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Poupée vaudou, inceste et Amour

Chapitre 1

Une poupée trop puissante

Inceste
Chère communauté Xstory. Après plusieurs années à lire quotidiennement des histoires sur ce merveilleux site, j’ai décidé de moi aussi proposer mes histoires originales et coquines. ;)
Mes histoires favorites sont celles sur l’inceste, qui lorsqu’elles sont bien construites, imaginées ou racontées, offrent de très excitants récits mêlant beaucoup de séduction et d’interdits. Je vous propose donc ici ma première histoire, un récit entièrement sorti de mon imagination. J’ai essayé de faire un texte un peu plus original, pour ne pas proposer un récit ressemblant à d’autres, donnant cette impression de répétitivité des récits que j’ai pu observer parfois. Je vous souhaite donc une bonne lecture, espérant réussir à vous exciter tout autant à sa lecture que j’ai pu l’être durant son écriture. N’hésitez pas à partager votre avis sur ce dernier, je tacherai de les lire.
T-Bone


Je m’appelle Arnold, surnommé Nono par tous mes proches. Je suis un étudiant de 22 ans, vivant dans une petite ville française. Je vais vous raconter comment j’ai réussi à faire l’amour avec ma sœur et à ma mère.
Alors que je rentrais chez moi, prenant le bus comme tous les soirs, un violent orage nous imposait une pluie torrentielle et un ciel zébré des éclairs blancs comme la lune. Une fois à mon arrêt, signalé juste par un poteau aux couleurs de la compagnie de bus, je me mis à courir pour commencer à rentrer chez moi et me retrouver au sec. Ayant encore une trop grande distance à parcourir, je rentrais dans la première boutique que j’ai rencontrée, celle d’un vieil antiquaire. Quitte à rester bloqué jusqu’à ce que la pluie s’arrête, autant faire le tour des babioles présentes dans cette boutique. J’y trouverai peut-être même une idée de cadeau pour l’anniversaire prochain de ma mère.
Tout est recouvert de poussière. Même la poussière semble être antique. Il y a aux murs de vieux tableaux, cadres et tapisseries, et le long des murs des meubles de différentes tailles et de différents âges. Devant le comptoir, quelques vieilles radios, vases et sculptures. Au fond de la boutique, j’aperçois une boîte en bois gravée, dépassant d’une très vieille poussette. J’ouvre la boîte et regarde à l’intérieur... A l’intérieur du couvercle étaient gravés divers symboles et le mot anglais "Vaudoo". Au centre de la boîte, il y avait une poupée en tissus, visiblement rembourrée de coton. Cette dernière est de taille moyenne, semblable à la taille d’un ours en peluche, et est nue et sans cheveux. A mon plus grand étonnement, elle est très réaliste quant aux proportions des membres par rapport au reste du corps, la faisant ressembler à un humain rétréci. Au moment où je m’apprêtais à saisir cette dernière, j’entendis un bonjour. Le propriétaire de ma boutique me regarda, et déclara.
— Heureusement qu’il y a eu cet orage, cela fait bien longtemps que je n’ai pas eu de clients.
On échangea un sourire. Il me demanda en quoi il pouvait m’aider. Je refermais la boîte et la saisis pour lui demander combien elle coûtait. Je la trouvais étrangement attirante, et pensant qu’il ne la vendrait pas des fortunes, j’étais prêt à l’acheter pour en faire un élément de décoration dans ma chambre. Je lui tendis la boîte en lui demandant sa valeur.
— Cet article ? Hum, étrange objet que voilà jeune homme...
Je lui demandais pourquoi.
— C’est l’un des premiers articles que j’ai mis en rayons, il y a 40 ans, c’est un homme qui voulait absolument s’en débarrasser, criant sous tous les toits qu’elle était très puissante et que cela lui faisait peur. Bref, je n’ai rien compris à son charabia sur cette poupée, je l’ai récupéré et posé dans cette poussette et n’y ai jamais vraiment retouché. Je te la vends pour 5€.
Je payais le monsieur et le remerciais. Voyant que la pluie avait fini par s’estomper, je m’apprêtais à ressortir de la boutique pour rentrer chez moi, la boîte dans les bras. Au moment de franchir la porte, j’entendis le vieil antiquaire me dire :
— Si cet homme avait peur de cet objet il y a 40 ans, c’est que soit il était fou, soit il y a quelque chose qu’y ma échappé la seule fois où je l’ai examiné. Faites donc attention avec cet objet jeune Homme.
Une fois rentré dans ma chambre, j’ouvris la boîte, posée sur mon lit, et examinais la poupée. Elle n’était pas des plus belles, mais avait un certain charme. Son visage était inexpressif, neutre. La poupée en elle même n’était ni un homme ni une femme, elle était de sexe neutre. Posant la poupée sur mon oreiller, je jetais un coup d’œil à la boîte. Elle était en bois sombre, presque noire, et gravée dessus comme sur les côtés de diverses formes géométriques. A l’intérieur, je touchais une gravure, située sous l’emplacement d’origine de la poupée. Un cercle gravé dans la boîte. Une fois le tour du cercle terminé avec mon doigt, j’entendis un petit clic. Cela a ouvert un compartiment caché sous la boîte. Très fin, ce dernier ne contient qu’une feuille de papier, avec des écritures fines faites à l’encre rouge. 4 lignes seulement figurent sur cette feuille :
1) Mettez la poupée dans la boîte 2) Mettez la photo de la personne que vous désirez dans la boîte 3) Fermez cette dernière et attendez que la lumière émanant de la boîte disparaisse4) Amusez-vous.
Entre l’inscription "Vaudoo" et cette notice d’utilisation, j’étais maintenant persuadé qu’il s’agissait d’une poupée Vaudou. Plein d’idées d’utilisation de cette dernière venaient de poper dans ma tête.
Je déteste réellement mon père, au point que c’est de la haine sous sa forme la plus pure. Une haine de ce personnage qui est tout l’opposé de moi. Violent, raciste, homophobe. Il s’énerve à la moindre frustration et s’embarque dans violence sans limites. Il a déjà frappé ma mère et ses enfants, moi et ma sœur, car on l’énervait et, car il était ivre, comme presque chaque soir. Je n’avais qu’une hâte encore hier, fuir la maison, et m’éloigner de lui. Depuis cet après-midi, j’entrevois toutes les possibilités de tortures que je peux lui infliger pour me venger sur lui.
Je décide donc de poser une photo de mon père avec la poupée dans la boîte, et ferme cette dernière. Une intense lumière bleue émane de la boîte une quinzaine de secondes, avant de s’estomper. Je rouvre la boîte. La poupée a pris l’effigie de mon père, dans les formes de son corps, la couleur de la peau ou des cheveux. Nue, cette poupée est maintenant dotée d’une bite et d’une paire de couilles. Il apparaît les mêmes cicatrices et tatouages que ceux qu’a mon père, aux mêmes endroits. Des cheveux avaient bel et bien poussé sur le crâne de la poupée, pour donner la coupe que mon père aborde en ce moment, c’est-à-dire une coupe moche qui ressemble à une coupe mulet.
J’entends la voiture de mon père s’arrêter devant la maison. Je vais le voir discrètement à la fenêtre. Il en descend, visiblement déjà rempli de colère et d’alcool. Il déverse toute sa haine de son travail sur nous en plus de tout le reste. Il s’occupe du ménage dans un fastfood sur une aire d’autoroute.
Je le vois arriver avec une démarche menaçante. Il crache même sur un pot de fleurs où ma mère tente de faire pousser des tulipes. Pour tester la poupée, c’est maintenant ou jamais. Je vais commencer soft. Alors qu’il s’approche de la porte, je prends une paire de ciseaux sur mon bureau et commence à lui couper les cheveux. Je regarde mon père en contrebas, dans la rue. Ses cheveux tombent comme par magie. Il se retourne, vois les mèches par terre, passe sa main dans sa nuque, avant de hurler et d’ouvrir de colère la porte de la maison d’un coup de pied.
Je l’entends courir dans la salle de bain pour faire face au miroir et jurer très longuement contre son seigneur. J’entends un coup et du verre se briser. Il doit encore avoir de colère frappé son reflet et explosé le miroir, ce qui va déplaire à maman et à ma sœur. Elles adorent se regarder dedans, faut dire qu’elles sont tellement belles toutes les deux. Je les trouve si sexy, si elles n’étaient pas de ma famille, j’aurai déjà et depuis longtemps essayé de séduire ma mère et ma sœur pour coucher avec elles.
Ma mère débarque et demande ce qu’il se passe. Mon père soigne sa main couverte de coupures à cause du coup dans le miroir.
— Encore le miroir, mais c’est le troisième cette année.— Ta gueule Marie, et va me chercher ma bouteille de bourbon.— Qu’est-ce qui est arrivé à tes cheveux.— Mais qu’est-ce que ça peut te foutre ! Va me chercher cette putain de bouteille, hurla-t-il.
Ma mère retourne dans la cuisine pour chercher ce qu’il demande. Lorsqu’elle passe devant ma porte de chambre ouverte, je sens la peur dans son regard. Pendant qu’elle était en bas, j’entends le bruit du rasoir dans la salle de bains. Il doit sûrement se raser la tête. Je vois la poupée réabsorber ses cheveux lentement pour lui laisser un crâne chauve. Sa pilosité faciale disparaît aussi en quelques minutes. Mon père devait être en train de raser son bouc et sa moustache.
Lorsque ma mère remonte, j’entends mon père se couler un bain. C’est souvent qu’il le fait, même s’il sait que ça fait rouspéter Maman à cause du montant de la facture d’eau. A chaque fois, c’est elle qui finit par se faire engueuler qu’elle doit se mêler de ses affaires et qu’il fait ce qu’il veut, car il est, je cite, chez LUI !!! Alors qu’elle lui apporte la bouteille, il commence à vouloir l’emmerder, car elle n’a pas ramené le bon verre:
— Il est où mon verre ? — Il est là. — Ce n’est pas mon verre !!! Je ne bois que du bourbon dans mon verre à bourbon. — Un verre est un verre.— Justement non, sale empotée !!!
J’entends le verre être lancé et se briser contre un mur. On entend le bruit d’une gifle et je vois ma mère repartir en pleurant. Elle s’arrête devant ma chambre. Nous échangeons un regard, je lui tends un mouchoir tiré d’une boîte de mouchoirs posée sur mon bureau, et la regarde descendre les escaliers. Un connard comme mon père ne mérite pas un canon comme ma mère, surtout si c’est pour la faire pleurer aussi souvent qu’il le fait.
Ce monstre l’a fait trop souffrir. Je décide d’en finir maintenant avec lui. Il me vient une idée. Je me mis à tripoter son paquet, voyant alors la poupée avoir une forte érection. Je posais cette dernière sur le lit et allais voir si mon père l’avait tout aussi dure que la poupée. Une fois l’œil contre la serrure, bingo, il bandait, mais en plus il se mit à se branler. Une queue moche et toute petite, mais suffisamment gorgée de sang pour déclencher une hémorragie fatale quand je couperais celle de la poupée. Je m’apprêtais à émasculer mon père, voir même mieux, le tuer. Pour commencer, je fais ma plus forte pichenette avec mes doigts sur le service trois-pièces de la poupée représentant mon père. Je l’entendis hurler de douleur et crier :
— Han nan, je viens de me froisser une couille, bordel que ça fait mal putain...
Alors que je cherchais la paire de ciseaux que j’avais utilisée pour lui couper les cheveux, je l’entendis rentrer dans son bain, mais laisser encore couler l’eau. Je repense au discours que maman tenait sur les onéreuses factures d’eau. Me vient une idée. Tester les limites de la poupée, essayer de tuer mon père d’une manière plus subtile, voir même faire passer ça pour un accident.
Je courus dans le garage de notre maison pour aller chercher le vieux bocal à poissons. Le seul animal de compagnie auquel j’ai eu droit. J’y tenais énormément et en moins de 3 semaines, mon père l’avait tué en renversant la table lors d’une colère noire. Mon poisson, Bubulle, a été tué, transpercé par les bouts de verre de son propre bocal, triste fin. Et ce fils de pute ne s’était même jamais excusé pour ça. Ma maman et ma sœur m’avaient racheté un bocal et m’avais emmené dans une animalerie pour remplacer Bubulle, mais le cœur n’y était plus et j’ai refusé qu’elles m’en payent un autre, de peur qu’il finisse comme le premier, voire pire. 15 ans que ce bocal prend la poussière et il va enfin me servir.Je pense un peu en rigolant que c’est en quelque sorte une forme de vengeance de Bubulle. Ça ferait de moi une sorte de John Wick, mais au lieu du chiot, c’est un poisson. Ça aurait fait un film beaucoup plus ridicule, pensais-je en rigolant.
Dans la cuisine, je remplissais d’eau le bocal. Je trouvai sur la table un mot de ma sœur et de ma mère disant qu’elles étaient parties en courses. Je montai dans ma chambre, regardai par le trou de la serrure en passant mon père. Il fumait un joint dans le bain, les yeux fermés, la bouteille de bourbon pleine qu’avait monté maman était déjà presque vide au pied de la baignoire. Je pris délicatement la poupée, et plongeais sa tête dans le bocal. Je la maintenais sous l’eau, l’œil sur mon radio réveil. Au bout de huit grosses minutes, je ressortais la poupée et la posais sur le sol. Je fonçais observer par le trou de la serrure. Mon père avait la tête sous l’eau, et le joint était tombé sur le sol couvert de flotte. Pensant qu’il est mort, je tente d’ouvrir la porte. Elle est fermée de l’intérieur. Je décide alors de n’être plus que spectateur de ce qui allait suivre et de laisser les choses suivre leur cours.
A vingt heures, ma mère appela mon père pour venir manger. Sans réponse, elle sentit de l’eau ruisseler sous la porte. Elle tambourina contre la porte cinq minutes, mais sans réponses, appela les pompiers et les flics. Les pompiers ont défoncé la porte de la salle de bain, coupé le robinet, et constaté avec les flics le décès de mon père par noyade dans son propre bain. Le joint sur le sol, la bouteille vide furent pour les policiers des preuves évidentes des causes de la mort de mon père, un cocktail explosif de drogues et d’alcool, facilitant sa noyade.
Alors que je voyais les flics embarquer le bout de viande qu’était mon père dans un sac noir, moi, ma mère et ma sœur les regardions faire, n’éprouvant pas la moindre tristesse devant ce spectacle, celui de flics imitant les éboueurs, emmenant une ordure dans un sac poubelle.
— C’est vrai qu’elle est puissante cette poupée, pensais-je en assistant à ce spectacle. Il ne me reste plus qu’à l’utiliser à des fins plus heureuses.
C’est lorsque nous avons vu les pompiers et les policiers partir que nous avons réalisé que notre vie allait changer à jamais. Je regardais ma mère et ma sœur, toutes deux retirant les couvertures que leur avaient données les pompiers. Ma mère portait une merveilleuse nuisette de soir rose, moulant à merveille ses seins, et ma sœur portait un shorty et une brassière de sports soutenant sa belle petite poitrine. La poitrine de ma mère était en train de pointer au travers du tissu. Je me mis à les regarder, elles deux, avec envie, en toute discrétion. Cela fait des années que je les regarde plus comme femme que comme mère ou sœur et dans ma tête, je me mis soudain à m’imaginer en train de les culbuter toute la nuit, en faire mes deux salopes rien qu’à moi, les posséder et les souiller comme bon me semble. Des flashs d’un tel évènement arrivaient dans ma tête et je commençais à sentir ma queue se dresser à la seule force de mon imagination.
J’avais envie d’elles, et je savais désormais comment j’allais m’y prendre, j’avais, sans trop le vouloir, commencé par découvrir que la poupée pouvait apporter du plaisir comme de la douleur, notamment avec la bite de mon père, je vais l’expérimenter pleinement sur ma sœur et sur ma mère pour les amener à coucher avec moi. Maintenant que mon père était hors jeu, j’avais toutes les cartes en main arriver à ce but, c’est à moi de jouer maintenant.
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