Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 99 J'aime
  • 5 Commentaires

Porte-jarretelles day

Chapitre 8

Erotique
Chapitre 8
Ce qu’il aime par-dessus tout, c’est faire déraper les femmes, surtout une femme sage comme l’est Nicole, ou plutôt comme elle "l’était" avant cette histoire de porte-jarretelles.
Elle ressent un mélange de culpabilité, de honte, de dégoût d’être traitée de la sorte, mais aussi de plaisir, un plaisir qui envahit ses neurones, qui la fait mouiller.
Elle se lève brusquement, se dirige vers le couloir menant à la salle de bains.
Une voix à la fois ferme et douce parvint à ses oreilles :
— Nicole, restez ici, voulez-vous ! Ne vous retournez pas vers moi, pas encore, ne bougez plus, laissez-moi admirer vos jambes, votre cul merveilleusement moulé par cette jupe de cuir.
La femme s’immobilise, les bras le long du corps. Elle sent comme un poids lourd le regard de l’homme, tous ses sens sont en éveil, les seins lui font un peu mal tellement ils sont devenus durs. Elle se sent vulnérable. Les secondes s’écoulent, sa culotte s’humidifie, colle à sa vulve, elle est tellement fine cette culotte ! Elle écarte les pieds de quelques centimètres, cambre le dos.
"Il regarde mon derrière, mon... mon cul !", pense-t-elle. "Mon gros cul ! Regarde-le bien, tu l’aimes mon gros cul, sale pervers, tu vas le toucher. Vas-y salaud, regarde, régale-toi, tu vas y mettre ta langue...".
Elle se délecte de ces mots sales qui défilent dans sa tête. D’où lui vient un tel langage, ces mots grossiers ? Elle qui une semaine auparavant était encore une mère de famille sage, dont la vie était réglée entre le travail et l’éducation de ses enfants. "Je deviens vraiment une salope... !"
Elle sent une présence derrière elle. Des mains se posent sur ses épaules, des lèvres déposent un baiser dans son cou, là où la peau est fragile et si sensible.
Elle frémit, folle d’excitation, les mains de l’homme glissent dans son dos, passent sous les aisselles.
"Ca y est, il va toucher mes seins", pense-t-elle en penchant la tête sur le côté afin de mieux offrir son cou aux lèvres qui l’embrassent.
Les mains collent au tissu mouillé du chemisier, finissent par se poser en coupe sous les deux globes lourds aux pointes dures. Il défait un bouton, puis un autre, encore un autre, donnant accès aux mamelles. Le chemisier est complètement ouvert, il baisse le fin tissu du soutien-gorge, libérant les deux globes de chair rendus durs par l’excitation. Alors, son corps collé contre le derrière de Nicole, il saisit les seins à pleines mains, les malaxe, les soupèse encore.

Elle gémit, cambre le dos, pose les mains sur le mur, les bras tendus à l’horizontale, recule les fesses pour mieux sentir la queue dure de l’homme collée contre son derrière, lui faisant sentir combien elle apprécie ce qu’il lui fait. Elle s’offre, elle a abdiqué depuis longtemps déjà, depuis qu’elle s’est changée pour lui plaire, pour le séduire.
" Il va me baiser, il va me mettre sa queue... mon dieu, j’ai tellement envie qu’il me baise, qu’il me mette sa bite dans ma... dans ma chatte de salope !"
Il la sent excitée, continue à jouer avec les nichons, couvrant le cou de la femme de baisers humides de salive. Puis les mains descendent, caressent le ventre, descendent encore le long de la jupe, saisissent le rebord qu’il agrippe de ses deux mains. Pour mieux voir, il se décolle du corps de Nicole, tire le tissu de cuir vers le haut, lentement, très lentement, pour bien profiter des cuisses gainées qui s’offrent à lui, le bord des bas, l’attache des jarretelles, le morceau de peau qui se dévoile, souligné par les liens qui relient les bas à la ceinture du porte-jarretelles.
La jupe monte encore, plus haut... Il s’accroupit, remonte encore un peu la jupe, révélant quelques poils châtains qui débordent de la culotte, le bas des fesses appârait à sa vue. Il bande dur, lui aussi est terriblement excité. Brusquement, il expose les fesses à peine recouvertes par la fine culotte, la jupe est maintenant enroulée à la taille, montrant tout : les cuisses, le cul large, la raie profonde.
Alors il baisse la culotte jusqu’au milieu des cuisses, pose ses lèvres sur une fesse, y dépose un baiser, puis sur l’autre fesse, caressant les cuisses des doigts, jouant avec les jarretelles. Il remonte les mains, saisit les globes, les sépare en tirant vers l’extérieur, sort la langue... qu’il glisse dans la raie.
— Oh, gémit-elle, non... pas ça, s’il vous plait... c’est... c’est sale !
Les mains bien agrippées aux fesses, il lèche, fouille le sillon humide, se régale de l’odeur de femelle excitée. Elle sent la langue glisser, passer sur son trou, y revenir, descendre. Son corps réagit automatiquement, Elle baisse le torse, cambre son cul, l’offrant aux baisers lubriques de l’homme.
— Arrêtez s’il vous plait, monsieur, c’est dégoûtant, non... dit-elle en s’offrant un peu plus.
Rendu fou par ce cul dont il se délecte, il enfouit son visage entre les deux globes, léche comme un chien fou, la langue tirée, s’enivre de l’odeur âcre émanant de la raie.
— Nicole, vous sentez fort, vous sentez la femelle... je vais vous baiser !— Oh... mon dieu !
"Décidemment, elle fait toujours appel à Dieu quand on l’excite", pense-t-il.
— Vous en avez envie Nicole, vous le voulez ? Ma queue bien calée dans votre con, ça vous tente ?— ... — Dite-moi, belle jeune femme, avez-vous envie d’une bonne bite bien dure ? — Salaud ! — Ou peut-être la voudriez-vous dans votre cul ? — Nonnn, pas dans... je préfère dans... dans ma vulve. — Dans quoi ? Votre vulve ? Votre chatte vous voulez dire, votre con, dans votre moule de cochonne excitée ! — ... — Je n’ai pas bien compris... où la voulez-vous ? — Dans ma... ma chatte !
Il la plaque contre le mur, dégrafe sa ceinture, sort sa queue, fléchit les genoux, et s’enfonce d’un seul coup dans le con gluant. Elle écarte les pieds autant que le lui permet la culotte toujours coincée au milieu des cuisses.
— Oh... ouiii ! Lâche-telle dans un long gémissement.— Et bien Nicole, ma bite est entrée d’un seul coup tellement votre fente est détrempée.
Il la baise, lentement, dégustant la sensation de la vulve qui épouse délicieusement les formes de son chibre.
— Ca fait du bien ?
Elle gémit continuellement, se sent remplie, emportée par une excitation qui la rend folle de plaisir.
— Nicole, ça fait du bien, une bonne bite au fond du con ? — Oui... mais... cessez de me poser des questions avec vos mots dégoûtants, vous êtes... ohhh ! — Dégoûtant, moi ? Allons ma belle, vous adorez ça, être traitée comme une... — Une... une quoi ? Parvient-elle à articuler difficilement. — Comme une salope, c’est ce que tu es en train de devenir, une salope qui a besoin de sexe ! — Oh... ouiii ! Mais continuez de me vouvoyer, c’est plus... — Plus excitant, pervers peut-être, c’est ça ?
Elle ne répond pas. Difficilement elle tord le cou, lui tend ses lèvres.
Il colle sa bouche à celle de la femme, les langues se touchent, s’enroulent. Lui aussi est terriblement excité. Le rythme de ses coups de rein accélère, il empoigne les seins, s’en met plein les mains, fait rouler les pointes entre ses doigts. Un bruit de clapotis envahit la pièce.
— J’adore vos gros seins, ils me rendent fou !— Oh, j’en ai honte... ils sont trop gros, et ils pendent. — Oui ils ballotent, belle salope, c’est encore plus excitant, vos grosses mamelles qui bougent à chaque fois que je m’enfonce dans votre con, j’aime jouer avec.
Horrifiée par tant de luxure, par la perversité des mots sales qu’il murmure à son oreille, mais terriblement excitée, elle enroule encore sa langue avec celle de l’homme.
Posant les mains sous les deux globes, il les fait sauter dans ses paumes.
— Nicole, vous dégoulinez, cochonne, votre jus coule sur mes couilles ! — Ohhh c’est dégoûtant, répond-t-elle. — Oui, c’est sale, dégoûtant, c’est ça qui vous plait, quand c’est sale... salope ! — Ouiii !
Elle sent le pubis de l’homme claquer contre son cul, plus vite, plus fort.
Il la retourne, la recolle contre la paroi, l’embrasse à pleine bouche. Saisissant les hanches, Il présente sa bite à la fente, le gland connaît le chemin à travers la brousse dense de son pubis.
Elle baisse le regard, regarde la queue qui se frait un passage au contact des lèvres velues. Le spectacle salace de la bite qui ouvre et s’engloutit dans sa fente est fascinant, elle contemple la queue qui disparaît à moitié dans sa touffe.
Alors les prémices de la jouissance monte au creux de ses reins, elle se cambre, lance son bas-ventre à la rencontre de la queue qui la perfore, qui la baise ! La respiration bloquée, la bouche grande ouverte, les muscles de son corps se raidissent, un gémissement rauque monte du plus profond de sa gorge, elle jouit, la bite enfouit profondément en elle. Puis elle se relâche, émet un jet de cyprine qui éclabousse les couilles de l’homme.
A son tour il se lâche, sort sa queue du con gluant et éjacule sur la chatte de la femme, engluant encore plus les poils, en criant "salope" !
Elle pose son visage dans le cou de l’homme, les bras accrochés à son épaule. Puis elle fait une chose inimaginable, à laquelle elle n’aurait jamais pensé : elle se laisse glisser au sol, à genoux, pose sa joue contre la bite engluée de mouille et de foutre mélangés. Il la regarde, subjugué par le geste de sa partenaire. Alors il saisit sa queue encore dure, la frotte contre le visage de Nicole, les joues, les lèvres, les ailes du nez, le menton, le cou.
Elle le laisse faire, passive, soumise, le sperme gluant sur le bas de son visage, respire les effluves de leur étreinte, cette odeur forte de sexe qui l’avait intriguée quand elle avait pénétré dans le bureau du boss après la sortie d’Eléanore. Elle aime cette odeur, elle l’enivre. C’est tellement sale et excitant, délicieusement excitant.
Quelques minutes plus tard, ils sont allongés dans le canapé, elle blottit contre lui, une main posée sur la queue redevenue molle de son boss, lui caressant tendrement les cheveux emmêlés, avec toujours cette odeur forte de sperme et de cyprine.
— Nicole, je vous invite à diner. Aimez-vous les fruits de mer ? — Oh oui, j’adore ça, répond-t-elle un grand sourire aux lèvres. — Alors allons-y !
Maintenant à l’aise, décontractée, la peau du visage devenue lisse et détendue, elle éclate de rire.
— Attendez, je ne peux pas partir comme ça, il faut que je retrouve une mine convenable. Et vous, vous sentez l’artisan ayant transpiré toute la journée !
Une heure plus tard, elle vêtue de son tailleur de cuir noir, chemisier blanc, bas noirs et escarpins, ils partent. Elle passe le bras sous le coude de son partenaire. Elle se sent tellement bien.
Dans la brasserie, assis côte à côte, un plateau de fruits de mer face à eux, elle se sent délicieusement bien. De temps en temps il passe la main sous la nappe blanche, caresse furtivement la cuisse de Nicole. Elle a remonté sa jupe, afin qu’il ait accès à la peau nue au-dessus de la lisière des bas. Il joue avec la jarretelle, glisse les doigts sous le bas, flatte la peau moite, sans excès. Une soirée merveilleuse, comme elle n’en a jamais vraiment connue depuis le départ de son mari.
De retour chez elle, ils font l’amour, ils baisent, puis refont l’amour tendrement, dans le lit, elle nue, mais... ayant conservée les bas et le porte-jarretelles.
(A suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live