêves initiatiques d’un Océanien sur la fertilité et qui met en lumière les liens étroits qui existent naturellement entre les différentes espèces mammifères.

Dans les jungles indonésiennes à l’époque des grandes explorations maritimes du dix-septième siècle, près du village de Palawa, la vie était parfois agrémentée de parfums suaves d’une irrésistible puissance naturelle.
Les deux jeunes femmes étaient descendues à la rivière pour rejoindre leurs amies, à l’endroit où Hania et sa petite sœur Vahiti se baignaient depuis le matin de cette torride journée d’été. Un bel endroit, avec une petite plage de graviers de rivière, entourée de fougères arborescentes, de palmiers et d’arbres majestueux. La jungle luxuriante foisonne de vie, les insectes fourmillent, les oiseaux pépient et les fleurs gorgées de nectar déploient leurs pétales colorés.

Restée sur la berge, Hania était allongée sur la petite plage de rivière, dans un rayon de soleil qui illuminait sa peau de reflets d’or. Sa jeune sœur Vahiti était déjà partie à la recherche des fruits du jamelonier qui poussent juste derrière le rocher d’où les enfants aiment à sauter dans la rivière en faisant les plus grosses éclaboussures possible.
Les deux autres se baignaient depuis quelques instants quand la jungle fut agitée d’une grande clameur, des cris et des mouvements dans la canopée, annonçant dans un joyeux tapage l’arrivée d’un groupe d’Orang-outan excités, les Hommes des forêts. Comme à chaque fois qu’ils se rendent à la rivière, la tribu est en fête. Dans un élan épanoui, les enfants multiplient les jeux, les femelles épouillent, tandis que le Chef veille et démontre la preuve de sa puissance auprès de ses femmes. Aussi à cette occasion si propice, il initie les demoiselles qui sont prêtes à devenir mères afin de les admettre dans son harem devant toute la tribu.
Baignée des chauds rayons de soleil de l’apogée, Hania somnolait, rêveuse... Elle ne vit pas le Grand Chef, les yeux brillants, descendre de l’arbre le plus proche. En quelques bonds, le Colosse est sur elle, se déplaçant à une vitesse surprenante. Un long bras poilu la saisit et la soulève. Elle eut soudain conscience de l’imposante puissance que dégageait cet Homme des forêts. Il approcha son visage si près qu’elle sentit sur sa joue son haleine sifflante. Il commença alors à la tâter, et la tripoter méthodiquement.
Une main experte glissa sous le léger manou de la jeune femme, caressant la fente humide. Hania gémit et cambra malgré elle. Surprise, elle resserra ses cuisses sur la main de l’Homme des forêts et essaya de se dégager de son étreinte. Mais ce corps massif la dominait tandis que ses doigts continuaient à tâtonner. Il y avait derrière ses yeux un feu ardent. Alors une forte odeur musquée se dégagea de l’imposant Homme des forêts et enveloppa Hania. Troublée, elle ne put résister plus longtemps et bientôt, la tribu tout entière, ainsi que les deux amies qui se baignaient dans la rivière furent témoins de ses soupirs de plaisir. Le mâle dominant venait de l’ensemencer. Désormais, Hania compterait parmi ses femelles.


Pendant ce temps-là les jeunes mâles de la tribu des Hommes des forêts s’entraînent eux aussi à des jeux charnels et les ébats sexuels sont fréquents à partir du moment où une femelle se trouve hors de vue du Chef de la tribu. Ainsi il n’est pas rare de voir une jeune femelle rester à l’écart pour s’offrir au premier mâle qui pourra lui procurer de petits plaisirs. C’est probablement ceci qui expliquera ce qui se passa ce jour-là.
De l’autre côté du gros rocher donc, sous le jamelonier se déroulait une autre scène : Vahiti avait cueilli des grappes de jamelons dont elle remplissait sa besace lorsqu’elle se retrouva entourée de trois jeunes mâles Orang-outan attirés d’un même temps par les juteux fruits noirs et par la fille restée à l’écart du groupe. Le plus proche d’elle était sûrement aussi le plus jeune de la bande. Aussi, elle n’y prit pas garde tout de suite et se laissa entraîner dans « le jeu » de l’animal.
La tenant d’une de ses grandes mains, il s’élance en avant, profondément courbé. Il allait vite et sans bruit. Jusqu’au moment où il arriva derrière le tronc du jamelonier.Là, il s’arrête pour la regarder, enfin il se redresse et palpe sa femelle d’une façon très douce, mais hésitante. Vahiti alors se rend compte que le jeu qui vient de commencer est un de ceux où il essaiera de lui donner la caresse d’amour ! Pour elle, c’est la toute première fois et un sentiment d’incertitude la fit pâlir. Une exclamation s’échappe de sa gorge, et toute tremblante, elle essaie de s’en aller. Vahiti frissonna tandis que les longs doigts chauds furetaient le long de son dos. Il lui avait saisi la croupe et tentait de s’accoupler maladroitement, mais n’y parvenait pas. A l’évidence, lui non plus n’y connaît rien en la matière !
Ayant entendu le petit cri de Vahiti, les deux autres s’étaient approchés. Alors le plus grand délogea le premier pour prendre sa place et prit Vahiti par la taille. La force de ses bras velus et de ses épaules était terrifiante. Vahiti sentit tout à coup ce mâle pénétrer délicatement et profondément en elle. Il s’y était pris d’une façon si douce qu’elle avait frémi et ne cherchait plus à se dégager. Prise dans cette irrésistible étreinte, Vahiti poussa un soupir venu du cœur...
Le jeune grand mâle finit par se retirer et le troisième vint le remplacer. Il était plus petit, avec un corps massif au pelage roux dense et soyeux. Cette fois-ci le contact était plus dur, la saisie plus ferme et le coït rapide provoqua une montée de chaleur qui tourna la tête de Vahiti.
Enfin, le premier revint pour l’étreindre à nouveau, car il avait toujours soif de désirs pour elle. Bien que moins expérimenté, il parvint tout de même à lui donner plaisir. Il avait pénétré un autre petit endroit qui s’était doucement mis à palpiter au fur et à mesure de ses glissantes tentatives. Ouverte à cette pénétration, quelques gémissements fluets sortent d’entre ses lèvres. Ce va-et-vient qui lui fait danser d’éblouissantes étoiles devant les yeux. Les oreilles envahies d’un bourdonnement de plus en plus assourdissant. Entraînée dans un tourbillon d’orgasmes, elle s’envole dans l’ivresse des sens et des cœurs qui pulsent d’un même rythme.
Pour lui comme pour elle, c’était sa toute première fois.
Lorsque la jeune fille se releva, le ventre empli d’une chaleur qui la caressait encore, et les jambes ruisselantes, un étrange sourire errait sur ses lèvres. Elle passa sans le voir devant son sac à moitié plein des jamelons qu’elle avait récoltés et se glissa dans la rivière pour tenter de reprendre ses esprits. Il faisait vraiment très chaud. Fermant les yeux, caressée par le remous et apaisée par la fraîcheur de l’eau, elle ressentit une étrange transformation dans son cœur et dans son âme. Le lien profond avec ses partenaires les unira pour toujours, comme une véritable bénédiction de fertilité. Alors sans même se rendre compte, elle prononce de ses lèvres chuchotantes « Qu’il est agréable d’être femelle ! "
C’est depuis ce temps qu’on appelle Ponga, « Femme de la forêt » toutes celles qui ont été liées par la caresse d’amour avec un de ces Hommes de la forêt, car après cette aventure, les deux sœurs descendirent tous les jours à la rivière jusqu’à ce que le groupe d’Orang-outan repasse à cet endroit. Alors elles les suivirent et partirent vivre avec eux.
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