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Portugal

Chapitre 1

Livre 33 épisode 7

Hétéro
Petit village côtier. Ambiance estivale. Tous les cafés éclairés, les terrasses remplies de gens d’origines diverses. Nous conversons, un verre à la main ; je vois ton regard qui de temps à autre s’allume, l’alcool peut-être...Il fait chaud, la nuit est agréable, nous faisons quelques pas jusqu’à notre voiture. J’admire tes courbes félines, sublimées dans cette petite robe noire à bretelles, celle que j’aime bien, avec ses boutons de nacre noire sur le devant.
Tu ris, tu es fatiguée, un petit vent se lève, doucement, faisant glisser ses caresses le long de tes cuisses... tu frissonnes.
Il faut rentrer ma belle, tant de choses encore à voir demain, se remplir notre esprit de ces vacances, pour affronter les longues nuits d’hiver.
Petite musique douce, qui emplit l’atmosphère de cette voiture, tu t’es assoupie, ta tête légèrement penchée, ta bouche entrouverte, tu passes un bout de langue. J’adore...
Les routes sont obscures, les ombres des rares végétations illuminées par nos phares puissants. Un chemin, mélange de terre, et de sable, se dessine, certainement vers une plage oubliée.
Je passe doucement, en même temps que les vitesses, une main légère sur ton genou, remonte ta cuisse bronzée par ce soleil portugais.
Je ne t’ai pas vue te réveiller... Le petit vent s’est enhardi, laissant cette torpeur estivale, pour nous apporter un peu de fraîcheur. Debout dans la nuit, tu frissonnes. Je me glisse derrière toi, te plaque sur mon torse, mes mains, une sur ton ventre, une sur le haut de ta cuisse, troussant cette petite robe noire à bretelles, jusqu’à faire apparaître, à la lune si pâle, la limite de cette peau hâlée...
Tu t’échappes, tu danses, tu virevoltes, avec ce rire si espiègle que j’aime tant, et je ris, moi aussi, doucement de te voir si femme, si heureuse. Mon regard s’allume. Tes pupilles se dilatent. Tu me connais bien. Tu sais ce que je veux. Tu sais ce dont j’ai envie.
Je t’amène contre le capot, te plaque doucement, le métal est chaud, mais tu frissonnes... de désir ? D’envie ? je ne sais.
Je déboutonne cette petite robe noire à bretelles, laissant apparaître ce soutien-gorge, à fleurs pour changer, je pose mon front contre le tien, respire ta fraîcheur et ta douceur, je sens ta respiration s’accélérer... je pose mes mains, sur ta poitrine, gonflée de désir... inhumain.
Je sens mes mâchoires s’accrocher aux tiennes, j’en profite pour goûter tes lèvres, percluses de désir, joue avec ta langue, mélangeant nos saveurs de ce soir... Tu glisses ta main dans mon jean, en dégrafant la ceinture de cuir... je deviens si dur, que j’ai l’impression de me transformer, d’un seul coup, comme ce métal que l’on voyait se tordre sous les coups de force, du maréchal-ferrant portugais, cet après-midi dans la fournaise de son atelier.
Doucement, tu gémis, j’ai la tête remplie d’étoiles, les espaces-temps se confondent, tu m’emmènes dans cette danse interstellaire et plusieurs fois millénaire, de 2 êtres qui se désirent, qui se veulent, au-delà de la nuit, encore et encore, jusqu’à plus de force.
Tu t’agenouilles et décalottes mon gland violet à force sous la contrainte du désir pour après quelques passages de la langue sur son pourtour, l’enfourner dans ta si délicieuse bouche... Dieu, ta langue est si fraîche et ta bouche si chaude, que je me sens, un court instant défaillir et faillir... Tu es tellement experte !
Mais je veux te rendre la pareille, je caresse ta douce chevelure comme de la mousseline, tes épaules, ton visage, pour enfin te relever, et à mon tour t’offrir mon adoration, ma superbe louve !
Je glisse le pouce de la main droite sous le rempart de ton body, l’écarte pour faire apparaître ce mont de Vénus tant convoité que tu as amoureusement épilé... j’écarte d’un coup de langue tes lèvres pour découvrir ton bourgeon et avec le pouce, doucement te pénétrer...
Marcus, Marcus, Marcus... ce nom que tu répètes comme une farandole, en bougeant ton bassin me transperce au plus loin de mon être, je ne suis plus un homme, juste un loup, simplement un animal qui lape encore et encore... je sens ton ventre secoué de soubresauts et enfin ma récompense, ta cyprine qui coule sur ma langue...
Abasourdis tous les 2, après avoir restreint notre respiration de marathoniens, nous rentrons tranquillement...
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