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2 potes hétéros (qui le sont vraiment?!) en camping

Chapitre 2

Gay
Dans ce p’tit week-end avec mon meilleur pote, on avait prévu une balade en canoë-kayak. Vers 11h, on se pointe donc au point de départ. Le gars nous demande si on veut 2 canoës ou un biplace.
— On prend le biplace ! a t-on répondu en cœur.
Le loueur nous donne quelques indications, nous file les gilets de sauvetage et nous donne rendez-vous quand on aura fini au point d’arrivée. On était libre de faire autant de pauses qu’on voulait.
Je dois avouer que j’étais déjà bien excité par le début du week-end, alors quand je me suis imaginé avec mon meilleur pote, sur le même canoë, et en plus dans le joli petit short bien moulant qu’il avait mis ... j’étais aux anges.
On prend le départ et on s’accorde sur le fait qu’on avait le temps, et qu’on n’était pas obligé de ramer comme des fous. Thomas était derrière moi, je donnais donc le rythme avec la pagaie, ce qui m’allait très bien, je n’ai pas beaucoup de force dans les bras !
Ce jour-là, il faisait très chaud. Je décide donc de retirer mon tee-shirt. Très vite, Thomas m’imite. On est décontracté, on en profite pour se chambrer sur la couleur blanc pâle de nos peaux et sur le fait qu’on aurait dû mettre de la crème solaire avant de partir. On fera ça à la prochaine pause. La discussion s’oriente vers nos meufs respectives. Je lui confie qu’avec Élodie, c’est plus la même chose, qu’on est plus si proche, qu’on baise plus vraiment beaucoup. De son côté, il me révèle qu’il n’est pas hyper-heureux avec Sarah. Même s’ils ont décidé d’acheter un appartement ensemble, histoire de voir si ça va repartir.
C’est alors que je remarque que nous nous dirigeons vers une immense ligne droite, avec une vue dégagée et surtout des arbres partout autour de la rivière. Je dis à mon pote :
— Thomas, tu te souviens du week-end naturiste ? — Oui, ahah, je me souviens bien de ta p’tite bite ! — T’es con ! Regarde, devant nous : personne ! Cap ou pas cap : on se fout à poil ? — Bah vas-y, cap !
Et sur ce, Thomas se lève dans le canoë, pose sa pagaie tant bien que mal et descend son short et son calbut. Littéralement à poil, la bite et les couilles pendantes. Il se rassoit, m’envoie un clin d’œil. Ni une, ni deux, je fais pareil et moi aussi me retrouve cul nu, les fesses posées sur le canoë-kayak mouillé. La sensation est hyper-agréable. Même si ma bite cogne de temps en temps sur le plastique, c’est chouette de plus rien à voir sur sa peau.
Et le fait de savoir que, dans mon dos, mon meilleur pote est lui aussi nu, les jambes légèrement écartées, en train de ramer... hum... Me vient alors une idée : jeter un p’tit coup d’œil curieux, juste histoire de voir...Je me retourne et là, pile-poil devant mon nez, la bite de mon pote, qui elle aussi sur l’effet des frottements sur le canoë était doucement dure.
Effet immédiat chez moi : je me retrouve à bander comme un fou. Heureusement, je suis devant, il ne peut rien voir ! Mais qu’est-ce qu’il me prend ? Soudain, je sens le bateau tanguer de droite à gauche ... Je lève les yeux et là, Thomas avait passé une tête au-dessus de moi.
— Dis donc mon cochon, tu bandes ? — Bah franchement, elle arrête pas de frotter, j’suis un sensible moi. Ça commence à durcir ! — Ah bah oui, je vois ça, espèce de pervers ... Tiens, voilà qui va te calmer !
Et d’un coup de bras, me balance par dessus le bateau. Je me retrouve dans l’eau fraîche de la rivière. Il éclate de rire ! Heureusement, l’eau est calme à cet endroit-là et j’arrive à regagner le canoë, faisant mine de vouloir remonter dedans. Mais je galère un peu. A la force de mes bras, je pose mon ventre sur le bord du canoë. Offrant ma raie à mère Nature. Sensation pas désagréable d’ailleurs, et je vois bien l’œil curieux de Thomas sur mes fesses blanches. Voulant m’aider, il me tend une main. C’est ce moment que je choisis pour le tirer à son tour dans l’eau. Faut pas déconner, chacun son tour ! Vengeance ! Il ne s’y attendait pas, mais avoue que ça fait du bien. Je tente à nouveau de remonter dans le bateau, me retrouvant dans la même position que tout à l’heure. Sauf que cette fois, je sais que Thomas est derrière moi. C’est sûr qu’il doit avoir une vue directe sur mon trou là.
J’essaye de m’accrocher à l’autre côté du canoë pour me glisser dedans, mais le gilet de sauvetage bloque. Je ne tarde pas à confirmer ce que je pensais. Thomas s’accroche à moi par les pieds. Petit à petit, à la force de ses mains, il remonte mes jambes, puis mes cuisses. Je sens son gilet de sauvetage me toucher les fesses. Sa tête est juste en dessus de mes fesses. D’un seul coup et en s’appuyant sur moi, mon compagnon de navigation se retrouve littéralement sur moi. Dans la même position.
— Qu’est-ce que tu fous ? — Bah, je te grimpe dessus ! Ça va m’aider !
Mais ce vicieux a en fait une autre idée derrière la tête puisque, après ces mots, il vient appuyer son bassin sur mon dos. Ce qui a pour effet de caler sa bite entre mes fesses. Il bande le coquin. La situation l’excite. Et moi aussi d’ailleurs. Tout en faisant semblant de vouloir remonter à bord, il exerce des va-et-vient avec sa queue. Je crois que je n’avais jamais imaginé ce genre de situation. Je tourne la tête pour le voir. Il sourit, je lui souris et me file un bon coup de reins. Ma bite bien dure tape contre le canoë, ça commence à me rendre un peu fou cette situation. Mais alors que notre petit jeu nous amusait vraiment beaucoup, on entend un tracteur au loin.
Au milieu des bois que l’on traversait paisiblement, un champ. Comme un réflexe : on se remet tous les 2 à l’eau, s’accrochant à notre embarcation l’air de rien. On agite les pieds, histoire d’avancer un peu sur la rivière et de pouvoir remonter tranquille sans être vu par qui que ce soit.
Remonté à bord, on se remet en place pour avancer un peu. Rires et taquineries accompagnent la suite du voyage, toujours complètement nus, mais un peu calmés par l’épisode du tracteur !Pour la pause de midi, on aperçoit une belle plage pas très loin, à droite. Comme il y a déjà des gens posés dessus, on se rhabille. Mais, on se dit que dès que l’on peut, on se refout à poil tellement c’est bon ! (Tu m’étonnes !)
On finit la balade tranquillement jusqu’en milieu d’après-midi où l’on se pointe au point d’arrivée. Retour au camping. On est un peu crevé par les 12 kilomètres à ramer. Thomas propose de se poser un peu et après, on se met une race. Ce n’est pas tous les jours qu’on se retrouve, et on aime bien boire un peu. Je sens que la suite de la journée va être bien bien excitante.
Dans cette perspective, une fois avoir vérifié que personne ne traîne dans le secteur, à peine montés sur la terrasse de notre bungalow, je me fous à poil. Étonné, Thomas me regarde bizarrement au début et puis :
— Bon, OK ! Allons-y franchement alors !
A ce moment-là, il s’approche de moi, enlève toutes ses fringues, et vient se plaquer un peu brutalement sur moi. Je me retrouve coincé entre la porte du bungalow et mon pote. Nos regards se croisent. Nos yeux traduisent notre trouble face à cette situation. Mais nos bites, elles, ne peuvent pas mentir : elles sont dressées, côte à côte, entre nos 2 ventres. Légèrement décalottée en ce qui me concerne. Complètement pour Thomas. Comme si elle attendait ça depuis longtemps. La tension monte, plus un mot, on se sourit. Regards coquins. A ce moment-là, tous les 2, on se demande ce qu’on est en train de faire. Pourquoi une attirance maintenant alors qu’on se connaît depuis tout ce temps ...
Mais on ne se laisse finalement pas le temps de réfléchir, puisque, lentement, doucement, maladroitement, nos bouches se cherchent. Et puis se trouvent. Ses lèvres sont tellement douces, nos corps sont en tension, collés serrés, encore plein de sueur de notre séance de canoë-kayak. Je me surprends à aimer cette situation. Ma langue ne peut d’ailleurs pas s’empêcher d’aller chercher la sienne. Je ne vais pas devoir forcer longtemps, il se laisse faire et nos 2 langues se retrouvent, s’entremêlent, pleine de salive, je joue avec la sienne, il joue avec la mienne. Ma bite n’en peut plus. L’excitation est à son comble. Thomas se recule et me dit : « Mec, je vais exploser. Depuis tout à l’heure, je suis surexcité. J’ai envie de me branler ».
Je lui propose de rentrer et d’aller sous la douche. Il acquiesce et on se retrouve dans la toute petite douche de la location. Il entre en premier, je le rejoins avec mon gel douche. J’ai du mal à entrer d’ailleurs. Sa bite est tellement dressée que j’ai l’impression qu’il va exploser dans la seconde. Je suis joueur, je prends donc les devants et commence à le branler. C’est la toute première fois que j’ai dans la main, la queue d’un autre mec. La sensation est bizarre, mais tellement agréable. Je fais de petits va-et-vient, lançant des regards coquins à Thomas.
— on est d’accord qu’on est en train de faire une connerie ? me questionne mon amant musclé. — Ah oui, tu penses que c’est une connerie ? On va voir si c’est une connerie !
C’est alors que je commence à le branler plus vite, en faisant des gestes bien amples et en lui roulant une pelle majestueuse dont j’ai le secret. Il se dandine, tente de parler, mais ne peut pas. Il essaye de s’écarter, mais c’est peine perdue dans cette toute petite cabine, il ne peut pas quitter mon entrave. J’en profite pour accélérer le mouvement.
— Ahhh ... je vais venir, t’es vraiment un enculé ! — Ah bah, ça, on verra plus tard.
Il ne peut plus résister et de très belles giclées de son sperme atterrissent sur mon ventre et ma main dans un râle viril et bandant. Sa tête en arrière, je le vois heureux, soulagé. Je nettoie le sperme. Je vais pour prendre le gel douche quand Thomas m’arrête net :
— Euh, tu crois que tu vas t’en sortir comme ça ?
Il me plaque contre la paroi de la douche (décidément, c’est une habitude !), lèche mes lèvres, mon menton, descend dans le cou (ma bite est à fond), donne des coups de langue saccadés sur mes tétons qui pointent instantanément, continue sa descente infernale, lèche tout mon corps imberbe. Il plie les jambes et enfourne ma bite dans sa bouche à ma grande surprise. Le bonheur ! Sa langue délicieuse se balade sur mon gland lubrifié. Il fait entrer et sortir ma bite entre ses lèvres. Cette sensation de baiser sa bouche me fait frissonner, mon sexe est gorgé de sang.
Je tressaille. Je voudrais que ça dure. Je baisse ma tête vers Thomas au moment même où il décide de lui aussi me regarder. Nos regards se bloquent, il continue de me lécher la bite pendant qu’on se regarde. Je me mords les lèvres. C’est la meilleure douche du monde ! Mon coquin de partenaire sait bien ce qui plaît à un mec : il titille mon frein. Je peux plus résister et lui dis que je vais venir.
Il se relève légèrement pour que je gicle sur son torse. Ce que je fais quelques secondes plus tard, sous un coup de branlette finale. Je balance tout. Je peux m’empêcher de pousser un cri de jouissance qui fait rire Thomas.
Un dernier bisou de remerciement et on se lave, toujours aussi collé du fait de la promiscuité de la salle de bain. C’est un plaisir de ne faire qu’un avec celui qui est comme mon frère. Remis de nos émotions, et sortis de la douche. On se retrouve sur la terrasse, seulement vêtus de caleçons (ouais, on ne sait jamais, faudrait pas choquer une p’tite vieille !)Une bière à la main, on se sent obligé de parler de tout ça ... Ce n’est pas banal ! On arrive à la conclusion que ça nous excite beaucoup, qu’il ne faut pas qu’on se prenne la tête, qu’on est 2 adultes, qu’on fait bien ce qu’on veut de nos corps et de nos sentiments et que ce n’est pas pour ça qu’on va être obligé d’en parler à qui que ce soit.
L’idée me plaît bien et je lui confie que j’avais déjà un peu fantasmé ce moment.
Thomas me révèle que lui, c’est autre chose qu’il avait déjà imaginé et que, si j’étais sage, je le saurais ce soir ! A la petite bosse de son boxer, j’imagine déjà l’effet que ça va nous faire. En attendant la suite, on se pose un peu ... Au soleil, à la cool ! Après cet après-midi remplie de sport et ... d’émotions !
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