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Possessif

Chapitre 2

Inceste
II - La porte de l’enfer

Précédemment dans « Possessif »…Moi, obsédé sexuel abreuvé de fantasmes incestueux, ai décidé de franchir le pas et, avec l’aide de mon meilleur ami, nous avions un plan diabolique pour pouvoir baiser ma mère. Au cours d’un séjour dans le sud de la France, après une soirée arrosée, nous décidions de nous rendre dans la chambre de ma mère, où il comptait user d’une vile stratégie pour la séduire. Et voici l’épisode du jour !
Au risque d’atténuer la fin de l’épisode précédent, il m’arrive de me comporter comme une personne tout à fait normale, qui ne pense pas qu’au cul. Quand je ne me branle pas, je vis un quotidien loin d’être aussi douteux que mes fantasmes. Alors non, dès que je vois ma mère, je n’ai pas systématiquement envie de la prendre sur la table. Ainsi, lorsque nous sommes descendus dans le sud de la France, mon pote et moi-même, nous n’avions aucune mauvaise pensée qui balançait en ce sens. Ereintés par nos premiers pas dans la vie professionnelle, nous n’avions envie que d’une chose : profiter du temps libre, de l’été méditerranéen, rencontrer des nanas, boire du rosé et nous empiffrer de hamburgers. Mais pour pouvoir user d’un tel potentiel de liberté, nous devions cohabiter les deux premiers jours avec ma mère, avant qu’elle ne rentre au bercail.
Bon, ce qui est bien avec elle, c’est qu’elle ne m’a jamais trop embêté pour ce qui est alcool, si bien que dès notre arrivée, une bonne bouteille de rosé bien frais nous attendait. Elle sortit pour retrouver des amies, et nous laissa la maison. Dès le premier soir, on était saouls, mais pas trop. Juste de quoi être de bonne humeur.
Le lendemain, après un réveil difficile, dans la catégorie « lendemain de soirée », mon ami s’allongea sur l’un des transats dehors, pour prendre le soleil. Il y avait ma mère à côté de lui. Moi, de mon côté, je consultais mes e-mails…bon d’accord, je matais des images de cul ! Mais je consultais aussi mes e-mails. Je sortais d’une relation hyper tendue avec une fille, dont je n’ai eu pour seule satisfaction que la possibilité de lui masser les pieds. Pour le reste, sans mauvaise pensée, il aurait fallu Mastercard, et pourtant, déjà pour l’époque, sans vouloir m’étendre sur le sujet, j’étais loin d’être en dessous du seuil de la pauvreté. La vie est ainsi faite, il y a les bonnes poires, et il y a celles et ceux qui les croquent.
Bref, ce petit intermède qui n’a en rien l’apparence d’un quelconque règlement de comptes anonyme m’a permis de vous faire ressentir un vide : celui qui fait que je n’avais donc aucune idée de ce que mon pote et ma mère pouvaient raconter. Ce dont je me souviens, c’est qu’il est revenu après quelques minutes avec un petit sourire, et il m’a murmuré qu’il avait ressenti un truc avec elle à ce moment-là, comme s’il avait eu une ouverture. Il est vrai qu’elle ne m’avait jamais caché qu’elle le trouvait mignon, mais de là à se le faire, même si elle ne me l’avait pas dit, je pense que je m’en serais douté.Mais il ne m’en fallait pas plus pour penser qu’il y avait un potentiel à exploiter, et le temps nous était compté, car elle allait passer son dernier soir ici. J’étais optimiste car je le voyais avec un tel entrain que dans ma tête, on y était : il allait pouvoir la baiser, et moi les espionner. Charmant programme ! On s’en était allé acheter une caisse de rosés, notre « arme stratégique » (oui, vous avez bien lu, nous avions une stratégie !), et nous nous occupions de l’apéro pendant qu’elle préparait le repas. Le but était que nous atteignons tous les trois un degré d’ivresse suffisant pour que je puisse les laisser seuls.
Tu parles ! L’image de l’apéro que nous avions lui et moi était de ceux qui finissent à 23H complètement torchés. Bien sûr, on était si fins qu’on ne s’était pas demandé deux secondes si ma mère allait en être. Si bien qu’après deux verres, on passa de suite au dîner. Première étape, sabordée.
Bon, je vous fais le bond dans le temps qui va vous épargner de longues descriptions d’une attente inutile, sur les coups de 22H, ma mère s’en alla se coucher, car elle partait tôt le lendemain matin. Ce fut ainsi que mon ami et moi nous retrouvions seuls, comme deux abrutis qui venaient de réaliser qu’ils avaient fantasmé comme des puceaux…hé bien non, c’était hors de question !Nous étions deux abrutis, certes, mais nous avions l’intention d’être des abrutis ivrognes ! Nous nous sommes alors rabattus sur le rosé. Et si vous vous rappelez de l’épisode précédent, il arrive toujours un moment où l’on estime qu’il est temps de s’asseoir, et de discuter.Ce moment, nous l’avons à nouveau vécu, comme tant d’autres fois. Ma mère dormait déjà. Nous étions donc tous les deux, dans le jardin, sur les transats, sous les étoiles, pour refaire le monde, sans oser parler de ce cuisant échec qui, finalement, n’était qu’une mauvaise idée sans conséquence.
L’ivresse montait petit à petit, si bien que nous avions fini par aborder le sujet, timidement certes. Quelle déception ! Nous nous étions mal pris, c’était évident ! Et l’alcool aidant, nous nous imaginions ce qui aurait pu se passer. Je les aurais laissés un moment, le temps qu’il puisse « conclure », et une fois tout le monde au lit, il l’aurait rejointe dans sa chambre, et moi de les espionner discrètement. Il se serait arrangé pour prendre des positions de sorte à ce que je puisse bien tout voir. Et puis si elle avait préféré le faire la lumière éteinte, hé bien tant pis, je l’aurais entendue gémir, ceci couplé au fait que je la sais entrain de baiser, ça aurait déjà été pas mal.
Nous venions d’atteindre le stade du regret. On n’aurait sans doute pas une chance pareille avant un long moment…alors soudain, tout devint plus clair ! Non, cela ne pouvait pas être l’alcool qui nous faisait cet effet, nous avions l’impression d’être passé à côté de quelque chose, et tout n’était peut-être pas perdu. Elle était, certes, déjà au lit, mais elle avait quand même bu de quoi être pompette. Je me rappelle du regard qu’on s’était échangé lui et moi à ce moment précis. Il y avait peut-être quelque chose à tenter. Il avait envie de se la faire, maintenant, et vu ses pronostics matinaux, il y avait une petite chance pour que ça marche.
Fort bourrés, comme le chante Stromae, nous nous sommes levés pour entamer une lutte impitoyable contre la gravité. Tout tournait autour de nous et nous avancions en titubant. Mais la direction était claire : la chambre de ma mère. Tels deux ivrognes dont les mots ralentissent et sont ponctués de rires étouffés, nous marchions vers la porte de la chambre, en élaborant notre plan B. Il allait entrer dans sa chambre avec un faux prétexte (du genre on ne trouvait plus les clefs pour verrouiller la maison), et en fonction de sa réponse, il aurait lancé le dialogue, de fil en aiguille.Un dialogue charmeur, digne des plus mauvais films érotiques italiens qui passaient sur M6 le dimanche soir à 23H00, pour ensuite avoir le maigre espoir que la suite des évènements soit surtout digne d’un Ashley Blue, où –nous n’avions pas froid aux yeux, nous imaginions ma mère lui faire une anthologique gorge profonde, bien baveuse.
Mais je sais à quoi vous pensez, là tout de suite, et vous avez raison : encore faut-il cumuler le fait qu’elle aimât jouer les avaleuses de sabre, et qu’il fût pourvu d’un gourdin de chair disproportionné. Et nous savions déjà que l’une des deux conditions n’était pas valide. Je ne sais pas vous, mais les braquemards de vingt-cinq centimètres, même s’il y a toujours d’heureux élus pour en être équipé, hé bien tant mieux pour eux mais on ne joue pas dans la même catégorie. Mais bon, comme on dit, ce n’est pas la taille qui compte. Comme quand on dit à un boudin que la beauté est celle du cœur, ou à un abruti que le plus important, c’est l’intelligence du cœur. A différents moments de ma vie, j’ai eu droit à chacune de ces réflexions, d’ailleurs :Quand j’étais ado, boutonneux et à la voix qui mue, c’était la beauté.Quand j’ai planté mes deux premières années de droit, une à une, c’était l’intelligence.Malheureusement, même si pour les deux, ça s’est à peu près correctement arrangé, la taille du pénis ne peut pas changer comme ça. Fort heureusement, ce n’est pas sa taille qui m’aura empêché de vivre tout ce que j’ai encore à vous raconter.
Cependant, quand deux mecs bourrés ont envie de baiser une nana qui se trouve à portée de mains, ce sont les images les plus sales qui viennent en tête. On s’imaginait même que, l’excitation aidant, ma mère accepterait que je les rejoigne tous les deux pour une partie à trois. Même si j’en avais envie, en serais-je réellement capable ? Le fait de la voir gémir en me regardant droit dans les yeux, gênée, honteuse, mais prenant tant de plaisir que ses orgasmes s’amplifieraient dans l’interdiction.
Nos pensées étaient sans limite et nos désirs nous suppliaient d’être concrétisés. Et arrivés face à la porte, l’excitation était encore bien présente, et nous donnait de la force pour pouvoir aller jusqu’au bout. Il n’y avait plus qu’à l’ouvrir, et derrière elle, une source intarissable de plaisir allait s’offrir à nous durant toute une nuit.
Et nous ne réalisions pas qu’il s’agissait de la porte des enfers. Celle qui allait peut-être ruiner trois vies à jamais…
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