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Pour papy actif

Chapitre 1

soumis à vieux prêtres

Gay
J’ai 39 ans et je suis plutôt bien foutu : 1,80 m et 73 kilos ; assez musclé, car sportif.J’avais la queue bien épilée, car ça plaisait à ma copine de la voir comme ça.Je venais de me séparer de ma copine, car elle me saoulait grave et j’en avais assez.J’avais rencontré des gens d’une communauté religieuse dans la rue et j’avais accepté de passer à une soirée de présentation.J’avais écouté leur laïus, mais je n’adhérais pas vraiment à leurs histoires.
Ils avaient organisé un foot et après le match, le plus vieux prêtre (80 ans) voulait me payer un apéro ; mes petites fesses avaient l’air de lui plaire et il en parlait avec d’autres vieux prêtres ; il y en avait cinq en tout, et tous avaient les couilles pleines et appréciaient les jeunes garçons.J’ai accepté d’y aller et je suis allé chez lui.Il était tout seul au départ ; arrivé chez lui, il m’a payé un apéro.
— Alors comme ça, tu n’as plus de copine ? dit-il en me caressant la jambe.— Oui, c’est vrai, répondis-je.
Je voyais une bosse dans son jean.
— Moi aussi, je n’ai plus de copine, dit-il en continuant à me caresser la jambe.
Il m’a offert un verre (c’était fort), je ne buvais jamais.Il avait aussi roulé un joint et je le fumais aussi ; je ne fumais pas souvent non plus, et j’étais défoncé, j’avoue.J’avais des affaires de rechange et je devais prendre une douche pour me changer, il a accepté que je me douche chez lui.Je suis allé dans la douche et il voulait laver mes affaires, alors je lui ai donné.Je n’avais pas vu, mais pendant que je me douchais, il avait rangé le reste de mes affaires ; j’allais devoir sortir à poil de la douche, en plus, il n’y avait pas de serviette, et il devait m’en amener une.
Il est revenu avec une serviette entièrement à poil.Sa queue était dure comme du bois ; il avait mis un aphrodisiaque sur sa queue et elle était vraiment grosse, elle était épilée aussi, et il avait mis un anneau autour de ses couilles, et elles étaient vraiment grosses.

— J’ai besoin de laver aussi, dis donc, t’as la queue bien épilée aussi.— Regarde, j’ai de la crème pour laver les queues, laisse-toi faire, je vais t’en mettre.
Il m’a mis de la crème et ma queue était aussi raide que la sienne, j’étais assez sensible de ce côté-là, et je ne savais pas, mais c’était fait pour la faire bander des heures ; il me malaxait les couilles.
— Dis donc, t’as des grosses couilles aussi, tu sais, j’aime bien les queues des jeunes.— Regarde ça.
Il sortit un album avec des bites de jeunes et il avait aussi un appareil-photo ; il m’a photographié avec la queue raide et il prenait bien soin de me prendre entièrement en photo avec mes couilles dans sa main qu’il serrait.
— Allez, laisse-toi faire ; je vais m’en occuper.
Il m’a alors branlé à fond, et j’ai dû le laisser boire tout mon jus. Il la branlait vraiment fort en me tenant par les couilles avec l’autre main.
— C’est bien ça, c’est comme ça que j’aime branler mes copines ; tu vas me donner tout ton jus maintenant.
Il l’a mis dans sa bouche et me pompait vraiment hard : j’ai éjaculé direct.
— Tu vois que t’aimes ça, te faire sucer par un vieux.— Dis-le que c’est mon jus ! — C’est ton jus ! dis-je.— C’est bien ça, je n’ai pas fini, dit –il et après, il a pompé ma queue encore plus fort ; j’ai bien dû éjaculer cinq ou six fois, il voulait que je lui donne ma bite vraiment à fond. Il voulait en boire chaque goutte. J’allais devoir le laisser la sortir de mon pantalon quand il voulait et lui laisser la sucer quand il voulait.
Il continuait à me prendre en photo en train de me lécher les couilles et de lécher le reste de ma queue ; il disait que c’était pour son album personnel.Après, il m’a lavé les fesses en forçant sur mon petit trou.
— T’es étroit dis donc ! dit-il en me mettant deux doigts dans le cul ; il est parti chercher une poire de lavement ; je n’en avais jamais vu et m’a obligé à laver le cul moi-même ; j’ai dû me faire trois lavements complets ; sa queue avait encore grossi.— Lèche ma bite et dis merci à Serge ; pendant que je lui léchais à genoux les couilles et la bite, il me reprenait en photo, trop content d’avoir trouvé un jeune soumis, car il savait où je travaillais et allait m’envoyer les photos de moi en train d’offrir ma queue et de sucer un vieux, mais avant, il voulait me montrer comment lui il se soulageait, c’était en pilonnant bien hard un petit cul.
Après, j’ai dû aller sur son lit et offrir ma queue dure comme du bois.Les jambes bien écartées et offrant ma bite, il a refait une photo.Il me photographiait pendant qu’il tétait mes couilles à fond et tirait avec sa bouche mes couilles, après, il la tétait bien à fond ; j’ai même dû me mettre à quatre pattes pendant qu’il me la trayait à fond, la serrant bien fort ; il l’astiquait vraiment dans tous les sens et je devais le laisser faire devant sa caméra ; la mère supérieure allait bientôt me la traire aussi ; elle cherchait des donateurs pour la banque de sperme et était toujours contente de traire une jeune bite à fond.
Après l’avoir fait venir encore trois ou quatre fois: sa pommade était vraiment efficace, il m’a dit qu’il voulait me mettre de la pommade sur mon petit trou, car j’avais le trou un peu rouge après les lavements.
Il a commencé par me la mettre avec les doigts, mais j’étais toujours sous l’effet de l’apéro et du joint : je n’ai pas vu tout de suite, mais c’était sa bite que j’avais dans le cul maintenant.
— Allez ; tu vas voir, c’est comme ça que moi je viens ; tu vas être une bonne femelle ! dit il en posant son appareil photo pour prendre une photo en plan large et en montrant sa grosse bite bien au fond de mon cul. Son appareil faisait aussi caméra et il a tout filmé pendant qu’il me grimpait comme sa femelle. Je devais mettre mon cul bien en évidence, les jambes écartées et lui offrir mon trou.
Il m’a grimpé comme ça toute la nuit, à chaque fois qu’il éjaculait, je devais lui lécher la bite et après me la remettre dans le cul.Ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait prévenu ses cinq vieux copains : toute la nuit, ils s’étaient relayés pour m’enculer et m’obliger à les sucer. J’étais devenu la femelle de tous ces vieux et j’allais devenir leur vide-couille soumis. Ils en avaient fait un film et comptaient bien en faire d’autres, au matin, j’étais rempli de sperme, mais avant de partir, je devais leur lécher la bite, leurs grosses couilles et les vider à fond pour boire leur jus du matin comme ils disaient ; j’avais deux bites dans la bouche en même temps ; j’étais là pour les vider maintenant... Je les branlais en même temps comme un forcené et je devais tout avaler. Je n’étais plus qu’un vide-couille pour eux maintenant.
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