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Du porno pour ma mère.

Chapitre 4

La danse des seins

Orgie / Partouze
Trois mois se sont écoulés depuis la signature des contrats avec Paolo, directeur et patron des studios d’une petite agence de production de vidéos pornographiques. Après une préparation douloureuse à la sodomie, ma mère avait enfin entamé les tournages tant attendus. Le succès fut immédiatement au rendez-vous et même les toutes premières vidéos la mettant en scène firent un petit carton sur le Net. Paolo et son équipe étaient aux anges, le patron avait eu le nez creux au sujet de l’énorme potentiel de ma mère. Non seulement, elle avait des seins énormes et naturels, mais son expérience dans le théâtre rajoutait un plus non négligeable dans les scénarios prétextes à du cul bien hardcore. Il faut dire que Paolo profitait aussi des avantages d’Isabelle, car ils étaient devenus amants. Elle tournait deux voire trois vidéos par semaine l’après-midi, ou passait ses journées libres à baiser avec Paolo dans un hôtel miteux, mais discret.
Elle rentrait une heure avant l’arrivée de mon père, bien cocu malgré lui, mais heureux d’avoir retrouvé une femme avide de sexe. Elle n’était plus simplement une épouse ou la mère de ses enfants, mais aussi une baiseuse assoiffée de sexe. Jamais Isabelle n’avait été aussi épanouie. Elle s’assumait et aimait sa situation. Elle avait acheté des nuisettes sexy et transparentes, mais préférait dormir nue au côté de son mari. Des fois, quand mon père dormait, je la croisais à la cuisine et cela était devenu naturel pour moi de la voir à poil. Il arrivait que l’on s’asseye à la cuisine et que nous discutions de choses et d’autres. Elle était en face de moi, nue et sans complexe. Il faut dire que j’avais eu le bonheur d’assister à ses premières vidéos. Des fois, nous lisons les commentaires sous ses prestations. Ils sont très hard et le vocabulaire très cru. On la traitait de salope, de pute, de traînée, de vache à lait (à cause de ses énormes seins) et j’en passe.
Elle fut choquée au début, mais cela faisait partie du jeu et finalement, cela prouvait son succès. Avant de vous raconter les vidéos tournées, je voulais parler d’un changement drastique du point de vue de ma famille sur ma mère. Tout se passa un dimanche, chez mes parents où toute la famille était conviée au traditionnel repas du mois. Il y avait ma sœur, enceinte de quelques mois avec son compagnon et mon frère aîné et sa nouvelle amie et bien sûr mon père et moi. Le repas se passa bien, comme d’habitude, puis, lors du café, ma sœur vint me voir et me fit une remarque :
— Dis donc, depuis quand maman ne met plus de soutien-gorge ?
Surpris et voulant couvrir ma mère, je dis :
— Je ne sais pas, en fait, je ne me suis jamais posé la question.— C’est gênant tu ne crois pas ?— Euh, non... Pourquoi ?— Ça se voit trop, sa poitrine bouge sous sa robe. Je trouve ça indécent.— Dis donc, depuis quand tu es devenue si prude, toi ?— Il n’est pas question de moi, mais de notre mère.— Je trouve que si ! Si maman ne veut pas porter de soutien-gorge, c’est son choix. Tu es la première à défendre le droit des femmes à disposer de leur corps et tu ne l’appliques pas à notre propre mère.
La suite allait agréablement me surprendre. Mon frère aîné accompagné de sa femme entendit la conversation et dit :
— Effectivement, cela se voit qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, mais je ne vois pas ce qui te choque ! Sandra (sa compagne) n’en porte jamais et je t’ai déjà vue ne pas en porter non plus.— Je suis d’accord, mais la poitrine de maman est plus que généreuse, ça fait indécent !— Ce sont ces mêmes seins qui nous ont allaités, je te rappelle. Je ne vois pas les seins de notre mère comme des objets sexuels, mais plus des organes de vie.
Sandra embrassa mon frère, elle approuvait le discours d’autant plus qu’elle détestait porter des soutiens-gorges. Elle pratiquait le naturisme et se sentait épanouie, nue. Le compagnon de ma sœur la prit dans ses bras et dit :

— Écoute, ça ne me choque pas non plus. Certes, ta mère a une grosse poitrine, mais je ne vois pas pourquoi il faudrait qu’elle se sente obligée de porter un soutien-gorge pour les apparences. Tu sais que je suis le premier à t’encourager à ne pas en porter.
Ma sœur fut vexée que son compagnon ne la soutienne pas, mais prit sur elle. Visiblement, les règles selon lesquelles les femmes devaient être libres de disposer de leur corps et de leur apparence ne s’appliquaient pas à sa propre mère. Isabelle arriva et capta la conversation au passage :
— Écoute, si ça te gêne, je vais en mettre un.
Ce fut mon père qui ferma la discussion :
— Votre mère fait ce qu’elle veut ! Si elle se sent mieux les seins libres, alors qu’elle le fasse.
Ma mère reprit en esquissant un sourire.
— Bon, assez parlé de ma poitrine ! Si je vous servais le café ?
La journée se passa bien malgré ce léger incident qui marqua un changement drastique sur la vision que la famille aurait sur Isabelle. Elle avait le droit d’être une femme malgré son statut d’épouse et de maman. Mon père fut, bien sûr, largement récompensé par les attentions de sa femme pour son soutien. Le lendemain, une fois mon père partit au travail, ma mère se fit belle pour rejoindre son amant Paolo. Elle avait vraiment hâte de le retrouver. Elle lui raconta l’incident et tous deux rirent. Paolo embrassa goulûment Isabelle et lui sortit les seins par-dessus l’échancrure.
— Ben pour moi, ce sont des objets de vie, mais surtout des objets sexuels magnifiques.
Il se mit à les lui lécher puis à simuler un allaitement. Il savait qu’Isabelle adorait ça. Il aimait donner du plaisir à son actrice et amante favorite. Contrairement à mon père, Paolo se faisait un devoir de faire jouir sa partenaire et prenait son temps. Ma mère se laissa conduire par son amant et elle se retrouva entièrement nue sur le lit. Il se glissa entre ses jambes et la lécha comme jamais. Isabelle n’en pouvait plus et se mit à pleurer de bonheur, faisant couler son maquillage. Elle se malaxa la poitrine tandis que la langue experte la tuait. Elle pensa un court instant à sa fille, qui, si elle la voyait, aurait honte de sa mère. Paolo se releva et, pour honorer les seins de sa partenaire, se branla et éjacula dessus. Le sperme coula sur la poitrine indécente. Ma mère apprécia de sentir la semence chaude couler sur ses mamelles. Elle décida de ne pas se nettoyer et de garder le foutre sur ses seins. Elle embrassa à nouveau Paolo et lui dit le visage de la femme ravie :
— Vous êtes vraiment un sacré amant !
Puis ils s’allongèrent côte à côte sur le lit.
— Etes-vous prête pour le tournage de demain, Isabelle ?— Oui, j’ai hâte. Mon corps se régale du plaisir que je vais éprouver.
Paolo sourit :
— Eh bien tant mieux ! Je sens que vos fans apprécieront. Votre fils est le bienvenu pour vous encourager. Il est votre premier fan.— Je sais, et vous savez, je lui dois beaucoup de m’avoir piégée au début de notre rencontre.— C’est un fils adorable. Il vous soutient. Vous avez de la chance.
Ma mère glissa sa main vers le sexe de son amant et commença à le masturber. La partie allait recommencer. Les deux amants adoraient baiser ensemble. Je vis la Clio rentrer un peu plus tard que d’habitude. Ma mère en sortit, le visage détendu et sans maquillage. Elle avait changé de robe pour éviter que les voisins la voient sexy. Par contre, ses gros seins bougeaient de façon très provocante sous le tissu. Elle m’enlaça et m’embrassa sur la joue.
— Eh bien je vois que Paolo et toi vous vous êtes bien amusés !— Tu es perspicace.— J’aime te voir heureuse.— Merci, mon fils ! D’ailleurs Paolo m’a dit que tu étais le bienvenu pour le tournage de demain.— Super ! Quel sera le scénario ?— Tu verras, ça ne sera pas comme d’habitude. Je te laisse la surprise.
Elle me resserra dans ses bras, je sentais ses seins énormes contre moi. Ce que j’ignorais, c’est qu’en dessous le fin tissu, sa poitrine était maculée du sperme de Paolo. La soirée se déroula comme d’habitude, sauf que mon père était trop fatigué pour honorer sa femme. Peu importe, non seulement ma mère avait bien fait l’amour dans la journée avec Paolo, mais elle avait hâte au lendemain, pour le tournage. Au petit-déjeuner, je croisais ma mère et mon père qui se préparait à partir au travail. Elle portait une nuisette transparente, on voyait tout. Elle était avachie nonchalamment sur sa chaise, très calme. Mon père termina son café et l’embrassa :
— A ce soir, ma chérie !
Ma mère lui répondit par un sourire. Une fois la voiture partie, elle se leva pour aller prendre une douche et se mit une robe tout à fait normale. Je fus étonné :
— Angèle s’occupera de me maquiller et j’ai déjà mes vêtements au studio.
Je pris le volant et en route. J’essayais de lui tirer les vers du nez, mais elle refusa de tout me dire à propos du scénario.
— Non, tu verras ça sur place.
Il faut dire que ses tournages étaient un peu redondants. Elle jouait les femmes au foyer ou les patronnes et se faisait sauter par des artisans ou son employé. Par exemple, l’un de ses premiers tournages fut le suivant : elle jouait le rôle d’une femme au foyer qui demandait l’aide d’un jeune plombier : scénario classique vu et revu. La scène eut lieu dans un décor d’une cuisine reconstitué à la va-vite dans le studio. Elle était habillée en bourgeoise, maquillée par l’adorable Angèle. Elle portait un tailleur décolleté avec bas et talons aiguilles. Ses seins étaient énormes et sortaient déjà sans même avoir commencé la baise. Elle jouait avec les spectateurs en regardant de temps en temps la caméra. Elle entama un dialogue avec le plombier. Elle se penchait, offrant la vue de ses mamelles à ce jeune dont on voyait la gaule à travers le pantalon. Le plombier finit par lui demander s’il pouvait lui vérifier sa canalisation. Ils s’embrassèrent et la scène commença.
Le jeune gars lui malaxa les seins et se mit à les lécher. Elle les saisit et bombarda le visage du jeune homme avec ses gros melons. Puis elle parvint à défaire la braguette du gars pour sortir la grosse queue. Elle avait très envie de le sucer et d’ailleurs la voilà à genoux qui se met à pomper. Le jeune homme la saisit par les cheveux et l’incite à sucer. Ma mère se délecte de cette jeune bite qui lui change de celle de son mari. Le jeune se régale d’être sucé par une femme qui pourrait être sa mère. Et des bites, ça se voit qu’elle en a sucé, la daronne. Elle sort ses seins gigantesques de son décolleté. Puis le plombier retire sa queue pour la mettre entre les énormes loches que la milf. Ma mère presse ses seins sur la bite. Le plombier est à deux doigts de juter, mais il se retient pour le final. Son truc à lui, ce sont les canalisations. Cette fois, ma mère est à poil. Elle a juste gardé ses bas et ses talons aiguilles. La voilà à quatre pattes, le cul en l’air.
Il crache sur l’orifice et la sodomise. Il sent d’office que ce trou a été depuis longtemps exploré, et ce, à de nombreuses reprises. Il finit par se lâcher en lui claquant les fesses. Gros plan sur le visage d’Isabelle et de son air de salope puis sur son anus dégoulinant de foutre. La bourgeoise avait juste besoin de se faire nettoyer le conduit culier. Le jeune plombier a accompli sa mission. Voici donc un exemple de vidéos tournées parmi tant d’autres et qui n’avait de succès que par les gros seins et les performances sexuelles de ma mère. Nous voici donc arrivés. Paolo enlace ma mère et l’accompagne vers le lieu du tournage. Puis, il invite Angèle à maquiller l’actrice. N’en pouvant plus, je pose la question à Paolo :
— Maman m’a dit que ce serait un scénario différent que ceux habituels ?— Oui, j’ai reçu pas mal de mails dont les idées convergent. — Ah, et que veulent-ils ?— Ils veulent du gang bang, du sale. Ils veulent voir ta mère se faire bourrer par plusieurs hommes de façon bestiale. Comme tu disais, ils veulent autre chose que du trop conventionnel.— Quoi ??— Rassure-toi, ta mère est au courant et elle est d’accord. Voici le pitch : un des acteurs jouera le rôle de son fils. Il a des dettes envers des trafiquants de drogue et ceux-ci sont venus lui rendre une sale visite à domicile. Puis la mère, comme par hasard, rend une petite visite à son fils et se retrouve nez à nez avec les trafiquants.— Et ?— Afin, de lui faire payer son retard, ils vont abuser de la mère.— C’est malaisant. Je n’ai pas de plaisir à voir ma mère se faire violer.— Du calme ! C’est du jeu de rôle et je compte sur les compétences théâtrales d’Isabelle pour rendre ça le plus crédible possible.
Arrive le groupe des trafiquants. Ce sont Achille, Robert et deux autres inconnus. Ils me saluent. Achille me dit :
— Bon sang, j’ai hâte de tourner avec ta mère ! Je l’adore.
Robert dit :
— Ce sont surtout ses nibards que tu adores.
Paolo les coupe :
— On salue l’artiste !
Isabelle entre, magnifiée par le maquillage d’Angèle. Par contre, la chose qui me choqua fut sa tenue. Elle ne portait qu’une robe et cette robe, violette avec des motifs ronds, je la connaissais, car c’était une robe qu’elle mettait au quotidien. Paolo remarqua mon étonnement :
— Une excellente idée de ta mère !
Isabelle me regarda :
— Oui, mon chéri, pour faire réaliste, car il n’est absolument pas crédible qu’une mère de famille honorable rende visite à son fils, habillée comme une actrice porno.— Tu n’as pas tort, maman ! Je trouve étrange que tu utilises une robe que tu portes habituellement.— Je suis mieux dans mon rôle, ainsi.
Paolo reprit :
— C’est un parti pris. Je ne sais pas si les spectateurs apprécieront, mais je compte sur ta mère pour sublimer la scène.
Achille était passé derrière ma mère et déjà lui pelotait les nichons. Elle sentait sur ses fesses, la gaule du grand noir. Elle posa délicatement ses mains sur celle d’Achille :
— Patiente un peu, tu auras mes seins comme convenu. Il faut du professionnalisme.— Avec vous Isabelle, c’est plutôt du plaisir ! dit Achille.
Un jeune homme tout maigre prénommé Mike entra. Il sera censé jouer le rôle du fils... mon rôle.
— Parfait, fit Paolo, en place tout le monde.
Il donna de nouvelles consignes, sachant que tous les acteurs savaient ce qu’ils avaient à faire et la vidéo commença. Ainsi quatre hommes martyrisent Mike, lui réclamant de l’argent en retard. Ils cabotinent volontairement, pensant donner l’illusion de la réalité. Mike est attaché à une chaise et subit les assauts d’Achille et ses quatre comparses. Il est le chef de la bande et c’est lui qui hurle le plus. Mike mérite un Oscar pour l’expression de peur qu’il dégage. Puis, on entend frapper à la porte. Achille fait signe de ne plus faire de bruit tout en menaçant Mike de se taire. On entend à nouveau frapper et une voix de femme demande :
— Mickael, c’est maman ! Je sais que tu es là, tu m’ouvres ?
Là, j’observe Achille et ses comparses se regarder avec un sourire pervers et complice. Il y a un fauteuil de bureau sur lequel je m’assois tant la scène est intense. Tous jouent à la perfection. Achille met la main sur la bouche de Mike et fait signe à Robert d’ouvrir. Ma mère entre. J’éprouve un certain malaise. Avec sa robe violette à motif rond, j’ai l’impression de voir ma véritable mère et non l’actrice que j’admirai. Elle est surprise de voir ce costaud devant elle, à la place de son fils.
— Bonjour, vous... vous êtes un ami de mon fils ?— On peut dire ça.
Il referme discrètement la porte derrière elle et la voici qui comprend que c’est un traquenard. Les hommes sont aux anges. Les deux inconnus la saisissent par les bras pour l’immobiliser. Achille et Robert la regardent comme deux prédateurs affamés. Ma mère joue l’étonnement et la terreur, surtout lorsqu’elle voit Mike attaché sur sa chaise. Achille dit alors :
— C’est très simple, ton fils nous doit du pognon, mais visiblement, il a tout claqué. Du coup nous sommes venus lui rendre une petite visite.— Mon... mari a de l’argent et...— Seul l’argent ne suffira pas ! Il va falloir lui donner une bonne leçon.
Ma mère se tortille légèrement. Ses énormes seins sous sa robe attiraient les regards lubriques. Elle avait dérogé à sa règle : elle portait un soutien-gorge rouge en dentelle. Achille sort un couteau à cran d’arrêt et s’amuse à parcourir le corps d’Isabelle tout en regardant Mike pour bien lui montrer l’erreur qu’il a faite en voulant les doubler. Sur ma chaise, j’ai toujours cette impression de malaise ? C’est comme si c’était moi à la place de Mike. Achille commence à entailler la robe avec une précision chirurgicale en faisant attention à ne pas blesser la femme voluptueuse. Le haut de la robe tombe et finit à ses pieds. Ma mère se retrouve en sous-vêtements et talons hauts. Les hommes sifflent et commentent. Ils ont les yeux rivés sur l’énorme poitrine maternelle emprisonnée par le soutien-gorge à armature rouge. Achille reprend son jeu avec son couteau, effleurant la peau délicate. Ma mère semble apprécier ce petit jeu.
Une femme normale aurait dû paniquer et elle aurait dû jouer cette juste panique, mais on sent qu’elle aime la situation. Il passe la lame près de la carotide puis descend entre les énormes seins et plus bas au niveau du nombril. Il effleure aussi les bras et les cuisses puis entre les fesses où il coupe le fin tissu du string. La voilà chatte à l’air. Toujours méticuleusement entretenue et surtout depuis sa relation adultère avec Paolo où elle se voulait la plus parfaite pour lui. Robert commence à la doigter délicatement et l’effet est immédiat. Isabelle commence à gémir. Achille se débarrasse du soutien-gorge en tranchant les bretelles. Les deux grosses mamelles sont libérées devant les yeux émerveillés des hommes. Immédiatement, Achille range sa lame et se met à malaxer les grosses meules devant Mike. Il fait avancer Isabelle, saisit les grosses loches et commence à mettre des coups de seins sur le visage de son fils.
— Maman te punit espèce de vilain garçon, ricane Achille.
Toujours immobilisée, c’est au tour de Robert de profiter des superbes mamelles puis des deux autres. De mon côté, je sens une main le long de ma cuisse et qui se dirige vers mon sexe : C’est Angèle. Comme d’habitude, elle arrive à me surprendre et pour ne pas changer, la situation l’excite au plus haut point.
— Le vilain garçon qui aime voir sa maman se faire baiser !
Elle sort mon sexe déjà en érection. J’aime être à la merci d’Angèle qui, de sa simple main, me tient entre ses griffes. Elle me tâte les couilles avec ses longs ongles vernis de blanc ivoire puis revient lustrer mon sexe avec professionnalisme. De leur côté, les hommes ont commencé leur travail. Après leur avoir fait une gâterie tour à tour, ma mère est allongée sur le dos et Achille lui écarte brutalement les cuisses. Les deux inconnus lui tiennent les bras de chaque côté tandis que Robert a la bite enfoncée dans la bouche goulue d’Isabelle qui pompe tant qu’elle peut. Achille commence à la bourrer, entraînant une scène magnifique. Les coups de boutoir d’Achille provoquent une sorte de danse des seins. Maintenue tout en se faisant prendre, les énormes seins de ma mère se mettent à faire des va-et-vient de bas en haut. La scène était presque hypnotique. Je restais à regarder bouger les lourdes loches à la cadence des coups de reins d’Achille.
Le cameraman et le preneur de son luttaient de ne pas se ruer sur Isabelle et participer. Les deux inconnus finirent par se branler entre les seins d’Isabelle et lui jutèrent, l’un entre les énormes mamelles et l’autre en plein visage. Robert prit son engin et tapota le visage de ma mère, essayant de gober le sexe avec sa bouche avide. Puis il lui enfonce au plus profond de la gorge, la faisant à moitié suffoquer. Il sort son sexe et lui tapote encore le visage pour finir en faciale lui aussi. Le clou du spectacle fut Achille qui l’encula. Le cameraman avait fait un gros plan sur l’anus d’Isabelle. L’énorme sexe du black s’enfonça et le voilà en train de lui ramoner la cheminée. Il finit par juter dans le conduit culier. Les hommes se rhabillent et Achille dit :
— Bon, voilà ! On a bien testé la marchandise, maintenant, elle va travailler pour nous et dès maintenant. Mike fit le jeune homme outré et dévasté. Les hommes prennent Isabelle et l’emmènent, nue, afin qu’elle rembourse les dettes de son fils via son propre corps. Fin. Paolo applaudit. Moi j’ai giclé par la faute d’Angèle m’ayant branlé pendant la vidéo.— Magnifique !! s’exclame Paolo. Vous êtes une reine, Isabelle.
Mais là, n’en pouvant plus, le cameraman et le preneur de son se jettent sur Isabelle à peine surprise. Achille se met à protester, mais Paolo s’empare de la caméra et ordonne de laisser faire. Ma mère prend son pied en se faisant baiser par ces deux jeunes excités. Elle sent en elle la bite en feu du cameraman qui ne veut qu’une chose, la féconder. Pareil pour le preneur de son.
— Ça fera une sorte de bêtisier ! dit Paolo. Des fois, ça arrive que les techniciens ne puissent se retenir et visiblement, Isabelle apprécie le geste. Regardez !!
Ma mère se mit à gémir de plaisir. Elle ne jouait pas ! C’était Isabelle qui prenait son pied. Une fois soulagés, les deux jeunes se refroquèrent et aidèrent ma mère à se relever.
— On va faire le montage dans la foulée, si vous voulez, vous êtes la bienvenue pour nous donner votre point de vue, Isabelle. Ma mère demanda l’heure, réfléchit et dit :— J’ai encore un peu de temps avant que mon mari ne rentre du travail ! Je vais prendre une douche et je vous rejoins. Une salle de bain avait été aménagée dans le studio, car les actrices aimaient se laver après les tournages. Ma mère fit couler l’eau chaude. La voilà qui est rejointe par Paolo, à poil. Elle sourit.— Je vois que vous aussi, vous n’êtes pas insensible à ma prestation ? Il lui embrassa l’épaule.— Vous allez faire un carton, ma chérie. Après un long baiser, il lui malaxa les seins et la plaqua contre la paroi de douche pour la prendre par-derrière. Bien sûr, l’opulente poitrine est compressée sur la même paroi. Paolo était tellement excité par le tournage précédent qu’il jouit en elle au bout de quelques minutes. Paolo prit le gel douche et enduit les seins de la femme mature avec. L’eau chaude fit un bien fou aux deux amants. Puis, une fois prête, ma mère rejoint l’équipe pour donner son point de vue sur la vidéo. Elle jugea qu’elle avait était trop consentante et qu’elle aurait dû davantage se rebeller. Mais Paolo lui répéta que c’était une vidéo porno, pas une scène de viol réaliste. J’étais d’accord avec Paolo : une scène trop réaliste aurait été très dérangeante. Ma mère et moi regagnions la maison familiale. Mon père rentre du travail, épuisé. Ma mère s’occupe de lui comme une femme au foyer quelconque. Il s’endort devant la télé. Ma mère va directement se coucher, à poil dans le lit. Je la croise, nue :— Pauvre, papa, toujours naze !— Il travaille dur et il adore son métier, c’est comme ça.— J’ai adoré ta prestation tout à l’heure ! La vidéo va cartonner ! Je suis fier de toi, maman. Tu as assuré. Elle me prit dans ses bras et m’embrassa.— Merci, mon chéri.— Tu vas rejoindre Paolo demain ?— Oui, il a quelque chose à me dire, semble-t-il !— Ah ! C’était intrigant. Elle me souhaita bonne nuit et alla se coucher. Le lendemain, une fois mon père au travail, ma mère s’apprêta à sortir. C’était étrange, elle était habillée normalement hormis le fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et que l’on voyait ses tétons déformer sa robe.— Tu ne t’es pas faite belle ?— Non, il m’a dit de passer normalement vêtue.— Tu n’as pas peur que l’on te reconnaisse ?— Non, pas dans le quartier où l’on va. Et puis, j’ai le droit de discuter avec un homme.— C’est vrai ! Ma mère prit sa Clio puis, en route pour son rencart. Pour ma part, je commençais à vouloir me trouver une copine ou au minimum, un plan cul. Je n’osais pas appeler Angèle, qui elle, m’utilisait juste pour assouvir son étrange fantasme. Ainsi, me voilà payant un abonnement à un site de rencontre de la région. De son côté, ma mère rejoint Paolo qui lui offrit un verre dans un bar.— Vous êtes magnifique, Isabelle.— Je ne suis que moi-même ! Je suis en mode : mère au foyer.— Même comme ça, j’ai envie de vous et j’ai envie de m’excuser de vous avoir prise hier, sous la douche et de m’être lâché trop vite.— Ce n’est pas grave, Paolo ! Je suis heureuse d’être avec vous, de notre relation et de m’avoir permis de découvrir les joies de la pornographie. Une fois leurs verres terminés, ils filèrent avec hâte baiser à l’hôtel. Paolo la baisa bien, lui offrant bien du plaisir et la faisant jouir à fond. Les deux amants, tout en sueur, se reposèrent un peu. Ma mère avait un sourire béat. Paolo se pencha vers son pantalon et sortit quelque chose de sa poche. Il resta à lui caresser les seins pendant de longues et délicieuses minutes. Isabelle était aux anges puis il lui montra une petite boîte qu’il ouvrit :— Voilà, Isabelle, j’aimerais que vous deveniez ma femme ! La bague était magnifique. Ma mère n’en revenait pas. Son cœur battait la chamade comme s’il allait jaillir de sa magnifique poitrine.— Paolo... c’est magnifique... je ne sais pas quoi dire... c’est si soudain.
Ils s’embrassèrent goulûment.
— J’aimerais tant que vous m’apparteniez ! Mais réfléchissez, ma chérie ! Ma mère regarda la bague magnifique dorée. C’était une brusque nouvelle. Le soir, elle était toute chamboulée. Même mon père le remarqua. Ma mère raconta que c’étaient des faits divers qui la secouaient. Elle faisait référence à des enlèvements de femmes qui se multipliaient ces derniers temps. Mon père la rassura. Elle me dit la vérité le lendemain et me demanda conseil :— Que dois-je faire mon chéri ?? J’aime ma vie de femme au foyer, mes enfants, mon mari, mais j’aime aussi Paolo, je me sens bien avec lui.— Je ne peux pas te conseiller, maman. Il y a quelque temps, j’aurai été outré par tout ça, mais te voir heureuse me plaît. J’aime le fait d’avoir une mère sexy et par-dessus tout, qui fasse du porno. Mais, pareil, je t’aime aussi en mère de famille. La décision t’appartient et crois-moi, je soutiendrai ta décision. Ma mère resta bouche bée devant la bague qu’elle avait sortie pour me montrer. La décision était horrible à prendre, c’était un dilemme. Quoiqu’il arrive, ce qu’elle décidera affectera l’une de ses deux vies.
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