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Pour un petit coup avec toi

Chapitre 2

Quand on pense que cela ne peut être pire…

Hétéro
Quand je suis rentré chez moi après avoir découvert que mon amie d’enfance, Maryjane, se faisait baiser par notre prof de math au lycée, j’ai honte de l’avouer, mais je me suis branlé. Je fantasme sur elle depuis si longtemps que je n’ai pas pu résister, j’avais besoin de m’imaginer d’être son homme, de la sauter comme il l’a fait, et de jouir dans sa chatte. Ça m’a fait bien sûr le coup, mais très vite, je suis retombé dans ma dépression et mon état de choc.
J’aurais voulu ne jamais savoir. J’ai beaucoup de mal à agir de façon naturelle en sa présence depuis. À chaque fois que je la regarde, je revois les images d’elle en train de se faire défoncer par Monsieur Matignon. Quand elle est avec moi, je me demande si elle est remplie de son sperme, et quand elle n’est pas là, je me demande s’il n’est pas en train de la prendre. Je suis jaloux, horriblement jaloux, et tout ce que je trouve à faire, c’est me masturber de plus en plus en pensant à elle pour me soulager. Je l’aime, j’ai envie d’elle, c’est viscéral. Le pire, ce sont les cours de math. Devoir me farcir la gueule de cet enculé de prof me rend malade. Ça me dégoûte encore plus de la voir le fixer des étoiles plein les yeux. J’ai vraiment envie de lui amocher la gueule à ce bâtard.
Je pourrais peut-être ruiner sa carrière en allant le dénoncer à la direction. Sauf que, d’abord, je n’ai aucune preuve, je ne suis pas sûr qu’on me croie. Ensuite, je sais que je ferais horriblement mal à Maryjane si cela venait à s’ébruiter. C’est horrible, je suis le détenteur de ce terrible secret, et je ne peux rien y faire à part subir.
Je deviens complètement fou. Une personne normale se contenterait peut-être de l’oublier et de passer à autre chose, mais je ne peux pas. C’est Maryjane, bon sang ! Ce n’est pas n’importe qui ! Cette fille est la plus géniale de la terre ! Je ne pourrais jamais en rencontrer deux comme elle ! Je ne peux pas simplement oublier une personne avec qui j’ai passé toute mon enfance. Je ne sais pas quoi faire ! Rester auprès d’elle est affreux, mais l’idée de m’en éloigner l’est encore plus. Parfois, j’ai l’idée malsaine que si je pouvais profiter de la chaleur de son corps au moins juste une fois, je me sentirais peut-être mieux. C’est horrible, je ne suis pas quelqu’un de bien à penser ça. Mais en même temps, elle non plus... Je devrais peut-être arrêter de culpabiliser à chaque fois que j’ai une pensée salace. Raah, c’est le bordel dans ma tête.
Cette situation ne peut pas durer éternellement, un jour, je craque et me décide à aller lui avouer mes sentiments :
— Maryjane, je peux te parler ? l’abordé-je dans la salle des casiers.— Heumm, oui, bien sûr, fait-elle surprise par mon ton un peu cavalier. Qu’est-ce qu’il y a ?— Pas ici, pas maintenant. On peut se voir après les cours ?
Je vais la retrouver chez elle au soir. On s’installe dans sa chambre. Je suis déterminé, mais j’ai un peu de mal à me lancer. Je retiens ça depuis tellement longtemps que ce n’est pas évident.
— Florian, je sens bien que tu n’es pas bien ces derniers temps, remarque-t-elle. Parle-moi, qu’est-ce qui ne va pas ?
C’est le moment, c’est l’instant. Mais comment aborder le sujet ? J’ai passé des heures à répéter ce que je lui dirais dans ma tête, mais maintenant, cela me semble ridicule :
— Tu voudrais sortir avec moi ? lui demandé-je.
Qu’est-ce que je me sens con...
— Sortir... tu veux dire... Comme un rancard ?
— C’est ça...
Elle a un sursaut de surprise. Voyant combien cela me travaille, elle comprend tout de suite où je veux en venir :
— Florian... je suis très flattée mais... Je ne te vois pas de cette façon, tu comprends ?
Bam, le coup de massue. À quoi à ce que je m’attendais ? Qu’elle dise oui et qu’elle largue son con de prof dans la seconde ? Dans un sens, oui, j’espérais qu’elle attendait que je fasse le premier pas depuis si longtemps que Monsieur Matignon n’était qu’une aventure dans laquelle elle s’était lancée par dépit.
— Ne le prends pas mal, tente-t-elle de me rassurer en me voyant me décomposer. Je t’aime beaucoup, mais plutôt comme un frère, tu comprends ?— Tu vois quelqu’un d’autre, c’est ça ?— Non, pas du tout, mais cela n’a rien à voir. Je ne ressens juste pas... la même chose pour toi, j’en suis désolée.
J’avais espéré qu’elle ait au moins un sursaut d’honnêteté sur sa relation, mais même pas.
— Tu n’as jamais rien ressenti pour moi ? Jamais jamais ?— Eh bien... je dois t’avouer qu’il y a longtemps... oui, j’ai eu une période, quand j’étais ado, mais c’est passé. Tu n’es pas fâché j’espère ?
Si. Je me lève brusquement bouillonnant de rage. Je suis peut-être maintenant fixé, mais je suis loin de me sentir mieux pour autant. Quand je pense que cette ordure qui la traite comme une pute la touche... quand moi qui la traiterais comme une princesse me fais jeter comme une pauvre merde... Pourquoi ?!
La colère disparaît pour faire rapidement place au désespoir, je me retourne quand je sens que je commence à pleurer. Je suis pathétique. Elle comprend ce qui se passe et se lève pour essayer de me réconforter. Je la repousse, il n’y a rien qu’elle puisse faire.
— Je suis vraiment désolée, Florian. — Je t’ai vue avec l’autre con.
C’est sorti tout seul. Je ne pouvais plus garder ça pour moi.
— Quoi ?! — L’autre jour, quand tu étais en retard pour prendre le bus. Je t’ai cherchée partout, et je t’ai vue dans la classe avec le prof en train de...
Elle rougit sans plus oser dire un mot.
— Je suis désolé, je ne voulais pas espionner.
Elle ne sait tellement plus où se mettre qu’elle détourne le regard. Elle sait qu’elle a fait quelque chose de mal et elle est honteuse de s’être fait prendre.
— Depuis combien de temps ça dure ?— Quelque temps, répond-elle. — Il t’a forcée ? Il t’a fait mal ?— Non ! Je l’aime, c’est tout. Je sais que c’est difficile à comprendre mais...— Maryjane, c’est un prof et un homme marié. Tu crois vraiment qu’il va lâcher sa femme pour une fille de ton âge ?!— Florian ! Je comprends que tu sois blessé mais cela ne te donne pas le droit de me parler sur ce ton ! Je sais ce que je fais, je ne suis pas idiote. Il est séparé. Je sais que la situation est délicate, mais dans moins d’un an, je ne serais plus son étudiante et on sera libre de faire ce qu’on veut. — Ouvre les yeux ! J’ai vu comment il se comporte avec toi. Tu n’es qu’un passe-temps pour lui. Dans moins d’un an, il ira se trouver une autre fille. C’est un salaud !— Tu ne sais pas de quoi tu parles, Florian ! — Je n’arrive pas à croire que tu te tapes cette ordure de prof ! — Ça suffit ! Je fais ce que je veux de mon corps, tu n’as pas le droit de me juger. Sort d’ici, tu es allé trop loin ! — Maryjane... fais-je sur un ton désolé pour essayer de déminer la situation.— SORT D’ICI ! hurle-t-elle.
Exacerbé, je prends mes affaires et m’en vais. Ce n’est pas la peine, autant parler à un mur. Sur le chemin du retour, je me rends compte que c’est la première fois que nous nous disputons. À cause de ce mec en plus, je n’en reviens pas... Qu’est-ce que cela va impliquer pour nous ?
Les jours qui suivent, elle refuse de me parler. Avec le recul, je ne peux pas lui en vouloir, je me suis comporté comme un con. Je lui envoie des e-mails et des textos pour m’excuser, mais rien n‘y fait. Il lui faut presque une semaine avant qu’elle ne daigne me répondre sur WhatsApp. Je l’appelle et nous en parlons calmement. Elle me pardonne lorsque je lui dis que je regrette. Elle me demande de promettre d’en parler à personne. Elle n’a pas besoin de me le dire, je n’en avais pas l’intention. Je ne suis pas un enfoiré, MOI. Je lui pose des questions pour essayer d’en savoir plus, elle m’arrête tout de suite en me faisant bien comprendre que c’est quelque chose de privé et qu’elle refuse d’en discuter, même avec moi. J’ai du mal à l’accepter mais je lui dis que je comprends. Un jour peut-être, lorsqu’elle sera prête, elle changera d’avis.
La vie reprend son cours normal après ça. Enfin, presque. Je sens tout de même que quelque chose s’est brisé entre nous. Je me demande si c’est dû au fait que je lui ai proposé de sortir avec moi, ou si c’est parce que je connais son secret, sans doute un mélange des deux.
Je reçois un étrange mail de sa part quelques jours plus tard :
« Je suis désolée, mais j’ai dû lui dire que tu étais au courant pour nous deux. Pitié, ne m’en veut pas. »
Il y a un fichier vidéo en pièce jointe. Je le télécharge, cela prend du temps, il est assez gros. Je ne comprends pas de quoi il s’agit. Je l’ouvre avec curiosité, mais les premières images me laissent encore plus perplexe. Un homme est assis sur un lit. Nu, la bite à l’air déjà tendue. On ne voit pas son visage. Qu’est-ce qu’il lui prend de m’envoyer des trucs pareils ? Soudain, le gars se met à parler, et tout prend son sens :
— Salut Ducon, Maryjane m’a tout raconté. Alors comme ça, on rêve de se taper ma petite salope, hein ? Et bien pas de bol, elle est à moi. Pour te le prouver, je vais te montrer que j’en fais ce que j’en veux. Il paraît que tu aimes mater. Allez viens chérie, viens me sucer devant la caméra.
Le visage de Maryjane apparaît subitement à l’écran. Elle se penche vers la queue pour la prendre en bouche. J’ai envie de vomir. Quel salaud, mais quel salaud ! Pourquoi est-ce qu’il fait ça ? Et elle ? Pourquoi ? Pourquoi ?! Ne souffré-je pas déjà assez ? Je devrais arrêter et supprimer le fichier, mais je n’y arrive pas. Je veux savoir jusqu’où ils sont prêts à aller pour me faire du mal.
Je regarde mon amie d’enfance dont je suis amoureux en train de sucer la grosse bite de mon prof de math. Je me retiens de pleurer. Elle monte et redescend le long de son chibre en creusant les joues tout en le branlant d’une main. À sa technique, c’est loin d’être sa première fellation, j’en suis mort de jalousie.
— Aaah ! Oui ! Putain ! Continue ma belle, c’est bon ! geint le mec. Crois-moi, elle se débrouille super bien la petite cochonne. Regarde comme je l’ai bien dressée. Tu ne sais pas ce que tu rates !
L’ordure ! Il la caresse puis joue avec ses cheveux. Cela dure plus d’une minute avant qu’il se remette à me provoquer :
— Regarde là, elle n’est pas belle comme ça ? Elle t’excite hein ? Allez, vas-y, tu peux te branler, je ne t’en voudrais pas. Tu devines que ce n’est que le début, n’est-ce pas ? On ne va pas en rester là. Je vais la baiser, je vais la souiller, et me vider les couilles dans sa petite chatte d’amour. Je compte sur toi pour regarder jusqu’au bout. Elle lui obéit en s’appliquant de plus belle. Je n’en reviens pas comment elle est soumise. Cela ne peut pas être elle, ce n’est pas possible, je ne la reconnais plus.
Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je n’en peux plus. Malgré tout le mal que cela me fait de voir ça, j’arrive tout de même à bander. Il est suffisamment tard pour que personne ne vienne me faire chier dans ma chambre. Je sors mon dard et commence à m’astiquer. Elle le pompe goulûment, je serais prêt à tuer pour qu’elle me fasse ça à moi. La petite salope, je suis écœuré. Monsieur Matignon n’arrête pas d’en rajouter une couche. Il gémit bruyamment et l’encourage encore et encore :
— Allez Maryjane, montre à ton meilleur ami combien tu suces bien. Oui, comme ça, c’est bon.
La vidéo continue comme ça un bon moment avant de passer brusquement à une autre scène. La caméra a changé de place, manifestement sur ou entre des oreillers du lit. Maryjane, intégralement nue, est allongée sur le ventre en fixant l’objectif. Derrière elle, il y a ce gros porc avec sa verge tendue qui cache toujours son visage.
— Dis bonjour à Florian ma chérie, fait ce salaud tout en se branlant.— Bonjour Florian.— Dis-lui ce qui va se passer.— Il va me baiser. — Et tu aimes ça ? Tu en as envie ? — Oui.— Dis-le-lui.— J’ai envie qu’il me baise. — Tu es une brave petite.
Sur ces mots, il se met en position au-dessus d’elle et enfonce son sexe dans sa chatte. Il la saute violemment, sans aucune douceur. Maryjane gémit de plaisir, les yeux rivés au ciel comme lorsque je l’ai surprise dans la classe. Il joue les brutes avec elle et elle aime ça. Je ne sais pas pourquoi, cela me fait m’astiquer plus fort. Elle a l’air si frêle en comparaison de sa carrure imposante. C’est une poupée de chair entre les mains d’un colosse. Je le regarde en train de lui donner de violents coups de bassin, le lit grince. Je voudrais tellement pouvoir la prendre comme ça, être au fond de son vagin. Il la tire par les cheveux et lui ordonne de regarder la caméra.
— Dis à ton ami que tu aimes ça. — J’aime ça, j’aime qu’il me baise. — Tu en veux encore ? — Oui.— Plus ou moins fort ? — Plus.
Il augmente son rythme, il ne faut pas longtemps avant qu’elle ne jouisse. Il ne s’arrête pas, il ne fait pas attention à elle. Il l’utilise comme un simple trou à bite. Elle ne s’en plaint pas, au contraire, elle est perdue dans un océan de plaisir. On dirait une camée en plein délire. Je n’ai pas où elle est mais elle n’est clairement plus sur terre. Je voudrais tant pouvoir la rendre comme ça.
— Ah, putain, Florian, me nargue notre prof de math, elle a une petite chatte super serrée. Crois-moi, j’en ai baisé des salopes, mais celle-là, c’est vraiment la meilleure. Hmmm ! Je vais te défoncer ma chérie !— Oui ! Oui ! Ahah !
La voilà emportée dans un second orgasme. Elle doit avoir une sorte de grain, ce n’est pas possible autrement. J’ai le cœur qui saigne, pourtant, je n’ai jamais été aussi excité de ma vie. Ce n’est pas n’importe quelle pute qui se fait sauter là, c’est ma Maryjane ! La plus belle femme du monde ! Putain ! Ça me rend dingue de la voir comme ça ! Quelque chose me retient d’éjaculer, je veux voir la suite. Cela se poursuit ainsi pendant de longues minutes, puis Monsieur Matignon finit par beugler :
— Aaaah ! Ça y est ! Je vais venir ! Oh tu vas prendre ma salope ! — Oui ! Oui ! — Tu veux que je te remplisse de foutre ?!— Oui ! Oui ! Je le veux ! — Tu veux quoi ?— Être remplie de foutre ! — Brave petite, tu l’as bien mérité.
Il plaque son visage d’une main contre le matelas et lui donne ses derniers coups de butoir jusqu’à ce qu’il immobilise au fond d’elle :
— Aaaaah ! Ouiiiiiii ! Regarde Florian ! Je suis en train d’éjaculer dans ma petite pute ! Hmmmmmm !
C’est trop, beaucoup trop, je me mets à jouir moi aussi. Je gicle puissamment à m’en mettre partout. Je m’imagine faire ça en elle. Ce que c’est bon, j’avais vraiment besoin de me soulager. Sauf que maintenant que l’excitation et le plaisir s’est dissipé, il ne reste plus que le désespoir et l’écœurement. Je me sens mal, très mal, et la vidéo n’est pas tout à fait terminée. Maryjane ne bouge pas, elle a le regard vide, à peine consciente. Je ne pensais pas que c’était possible d’être dans un tel état. Notre prof de math se retire de son vagin et prend la caméra pour la diriger vers son entrejambe. J’ai un gros plan sur sa chatte glabre aux lèvres bien gonflées. Elle déborde de sperme, pas du mien, mais du sien, et c’est ça qui me fait enrager.
— Regarde comment je me suis bien vidé les couilles, Florian. Et tu as vu comment elle avait l’air heureuse ? Ce n’est pas beau ça ? Ne rêve pas, tu ne pourras jamais la toucher, jamais. Elle est à moi, tu comprends ça ? Le message est bien passé ? Tout ce que tu ne pourras jamais faire, c’est de te palucher en te repassant la vidéo. Si tu es gentil et que tes notes s’améliorent, je pourrais même t’en filer d’autres. Allez, salut Ducon !
Et le film s’arrête là...
J’éteins mon ordinateur, étourdi, et me mets tout de suite au lit. Je me retiens un instant, puis je me mets à pleurer.
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