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Le pot de départ

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
Suite :
Nous nous rendons d’abord dans le bureau de son adjointe, Virginie, une superbe femme également. Je la baise sur son bureau et la prend en photo avec mon sexe enduit de mouille sur son visage. Puis nous faisons un tour dans la salle de repro où elle se plait à monter sur la photocopieuse et à poser jambes écartées pour moi. Je l’ai ainsi baisé, enculé, doigté, dans la plupart des pièces que je croisais, c’est-à-dire les bureaux des anciens collègues, la cuisine collective, l’espace détente, etc.
Nous arrivons à mon bureau.
— Je veux que tes souvenirs ici soient mémorables. Comme ça, tu ne pourras t’empêcher de mouiller lorsque tu iras voir mon remplaçant !
Sur mon bureau, je la baise et l’encule aussi sauvagement que possible. Elle hurle littéralement alors que je lui défonce le cul en lui claquant les fesses. Puis, voulant vraiment marquer sa mémoire, je retire ma queue de son fion et y enfonce d’un coup mon poing. Elle hurle de surprise mais je ne lui laisse pas le temps de se plaindre. J’enfile ma queue dans la chatte et la lime généreusement alors que ma main va et vient dans son cul. La sensation sur ma bite est divine car mon poing crée une pression énorme sur les parois de son vagin. L’impression, je suppose, d’une bonne double pénétration, chose que je n’ai pas encore eu la chance de tester.
Séverine a l’air de prendre un pied d’enfer vu les couinements qu’elle émet et le fil de bave qui s’allonge depuis sa langue pendue, la bouche grande ouverte. J’ai soudainement envie de la faire jouir. Alors que je la sens monter, je retire mon sexe de sa chatte et la remplace par ma main gauche, encore libre jusque-là. J’avoue que, cette fois, j’étais beaucoup plus à l’étroit et avec, un poing dans la chatte, un autre dans le cul, les orifices de Séverine devaient être proches de leurs limites en terme d’élasticité. Cela ne l’empêcha pas de jouir comme une démente alors que je jouais avec mes mains en elle.
Je les retire doucement alors qu’elle est encore secouée de spasmes impressionnants. Elle s’avachit alors sur mon bureau et dit péniblement :— Ooohhh, laisse… moi… deux minutes…. Ok ?— Pas de soucis… De toute façon, j’ai quasiment épuisé mon stock d’idées perverses et bestiales !
Je profite de ce répit pour la prendre en photo avachie sur mon bureau, cul tendu, chatte et anus grand ouverts, luisants de mouilles et de sueurs.J’attends qu’elle se remette de ses émotions et je la traine à nouveau dans les couloirs de l’entreprise pour la ramener dans son bureau. Cette fois-ci, je lui fais faire le chemin à quatre pattes et profite de la superbe vue de son cul tendu qui se dandine à chaque pas et de son anus encore bien ouvert après l’intense traitement que je lui ai fait subir. Evidemment, je ne résiste pas à la tentation de quelques coups de bite de temps en temps. C’est la première et dernière fois que je peux baiser Séverine, alors autant en profiter.
Nous arrivons donc dans son bureau, moi avec un sexe en béton à deux doigts d’exploser et elle avec une chatte et un anus défoncés et dégoulinant de mouille, de sueur, de salive…
— Maintenant, c’est à moi de jouir enfin, lui dis-je alors qu’elle était encore à genoux devant moi. Suce-moi et fais-moi venir dans ta bouche.
Sans dire un mot, elle se rapproche, se saisit de mon sexe et commence à me sucer. Elle alterne pompage de gland, léchage de bourses et gorge profonde si bien que je me sens déjà monter au bout de quelques minutes seulement. Sans l’avoir averti, j’explose alors qu’elle a ma queue profondément enfoncée dans sa gorge.
Mon premier jet, puissant, lui remplit directement l’estomac et lui provoque un haut-le-cœur. Elle sort mon sexe de sa bouche immédiatement alors que celui-ci continue de l’arroser de sperme. La grosse gorgée qu’elle recrache en partie lui coule entre les seins jusque sur le ventre alors que d’autres jets lui couvrent le visage et la poitrine. Surprise par une telle quantité, elle lâche mon sexe et s’essuie un œil, touché par un jet brulant. J’ai donc tout loisir de diriger mon éjaculation là où je le veux et je fais donc tomber les dernières gouttes de sperme directement dans sa bouche.
Soulagé et épuisé, je m’allonge par terre, à côté d’elle. Elle m’imite tout en récupérant du sperme du bout des doigts et en le portant à sa bouche.
— Evidemment… tu avales… — Evidemment ! C’est tellement délicieux… J’y suis accro.
Je me redresse en m’appuyant sur mon coude et récupère avec ma main une grande partie de foutre sur son corps.
— Alors avale ça !
Elle s’exécute et gobe en deux gorgées le reste de ce qui reste probablement ma plus grosse éjaculation.
— C’était extraordinaire, me dit-elle. Merci beaucoup !— Merci à toi pour ce cadeau… Ca me ferait presque regretter de partir ! Désolé, mais il faut absolument que j’aille pisser.
Je me relève donc pour me diriger vers la sortie. Mais, une fois debout, et alors que l’excitation retombe, je constate l’état de Séverine et de son bureau. Elle est vautrée par terre, nue, décoiffée, avec son maquillage qui a coulé sur son visage, maculée de trace de sperme, la gorge, le visage et les fesses rougies par mes gifles et mon étranglement. Ses orifices portent encore les traces de la bataille : son vagin et son anus restent entrouverts alors que ces lèvres pendent. Autour d’elle, le chaos. Ses affaires sont éparpillées partout, son bureau est de travers, avec une flaque de pisse dessus qui ruisselle par terre. Il y a des traces de sueur et de bave sur le sol et les murs.
Je me sens alors choqué et honteux d’être le responsable de tout ça, d’autant que l’excitation que me maintenait dans un état second jusqu’ici disparait. Je bafouille :
— Putain… Séverine, je suis désolé… Je ne pensais pas être allé si loin… Excuse-moi…— Oh, ne t’excuse pas, Julien. C’est exactement ce que je voulais et ce que je t’ai demandé. Tu as été parfait et tu m’as donné bien plus de plaisir et de satisfaction que je n’imaginais au début. — Ah ?... Bon… Je… Je dois vraiment aller aux toilettes : le champagne, le sexe….— Ou bien tu pourrais me pisser dessus, si tu voulais.
Dix minutes avant, je n’aurais pas été choqué d’entendre cette phrase, mais là, alors que je n’étais plus excité, cette demande me faisais alluciner !
— Pardon ?? Tu veux que je te pisse dessus ?? Mais c’est n’importe quoi !— Pourquoi ? Est-ce vraiment différent que me juter ou me cracher dessus ? Ou m’enfoncer un poing dans le cul pour jouer avec mon intestin ? — C’est juste dégeu et dégradant !— C’est justement le coté dégradant qui me plait. S’il te plaît, je te le demande comme une faveur ! Et puis, penses-tu que tu auras encore l’occasion de pisser sur une de tes copines ?
Alors qu’elle était là, allongée par terre, entre train d’étaler les restes de sperme sur son corps et qu’elle me suppliait de lui pisser dessus, j’ai repensé à ses videos porno où, après un bon gangbang, certaines filles se font uriner dessus par des mâles sur-membrés. Je repense au fait que, même si ça me gêne, ça m’excite aussi de les voir humiliées de la sorte.
Je cède donc à cette dernière pulsion perverse. Je décalotte mon sexe ramollit juste au-dessus de Séverine qui sourit en me voyant faire. Alors que l’urine commence à sortir de mon urètre, je l’arrose de long en large, sur son ventre, son sexe, ses seins et, évidemment son visage et ses cheveux. Je la rince complètement et insiste bien sur sa bouche qu’elle ouvre en grand. Elle recrache la plupart des gorgées de pisse mais il me semble la voir déglutir plusieurs fois en faisait un petit grimace. Quand enfin j’en termine, le tableau décrit précédemment est encore pire et Séverine est dans un état lamentable. L’odeur qui règne alors dans le bureau est on ne peut plus épicée : sueur, sperme et urine.
Conscient de l’acte que je viens de faire, un frisson glacé me parcours le dos et me vient soudainement l’envie de me rhabiller et de rentrer chez moi pour me prendre une longue douche chaude. Séverine se relève aussi et s’essuie le visage avec des mouchoirs qu’elle récupère dans sa poche de pantalons.
— Bon… Je vais y aller. Tu pourras te débrouiller avec ce bazard ?— Ne t’en fais pas, ce n’est pas la première fois que je fais disparaître des traces d’orgie dans ce bureau.— Je m’en doute… Ecoute, c’était extraordinaire et tu vas réellement me manquer. Tu avais raison, au début, j’ai toujours eu un faible pour toi. Tu es une superbe femme et une tigresse au pieu. Tu vas vraiment me manquer…— Toi aussi tu vas me manquer, Julien.
Après que j’eu apporté de l’eau à Séverine pour qu’elle se rince la bouche, nous nous embrassons amoureusement, comme si nous étions deux collégiens à la veille de la rentrée, obligés de se séparer après un amour de vacances. Le baiser est long, intense. Malgré son état, je ne peux m’empêcher de la caresser pendant que nos langues se mélangent. Puis, enfin, je sors de son bureau pour rentrer chez moi.
Alors que je dépasse la salle de la photocopieuse, là où j’ai pris en photo Séverine dans de multiple situation, Virginie apparait devant moi. Je ne sais plus alors quoi faire ni quoi dire.
— Tiens, tu es encore là, Julien ?— Oui… je… Il fallait que je voie certaines choses avec Séverine avant de partir. — Elle est encore dans son bureau ? C’est parfait je voulais justement la voir…— Non, elle vient de partir… mentis-je car Virginie la découvrirait alors dans un état ne permettant aucun doute sur ce que nous venions de faire.
Je vois alors Virginie me faire un grand sourire et s’approcher de moi.— Ne te fatigue pas, je sais exactement ce qui s’est passé dans son bureau. Séverine m’avait proposé de rester pour participer mais j’étais prise ailleurs. J’espère que tu l’as bien défoncé !!
Je reste alors bouche baie… Je découvre que Virginie est la complice de débauche de Séverine et que j’ai faillis avoir la chance de la sauter, en même temps que Séverine. Je me sens soudainement déçu car Virginie m’a toujours fait fantasmer et durant des années, elle avait refusé mes avances. Contrairement à Séverine, à l’époque inaccessible, Virginie avait mon âge, n’était pas ma supérieure et je me voyais bien sortir avec elle.
— Oohh tu as l’air tout déçu… Avoir baisé ta directrice ne te suffit pas ?— Ca n’aurait que meilleur si tu avais été là aussi…
Elle s’approche alors de moi et m’embrasse tendrement en déposant une main sur mon sexe. — Je suppose qu’elle t’a pompé jusqu’à la dernière goutte, dit-elle en palpant ma bite.— Je peux rapidement être d’attaque, si tu veux…— Mmhh c’est tenant… Mais la soirée a été longue pour moi aussi et si on baise je veux que ça soit aussi intense que ce que tu as fait à Séverine. Ne t’en fais pas, tu ne pars pas à l’autre bout de la France et la boite à des clients un peu partout. Je m’arrangerai pour qu’on se croise à nouveau un de ces quatre !
Elle dépose un nouveau baiser sur mes lèvres puis s’écarte.
— Je vais finir par ne plus vouloir partir…— Sache que rien de tout ça ne se serait produit si tu étais resté. C’était un cadeau d’adieu, pas un bonjour quotidien !— Je vois… Vous allez me manquer toutes les deux. J’espère qu’on se reverra même si je n’y crois pas trop !
Alors que je m’éloigne, elle me rattrape par le bras :— Je ferai tout pour qu’on se voie… Mais si je n’y arrive pas, voilà un petit souvenir.
Elle me lâche le bras et ouvre sa chemise. Je découvre alors sa grosse et superbe poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on pouvait encore voir de nombreuses traces de gouttes de sperme en train de sécher.
— Effectivement, la soirée a dû être dure pour toi !— Très dure…
Elle soulève ensuite sa mini-jupe et m’expose son sexe, sans rien pour le masquer, ni culotte, ni poils pubiens disgracieux. Je pose alors la main sur son sexe et le sens large et moite. Il a manifestement bien servit ce soir…
— Magnifique souvenir, en effet, fis-je en enfonçant un doigt en elle.
Elle se recule d’un pas, se réajuste, me dit une dernière fois au revoir et se retourne en direction du bureau de Séverine où celle-ci doit encore baigner dans ma pisse. La tête pleine d’images, de souvenir et d’espoir, je rentre chez moi.
Environ 3 mois après, alors que j’assistais à une réunion de chantier, nous devions rencontrer un représentant de l’entreprise chargée d’une partie des travaux. J’avais bien vu qu’il s’agissait de mon ancienne boite mais j’avais eu à faire avec eux plusieurs fois sans que Virginie ne vienne en personne. Je n’y croyais donc plus lorsque, descendant de sa voiture de fonction, je la vis, toujours aussi sexy, en minijupe et tailleur. Elle figea toute l’assemblé, composée uniquement d’homme, par sa beauté et son érotisme. Elle salua tout le monde puis se posa devant moi, me fit la bise et me dit :
— Julien, ça faisait longtemps ! Tu vas bien ?— Très bien, Virginie. Je ne peux aller mieux… Tu as un peu de temps après la réunion ?— Pour toi, toujours !
Puis, alors que nous nous dirigeons vers le chantier, précédé par les autres personnes de la réunion, et ayant pris un peu de recul, elle me passe une main aux fesses et me dit :
— Tu as le bonjour de Séverine. Elle me charge de te remercier chaleureusement pour la dernière fois.— J’ai hâte.
Laissez-moi juste vous dire qu’elle m’a remercié comme il se doit !
Fin.
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