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Pouliche en chaleur

Chapitre 1

Divers
En plein mois de juillet, l’air de la campagne commence a être chaud et pesant. Les chevaux broutent paisiblement l’herbe un peu sèche, dans les champs de Normandie autour du centre équestre de l’Olivier.
Bizarrement, on ne croise pas grand monde cet après-midi même dans les écuries. Peut-être à cause de la préparation du grand prix Classic Summer Tour. Ils ont dû partir à Fontainebleau se dit Virginie Perez, la jolie cavalière de trente trois ans accompagnée de Mambo.
Ces deux-là sont inséparables. Le jeune Holstein à la robe marron claire, reste toujours docile avec la jeune blonde au caractère bien trempé. Cette femme séduisante en a fait de longues balades avec lui. Elle connaît chaque recoin des alentours de La Barre-de-Semilly. L’endroit est calme, et aspire à la sérénité. Loin du stress quotidien de l’agence de communication Creativ Conseil, où elle travaille depuis dix ans déjà.
Pourtant aujourd’hui son fidèle compagnon semble plus nerveux que d’habitude. Les juments urinent davantage et ont la queue qui fouette l’air, pour les connaisseurs c’est un signe qui ne trompe pas...
– Tes copines réclament ta présence on dirait ?! lance-t-elle en lui caressant la crinière.
L’étalon s’ébroue affectueusement en faisant souffler ses naseaux. Il opine de la tête comme pour lui répondre par l’affirmative.
– Oh... toi tu as besoin de caresses. Attends un peu que je te lave au jet d’eau avant tu veux bien ?! dit-elle en riant gentiment.
Les sabots claquent sur le sol en ciment gris fissuré par le temps. Nos deux amis passent sous la grande charpente en bois des écuries couvertes, pour rejoindre l’autre côté du hangar.
Des filets jaunes à l’odeur âcre serpentent sur la pierre tiède mélangés à de la paille. La porte d’un box claque violemment. Un verrou rouillé par le temps se ferme en grinçant avec difficultés, ouf finie la corvée se dit Anthony le palefrenier en sueur.
– Bonjour Madame Perez ! salue en parlant par le nez le jeune homme de 25 ans.
– Oh Anthony ne m’appelle plus Madame depuis le temps... en plus ça me vieillit tu sais... lance-t-elle amicalement.
– Bien Madame la prochaine j’ferai attention... promis ! répond l’autre sur un ton gêné en piquant son fard devant la jolie femme se tenant près de lui.
Virginie se retourne dévoilant son superbe fessier bien mis en valeur dans son pantalon beige. Ses longues bottes de cuir noires terminent avec élégance ses jambes fuselées à merveille. Anthony en profite pour mater son cul discrètement tout en s’appuyant sur le manche de sa large pelle métallique.


Le pauvre en fait des rêves presque nuit et jour. Logé sur place gracieusement, Il lui arrive de se branler plusieurs fois dans l’obscurité en repensant à cette ravissante femme qui hante son esprit. Le seul ennui c’est que le matin il se relève dans des draps poisseux. Pour couronner le tout, les tâches sont tellement difficiles à faire disparaître qu’il faut s’armer de patience même avec de l’eau chaude... Heureusement que personne ne vient le déranger dans sa vétuste garçonnière.
– Tiens au lieu de rester là... amène-moi le jet d’eau si tu veux bien, je vais laver Mambo ! ordonne-t-elle en tournant la tête.
Le benêt obéissant déroule le long tuyau jaune en plastique souple. Puis d’un geste machinal ouvre le robinet d’un quart de tour. L’eau coule lentement sur la dalle en faisant une flaque qui s’étend doucement.
La jeune femme se baisse, elle en faisant bien attention de ne lâcher la longe noire tressée reliée à son jeune étalon un peu agité. Prenant soin de ne pas se tremper elle-même, Virginie de l’autre main tient le tuyau fermement et oriente le jet d’eau froide d’abord sur les sabots de Mambo.
– Vous avez vu Madame Ah Ah ?! Il a l’air content vot’cheval regardez bien en dessous !... ricane le palefrenier buste incliné en avant comme pour mieux voir la chose.
En effet l’appendice de chair rosé, tacheté de noir par endroits, commence à prendre vigueur entre les jambes de l’animal. La scène en devient presque gênante. La blonde ne sait plus ou se mettre, elle tente même d’arroser le bout du membre viril qui continue de gonfler furieusement... Hélas sans succès...
Après la brève séance de toilettage, Mambo est instamment prié de regagner son box au plus vite. Faussement outrée, Virginie le prend par le licol pour le forcer à rejoindre sa litière de paille fraîche.
– Je vais rester un peu avec lui histoire de le calmer ! lance-t-elle à Anthony lui faisant comprendre qu’il est fortement invité à se changer les idées ailleurs.
Satisfaite de sa petite supercherie, elle entend les pas nonchalants s’éloigner dans la cours principale en gravier. Finalement ce gros lourdaud a enfin capté ce qu’on lui demande aujourd’hui. Ouf ! Je vais pouvoir enfin être tranquille un moment se dit-elle.
Sa main dessine avec sensualité la croupe frémissante et tiède de Mambo.Tout en observant le pénis impudique encore tendu Virginie utilise la brosse de crin pour lisser la robe de l’animal. Elle aime cette vision lubrique, soudain un doux tressaillement lui parcourt toute la colonne vertébrale : qu’est-ce qu’elle est grosse tout de même ! Si je pouvais seulement la toucher... Oh !...
Comme pour vérifier si personne ne rôde dans les parages, elle lève la tête par-dessus la demie porte en bois, et scrute furtivement. Tout paraît désert, le hangar est silencieux, l’autre a dû se rafraîchir dans la longère. Quelques fois il se saoule en cachette avec de la bière achetée à la supérette du village voisin. Ce ne serait pas la première fois. Oublions le ! Il y a une autre priorité ne traînons pas...
– Mambo tu sais ce qui t’attend ?! je suis sûre que tu es encore plus excité que moi ?! Je me trompe... hum petit cochon !... murmure-t-elle une main déjà sur le membre phallique proéminent.
L’étalon sent la caresse douce et experte de Virginie. Elle le branle avec aisance de la main droite. De l’autre main elle n’oublie pas de s’occuper amoureusement des testicules qui pendouillent comme deux grosses figues trop mûres. L’animal au bout d’un moment habitué à se laisser choyer commence à gigoter et pousse des hennissements sans équivoque.

– Du calme ! Hum tu vois, je n’allais pas te laisser toute la journée à souffrir ainsi ! lui dit-elle en l’embrassant sur la croupe.
Les doigts agiles enserrent le gland décalotté de chair rose en forme de champignon, pour opérer des va-et-vient de plus en plus prononcés. Virginie sent elle aussi monter un désir immoral, ce n’est pas sa culotte trempée qui dira le contraire. Elle se tortille en serrant les cuisses. Son pantalon trop serré est un véritable supplice.

– On va allez plus vite si tu veux bien d’accord ?! murmure-t-elle noyée d’excitation.
La bite de l’animal accepte voluptueusement ce changement de rythme, Mambo commence à remuer dangereusement, difficile de se calmer avec une maîtresse aussi affectueuse. Les veines violacées se gonflent et s’échauffent remplies de sang bouillonnant. Les pulsations cardiaques s’accélèrent. Le moment approche !
– Voilà je sens cette fameuse odeur bizarre ! C’est bien tu prends ton pied petit salaud ! s’écrie Virginie en continuant les mouvements saccadés, presque à bout de force.
Le jeune étalon s’immobilise. Son membre décalotté se dresse une dernière fois vers le haut avec une telle vigueur ! L’arrivée d’une vague de chaleur délicieuse parcourt la totalité de sa tige en ébullition, annonçant le début d’une délivrance tant espérée.
– Oui voilà ! C’est trèèèès bien ! tu l’aimes ta maman hein mon cochon ?! lance joyeusement Virginie qui sent déjà la crème poisseuse lui couler sur les doigts.
C’est fou comme un cheval peut expulser autant de semence d’un seul coup. Je ne m’en remets jamais, c’est toujours aussi spectaculaire. Heureusement que ce n’est pas parti sur mon pantalon, j’y ai échappé de peu cette fois-ci...
En petite gourmande, elle se presse pour savourer le nectar de l’animal si particulier. Sa langue s’attarde sur chacun de ses phalanges souillés de sperme chaud. Hum c’est mon petit dessert de l’après midi ! Déclare-t-elle en suçant langoureusement son indexe comme un sucre d’orge.
Une fois la besogne accomplie minutieusement, Virginie a bien envie de s’occuper d’elle à présent. D’un geste familier, ses deux mains font glisser de chaque côté son pantalon moulant à mi-cuisse. Sa petite culotte trempée s’arrête au même niveau. La voilà les fesses à l’air, sa chatte peut enfin respirer librement. Un petit vent frais parcourt délicieusement les poils drus de sa toison blonde.
Courbée pratiquement à l’équerre, les bras tendus au maximum, elle sert le bord de la grande mangeoire galvanisée pour se tenir en équilibre. Ses jambes s’écartent d’un bon mètre, puis Virginie redresse son joli petit cul bien en hauteur comme pour se faire pénétrer en levrette par un mâle. La position est parfaite.
Pendant que ses longs doigts branlent amoureusement sa fente, le pouce quant à lui effectue des petits cercles concentriques sur le sommet chatouilleux de son clitoris rougeoyant. Cette petite distraction sensuelle ne serait rien, si la belle cavalière ne sentait pas son étalon lui renifler les fesses en même temps. Quel délice !
Mambo, sûrement excité par l’odeur singulière de la cyprine, fouille du museau le postérieur galbé de la jeune femme blonde en pleine action. Ses larges naseaux envoient un souffle chaud très agréable sur les courbes laiteuses, provocant ainsi des frissons savoureux.

– Oh oui continue de me renifler en profondeur ! Tu sais que j’adore ça !...
Le cheval n’obéissant qu’à son instinct, le voilà qui sort entièrement sa langue râpeuse et gluante. Il commence à lécher activement la fente du fessier remuant de Virginie. Comme pris d’un appétit vorace, le jeune étalon continue son action avec plus d’assiduité, et semble même y prendre un plaisir absolu.
– Oh que c’est bon, continue de me lécher le petit trou ! Allez Mambo, surtout ne t’arrête pas ! lance-t-elle toute essoufflée.
Virginie s’appuie désormais sur la mangeoire des deux mains, les bras tendus au maximum. Son corps se cabre complètement, ses fesses ondulent de bas en haut pour faciliter le passage de la langue un peu trop curieuse. Sa petite rondelle semble apprécier ce changement, quant à sa jolie fente poilue je vous laisse deviner.
La belle cavalière se retourne un peu pour contempler son partenaire. Il pousse de plus en plus en fort sa lourde de tête comme attisé par des pulsions bestiales. Virginie note alors, que le pénis du cheval a repris une vigueur progressive.
– Mais tu bandes à nouveau ! Oh... mais tu vas me faire... ! Cette simple image lui envoie une décharge électrique dans le bas-ventre.
La jolie blonde se mord la main pour ne pas crier. Un long filet transparent serpente le long de ses cuisses pour terminer sa course à l’intérieur de son pantalon beige. Une fois encore, sa bouche hurle par petits gémissements traduisant plusieurs jouissances successives indescriptibles. Imperturbable, l’animal continue de lécher la magnifique raie des fesses humide à souhait, sans se soucier du reste.
– Oh mon amour stop ! Ouh pitié tu vas me faire défaillir !...
Les yeux encore dans le brouillard de l’orgasme, Virginie se rhabille fébrilement, sans même prendre le temps d’essuyer son entrejambe. Toute tremblante, encore sous le choc, elle saisit son sac à dos et prend la peine d’embrasser le fidèle animal sur le front en guise d’adieu.
Vite, il ne faut pas trop traîner ici. Elle flanque la porte du box d’un coup sec, tout en prenant soin de ne pas oublier de fermer le fichu verrou rouillé un peu dur. Personne en vue, Virginie jubile d’avoir pris ce genre de plaisir immoral en toute discrétion.
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