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Le pot de départ

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Suite :
« Julien, as-tu déjà songé à baiser ta directrice ». Cette phrase résonna dans ma tête comme un coup de masse et provoqua chez moi une petite crise de panique tant je n’y croyais pas ! J’essaie alors de répondre, certainement en ayant l’air d’un gros débile :
— Hein ? Je… ne comprends pas… — C’est vrai que c’était vague, comme question… Je reformule : est-ce que ça te dirais de me baiser, ici et maintenant ?— Ah, très drôle !! dis-je comme pour me défendre d’une situation qui m’échappait complètement. C’est une sorte de bizutage de fin de contrat, c’est ça ?
Et alors que je me lève de ma chaise, elle me retient :
— Quoi ? Je suis très sérieuse ! — Bien sûr… Et je vais me mettre à poil et, à ce moment, les autres collègues surgiront dans le bureau, ou un truc du genre !— Et si je ferme le bureau à clé et que je te jure sur la vie de mes enfants que ce n’est pas une blague ?
Me voyant douter de moi et ne plus savoir sur quel pied danser, elle insiste.
— Julien, tu es un bel homme, jeune et viril. Tu m’a toujours plus, sauf que, comme tu l’as dit, j’étais mariée. Je ne le suis plus, toi, tu es toujours célibataire et j’ai envie que tu me saute. Ma question est : est-ce que ça te branche ?— Séverine, tu es une superbe femme… Mais, je ne crois pas que ce soit une bonne idée. — Et si je te dis que tu pourras me faire ce que tu veux ?— Ce… ce que je veux ?— Tout ce qui te passera par la tête. Tout ce que tu voudras, là où tu voudras. Et, rassure-toi, plus c’est trash, plus j’aime ça !— Bordel… c’était donc vrai… dis-je tout haut alors que je ne voulais que le penser.— Les rumeurs à mon sujet ? Oui, toutes vrais mais tellement en dessous de la réalité !
Mes vieux fantasmes pour cette femme remontaient en moi et l’excitation de cet après-midi revenait à vitesse grand V. Je bandais déjà dur. Mais, conscient du caractère fort peu probable d’une telle situation, je préfère rester prudent :

— Séverine, tu es ma patronne et une femme respectable. Je ne peux pas croire ce que tu me dis. Tu joues avec moi, là !— Tu veux une preuve ? Demande-moi ce que tu veux et je m’exécute.— Vraiment ? Voyons… dis-je en étant encore pas tout à fait sûr de moi. Montre-moi ta culotte !— C’est ça ton challenge ?
Elle remonte alors sans hésiter sa jupe devant moi et me montre son superbe string. Pour elle cela semble si simple mais pour moi, c’est un mini infarctus à la simple vue du sous-vêtement de ma directrice !
— Ensuite ? me demande-t-elle— Enlève ton string et donne-le-moi.
Elle baisse alors son string, me révélant au passage un sexe parfaitement épilé et le début de la fente de son vagin (mini infarctus, encore). Puis elle me le donne. En le prenant, je constate qu’il est moite et que la partie à l’entrejambe est enduite de mouille. Elle voit ce que je regarde et commente :
— Oui, il est trempé. J’ai commencé à mouiller à la minute où tu es entré dans ce bureau. Alors maintenant, tu vas me faire ma fête !— Je veux encore vérifier un truc.
Je m’approche d’elle et pose mes lèvres sur les siennes. Elle répond immédiatement en ouvrant la bouche et sortant sa langue. Nous échangeons alors un des plus longs et des plus passionnés baisé que j’ai connu. Nous nous enlaçons, nous caressons tout en nous embrassant. Puis nous nous séparons enfin et je prononce dans un souffle :
— Ouaaa… Si c’est du cinéma, tu joues très bien la comédie.— Ce n’est pas du cinéma.— Je te crois.
Je m’accroupis soudain et me jette sur son sexe que je lèche avec avidité tout en enfonçant un doigt profondément en elle. Je ne prends guère de précaution car sa réputation de salope semble sous-évaluée et elle doit donc avoir l’habitude. Elle gémit en me prenant par les cheveux et accompagne le mouvement de ma tête contre son sexe. Je prends mon temps et la lèche du mieux que je peux. Au bout de quelques minutes, elle me dit :
— Mmhh, c’est excellent, Julien…— Mais ?— Mais j’avais envie de quelque chose de plus bestial… Je te rappel que tu peux me faire tout ce que tu veux ! Profites-en !— Plus bestial ? Ok !
Je me redresse, sors ma bite de mon pantalon, lui soulève une jambe et la pénètre d’un coup. Elle pousse un soupir de plaisir tandis que je commence à aller et venir en elle à un bon rythme. Mais mis-à-part quelques soupirs, Séverine ne semble pas spécialement prendre son pied.
Soudain, elle me repousse en me disant :
— Bon, écoute. J’ai du boulot, moi. Si c’est pour baiser comme papa dans maman, j’avais mon mari pour ça. Tu peux y aller, je te remercie.— Q… Mais attends… — Ecoute, Julien, ne te méprends pas. Je te trouve charmant et je pensais que tu saurais me traiter comme je le mérite. Mais apparemment, tu es beaucoup plus classique que je ne le pensais.
L’excitation de cette journée, la frustration d’avoir simplement mâté Nadine, la déception de ne pas pouvoir me taper ma directrice et les insinuations qu’elle portait sur ma virilité… tout cela commençait sérieusement à me rendre dingue. D’autant qu’avec les filles, je me suis toujours retenu de leur faire ce dont j’avais vraiment envie sinon je serais passé pour un pervers de première !
— Séverine, je ne pense pas que tu te rendes compte de quoi je suis capable… Je voulais rester correct, c’est tout.— Qu’il est mignon… Il va m’apprendre le sexe du haut de ces 30 ans ! Allez, rentre chez toi, gamin… Tu n’es pas capable de me défoncer comme je le mérite !— Putain, arrête !! Ne joues pas à ça, je te dis…— Sinon quoi, tu vas me mettre une fessée ? La belle affaire !
La pression montait en moi depuis un moment mais j’arrivai à me contrôler. Sauf qu’en prononçant sa dernière phrase, elle utilisa un ton si condescendant et me jeta un regard si méprisant que j’ai explosé.
Je me jette sur elle et la saisi par le cou.
— Maintenant tu vas fermer ta gueule, salope ! Si tu as envie de bestialité, tu vas être servie.
Tout en prononçant cette phrase, je serais mes mains pour lui faire disparaître son sale petit sourire pédant. Puis je la prends par les cheveux et la fait mettre à genoux.
— Ouvre grand la bouche !! Et t’as pas intérêt à la refermer !
Séverine s’exécute et ouvre bien sa bouche de pute. J’y enfonce ma bite le plus loin possible et constate, à peine surpris, qu’elle peut m’avaler entièrement sans sourciller. Mais je ne me démonte pas : je lui plaque la tête contre le mur et lui baise la bouche comme je ne l’ai jamais fait à quiconque. Ma bite dans son gosier créé un bruit de déglutition affreux et de grands fils de bave se créent lorsque je la sort. J’étale cette bave sur le visage de Séverine et lui crache dessus en l’insultant de salope puis lui défonce la bouche à nouveau. Je m’enfonce en elle et lui ferme le nez avec deux doigts jusqu’à ce qu’elle devienne rouge, puis la libère.
Je la relève et lui demande :
— C’est assez bestial à ton gout, petite pute ?— C’est… pas… mal, me répond-elle, essoufflée.— Ne t’inquiète pas, je ne suis pas encore chaud !
Je lui retire sa veste et lui déchire sa chemise. Je baisse sa robe mais lui laisse ses bas et ses talons. Je la prends par les cheveux et la traine vers son bureau. Je la fais s’allonger dessus.
— Prends tes jambes et écartes-les le plus possible !
Elle met ses mains sous ses genoux et écarte au maximum ses cuisses. Sa chatte est offerte à moi, dégoulinante de mouille, ce qui me confirme qu’elle aime le traitement que je lui inflige et qu’elle veut que je continue. Mais pas quoi commencer ? J’ai à la fois envie de la baiser, de l’humilier, de la faire jouir, de la faire souffrir… Je décide simplement de suivre mes envies comme elles viennent sans me soucier d’elle. Si elle veut que je la traite en objet, elle va être servie.
J’enfonce trois doigts dans sa chatte et la branle puissamment. Puis je les retire et les remplace par mon sexe. Je la baise à mon gout et à mon rythme, parfois en l’enfonçant lentement pour profiter du vagin de ma directrice, parfois en la limant comme un fou. Séverine semble en profiter car elle crie de plaisir en tirant la langue et en se pinçant les tétons.
A nouveau, j’ai envie de lui faire mal. Je me penche sur elle et lui serre la gorge avec ma main. Je resserre progressivement mon étreinte et la vois ouvrir en grand les yeux. J’attends que son visage devienne pivoine puis je relâche son cou et l’embrasse goulûment. Elle répond à mon baiser sans réserve, enfonçant la langue loin dans ma bouche. Elle adore le traitement que je lui impose, c’est clair !
Je me retire d’un coup et commence à la lécher. J’insiste sur son clito, lui bouffe littéralement les lèvres et enfonce ma langue dans son intimité. Je me redresse et la pénètre à nouveau, lui arrachant un nouveau cri de plaisir. Je me retire encore après l’avoir limer généreusement et contourne le bureau pour aller me faire sucer. Pour moi, une fille suçant une queue sortant tout juste de son sexe est une sorte de limite qu’aucune de mes copines n’a jamais franchie. Mais cela ne gêne absolument pas Séverine qui avale ma bite sans hésiter.
— Je suppose que sucer des bites à la chaine, peu importe d’où qu’elles sortent, est une habitude chez toi…— Hum, Hum me fait-elle pour dire oui de la tête, le gosier bien rempli.— Tu es une vraie salope de compet’, lui dis-je en enfonçant ma queue dans sa bouche jusqu’à la garde.
Elle acquiesce à nouveau de la tête, la bouche ouverte et la langue tirée sous mes couilles en me regardant droit dans les yeux. Je crois avoir failli jouir rien que sous l’effet de ce regard…
Je retire mon sexe et lui met une petite gifle sur la joue.
— Alors dis-le !— Je suis une salope…— Mieux que ça ! dis-je en lui mettant une autre gifle, plus franche.— Je suis la pire des salopes… Je suis un sac à foutre !— Mieux… Bien mieux…
Je place alors une jambe sur le bureau de l’autre côté de sa tête et lui ordonne de me lécher les couilles, bien pendantes et juste au-dessus de son beau visage dans cette position. Elle s’exécute et palpe et avale avec expérience mes bourses.
— Bien… Maintenant lèche-moi le trou du cul !
En réalité, je n’avais pas spécialement envie qu’on me lèche le cul mais je trouvais cela tellement dégradant que ça me plaisait de lui ordonner. D’ailleurs, elle hésite une seconde ou deux puis, finalement, sort sa langue et joue avec mon trou.
D’abord timide, elle m’attrape les fesses avec ses deux mains et me lèche plus franchement. Elle se saisit ensuite de ma bite, qu’elle branle de sa main droite puis me lèche la zone entre l’anus et les couilles, remonte jusqu’à mes boules qu’elle avale encore puis redescend vers mon trou de balle.
Finalement, cette caresse n’est pas désagréable mais Séverine ne semble pas spécialement humiliée et je me lasse donc rapidement. J’enlève donc mon pied d’à côté de sa tête, ôtant ainsi mon cul de son visage.— C’est bien, tu es une bonne grosse salope qui fait ce qu’on lui demande !
Je lui crache alors sur le visage, étale ma salive avec ma main et renfonce ma queue dans sa bouche.
— C’est pour te nettoyer un peu ! Hors de question que je t’embrasse alors que ta langue à le gout de mon cul ! Tu comprends ?
Séverine fait oui de la tête alors qu’elle devient rouge et, au bord de l’étouffement, tousse de la bave par le nez. Je la libère pour la laisser respirer.
Je retourne entre ces jambes et la baise à nouveau. Mais, rapidement, je sens que l’orgasme que j’ai contenu toute la journée n’est plus très loin. Or, hors de question de jouir et de laisser l’excitation retomber. Je sais que je ne pourrais continuer de telles choses sans être dans un état second et je ne veux pas que ça s’arrête. Je décide donc de me ménager et d’expérimenter sur Séverine ce que j’ai toujours voulu faire à d’autres.
A suivre...
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