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Pour Anna

Chapitre 2

Et les autres

Avec plusieurs hommes
Le printemps qui suivit fut l’occasion pour Anna et Lorella d’utiliser le jouet qu’Anna a reçu pour son anniversaire. Petit à petit, Lorella finit par faire admettre à Anna que la présence d’un homme lui manquait, qu’elle voulait une verge. Cependant, il semblait impossible à Anna de coucher avec un autre homme car son amour pour Santino était toujours aussi grand. Mais Lorella n’avait pas dit son dernier mot.
« Je ne suis pas du genre jalouse. Si vous voulez, je vous présente mon copain, Madame.— Tu es dingue ?— Rassurez-vous, Madame. Il est au courant de ce qui se passe entre nous. Et il m’approuve. Il se contentera de vous donner ce dont vous avez besoin.— Mais je ne veux pas tromper… Santino…— Vous ne le tromperez pas. Mon copain est amoureux de moi. Pour vous, il ne sera qu’un amusement.— Non ! J’ai dit non ! C’est non !— Vous ne le pensez pas. Vous avez envie d’un homme… et vous le savez très bien. »
Anna était furieuse contre Lorella. Lui proposer de coucher avec n’importe qui ! C’était inconvenant, impossible, immoral, dégoûtant… horrible ! Et qu’en penserait Santino s’il pouvait la voir de là où il était. Coucher avec une femme sans sentiment, c’était déjà beaucoup mais avec un homme… D’un autre côté, il n’y aurait pas de sentiments… et ce n’était pas n’importe qui… et… NON ! Impossible, ça lui paraissait… bizarre.
Pendant l’un des repas pris seule, Lorella revint à la charge.
« Vous avez réfléchi ?— A quoi ?— A ma proposition… Avec Lorenzo, mon copain…— Il n’y a rien à réfléchir…— Tu es sûre. Tu en as envie. Je le sais. Tu le sais.— Mais, je ne peux pas coucher avec ton amoureux. Toi dans tout ça…— Je serai là et je le récupérerai après, toujours aussi amoureux de moi.— Santino…— Tu l’aimeras toujours autant après.— Je le fais venir ?— Non !… Non !… Sauf… si… tu veux vraiment. Oui. »

Le rendez-vous fut pris par Lorella qui invita Lorenzo à la maison. Lorsqu’il vint, Anna découvrit un blond un peu trop grand, pas franchement à son goût. Elle en fit part à Lorella qui lui répondit qu’ainsi elle ne tomberait pas amoureuse de lui. Tout était sous contrôle. Elle était ravie. Et Anna était soulagée de ne pas être attirée par Lorenzo.
Lorella invita Anna à aller dans sa chambre et invita Lorenzo à la suivre. Arrivés tous les trois dans la chambre, Lorella voulut ajouter un peu de cérémonial. Elle commença par dévêtir Anna faisant tomber sa robe, son soutien-gorge et sa culotte. Elle lui laissa volontairement ses chaussures. Puis Lorella s’approcha de Lorenzo. Elle lui retira veste, chemise, pantalon, chaussures et boxer. Une fois qu’il fut nu, Lorella guida Lorenzo vers Anna qui attendait assise au bord du lit.
Lorella positionna Lorenzo face à Anna et commença à caresser son petit ami. Le sexe du jeune homme se dressa petit à petit prenant plus d’ampleur que le pensait Anna. La verge tendue pointait vers le visage d’Anna qui ne la quittait pas des yeux. Quand le sexe fut prêt, Lorella posa sa main sur la nuque d’Anna et poussa le visage vers le sexe. Anna ouvrit lentement les lèvres et laissa le sexe de Lorenzo pénétrer sa bouche. Anna commença à faire danser sa langue autour du gland de Lorenzo et sur toute la longueur de sa virilité. Lorenzo appréciait la caresse que lui faisait Anna. Il la sentait douée et son sexe était vraiment bien cajolé. Anna, de son côté avait honte de ce qu’elle faisait. Même si elle se savait douée dans le domaine, elle n’avait pas eu de sexe d’homme dans sa bouche depuis celle de Santino. Elle avait honte de faire cette fellation mais elle avait encore plus honte de prendre plaisir à sentir une verge entre ses lèvres. Mais elle ne lâchait pas sa proie. Elle suçait, aspirait, léchait, tétait cette verge généreusement offerte par Lorella. Mais Lorenzo mit fin à cette caresse.
« Vas-y doucement ma belle, dit Lorenzo.— Il faut l’excuser, chérie. Ça fait trop longtemps qu’elle n’a pas eu un bon morceau de chair à se mettre sous la dents, répondit Lorella légèrement moqueuse. »
Lorenzo s’allongea sur le lit et invita Anna à venir le chevaucher. Lorella, donnant la main à Anna, l’aida à enjamber Lorenzo. Puis elle dressa le sexe de son petit ami pour qu’Anna puisse s’y installer. La verge ouvrit doucement les chairs de la patronne. Elle était si mouillée qu’Anna n’eut aucun mal à faire entrer le sexe en elle. Là encore un sentiment mêlé de plaisir et de honte s’empara d’elle. Pourtant, elle ne pouvait faire autrement que de faire aller et venir la verge en elle. Son corps commandait et sa tête obéissait. Anna, esclave de ses sens, prenait un plaisir fou à chevaucher cette barre de chair qui lui faisait tant de bien. Ses gros seins ballottaient sur le rythme endiablé des pénétrations. Lorella, assise à côté du couple, les regardait en se caressant doucement sous sa robe. Prise d’un soudain orgasme, Anna hurla de jouissance avant de s’écrouler sur Lorenzo. Ses gros seins lourds vinrent s’écraser sur le torse velu de son partenaire. Puis elle roula sur le lit, à côté de Lorenzo. Elle fut alors prise d’une grande tristesse et des larmes se mirent à couler de ses yeux.
Lorenzo, lui, n’avait pas atteint l’orgasme. Se tournant vers Anna, il pointa son sexe encore dur à l’entrée de la grotte d’Anna. Presque contre sa volonté, elle écarta les cuisses pour laisser entrer de nouveau le morceau de chair masculine. Lorenzo attrapa un sein d’Anna et recommença à la besogner. Anna ferma les yeux comme pour ne pas voir ce qui se passait et ne pas savoir ce que son corps lui hurlait. Pourtant son sexe reprit petit à petit vie autour de cette verge et un plaisir doux et chaleureux la reprit. Elle sentait chaque centimètre de la verge qui s’enfonçait en elle et ressortait pour s’y introduire plus fort encore. Elle sentait les boules frapper contre ses fesses, ses cuisses et son petit bouton gonflé d’envie. Ses larmes se tarirent et c’est un puissant nouvel orgasme qui lui fit ouvrir les yeux et la bouche. Elle poussa un hurlement presque bestial de plaisir. Ce cri immoral fut suivi par Lorenzo qui, se retirant, déversa son jus contre les cuisses d’Anna.
Lorella tira les deux corps repus de leur torpeur : « Lève-toi, on va laisser Anna dormir. » Lorenzo, se leva et commença à s’habiller alors que Lorella faisait le tour du lit pour souhaiter une bonne nuit à sa patronne.
« Pourquoi tu pleures ?— J’ai honte… J’ai honte de ce que j’ai fait, de ce que je suis. Santino… J’ai trompé Santino.— Non, tu pleures parce que tu l’aimes toujours. Jamais aucun homme ne pourra lui prendre ça. Tu es à lui mais tu ne peux rester à lui que si ton corps se satisfait d’autres sans sentiment. Ce que tu as fait ce soir… par tes larmes… c’est de lui prouver une nouvelle fois à quel point tu l’aimes et le respectes.— Mais regarde, répondit Anna en montrant le sperme de Lorenzo sur elle.— Je sais que c’est difficile à croire et à comprendre mais, un jour, tu t’apercevras que ce que tu fais, c’est pour lui. »
Lorella embrassa alors sa patronne et quitta la pièce avec Lorenzo. Anna, bien que toujours perdue dans ses pensées, finit par s’endormir, le sperme de Lorenzo encore chaud sur elle.
Le lendemain matin, Anna s’étonna de ne pas voir Lorenzo aux côtés de Lorella. Elle en déduit que Lorenzo était parti. Mais la servante expliqua à sa patronne que Lorenzo était dans la partie de la maison qui lui était réservée. Il était en congés et y resterait deux semaines. Elle rassura Anna en lui disant qu’elle ne le verrait pas parce qu’il resterait à l’écart pendant ces quinze jours. Anna était rassurée car elle ne saurait pas comment gérer la proximité de Lorenzo.
Ces deux semaines finirent plus vite qu’elle l’aurait cru et Lorenzo quitta la maison. Anna fut soulagée. Elle demanda alors à Lorella de venir dormir avec elle. Elle lui fit mettre de nouveau le sexe en latex.
« Vous voulez vous sentir remplie, Madame ?— Oui… »
Lorella s’équipa alors et pénétra sa patronne qui fut ravie de sentir ce sexe en elle. Elle jouit plusieurs fois de ces pénétrations que Lorella multiplia. Cependant, l’odeur et le goût d’un homme finit par lui manquer.
C’est à ce moment là que Fabio vint présenter Gianni à Anna. Il avait engagé le jeune homme pour s’occuper du jardin car Anna n’avait pas la main verte. Gianni portait une barbe et une chevelure hirsutes. Il avait de petits yeux marrons et un petit ventre. Bref, pour Anna, il était loin d’être un Apollon. Mais l’envie d’homme la tiraillant, elle finit par avouer à Lorella qu’elle avait envie de lui.Ne voulant pas tenter sa chance elle-même, elle demanda à sa servante de tâter le terrain. Quelques jours plus tard, Lorella annonça à sa patronne que Gianni était mûr pour qu’elle l’utilise.
Le soir-même, alors qu’Anna lisait tranquillement dans le salon, Lorella apparut suivie par Gianni.
« Madame, il est là.— Mais Lorella, je ne t’ai pas demandé…— Non, je sais, mais tu voulais bien.— Je me permets, Madame, de vous dire que si vous voulez de la bite, je suis là, interrompit Gianni.— Ça na va pas de me parler comme ça ? Tu te prends pour qui ?— Pardonnez-le, Madame, mais il est franchement rustre.— Ce n’est pas une raison ! »
Mais cette altercation n’entama pas l’envie d’Anna. Lorella s’en rendit vite compte lorsqu’elle s’approcha d’elle. Elle se laissa faire alors que sa servante la débarrassait de ses atours. D’abord son haut et son soutien-gorge puis ses chaussures, son pantalon et sa culotte lui furent enlevés et Anna, se révéla entièrement nu au regard pervers de Gianni qui salivait déjà. Il s’approcha d’Anna et lui soupesa la poitrine.
« Vous avez de beaux nichons, dit-il avant d’en gober les tétons. »
Anna regardait Lorella qui fixait la scène avec un petit sourire de satisfaction. Malgré le manque de douceur de son partenaire, Anna sentait ses tétons durcir et son sexe s’humidifier.
« Elle suce ? Demanda Gianni à Lorella.— Oui. Et elle sembla le faire très bien. »
Gianni lâcha alors les seins d’Anna et dégrafa son pantalon. Il poussa sur les épaules de sa patronne qui se mit à genoux. Une sexe peu épais, court et très odorant apparut devant elle. Il attrapa sa nuque et guida le visage d’Anna vers son sexe à demi bandé. Anna, bien que peu ragoûtée par cette verge, se résolut à ouvrir les lèvres pour le laisser entrer dans sa bouche. Elle entama alors une fellation appliquée faisant jouer ses lèvres sur la hampe durcie, sa langue autour du gland noueux et ses mains sur les boules velues.
« On m’avait dit que les bourgeoises étaient des bonnes suceuses mais, toi, tu bas tous les records, se permit Gianni. Tu es meilleure que les pros. »
Agacée par ses réflexions, Anna lâcha le sexe de Gianni et se releva. Mais il en aurait fallu bien plus pour décourager le rustre et pour calmer les envies d’Anna. Il la retourna et la pencha en avant pour qu’elle prenne appui sur le dos du canapé devant elle. Il passa sa main le long du sexe coulant d’Anna. En remarquant l’humidité, Gianni marqua sa satisfaction d’un rire narquois. Puis il planta son sexe rugueux dans la grotte d’Anna qui poussa un cri de surprise terminé par un gémissement d’aise. Agrippant fermement sa patronne par les hanches, Gianni se mit à la besogner avec vigueur. Son ventre mou tapait contre les fesses d’Anna dans un bruit des plus salace. La grosse poitrine d’Anna ballottait en rythme, ce qui sembla amuser Gianni. Anna sentait le plaisir monter en elle. Cet homme grossier et sans une once de douceur savait réellement y faire et la belle Anna ne pourrait pas résister longtemps. Semblant le sentir, Gianni arrêta et se retira. Il se tourna de nouveau vers Lorella.
« Et son cul ? Je peux me le faire son cul ?— Oui, je pense, répondit Lorella.— NON ! Hurla Anna. Pas par là, ce n’est pas propre et pas normal.— Voyons, Madame, pleins le font. C’est que ce doit être bien. Laissez-vous aller.— Ouais, laisse-toi faire… Gianni va t’enculer en douceur, ajouta le jardinier.— Je suis là, Madame. Si ça ne se passe pas bien, je l’arrête, c’est promis, rassura Lorella. »
Plus vaincue que convaincue, Anna accepta d’être déshonorée par cet orifice. Gianni, visiblement ravi de la résignation d’Anna, cracha entre ses doigts et lubrifia le petit trou. Il commença à la doigter tentant de l’ouvrir assez grand pour pouvoir entrer. Une fois qu’il jugea l’orifice assez ouvert, il posa son gland contre le petit trou. Il se mit à pousser pour finir d’ouvrir l’anus d’Anna. Le sexe de Gianni, bien qu’il eut beaucoup de mal à le faire, finit par entrer arrachant un cri de douleur à Anna. Lorella vint se mettre devant Anna et l’embrassa, la félicitant pour son courage. La servante dit à sa patronne que le plus dur était fait, pourtant Anna sentait le sexe de Gianni progresser dans son rectum centimètre par centimètre. Quand il fut entré entièrement, Gianni fit une pause. Lorella en profita pour embrasser fougueusement sa patronne. Et Gianni commença alors de lents et profonds va-et-vient. Anna se mit à pousser de petits cris de douleur à chaque fois que Gianni s’enfonçait en elle. Les cris s’estompèrent peu à peu laissant la place à des halètements et des gémissements de plaisir. A son corps défendant, Anna se mit à apprécier cette honteuse pénétration. Même si elle se sentait humiliée d’être ainsi sodomisée, elle y prenait un plaisir qu’elle pensait impossible.
Contre toute attente, elle fut alors prise de spasmes d’une violence rare. Une puissant orgasme la prit de la tête aux pieds. Son corps ne pouvait plus lui répondre tant il était secoué d’un plaisir qui lui était jusque là inconnu. Elle sentait son anus vibrer autour de la colonne de chair qui continuait à aller et venir en elle. Et le jus de son sexe se mit à couler abondamment entre ses cuisses. Terrassée, Anna s’écroula au sol. Gianni vint au-dessus d’elle et, attrapant son sexe, se masturba. Une épaisse giclée de sperme jaillit maculant la poitrine d’Anna.
Le jardinier rangea alors son sexe dans son pantalon et quitta la pièce, non sans lancer une dernière phrase dont il avait le secret à Lorella : « Bonne maison. Je reviendrais me vider les bourses sur la bourgeoise. »
Et il n’avait pas tort. Les mois qui suivirent, Anna fut partagée entre les nuits douces avec Lorella et les nuits sauvages avec Gianni. Si Lorella s’occupait avec tendresse, et avec l’aide de jouet en latex, d’Anna, Gianni avait fait de l’anus de sa patronne son terrain de jeu favori. Pour parfaire le tableau, Lorenzo venait quelques fois pour prendre sa part de la jeune femme.
C’est auprès de Lorella qu’Anna semblait s’épanouir. La complicité entre les deux femmes était de plus en plus grande et Lorella n’hésitait pas à mettre sa patronne dans des situations embarrassantes.
Une chaude après-midi d’été, Lorella proposa à Anna de faire un tour dans le parc voisin. Pour seule tenue, elle lui choisit une robe légère blanche aux motifs fleuris. Alors qu’elles baladaient dans ce parc, Lorella remarqua un homme qui les suivait mais d’assez loin pour ne pas être vu. Anna ne s’était rendue compte de rien. Amusée par la situation, Lorella proposa à Anna d’aller s’asseoir sur un banc bien à l’écart du chemin habituel des joggers et flâneurs pendant qu’elle allait faire un petit tour. Alors qu’elle était perdue dans ses pensées, Anna ne vit pas revenir Lorella avec l’homme. Sans un mot, celui-ci dégrafa son pantalon et fit sortir son sexe déjà bien dur.
« Mais que faites-vous, Monsieur, s’offusqua Anna.— Arrête de faire ta prude, Anna, lui lança Lorella. Tu vois bien qu’il a envie. Tu sais y faire et ça te plaît… Et ne vous inquiétez pas, je surveille. »
Abasourdie mais tentée par ce beau morceau de mâle devant elle, Anna l’attrapa et le porta à sa bouche. Elle fit de nouveau des merveilles avec sa bouche. Elle léchait le verge, embrassait et tétait le gland violacé, caressait les boules pleines de l’homme. Enfonçant régulièrement le sexe au plus profond de sa gorge, elle tentait même de lécher les boules en même temps. L’homme râlait de plaisir en caressant les cheveux d’Anna. Il donnait aussi de petits coups de reins signes de son envie de posséder pleinement la gorge d’Anna.
Cependant, visiblement déjà bien excité, il ne tint pas longtemps. A la grande surprise d’Anna qui l’avait encore en bouche, l’homme éjacula de bonne doses de sperme entre les lèvres de la jeune femme. Elle tenta d’éviter le jus mais l’homme la tenait fermement par la nuque et elle n’eut pas d’autre choix que de recevoir le sperme dans la bouche.
L’homme, honteux de ce qui venait de se passer, remonta bien vite son pantalon en bredouillant un « Merci Madame » lourd de sens, Il partit ensuite prestement. Lorella revint alors vers Anna qui, comme un défi, embrassa sa servante lui laissa au passage une partie du sperme qu’elle avait reçu.
« Tu n’as pas honte de me faire faire ce genre de chose.— Je ne vous ai pas obligée, Madame. Je vous ai proposé. Vous avez décidé de sucer cet homme… Comment s’appelle-t-il au fait ?— Aucune idée, répondit honteuse Anna. »
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