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la poupée russe

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Norbert vivait  seul. Paysan, fils de paysan, il entretenait péniblement la ferme des Clos, l’héritage familial avec fatalisme. Peu après ses 60 ans, sa mère mourut et avec elle, disparut la dernière personne proche de lui
C’est à cette époque qu’il fit installer Internet. La révolution numérique croisa son existence morne. Les premiers temps furent compliqués mais il réussit tant bien que mal à apprivoiser le bousin, comme il disait. Il écuma les sites pornos pour donner un quelconque relief à sa misérable vie sexuelle.
Au hasard de ses errances électroniques, il croisa un site russe regorgeant  de femmes qui cherchaient à échapper à la misère. Il y en avait des centaines, pour tous les goûts. Cette opportunité le fascina. Il finit par jeter son dévolu sur une gamine de 22 ans, Ilga. Elle ressemblait à un garçon, mince sans formes cheveux courts. Google translation lui permit d’inventer une communication avec la fille qui vivait en Sibérie.
Norbert mentit gravement sur son âge et lui expliqua qu’il souhaitait se marier pour donner un avenir à sa ferme. Il lui envoya quelques photos de lui, vieilles de plus de 20 ans, et la fille accepta  au bout de quelques temps  le principe d’une vie commune avec lui. Il lui paya le voyage et alla la récupérer à la gare du bled le plus proche.
La fille ne le reconnut pas quand il vint la chercher tellement la réalité différait des images qu’il lui avait transmises. Elle eu un temps d’hésitation avant d’accepter finalement de le suivre dans la vieille bagnole. Lui était ravi, la fille correspondait complètement à ses attentes. Longiligne,blonde, elle mesurait un mètre soixante dix, pas de seins ni de fesses proéminentes ; une garçonne.
Les débuts furent assez ordinaires. Ilga travaillait à la ferme, il la baisait plus ou moins, selon son humeur. Elle se révélait docile. La conversation se résumait à quelques mots du quotidien, pour le reste les gestes suffisaient. Au bout de quelques mois il l’épousa comme convenu. A partir de là la vie d’Ilga bascula. Norbert commença à la chosifier ou plutôt à la traiter comme un animal de ferme.
Il passait toujours autant de temps sur internet mais ses recherches avaient changé d’objet. Ce qui l’intéressait maintenant c’est tout ce qui était lié aux modifications corporelles. Norbert exigea d’abord qu’elle garde le cheveu court. Il acheta une tondeuse et l’obligea à se raser le crane chaque semaine. Dans le même temps il la fit aménager dans un réduit accolé à la ferme. Le mobilier se résumait à un lit, une paillasse plutôt. Bon prince il lui installa une douche et une toilette. Le soir il l’enfermait à clé et ne rouvrait qu’au petit matin.
Il limita son alimentation et la fille naturellement mince devint rapidement osseuse. Il vit avec envie ses côtes apparaître. Les seins menus n’étaient plus qu’un souvenir, seuls subsistaient ses tétons qui formaient comme des verrues sur sa poitrine flasque. Les hanches étaient saillantes et un espace de quelques centimètres s’était formé entre ses cuisses. Curieusement son  anus semblait s’enfoncer entre ses fesses maintenant plates. Il la pesait tous les matins et ajustait ses rations pour la limiter à un poids de 45 kilos. Elle mettait maintenant du 36 quand il fallait l’habiller.
Norbert avait trouvé des filles anorexiques sur Internet et il était ravi qu’Ilga leur ressemble autant. Il faisait d’elle des photos qu’il postait ensuite avec fierté sur le forum du site en question. Sexuellement il exigeait qu’elle soit nue dans son réduit et il venait le soir, de moins en moins souvent, pour une sodomie la plupart du temps ou une fellation. La jouissance passait il repartait, l’enfermant comme il le faisait avec ses animaux.
Il lui fit pratiquer ensuite une épilation électrique intégrale qui lui coûta fort cher mais le ravit. Voir sa chatte lisse en permanence était pour lui fort agréable. L’étape suivant consista à lui faire poser chez un tatoueur des annaux sur les tétons ainsi que sur les grandes lèvres. Il pouvait ainsi poser un cadenas qui barrait l’entrée de son vagin. Le travail fut achevé avec la pose d’un clou qui traversait la hampe du clitoris. Norbert prit des photos et les posta, ce qui lui attira les félicitations des cinglés du site.
Il négocia ensuite quelques tatouages : un dragon vint faire le tour du mamelon gauche, un entrelacement de serpents descendit du dos de la fille vers ses reins et il fit tatouer Ilga en lettres gothiques sur son pubis, une fois teinte en brune il considéra le travail de modification achevé. Il était fier de son œuvre quand il la contemplait ainsi. Il ne restait plus qu’à la montrer.
Norbert trouva sur un site un club sadomaso et il décida d’y amener  sa chose. Il lui fit porter pour l’occasion un collier de cuir, assorti d’une laisse métallique. C’est ainsi qu’il pénétra dans le Maxiclub. Les clients et clientes furent enchanté par cette nouveauté et le félicitèrent pour la qualité de sa présentation. Norbert était ravi. Il attacha Ilga qu’il avait complètement dénudée à un poteau et alla boire quelques bières au bar.
A son retour il trouva la fille entouré d’un groupe des deux sexes. Il s’approcha et vit une femme d’une large soixantaine d’année, occupée à tirer sur les anneaux de seins de la fille. La russe se tortillait sous la douleur. La vieille, accoutrée de cuir,  prit Ilga par la laisse et l’emmena docilement dans un autre pièce dans laquelle trônait une croix de Saint André. Elle l’attacha bras et jambes écartés face au public, puis lui mit un bandeau sur les yeux. La sexagénaire se dénuda alors complètement laissant apparaître des formes lourdes et grasses qui contrastaient avec la maigreur de la jeunette.
La vieille entreprit de griffer Ilga, s’attardant sur la sa poitrine, son ventre et ses cuisses. La russe se tordait maintenant en gémissant, tentant d’échapper sans succès aux ongles savamment aiguisés. Elle se mit à hurler franchement quand l’autre prit son téton entre ses dents et commença à la mordre. Elle ne lâchait pas. Robert saisit le sourire sadique de la vieille que la situation excitait visiblement beaucoup. Elle renouvela l’opération sur l’autre téton tout en tirant sur les anneaux des grandes lèvres, qui se distendirent à l’extrême , arrachant de nouveaux gémissements à la gamine.
La vieille avait saisit une flasque d’huile additionnée de piment et elle entreprit d’en couvrir le corps décharné d’Ilga, insistant sur la chatte. Avec deux doigts  elle lui écartait les grandes lèvres tandis qu’elle faisait glisser son majeur et son index dégoulinant sur puis dans son vagin. Une fois Ilga totalement lubrifiée la vieille s’agenouilla devant elle et commença à introduire deux puis trois doigts dans sa chatte. Elle tournait méthodiquement sa main pour élargir les chairs. La russe hurlait tellement, qu’il fallut lui poser un baillon.  La petite femelle était très étroite et tremblait de tout son corps au gré de cette intromission imposante.
Après quelques minutes, la vieille réussit à introduire quatre doigts dans la chatte distendue. Lentement elle glissa son pouce à l’intérieur de sa paume, toujours tournant sa main et progressa ainsi à l’intérieur du ventre de la captive. Dans un dernier spasme celui-ci accepta finalement le poing de la vieille. Celle ci était ravi, elle fit aller sa main fermée au plus profond du vagin de la fille et entreprit de la pistonner sans ménagement. Ilga bavait abondamment cherchant des yeux un secours improbable. La scène dura fort longtemps, jusqu’à ce ce que la russe atteinte de contractions violentes se mette à pisser sur le bras qui l’enfilait. Elle vagissait, tirait sur ses liens dans tous les sens. Ses cuisses et son ventres furent agités de spasmes désordonnés pendant plusieurs minutes au delà de l’étreinte de la vieille qui avait fini par retirer sa main.
Norbert était ravi, il récupéra sa russe pantelante, remercia tout le monde et reprit la route. Ils revinrent souvent dans cet endroit. A chaque session Ilga avait droit aux plus divers outrages pour le plaisir des habitués des lieux. Ils vécurent ainsi, lui heureux, leur vie partagé entre les joies de la ferme et les plaisirs du samedi soir. Ils n’eurent pas d’enfants
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