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Poulet caramel

Chapitre 1

Recette de vacances et de plaisir

Hétéro
Cet été, Vénus, ma maîtresse depuis plus de 15 ans, est partie en vacances à Oléron. De là-bas, elle m’a envoyé un texto pour me révéler l’objet de ses fantasmes. Ça a donné un texte publié ici, ‘’vacances à Oléron’’. Elle est ensuite repartie une seconde fois, et bien évidemment son esprit coquin et son imagination fertile l’ont encore amenée à un autre fantasme après avoir croisé un autre homme. La seule différence est que ce coup-ci, c’est Elle qui a décrit et écrit ses désirs et ses envies. Ce texte est donc d’Elle.
En juillet il y avait eu Oléron mais bon... c’était dans la famille et pas vraiment des vacances me dit mon mari ! Alors c’est décidé, ma tablette sur les genoux, assise sur le canapé et je recherche... Et si on partait une semaine en Normandie ? Cabourg ou Honfleur ? Allez c’est parti pour Cabourg, une résidence juste à côté du golf et à 500 mètres de la mer. Réservation faite ! Vous connaissez la rapidité des filles pour acheter en ligne !
On décide de partir le vendredi 14 août au matin, cela évitera les traditionnels bouchons du 15 août. Les seuls bouchons que j’apprécie tout au long de l’année ce sont ceux en liège, pas de capsule pour nos petits vins blancs ! Où il n’y a plus ce petit bruit qui appelle à la gourmandise de déguster un petit chardonnay à deux, les yeux dans les yeux. J’adore !
Trajet sans soucis, nous évitons Paris, et arrivée vers 17h00. Nous prenons les clés et nous montons au deuxième étage, sans ascenseur...
« Eh merde je n’aurais pas dû faire une valise aussi lourde »
Nous nous installons, vue sur le golf, tranquille, et nous repartons aussitôt remplir le frigo. Des vacanciers, ça mange, pas de pause, surtout pour mon mari. Un petit en-cas pris vite fait, huitres et salade, moi il me manque un bon expresso ! Alors je lui suggère :
« Tu viens on va faire un tour dans le centre de Cabourg ? »
Il est toujours d’accord, surtout que lui ne s’arrête pas à un café. Nous arrivons, une longue rue pleine d’effervescence, de boutiques et de masques. s... de COVID, tout le monde le porte, enfin presque.
En déambulant, je remarque une jolie pâtisserie avec une vitrine alléchante, mon mari y porte un intérêt certain et entre pour choisir. Il s’agit de mini-kouign-amanns brillants à souhait avec des parfums comme rhum raisin, citron basilic. Hummm, bon oui, les puristes de Bretons calmez-vous ! Il n’y a pas qu’un chemin pour mener au plaisir ! Je suis moi-même collée à la vitrine pendant que mon mari est à l’intérieur.
Tiens des CRS surveillent le port du masque, c’est sûr qu’avec tous les touristes... Ils passent devant le magasin quand un des trois ‘’cuir man’’ se retourne et arrive vers moi en disant
« hummm il y a des choses fort intéressantes ici ». Je le regarde... waouhhhh ! Un métis à tomber, belle musculature, joli sourire...
Bon reprends tes esprits ma poule... Je le regarde et lui lance « je vous confirme, je suis collée à la vitrine ! »] Il rit et me réponds « vous voulez peut-être de l’aide pour faire cesser cette addiction ? »Ma réponse ne tarde pas « Dit si gentiment je ne peux décliner ». Il me renvoie un grand sourire quand son c... de chef arrive vers nous, me regarde et lui dit « Bon c’est les gâteaux qui te bloquent ou la dame ? Car elle porte bien son masque ! Tu viens on continue » Mon fantasme m’adresse un dernier sourire en disant « Bon et bien le chef a toujours raison donc... bonne soirée et n’abusez pas » en me montrant la vitrine.
Trois minutes après, je suis toujours collée à la vitrine, trouvant un peu long le service, quand je vois mon beau métis revenir vers moi avec une foulée sportive et rapide. Il me tend un post-it que je saisis et où je lis « demain soir même heure, même endroit, je vous invite à une dégustation de kouign-amann... » et son portable, 06.22.33.44.55. Ne rêvez pas, ce n’est pas le bon numéro, je ne cède pas aussi facilement le 06 de mes fantasmes...

Mon mari est au milieu de la rue et me fait signe « ma puce ». Je ne l’ai même pas vu sortir de la boutique... Je le rejoins et nous allons boire un cocktail. C’est les vacances, on se lâche un peu et je rêve beaucoup.
Dans ma tête je pense ne jamais pouvoir réussir à honorer cette invitation à déguster le kouign-amann, impossible ! Quand tout d’un coup, un flash ! j’ai vu dans une revue il y a une course de chevaux en nocturne à DEAUVILLE demain soir ! Yes Yes yes... Je ne perds pas une seconde et le propose à mon mari, grand amateur de courses. Il hésite deux minutes en me disant « Mais tu vas être seule ma chérie ». Moi je réplique « Non si tu veux tu me laisses au centre de Cabourg et je prendrai le bus de ville pour rentrer »
Il est d’accord, Yes Yes yes... Je commence à me faire mon film et m’endors en pensant à ma soirée. Le lendemain matin, mon mari est parti à la boulangerie, je prends mon téléphone et décide d’envoyer un SMS «Je craque complètement à l’idée de la gourmandise de ce soir... J’y serai ». La journée est longue, très longue... Je décide de porter une jolie robe portefeuille bleu marine, joliment croisée sur mes seins, et des escarpins à brides, et dessous, très important, un bel ensemble corbeille Aubade noir et gris. Nous partons pour la journée, et toute la journée je pense au Kouign amann... Enfin, pour être honnête, plutôt au joli métis. Avant les CRS m’énervaient, maintenant ils m’excitent terriblement.
En toute fin d’après-midi mon mari me dépose, et en traversant je me regarde dans le reflet des vitrines, je veux juste vérifier si je suis jolie et bandante. Moi je trouve que oui. Bon je suis un peu fébrile quand même en me disant que je pars retrouver un inconnu, mais je me rassure de suite en me disant qu’il ne va pas faire n’importe quoi, qu’il est basé pour les vacances à Cabourg et que je ne risque rien.
J’arrive à la pâtisserie, deux longues minutes d’attente et il arrive, je guettais le bout de la rue et il sort de la pâtisserie. Encore plus beau qu’hier ! si, si ! Ce doit être mon désir, je ne suis peut-être plus objective. Il m’adresse un bonjour avec un joli sourire, il est encore en tenue, vient de finir sa journée, donc il garde sa réserve.
Il me propose que l’on se retrouve à l’hôtel ‘’les bains de Cabourg’’ pour prendre un verre, il a déjà à la main un carton de la pâtisserie. Nous arrivons au bar de l’hôtel, nous avons pris une petite rue parallèle et surtout tranquille, nous discutons tous les deux de tout et de rien de nos vies, avec de bons moments de fou rire, il a beaucoup d’humour comme j’aime.
Je suis conquise et devinez ce que je dévore des yeux ? Lui bien sûr, pas les gâteaux ! Nous attaquons notre deuxième cocktail, rhum Caïpirinha, il se rapproche de moi, je sens presque sa cuisse contre la mienne, je suis en ébullition ! Traduction : j’ai très envie de lui. Je regarde mon smartphone il est déjà 22h00.
En arrivant à l’hôtel, j’avais prétexté la nécessité de me rafraichir et j’étais passée à l’accueil. A mon tour, je sors un post-it de mon sac et j’écris : « dans cinq minutes chambre 108, ou pas ! » Je lui tends le post-it, il est surpris, le lis et me retourne un grand sourire. Je me lève, lui dis au revoir, mais je pense que dans 4 mn 45 secondes, il sera derrière ma porte. Je prends l’ascenseur, arrive à la chambre, passe à la salle de bains, un peu de trésor de Lancôme, et on frappe déjà...
J’ouvre et il me dit « je ne voulais pas arriver en retard, un beau moment dans la vie d’un homme cela ne se refuse pas ». Je lui réponds « un beau moment vous le direz après, ou pas ! ». Sa réponse fuse de suite « je n’ai aucun doute ». Il n’a pas le temps d’en dire plus que je repousse la porte, et l’embrasse d’une façon gourmande, ses mains glissent d’abord dans mon dos, puis une de ses mains descend et se pose sur ma hanche. Les miennes sont dans son dos, je le serre, je me colle à sa belle musculature, je me frotte contre lui, je peux sentir qu’il bande déjà, et ça m’a l’air ‘’prometteur’’.
Pendant que je le regarde droit dans les yeux, je fais sauter un à un les boutons de sa chemise, il est beau, une peau couleur caramel, elle donne envie de sucer ! ohhh, pardon je parlais du caramel. Sa main remonte contre ma taille et vient caresser mes seins, elle glisse sous ma robe, il m’excite, je mouille déjà. J’ai une envie folle de lui, je tombe à genoux, les yeux au niveau de sa ceinture, une jolie bosse dans son pantalon, je descends la fermeture et vais chercher sa belle queue, la nature l’a bien doté...
Une belle queue large épaisse, de belle taille, et caramel. Il cumule ! Je ne tiens plus, je m’approche, la lape doucement, la regarde à nouveau, ma langue le titille et tourne autour de son gland. Je descends doucement sur la hampe, je n’arrive pas jusqu’au bout et elle bute déjà au fond de ma gorge, et là je pense au moment où il va me prendre... waouhhh ! Je l’avale encore goulûment, pour après alterner avec une caresse toute légère.
Je me relève, doucement il dénoue ma robe, elle s’ouvre découvrant mes seins arrogants et tout ronds, sa main glisse sous la dentelle et me caresse, je mouille sous cette caresse. Il enlève mon shorty qui tombe sur mes chevilles. Je le jette au loin d’un mouvement de la jambe, me rapproche du balcon, la fenêtre est ouverte et donne sur la promenade au bord de la mer. Je regarde la mer les mains sur le balcon, pas de voisins...
Je l’attrape par la hanche et l’invite à se coller contre moi, sa grosse queue épaisse pousse entre mes cuisses et viens se frotter à ma chatte humide, il glisse avec de jolis mouvements de va-et-vient, là je craque je veux qu’il me baise là tout de suite, je rêve d’une belle queue métisse, je l’ai, j’en profite. Je la saisis et la guide à l’entrée, je me penche vers le balcon, il me saisit par les hanches et d’une belle poussée il me baise. Des mouvements amples et torrides. Le moment est animal, je serre les dents non pas pour ne pas jouir, mais surtout ne pas m’exprimer ! Oui juste en dessous tout le monde se promène sans penser que quelques étages au-dessus, c’est orgasmique.
Il a gardé sa tenue, juste le pantalon ouvert, et l’image de sa grosse queue à ma disposition, cela m’excite terriblement. Je préfère les CRS dans cette position qu’au bord de la route. Je vais jouir comme une folle emmanchée profondément sur sa belle bite, mon corps est chancelant, je n’arrive plus à tenir le balcon. Je jouis, lui aussi, dans un petit grognement retenu...
Nous finirons par une douche et des mains partout. Nous n’avons plus beaucoup de temps, il me propose de me reconduire à ma résidence, j’accepte volontiers il est minuit trente mon mari rentre vers 1h00 du matin. Il me dépose, un dernier baiser et je lui lance « J’adore mes vacances à Cabourg ». Je vais dormir comme un bébé, épuisée par le plaisir, et le lendemain matin mon mari arrive avec du pain frais et un café en me disant « Ma puce il est déjà 9h00 et tu dors encore ».
Je lui adresse un joli sourire en guise de réponse, en repensant à ma nuit, et qu’hier soir j’ai fait mentir l’adage qui dit que l’ennui naquit un jour de l’uniforme ôté...
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