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La porteuse de journaux

Chapitre 1

Inceste
La porteuse de journaux


Début janvier, un dimanche matin, je sortais de la douche après ma course à pied quotidienne d’une heure et demie quand on sonna à ma porte. Je raflai un peignoir éponge et allai ouvrir. Devant moi se tenait une jeune femme d’une trentaine d’années, un gros bonnet de laine couvrant des cheveux qui me parurent d’une teinte blond-roux et engoncée dans une épaisse doudoune plutôt informe.
— Bonjour, je suis Julie, votre porteuse de journaux et je viens vous présenter mes vœux pour la nouvelle année.— Mais entrez, je vous en prie, excusez ma tenue, je sors de la douche.
Je la fis entrer au salon, lui pris son gros anorak et lui proposai de prendre place dans l’un de mes fauteuils confortables et je m’assis en face d’elle. Débarrassée de son vêtement encombrant, je pus l’examiner (discrètement) un peu mieux.Je vis une jolie femme un peu ronde, avec de beaux seins assez volumineux, un petit ventre et des cuisses qui me semblèrent fermes, je ne pouvais voir ses fesses (elle était assise dessus !), mais ne manquai pas de les imaginer sous mes mains.Je lui demandai si ma tenue ne la dérangeait pas et elle m’assura que non, que j’étais chez moi et que je pouvais y faire ce qui me plaisait.
— Vous savez, comme je travaille chez moi, il m’arrive très souvent de me trouver dans une tenue plus que légère.— On m’a dit dans le voisinage que vous étiez écrivain ?— Je ne suis pas écrivain, je suis correcteur pour une grande maison d’édition qui me charge de corriger et, à l’occasion, de remanier certains passages.
Elle croisa les jambes, sa jupe remonta un peu et me dévoila un peu plus de ses cuisses appétissantes. Elle ne sembla pas remarquer mes regards pourtant peu discrets.
— Je profite de votre présence pour me renseigner, je suis relativement nouveau ici et je ne connais pas grand monde. Je vis seul et je sors très peu. Je cherche à embaucher une femme de ménage, l’idéal serait une sorte de gouvernante qui s’occuperait de mon ménage et de ma cuisine, je gagne bien ma vie, je n’ai pas de gros besoins, du moins matériels et je peux payer un bon salaire. Hélas jusqu’ici mes recherches sont restées vaines. Si vous voyez quelqu’un qui pourrait faire l’affaire, je vous en serai très reconnaissant.— Cela demande réflexion, pour le ménage, je pourrai m’en charger, pour le reste il faut voir. Je ne vis pas seule et il y aurait certains arrangements à trouver.
Je la voyais réfléchir intensément et décidai d’encourager une décision positive de sa part.
— Vous savez, on pourrait discuter certains détails si votre compagnon fait des difficultés.— Oh ce n’est pas un compagnon, je vis seule avec mon grand fils et il faudrait que je lui en parle.
— J’aimerais que vous me racontiez un peu de votre vie si ça ne vous dérange pas.— J’ai trente- six ans et un grand fils qui passe son Bac cette année. Je vis seule avec lui dans un petit logement, ce qui ne nous gêne pas, car nous nous entendons très bien. Je n’ai pas fait d’études, car enceinte à dix-sept ans, maman à dix-huit. J’ai eu quelques aventures sans lendemain. Depuis quelque temps, ma relation avec mon fils a évolué, je tiens à vous le raconter, si nous devons nous côtoyer à l’avenir, je tiens à ce qu’il n’y ait pas de non-dits entre nous. Comme je vous le disais, nous avons un très petit logement, ce qui fait que nous nous frôlons souvent sans forcément le faire exprès. D’un autre côté, nous avons l’habitude depuis toujours d’être très légèrement vêtus l’un et l’autre et comme nous sommes tous les deux très tactiles très souvent, les caresses ne sont pas celles que les gens bien-pensants s’attendraient à voir entre une mère et son fils. Donc chacun de nous connaît le corps de l’autre dans ses moindres détails et nous ne nous cachons pas l’un de l’autre, en aucune occasion.
Pendant qu’elle parlait, j’ai pu l’observer discrètement, elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes, ce qui me laissait à chaque fois un aperçu sur l’intérieur de ses cuisses dodues, hélas cachées par son collant épais. J’imaginais la peau satinée de ses cuisses et la moiteur entre elles. De telles pensées eurent un effet immédiat sur ma queue qui commençait à gonfler et à s’allonger sous le peignoir que je portais. Je vis aussi avec une grande satisfaction que Julie observait avec un intérêt évident la progression de mon érection. Je croisai et décroisai les jambes, ce qui fit bâiller un peu les pans de mon peignoir et ce qui permit à ma vis-à-vis une vue sur ma queue maintenant complètement érigée. Je dois dire que je suis particulièrement fier des dimensions de mon engin et, surtout, de son endurance. Pendant ce temps, Julie continuait son récit :
— Cela s’est passé il n’y a pas très longtemps, j’étais en train de préparer notre lit, je vous ai dit que notre logement est des plus exigus, nous n’avons donc qu’un « clic-clac » qui nous sert de canapé le jour et de lit la nuit, il faisait très chaud, je ne portais qu’un débardeur et Lucas était nu. Une fois couchés, nous chahutions comme toujours. Quelques jours plus tôt, j’avais appris à Lucas comment embrasser une femme avec la langue et ce soir- là, il s’est couché sur moi et a commencé à me rouler une pelle. Mon débardeur avait glissé vers le haut et je sentais donc sur mon ventre la jolie petite queue de mon fils. Lucas bougeait tout le temps et ses mouvements de frottement sur ma peau ont fini par lui procurer sa première éjaculation, j’ai senti son corps se raidir entre mes bras, un gémissement d’étonnement et de plaisir dans ma bouche et son sperme chaud sur mon ventre.— Oh pardon maman, je ne voulais pas te salir !— Tu ne m’as pas salie, mon chéri, tu m’as fait la plus belle offrande qu’on puisse faire à la femme qu’on aime.
Pendant son récit, Julie n’arrêtait pas de bouger dans son fauteuil
— Chaque fois que je pense à ce moment, je mouille, alors je ne vous dis pas l’état de ma culotte !— J’espère que mon érection ne vous gêne pas, il semblerait que votre récit me fasse le même effet qu’à vous ! Si vous voulez, je vous propose d’enlever votre culotte et votre collant pour les faire sécher, je vous promets que je vais faire des efforts pour ne pas regarder.— Oh, vous pouvez regarder, j’ai bien aperçu votre belle queue, j’en ai l’eau à la bouche, et quand je dis à la bouche... !
Julie se leva de son fauteuil, remonta sa jupe à la taille et enleva son collant et sa culotte d’un même mouvement. Je vis donc ses belles cuisses, son minou très peu poilu et son petit ventre joliment bombé, elle se tourna pour me montrer son côté pile et je pus admirer une paire de belles grosses fesses qui me semblèrent accueillantes. Je lui pris ses sous-vêtements des mains pour les porter à mon nez et je pus respirer la bonne odeur de mouille qui imprégnait le tissu. J’étais debout devant elle, ma queue raide, entre les pans de mon peignoir, touchait son ventre. Julie la prit dans ses mains :
— Oh la belle queue !— Si vous continuez à la flatter, je ne réponds de rien !— Ce serait un péché de gâcher ça.
Elle me fit allonger sur le canapé et toujours sans lâcher ma queue, elle se coucha nue sur moi en 69. J’avais sa chatte luisante de mouille devant mon nez et je m’empressai d’y porter ma langue. Quel délice ! Julie avait embouché ma bite raide et, d’une main me malaxait les couilles. En quelques coups de langue, je l’amenai à l’orgasme et elle remplit ma bouche de son délicieux nectar, il y en avait tellement que je pense qu’il y avait une bonne partie de pipi, ce qui ne me gênait pas du tout. Je ne pus me retenir plus longtemps et déchargeai mon foutre dans sa bouche, elle fit de son mieux pour tout avaler.
Quand nous eûmes repris notre souffle, nous nous assîmes sur le canapé, Julie s’assit sur mes genoux face à moi et nous nous embrassâmes passionnément. C’était notre premier baiser et il fut si profond que je sentis ma queue gonfler et s’allonger entre mes cuisses. Julie dut le sentir aussi, car elle mit la main entre ses cuisses, empoigna ma queue désormais bien raide, se souleva un peu et plaça le gland entre les lèvres de sa chatte. Elle se laissa retomber sur moi et enfourna ma bite sur toute sa longueur avec un grand soupir.
— Mon Dieu, je n’ai jamais eu une telle queue en moi, je crois que je ne pourrai plus m’en passer !
Elle me passa ses bras autour du cou pour s’aider à monter et descendre sur ma queue raide. Comme je venais d’éjaculer, je pouvais tenir un peu plus longtemps.
— Tu devrais profiter d’avoir les mains libres pour appeler ton fils pour que nous puissions discuter de ma proposition.
Julie appela sur mon portable et mit en route la fonction » haut- parleur ».
— Bonjour chéri, je te réveille ?— Bonjour maman, non tu ne me réveilles pas, je suis encore au lit et je rêve de toi maman chérie.— Oh comme c’est mignon ! Ecoute, je suis chez un gentil monsieur qui m’a fait une offre d’emploi à temps plein et comme je lui ai expliqué notre situation, il propose que tu viennes ici pour que nous en parlions ensemble.— Tu lui as tout expliqué pour nous ?— Oui mon chéri, surtout l’épisode de ta première éjaculation.— Et alors comment il a réagi ?— Comme il était en peignoir éponge au sortir de la douche, j’ai vu que ça le faisait bander et comme à chaque fois que je pense à cet épisode ça me fait mouiller, il m’a proposé d’enlever ma culotte trempée, ce que j’ai fait devant lui. Nous nous sommes mis en 69, moi dessus et il m’a léchée divinement sans oublier la raie de mon cul pendant que j’ai sucé sa belle queue raide.— Il t’a fait jouir maman ?— Oh oui ! Je coulais comme une fontaine !— Il écoute ce que nous disons ?— Oui et sa queue est de nouveau très raide, je suis assise dessus, face à lui et il me caresse les seins pendant que nous discutons.— Oh maman, ma queue est raide aussi et j’aimerais bien te la mettre.— Viens ici mon chéri, je vais bien m’occuper de ta jolie queue.— A tout de suite maman.
Julie donna l’adresse à son fils pendant que je remplissais sa chatte de mon foutre, ce qui provoqua un nouvel orgasme pour elle.Je m’habillai et Julie remit ses vêtements (sans la culotte et le collant). Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte.
— C’est sûrement Lucas, il s’est bien dépêché !
J’allai ouvrir. J’avais devant moi un beau jeune homme, pas très grand, mince, les cheveux blonds et bouclés et un grand sourire sur le visage. Je l’invitai à entrer.
— Bonjour Lucas, je suis Marc, ta maman nous attend au salon.— Bonjour mon chéri !
Julie se précipita sur son fils pour l’enlacer et lui plaqua un gros baiser sur la bouche tout en lui caressant la queue par-dessus ses vêtements, elle se laissa glisser sur les genoux, dans le même mouvement, elle descendit le pantalon de survêtement et le caleçon de son fils, ce qui me révéla une jolie bite longue et mince que sa maman emboucha sans attendre. Pendant qu’elle le pompait, Julie flattait les jolies fesses de son fils et je vis que sa main s’égarait volontiers entre les jolis globes charnus et il me sembla que l’un de ses doigts avait tendance à insister sur un endroit précis. Soudain, je vis Lucas se cambrer et je compris qu’il était en train de remplir la bouche de sa maman avec son foutre que celle-ci se hâta d’avaler. Elle se releva, se tourna vers moi et m’embrassa sur la bouche qui sentait encore le sperme de son fils. J’appréciai !A suivre...
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