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Pour un petit coup avec toi

Chapitre 3

Proposition indécente

Hétéro
Je me lève le lendemain complètement brisé, j’ai fait des cauchemars toute la nuit. Comment ma vie a-t-elle pu basculer à tel point en si peu de temps ? Tout allait bien, puis tout à coup, je réalise que la fille dont je suis amoureux ne veut pas de moi, qu’elle se tape notre prof de math, et que cet enculé filme des vidéos pornos d’elle et lui en train de s’envoyer en l’air pour ne narguer. Je ne vois pas ce qui peut être pire.
Je ne sais toujours pas comment je pourrais me venger ou me défendre contre lui. On ne voit pas son visage dans les vidéos. Certes, il y a sa voix, mais, est-ce que cela constituerait une preuve suffisante si je la montrais à la directrice de l’école ? De toute façon, je ne peux pas faire ça, Maryjane serait impliquée et cela ruinerait autant sa vie que celle de Monsieur Matignon. Qu’est-ce que je peux faire ?! Lui parler, ce serait déjà un bon début. Je veux comprendre pourquoi elle m’a fait ça. OK, on s’est disputé une fois, mais elle m’avait pardonné, non ? Tout s’était arrangé !
C’est le week-end, nous n’avons pas cours aujourd’hui. Je commence donc par essayer de lui téléphoner. Pas de réponse. Elle dormirait toujours à cette heure-ci ? Je me connecte sur WhatsApp et remarque qu’elle est en ligne. Je lui envoie un message, pas de réponse. Bon bon, ne panique pas, essaie d’être patient, je lui envoie également un email tant qu’à faire, histoire de. Le matin passe, je retente ma chance en début d’après-midi. Au téléphone toujours rien, et par chat pareil. Bon, ça commence à faire trop là, il me faut des réponses. Je vais directement chez elle. Sa mère m’accueille et me dit qu’elle est sortie. Putain de bordel de merde ! Je parie qu’elle est avec l’autre connard de prof en train de se faire tringler. Ça me rend malade. Je rentre chez moi, je lui envoie un nouveau message, toujours rien. C’est le même cinéma jusqu’à la fin de la journée. À ce stade, ce n’est plus de la malchance, elle m’ignore, c’est tout ; je n’en reviens pas. Je passe une nuit horrible. Je n’arrive pas à fermer l’œil. Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? J’ai toujours été là pour elle, et c’est comme ça qu’elle me remercie ?! Putain, mais ce n’est pas vrai !
Je ne me dépite pas et recommence le lendemain. Chat, téléphone, email. Rien de rien. On pourrait dire que je la harcèle, mais après le coup qu’elle m’a fait, ça ne me paraît pas démesuré. Foutu pour foutu, je retente d’aller chez elle. Oui ! Elle est là ! Sa mère me fait entrer et je me précipite dans sa chambre. Elle est surprise en me voyant arriver, effrayée même. Désolé cocotte, mais là, tu ne pourras plus y échapper. J’exige des explications :
— Pourquoi Maryjane ?! Pourquoi est-ce que tu me fais ça ? Qu’est-ce que je t’ai fait ?!— Je suis désolée, me répond-elle en sanglot. Je ne voulais pas te faire de mal, je te le jure. Il... il m’a demandé de le faire.Elle n’ose même pas me regarder en face.
— Et alors ?! Tu ne pouvais pas refuser peut-être ? C’est quoi cette excuse pourrie ?! — Je ne pouvais pas ! D’accord ?! J’ai essayé de lui dire non ! Mais je n’ai pas pu ! — Comment ça tu n’as pas pu ? Donc lui dire non, c’est au-dessus de tes forces, mais me piétiner la gueule, ça passe ?! — Tu ne peux pas comprendre, Florian !— Ah ça, c’est sûr ! On se connaît depuis plus de dix ans, et tout à coup, parce que tu sors avec ce mec, je ne compte plus du tout à tes yeux ?!— Mais si ! Tu comptes énormément pour moi ! Mais... lui aussi...— M’enfin ! Qu’est-ce qu’il a de si spécial ! Tu ne vois pas que c’est un gros connard ?!— Non, ce n’en est pas un. Ecoute... tu me connais, tu sais comment je suis. Mais avec lui... j’arrive à perdre ma timidité. Il me fait me sentir bien, il me fait me sentir belle, désirable. Tu n’imagines pas le bien que cela me fait. Puis il me fait découvrir tellement de choses sur moi-même, des choses que j’ignorais totalement. Comme... ce qui me plaît niveau sexe, et il m’apprend à ne pas en avoir honte ! — Maryjane...— Ecoute, ce n’était pas facile pour moi non-plus. Il m’a mise dans une situation impossible. Tu penses vraiment que je voulais que tu voies ça ? Mais... je ne veux pas le perdre... — Mais moi, ce n’est pas grave, donc tu préfères être sa petite soumise. Et bien merci. — Ne m’en veux pas s’il te plaît. Tout ce que je veux, c’est que les choses redeviennent comme avant. Tu ne veux pas ça toi non plus ? On ne peut pas tout oublier et tout recommencer ?
— Je ne sais pas, Maryjane, je ne sais pas si je peux y arriver.
Je marque une pause. C’est la première fois de la conversation qu’elle me regarde. Elle me fixe droit dans les yeux, comme pour me supplier.
— Mais je vais essayer, fais-je pour finir ma phrase.
Je rentre chez moi, c’est le bordel dans ma tête, j’ai une boule dans le ventre. Peut-être que je comprends mieux que je ne l’imagine : moi non plus, je ne sais pas lui dire non, et je suis prêt à certaines folies pour ne pas la perdre.
Le lendemain, je me prépare pour l’école. J’essaie de me convaincre que cela va être une journée ordinaire, que tout va être comme si rien ne s’était passé. Les choses ne sont pas si mal, jusqu’au cours de math. Ce n’était déjà pas facile d’y assister sachant que ce salaud la baisait, mais c’est encore pire maintenant qu’il sait que je sais. Il en profite en plus, durant toute la leçon, il me pose des questions, et quand je me trompe, il me prend en martyr. Putain, je le déteste, il ne peut pas me foutre la paix, non ? C’est un bon prof en général, rabaisser les élèves, ce n’est pas son genre. Il m’a pris en grippe et il a décidé de me faire souffrir jusqu’au bout, et comme il le fait avec humour, cela fait rire les autres sans que ce changement de comportement ne les choque. Maryjane n’essaie même pas de prendre ma défense. Je rentre chez moi en pleurant.
Il y a autre chose qui n’arrive pas à revenir à la normale. J’ai essayé de me retenir, mais, c’est trop dur. Je pense toujours trop fort à elle, du coup, j’ai besoin de me soulager en me masturbant en m’imaginant la baiser. Je ne jouis jamais aussi fort que quand je fantasme sur elle.
Le temps passe, et les cours de math ne vont pas mieux. Il s’acharne sur moi, ça en est presque du harcèlement. Je suis devenu son souffre-douleur, et personne n’en a rien à foutre. J’en ai marre, je refuse de « perdre » contre ce bâtard. La prochaine interro est pour bientôt, et j’étudie à mort. Pas question de lui donner des munitions pour de nouvelles moqueries. Je vais lui montrer ce que je vaux. Je passe le contrôle, et je n’ai jamais eu d’aussi bons résultats. Dans sa gueule ! Pour une fois, il ne trouve rien à redire, il me félicite même. Ça doit lui écorcher les boules de devoir dire un truc pareil. Ce n’est que le début.
Je rentre chez moi. Je m’apprête à aller dormir quand je reçois un email d’une adresse inconnue. Je le lis par curiosité :
« Félicitations. Comme promis, tu as bien mérité une récompense. Amuse-toi bien. » Il y a une vidéo en pièce jointe. Mon cœur s’arrête. Purée, non. Dites-moi que ce n’est pas vrai ! Je ne l’avais pas pris au sérieux quand il disait qu’il m’en enverrait d’autres si je m’améliorais dans son cours ! Je ne sais pas pourquoi, je la télécharge. Qu’est-ce que je suis con, je suis maso ou quoi ? Je devrais supprimer l’email et tout oublier, qu’est-ce que je fous ? J’hésite un instant, puis je clique sur le fichier.
Cela commence comme la précédente. Monsieur Matignon est nu sur son lit, la bite tendue à l’air sans qu’on ne voie son visage. Tout de suite, Maryjane apparaît dans le champ pour se pencher sur lui et le sucer. J’ai la même réaction que la dernière fois : je bande.
— Bravo pour ton contrôle, Florian, fait la voix du prof. Je savais que cela te motiverait à bien travailler. Tu as bien mérité de me regarder pendant que je défonce ta copine. Profite bien du spectacle.


Je la sors de mon pantalon et me mets à me branler. C’est presque honteux comment j’agis comme si j’étais désormais habitué. J’ai envie de la regarder se faire prendre, et de me faire jouir, c’est une sorte de compensation de ne pas pouvoir la toucher.
Elle le pompe comme si sa vie en dépendait. C’est tellement évident qu’elle le fait par pur plaisir, et non parce qu’elle y est forcée. Je m’imagine sentir sa gorge chaude autour de ma verge et m’avaler jusqu’aux couilles.
— C’est très bien ma chérie, fait notre prof de math. Dis à ton ami combien tu aimes sucer ma queue.— J’aime sucer sa queue.— C’est bien, continue. Hmm, Ducon, si tu savais combien elle aime le sperme en plus. Tu n’imagines pas le nombre de fois que j’ai giclé dans sa gorge. Crois-moi qu’elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Je te montrerais bien tout de suite, mais je t’ai promis un petit show, donc ce sera peut-être pour une prochaine fois.
Sale ordure.
Après quelques minutes, la scène change. Maryjane est sur le dos en missionnaire tandis que cet enculé tient lui-même la caméra. Elle a les jambes relevées en les retenant au niveau des genoux. Je le vois jouer avec sa chatte comme si j’y étais. Il lui titille le clitoris, elle gémit. Ses lèvres sont toutes gonflées de désir. Il approche son pénis de son antre avant de l’insérer lentement. Il remue du bassin et commence à la baiser. J’enrage, mais je suis aussi excité. Elle a la même expression que les autres fois : les yeux grands ouverts, perdue dans un océan fini de plaisir intense. Elle n’est plus la Maryjane que je connais, elle est son double perverti. La poupée de chair que j’aimerais me taper. C’est la première fois que je peux admirer sa poitrine. Elle a de tout petits seins, mais putain, ce qu’ils me font de l’effet. Je voudrais prendre ses tétons en bouche. Monsieur Matignon ne perd pas de temps pour la prendre de plus en plus rapidement. Il la défonce et elle en redemande.
— Allez ma petite salope, montre-lui combien tu aimes ça. Tu ne voudrais pas le décevoir, n’est-ce pas ? Montre-lui ce qu’il rate, ce qu’il n’aura jamais.
Elle en jouit. Rien qu’à ses mots, elle en jouit. Ça lui fait donc cet effet de me torturer ainsi ? Quelle connasse !Cela me fait toujours un choc quand je pense que cette fille est mon amie d’enfance, que je l’ai connue gamine. Elle était si innocente avant de devenir si pute. S’il y a quelques années, on m’aurait dit que je la verrais en jour en train de supplier de se faire bourrer la chatte, je ne l’aurais jamais cru.
— Tu es si serrée ma puce, tu vas me traire si tu continues comme ça !— Aaaaah !
Elle l’entend à peine, elle a quitté la Terre. Tout ce qu’elle veut, c’est se faire transpercer par une bite.
Je regarde la barre de défilement, nous sommes déjà bientôt à la fin. Je m’attendais à ce qu’il se finisse en elle d’un moment à un autre, je m’apprête moi-même à me décharger lorsque cela arrivera. Je l’entends gémir de plus en plus fort, il est en train de s’achever. Soudain, il me surprend en se retirant.
— Je vais te montrer combien c’est une pute, je vais la souiller cette salope.
Il se place au-dessus d’elle, sa queue au niveau de son visage. Il se branle fort avant de pousser un cri de mâle un rut.
— Allez ! Prends ma salope ! Prends ça !
Il éjacule brutalement un énorme jet de sperme en plein sur sa figure. Elle se laisse faire docilement, elle ferme juste les paupières pour ne pas en avoir dans les yeux. En voyant ça, je me mets moi-même à jouir. Je suis un monstre, je voudrais lui faire pareil. Il la souille de nouvelles giclées, il lui donne tout ce qu’il a. Il s’assure de s’être entièrement vidé avant de la laisser tranquille. Elle ne bouge pas, toujours en extase.
— Alors, elle n’est pas belle comme ça avec la gueule couverte de foutre ? Avoue que ça te plaît. Je suis sûr que ça fait des années que tu rêves de lui faire la même chose. Tu pensais que ça l’écœurerait, hein ? Cette fille est un super garage à bite, je te remercie de me l’avoir laissée. Tu aurais déclaré ta flamme il y a quelques années, je n’aurais sans doute jamais pu en profiter.
L’enfoiré, l’enfoiré, l’enfoiré !
— Attends ! Regarde, le meilleur reste à venir.
Il ramasse d’un doigt un peu de son jus sur une de ses joues puis le porte à sa bouche. D’instinct, elle le suce en gémissant. Quelle salope, il ne mentait pas, elle aime vraiment le sperme. Je coupe la vidéo, j’en ai assez vu. Je vais au lit en pleurant. La vie est tellement injuste. Cela aurait dû être moi ! Cela aurait dû être moi ! J’essaie de m’imaginer ce que c’est d’être avec elle. Putain, pouvoir la baiser, se faire sucer quand on veut, lui éjaculer dessus ou la faire avaler. Quel bonheur, je voudrais vivre une chose pareille.
On s’évite les jours suivants, cela n’a rien d’étonnant. « Faisons comme avant, faisons comme avant », c’est impossible avec des provocations pareilles ! Je voudrais vraiment pouvoir passer à autre chose et oublier mes sentiments, mais elle n’aide vraiment pas ! Désormais, j’ai peur à chaque fois que je regarde ma boîte mail, je me demande quel genre d’obscénité je vais bien pouvoir y découvrir. En math, j’hésite entre continuer de m’y acharner ou au contraire faire exprès de tout foirer pour qu’il arrête. Le pervers qui est en moi préfère poursuivre ses efforts... dans l’espoir de pouvoir m’offrir une bonne branlette. Il y a un nouveau contrôle, et je le réussis. Deux jours plus tard, je reçois une nouvelle vidéo. J’en suis presque content. Je commence à m’en faire une petite collection. Quand j’ai envie, je les regarde en me masturbant.
Les choses ne vont pas mieux pour autant. Au contraire, c’est en réalité de pire en pire, je m’enfonce encore plus dans la dépression et la folie. Maryjane obsède toutes mes pensées, et mon envie d’elle s’accroît. J’essaie d’agir normalement en sa présence, elle aussi, mais aucun de nous n’y croit. Notre relation est devenue un simulacre. Il faut que je fasse quelque chose pour m’en sortir. Au point qu’un jour, je lui demande de m’aider :
— Je n’en peux plus Maryjane, trop c’est trop.— Je... je suis désolé Florian, je vais lui demander d’arrêter. Ça a assez duré.— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire. Je... je voudrais...— Quoi ?— Si tu me laissais... coucher au moins une fois avec toi, je me sentirais mieux.— Quoi ?! Mais tu me prends pour une pute ou quoi ?!— S’il te plaît, je n’en peux plus ! Je me masturbe tous les jours en pensant à toi !— Florian ! Tu es fou !— Oui, je suis fou de toi, je deviens dingue ! Merde ! Qu’est-ce qu’il a de plus que ce moi ce mec ?! Moi aussi je peux te faire sentir belle, moi aussi je peux te faire sentir aimée. Pourquoi est-ce que tu ne veux pas de moi ?!— Ça suffit !C’était à prévoir, après un coup pareil, elle me vire de chez elle. Je rentre chez moi en larmes. Qu’est-ce qui m’a pris ? Moi non plus je ne me reconnais plus. Je ne vaux pas mieux que Monsieur Matignon, je suis une vraie ordure. J’aurais de la chance si elle daigne encore me parler. J’ai tout gâché, j’ai vraiment tout gâché. Si seulement je n’avais jamais découvert son secret... Je serais resté le gentil garçon qu’elle a toujours connu.
Plusieurs jours passent sans qu’on ne s’adresse la parole. Je n’essaie même pas de prendre contact avec elle, ce serait culotté. Je m’en veux tellement. Puis à l’école, entre deux cours, c’est elle qui vient me voir.
— Florian... je... — Ne dis rien, c’est moi qui suis désolé.
Nous discutons un peu, l’ambiance est tendue, puis elle me parle de l’objet de sa visite :
— J’ai beaucoup réfléchi à ce que tu m’as demandé la dernière fois. Et... je suis d’accord.
Mon cœur fait un bon dans ma poitrine. Elle est sérieuse là ?
— Tu le penses vraiment ?— Oui. Écoute, je sais que j’ai une curieuse manière de te le montrer, mais je tiens vraiment à toi, je ne veux pas te perdre à cause de cette histoire. Si tu penses que cela peut t’aider alors... D’accord, je veux bien faire ça pour toi. Mais juste une fois ! Ensuite, nous n’en parlerons plus jamais ! — Promis !— Et pas à mot à tu-sais-qui. — Bien sûr !— Alors viens chez moi demain après les cours.
Je n’en reviens pas. Je suis en train de rêver ? Je me pince pour m’en assurer. Il doit y avoir un piège, c’est trop beau pour être vrai. Après tout ce que j’ai traversé, je suis devenu un peu méfiant. Il va m’arriver un truc, c’est certain. Je stresse et trépigne d’impatience durant une journée entière. Maryjane, je vais pouvoir faire l’amour avec Maryjane. Autant dire que j’ai du mal à me concentrer durant les cours, je ne pense qu’à ça. Le moment venu, je me rends chez elle. Nous nous retrouvons dans sa chambre. Elle est tendue, moi aussi. Autant cela fait longtemps que j’attends ce moment, autant les circonstances sont un peu particulières.
— Tu... es toujours d’accord, alors ? lui demandé-je pour m’assurer qu’il n’y ait pas de malentendu.— Oui. Mais rien qu’une fois. — D’accord, d’accord.
Il y a un silence gênant.
— Alors, heum... comment on s’y prend ? fais-je — Cela dépend de ce dont tu as envie. Je fais ça pour toi, alors tu peux me demander tout ce que tu veux. Enfin... presque... tant que ça reste raisonnable.
Maintenant que je suis sur le fait accompli, je me sens naze. Est-ce que je vais vraiment oser ? Je ne suis pas puceau pour rien, je suis un véritable coincé ! C’est la folie qui m’avait fait parler l’autre fois. Là, maintenant, je me sens sale. Pourtant, je ne peux pas faire marche arrière. Je le regretterais toute ma vie, je le sais. L’occasion est trop belle. Je ne sais pas où ça va nous mener, mais j’en ai marre de réfléchir.
— Je peux t’embrasser ? — Non, répond-elle. Pas ça.Mince... En même temps, je la comprends. Je voudrais le faire parce que je l’aime, mais ce sentiment n’est pas partagé. Elle s’offre à moi pour me faire plaisir, mais cela ne va pas plus loin, et elle vient de me le rappeler clairement.
— Je peux te sucer par contre, si tu veux.
La vache, un peu que je veux ! J’accepte sa proposition.
Je m’assieds sur son lit et baisse mon froc. Lorsque je révèle ma verge déjà bien tendue, elle a l’air un peu déçue. Ma fierté en prend un coup. Ce n’est pas que j’en ai une petite, je suis plutôt dans la moyenne, mais c’est sûr que je ne fais pas le poids face à Monsieur Matignon qui en a une vraiment énorme.
Elle s’agenouille devant moi. Je n’en crois pas mes yeux, je vais perdre ma virginité avec Maryjane. Elle prend ma queue dans une main et commence à me branler. Ah, oui ! Ce simple geste me rend fou ! Il faut dire que j’en ai tellement rêvé. Pourvu que rien ni personne ne vienne nous interrompre. Elle s’affaisse tandis que je sens ses lèvres se poser sur mon gland. C’est en train d’arriver, c’est vraiment en train d’arriver ! Elle me prend dans sa bouche, puis commence à faire des va-et-vient. Mon Dieu, c’est divin ! Je me fais sucer par mon amie d’enfance ! Waow ! J’en suis si excité que j’ai failli en éjaculer. Il faut que je fasse attention, je n’ai droit qu’à une chance, je refuse de la gâcher, je compte bien en profiter à mort.
— Ça va ? Ça te plaît ? me demande-t-elle.— Oh oui, c’est super ! Continue !
Je suis crispé, je suis tellement mal à l’aise, mais c’est aussi tellement bon. Je sens bien qu’elle ne me pompe pas comme dans les vidéos. Elle n’a pas la même... dévotion. Je comprends, je ne suis pas son homme après tout. Puis c’est sans doute mieux ainsi, je ne tiendrais pas très longtemps sinon. Elle s’applique néanmoins à me faire plaisir et j’en suis heureux.
Je commence à me détendre, je suis bien. Je la regarde à l’œuvre, je voudrais la filmer moi aussi, histoire de me venger de toutes mes souffrances, de pouvoir garder un souvenir qui m’est propre, et pas celui d’un salaud. Elle est si belle, c’est tellement érotique. La gamine avec qui j’ai grandi qui a ma bite dans la bouche. Je l’aime à en mourir.
Je gémis en lui caressant les cheveux. Elle prend de l’assurance et va de plus en plus vite. Sa langue travaille sur ma verge et sur mon gland. Il avait raison ce gros bâtard, elle sait vraiment comment sucer.
— Oooh... Maryjane...
Elle rougit devant mon compliment. Elle doit être aussi gênée que moi, je ne pourrais néanmoins jamais assez la remercier pour ce moment. Elle s’arrête avant que je n’atteigne le point de non-retour. C’était incroyable. Qu’est-ce que ça doit être de pouvoir éjaculer dans sa gorge.
— Oh la vache ! m’exclamé-je le souffle court.— Cela t’a plu ?— Oh oui alors ! — Tu veux faire quoi maintenant ?— Je... peux te voir nue ?
Elle acquiesce. Elle se relève et se déshabille lentement. Je bande encore plus fort lorsqu’il ne reste plus que son soutien-gorge et sa culotte. Elle est tellement belle... Je perds presque conscience quand elle enlève le haut. Je vois enfin ses petits seins en vrai pour la première fois. Ils sont tellement beaux. Elle s’allonge sur le dos sur son lit pour enlever le bas. Elle écarte ensuite les cuisses pour me montrer son incroyable fente bien lisse. Je perds le contrôle. Elle est complètement nue, devant moi, offerte. Ma Maryjane. Ce soir, elle est à moi, rien qu’à moi, j’ai le droit d’en faire ce que j’en veux. J’ai une furieuse envie de la défoncer comme le dernier des salauds. Je n’arrive pas à croire que je ne ressortirai pas d’ici avant de l’avoir baisée et rempli son vagin de sperme. Je tente de me calmer, nous avons tout notre temps. Je viens la rejoindre et me place à ses côtés. Je ne peux peut-être pas l’embrasser sur la bouche mais cela ne veut pas dire que je ne peux pas la couvrir de baisers. Je commence par son cou. J’hume sa délicieuse odeur de femme. Je la caresse en même temps, une de mes mains atteint un de ses seins. Je joue avec et lui pince le téton. Elle en a un frisson.
Elle me laisse découvrir son corps à mon rythme. Je profite de chaque seconde. Mon visage descend lentement vers son épaule puis vers sa poitrine. Je prends un délicieux bout rose en bouche et l’aspire. À sa réaction, elle est décidément très sensible. Elle est mince, presque plate, mais elle me fait plus rêver que les filles à gros nibards. Je fais glisser mes doigts le long de son ventre en direction de son entrejambe. J’ai la tête qui tourne lorsque je touche les lèvres de son vagin et que je remarque qu’elle me laisse faire. Son palais des plaisirs, et l’antre de tous mes désirs. Je cherche son clitoris. Je n’y connais pas grand-chose, mais je trouve le capuchon et ce qui se cache en dessous. Je le titille, elle gémit, je dois être au bon endroit. Je continue mon exploration en lui enfonçant un doigt dans la fente. J’entre et je ressors. Ça n’a pas l’air de la faire réagir beaucoup, je dois mal m’y prendre.
Je suis affamé et décide de passer à l’étape supérieure. Je viens me mettre à quatre pattes devant elle pour placer ma tête entre ses jambes. Je me mets à la lécher. Je recherche à nouveau son clito pour jouer avec. Il est tout dressé, c’est adorable. Je suis content, ça a l’air de lui plaire. J’en profite pour introduire deux doigts dans sa chatte. Je la fouille plus profondément. On dirait qu’elle mouille. Oui, oui, je ne rêve pas, elle est bel et bien en train de mouiller. J’en suis fier. Je continue de lui donner du plaisir, je goûte son jus et m’en délecte. Cela m’excite trop, je n’en peux plus, il est temps de passer aux choses sérieuses. Je me redresse et pointe mon sexe en direction de son vagin. Je vais le faire, je vais perdre ma virginité avec Maryjane. Je le veux tellement.
— Tu es prête ? Tu veux bien ? — Oui, vas-y.
J’ai son consentement, plus rien ne peut plus m’arrêter désormais. Je me place à son entrée et m’y insère doucement. Ça y est, je l’ai pénétrée. Je n’en reviens pas, je suis dans la chatte de mon amie d’enfance. Je suis l’homme le plus heureux du monde. C’est doux, serré, chaud et onctueux. Bien meilleur que tout ce que j’ai pu imaginer. Je démarre mon va-et-vient, lentement. Je découvre ce mélange de nouvelles sensations sans me brusquer. Quand je sens que je m’y habitue, je vais un peu plus vite. Ça y est, je ne suis plus vierge à présent. Je sais ce que ça fait de baiser une fille. Quand je pense à tous ces gens que je connais qui savaient ce que c’était, je n’ai plus à être jaloux à présent. C’est tellement bon, et dire que je suis passé à côté de ça pendant aussi longtemps...
Je me penche sur elle pour lui embrasser le cou. Je la caresse tendrement. Je ne suis pas une brute ni un salaud, je lui fais l’amour. Elle ne participe pas beaucoup. M’enfin, avec Monsieur Matignon non plus elle ne participait pas beaucoup, ça n’a pas l’air d’être son truc. Je me redresse pour mieux l’admirer. Je me prends un coup de poignard : l’expression de son visage n’est décidément pas pareille que lorsqu’elle est avec son con de prof. Point de yeux grands ouverts ni d’orgasme perpétuel. J’essaie de ne pas me vexer ; après tout, c’est ma première fois, mais tout de même, cela me fait bien chier. J’essaie de m’appliquer, je tiens à ce qu’elle prenne du plaisir avec moi. J’y vais un peu plus franchement. Je la prends en gémissant. On entend le claquement de mes couilles contre son pubis. Je dois faire un effort considérable pour ne pas me décharger. C’est tellement bon de baiser, encore plus avec elle. Je m’en souviendrais toute ma vie. Je ferme les yeux et roule du bassin pour mieux la pénétrer. Putain mais quel pied ! Je me sens un peu honteux de faire ça. Honteux d’être un homme qui a des instincts animaux. Je me vois toujours comme un petit garçon, un puceau qui veut rester pur.
— Ça y est ? Tu as bientôt fini ? Tu vas bientôt éjaculer ?
Sa voix me sort de ma torpeur. Ce n’était pas peut-être dit méchamment, mais elle vient de me briser le cœur. Bordel, elle s’ennuie avec moi. Pourquoi ?! Qu’est-ce qu’il lui faut ? Je ne suis pas assez bien pour elle ? Je suis doux et attentionné, je tiens vraiment à prendre soin d’elle et à ce qu’elle prenne du plaisir. Qu’est-ce que je fais de mal ?!
— Dépêche-toi s’il te plaît.
Ça y est, je suis en colère, très en colère. Mes inhibitions sautent, tant pis pour elle. Je n’ai qu’une chance, une seule chance de pouvoir prendre mon pied avec elle. Si en essayant d’être gentil, je n’arrive pas à la faire jouir, autant, y aller franchement. Elle me détestera peut-être après, mais au moins, je n’aurais pas de regret. Non, je n’ai pas fini, loin de là. Je lui demande d’un ton autoritaire de se mettre à quatre pattes. Elle est surprise, mais m’obéit. Je la regarde quelques instants rester dans cette position. Soumise comme une chienne qui attend ma bite. Petite salope, elle me fait tourner en bourrique depuis bien trop longtemps. Je me place derrière elle et la fourre d’un trait. Je ne suis plus le même homme. Je n’essaie plus d’être doux. Je l’utilise comme un vulgaire trou à bite pour me faire du bien. C’est tout ce qu’elle mérite après tout le mal qu’elle m’a fait, merde ! J’oublie qui elle est. Elle n’est plus mon amie d’enfance pour qui j’ai tant de tendresse et d’affection. Ce n’est plus qu’une pute qui n’est là que pour me vider. Je la saillis comme un mâle. Je lui donne une fessée. Elle frémit. Je perds la tête, je lui défonce la chatte. Toute la frustration que j’ai accumulée est en train de ressortir d’un coup. Je beugle comme un animal. Je suis si violent qu’elle est obligée de s’agripper aux draps pour tenir en place. Je lui fais tout ce que j’ai toujours rêvé de lui faire dans mes plus noirs désirs. Elle s’écroule le torse en avant, la tête dans l’oreiller. Elle gémit de plus en plus fort. Je délire ou bien... ? Dans le doute, je l’attrape par les cheveux pour la forcer à me regarder. Non, c’est bien ça, elle a maintenant la même expression que dans les vidéos, les yeux au ciel, perdue comme une droguée. D’ailleurs, à ce simple contact visuel, elle en jouit. Ce n’est pas croyable, je sens les parois de son vagin se contracter comme pour essayer de me traire. J’ai réussi, j’ai réussi à la mettre dans cet état-là, j’en suis fier, mais si énervé aussi :
— Bordel ! Alors c’est ça qui te plaît ? Te faire sauter comme une salope ?!— Aaaah ! Ouiii ! — Tu me fais honte, Maryjane. Comment en es-tu arrivé là ?! — Je suis désolée ! Je suis désolée !— Tu en veux encore alors ?! Ou tu préfères que je me finisse tout de suite ?— Encore ! Encore !
Ça paraissait évident, mais j’avais tellement du mal à l’accepter que je n’arrivais pas à le voir : elle aime les salauds, se faire traiter comme une merde au lit. Elle a peut-être un grain, mais je m’en fous. Puisque c’est comme ça, je vais encore moins me gêner. Je laisse libre cours à mon côté sombre. Je la plaque ventre contre le matelas et lui détruis la chatte. Je n’ai peut-être pas une aussi grosse bite que ton connard de merde, mais je te fais jouir quand même, hein salope ? Je lui donne des fessées, je la tire par les cheveux, je lui étrangle le cou, et elle, elle jouit coup sur coup. J’avoue prendre un malin plaisir à la malmener, à détruire son innocence, à faire d’elle une poupée de chair. C’est l’éclate la plus totale, je réalise mon plus gros fantasme. Enfin ! Après toutes ces années !
Mes forces commencent à me quitter, et ça fait trop longtemps que je me retiens. Pas trop mal pour un puceau tout de même, non ? Il est temps d’en finir. De toute façon, je pense qu’elle a assez joui comme ça.
— Raaah ! Petite pute ! Je vais me faire gicler en toi. Je vais laisser un souvenir à ton enfoiré de copain. Tu pourras aller le voir et aller le lui montrer. — Aaaah !
Oh oui ! Ça vient ! Avec son vagin qui n’arrête pas d’avoir des soubresauts, cela devenait insoutenable. Je sens mes couilles lâcher leur jus et ce dernier grimper le long de ma tige. Je crie lorsque je me sens mon premier jet lui tapisser les parois du vagin.
— Prends salope ! Prends ! Tu l’as bien cherché ! Putain ! Mes bons souvenirs à Monsieur Ducon !
J’éjacule en elle. Je lui remplis la chatte de sperme comme j’en ai toujours rêvé. Ça y est, je fais enfin partie de ce cercle très fermé des hommes qui ont pu marquer leur territoire en elle. Je me vide les couilles dans cette décharge à foutre jusqu’à la dernière goutte, c’est le pied absolu. Je m’écroule sur elle, épuisé aussi bien mentalement que physiquement. Je me relève une fois que j’ai récupéré un peu mes esprits. Elle, elle est toujours dans les vapes. Eh bien, pour un dépucelage, ce fut un sacré dépucelage. Regarde-moi l’épave que j’ai faite d’elle. D’ailleurs, cela me donne une idée, je me dois d’immortaliser ce moment. Je vais chercher mon téléphone et prends quelques photos. D’abord quelques clichés d’elle allongée sur son lit à poil complètement comateuse avec les jambes écartées, puis quelques gros plans de sa chatte débordant de mon jus. J’ai presque envie de les envoyer à ce gros porc de prof de math pour me venger avec un beau message du style « regarde, moi aussi j’ai pu me la taper, Ducon » mais ça finirait par retomber sur Maryjane.
Elle reprend doucement conscience alors que je me rhabille. Je suis inquiet, j’y suis peut-être allé un peu fort. Je ne suis pas comme ça d’habitude, je ne suis pas un salaud. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Maintenant que je suis de nouveau moi-même je regrette ce que j’ai fait.
— Ça va ? lui fais-je.— Oui, oui, ça va.— Tu es sûre ? Tu... ne m’en veux pas ? Je n’y suis pas allé trop fort ?— Non, non, ne t’en fais pas. C’était... mieux que ce que je pensais. Mais c’est fini maintenant, on est d’accord ? Tu as eu ce que tu voulais, non ?— Oui, oui, t’inquiète.
Voilà, c’est fini. Je suis quelque part rassuré qu’elle ne m’en veuille pas, je culpabilise moins, mais je me demande désormais quelles conséquences ce qui vient de se passer va avoir sur notre relation... J’ai peur.
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