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Pour un petit coup avec toi

Chapitre 6

Rupture

Hétéro
Rien n’a changé entre nous après cette nuit torride avec Maryjane. Nous n’en parlons pas, ni même ni faisons allusion, c’est notre secret, personne ne doit jamais savoir, surtout pas son copain. Je me demande si les choses vont mieux entre eux, même si je n’ose jamais lui poser directement la question. Est-ce qu’il a enfin appris à la sauter proprement ? Où garde-t-elle en elle de la frustration ? Cela ne me regarde pas, de toute manière.
Un soir où elle n’est pas avec lui, Maryjane vient me voir dans mon studio. Elle le fait souvent, sauf que cette fois, elle a un cadeau à m’offrir. Je suis surpris, ce n’est pourtant pas mon anniversaire. Qu’est-ce qui se passe ? Je suis d’autant plus perdu qu’en ouvrant la boîte, j’y découvre un tube de lubrifiant :
— Je ne comprends pas. Pourquoi est-ce que tu m’offres ça ? lui fais-je.— Regarde de plus près, ce n’est pas ça mon cadeau.
Je lis l’étiquette, je remarque qu’il s’agit de lubrifiant anal. J’ai peur de comprendre, ne me dis pas que...
— J’ai beaucoup aimé quand tu m’as mis des doigts dans mon petit trou, m’explique-t-elle. Je t’avoue que je me masturbe beaucoup par là-bas depuis. J’aimerais aller plus loin encore. J’aimerais t’offrir ma virginité anale.
J’ai la tête qui tourne. Elle est sérieuse ? Là, comme ça, soudainement ? C’est un piège ou quoi ? C’est trop beau pour être vrai.
— Mais... Et ton mec ? — Ça ne va pas mieux avec lui. Pourquoi tu crois que je me masturbe ? J’ai envie d’essayer, mais avec quelqu’un qui sait comment me faire jouir. Je veux le faire avec toi.
Je ne sais pas quoi dire. Cela fait des semaines que je réprime des idées salaces la concernant pour essayer de tourner la page, puis maintenant, voilà qu’elle m’offre son cul sur un plateau. J’ai une trique d’enfer rien que d’y penser. Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle s’avance vers ma table à manger et retire son manteau. Elle porte en dessous une tenue rouge ultra sexy, avec dentelles et porte-jarretelles. On est décidément bien loin de ces tenues de grand-mère d’il y a encore un an, cette fois, elle est vraiment habillée comme une pute.
— Ce n’est pas la seule surprise que j’ai pour toi, déclare-t-elle avant de se pencher sur la table.
Elle ne bouge plus, elle ne se retourne même pas, elle attend que je vienne m’occuper d’elle, comme ça, sans préliminaire. Je ne peux pas décliner une telle invitation...
Je m’approche lentement par-derrière. Elle porte une jupe ultra courte. Je pensais que sa seconde surprise était qu’elle ne porte rien en dessous, mais elle est allée encore plus loin : elle porte un plug anal. Oh la petite salope ! Si je m’attendais à ça ! En plus elle mouille tellement que cela dégouline le long de ses cuisses. Je l’imagine se préparer chez elle, s’habiller rien que pour moi, marcher jusqu’ici avec son jouet dans le cul, juste pour venir se faire sauter. Et bien si c’est comme ça, je n’ai aucune intention de la décevoir.
Je joue avec sa chatte et son plug. Je m’amuse à le retirer et à le remettre. N’en pouvant plus, je baisse mon froc et la lime comme un sauvage. Elle crie de plaisir de cette première double pénétration. Après qu’elle ait joui une fois, je passe aux choses sérieuses. Je retire son plug et la lubrifie bien avec son tube. Vu que c’est ma première fois, elle me donne quelques conseils de ses expériences acquises durant ses plaisirs solitaires. J’introduis enfin mon sexe en elle, doucement, pour ne pas lui faire mal. Je commence à lui faire du rentre-dedans lorsqu’elle me dit que je peux y aller. Je vais d’abord lentement, puis lorsqu’elle me le demande, j’augmente le rythme.

— Ça va ? Tu aimes ça ? fais-je un brin inquiet. — Oui ! Oh la vache, oui ! Vas-y encore plus fort !
Si baiser sa chatte est déjà un paradis, je ne sais pas comment décrire ce que c’est de lui défoncer le cul. Je redeviens rapidement l’animal en rut qu’elle adore tant. Je lui tire les cheveux et lui donne des fessées, elle me supplie de continuer. Elle jouit, elle jouit par-derrière, ma délicieuse Maryjane. Je crois qu’après ça, je peux mourir heureux.
Je l’encule comme un sauvage, puis quand je n’en peux plus, je me décharge au fond de son anus. Cela n’a pas duré très longtemps, mais ce fut très intense. Comme d’habitude, elle reste un moment inerte le temps de récupérer. Lorsqu’elle est en état, elle se rhabille, se remet le plug dans le cul pour s‘empêcher mon jus de couler, puis s’en va en me remerciant. La petite traînée, elle venait juste pour ça. Je ne sais pas pourquoi, mais j’adore.
Je ne comprends toujours pas ce qui lui a pris, mais je n’ai pas osé lui reposer la question par après. Je ne suis néanmoins de plus en plus nerveux à chaque fois qu’elle vient me voir. Je commence à avoir quelques attentes maintenant, et chaque jour, j’ai l’espoir qu’elle vienne me demander de tirer un coup. Je suis assez déçu de voir que les semaines passent et que cela ne vient pas. Elle va vraiment me rendre fou ! Ce n’est pas cool de jouer avec moi comme ça.
Un jour, elle dit qu’elle veut qu’on ait une discussion sérieuse. Je panique. Est-ce parce qu’elle trouve qu’elle est allée trop loin et veut tout arrêter ? Je comprendrais, mais je serais déçu. Elle vient chez moi, nous nous installons sur mon canapé, puis elle se lance :
— Je compte rompre avec Rudi.— Quoi ?! Pourquoi ?— Parce que tu avais raison, la comptabilité du caractère, c’est bien, mais on a aucune compatibilité sexuelle. J’ai essayé, j’ai vraiment essayé, mais je ne peux pas rester avec un homme qui n’est pas capable de me faire jouir, je n’en peux plus. — Je suis désolé, fais-je sincèrement.
Même si au fond, une partie de moi en est ravie. Je m’en veux de ressentir ça.
— Il y a autre chose que je voulais te dire. Ce n’est pas évident pour moi de demander ça, mais... est-ce que... est-ce que tu voudrais toujours sortir avec moi ?— Maryjane ?! Tu es sérieuse là ?— Oui, plus que jamais. — Je ne comprends pas. Tu m’as pourtant bien fait comprendre que cela n’arriverait jamais. Qu’est-ce qui a changé ?— Je me suis beaucoup remise en question ces temps-ci. Au début, si je t’ai dit non, c’est parce que je ne ressentais rien physiquement pour toi, mais... je dois t’avouer que... ça a changé. J’ai envie de toi. Quand je le fais avec Rudi, c’est à toi que je pense. Je crois que j’avais une sorte de blocage émotionnel depuis mon adolescente, parce que tu étais mon ami et que je refusais de ressentir quelque chose pour toi, mais petit à petit... il a sauté... et maintenant... je réalise que je n’ai pas envie de quelqu’un d’autre.— Maryjane...
Je viens l’embrasser en guise de réponse. Le plus fou, c’est qu’elle me rend mon baiser. Je perds la tête, j’ai la certitude que je vais me réveiller, cela ne peut pas être réel. Pourtant, le temps passe, et nous sommes toujours là, collés l’un contre l’autre. Je n’en reviens pas. J’ai rêvé de ce moment toute ma vie, je l’ai cru impossible si longtemps, et aujourd’hui... elle veut être avec moi, rien qu’avec moi. Je suis l’homme le plus heureux du monde, je n’arrive pas à croire la chance que j’ai, je ferais tout pour ne jamais la laisser filer. Je me refuse d’être comme les autres connards qui l’ont rendue malheureuse.
Je ne sais pas quoi dire, elle non plus, du coup, sans ajouter le moindre mot, nous faisons l’amour. Cela n’a jamais été aussi bon, car cette fois, je sais qu’elle m’appartient, qu’elle n’est rien qu’à moi. Nous baisons toute la nuit, je la démonte comme un animal enragé, j’en profite même pour l’enculer comme une chienne, MA chienne. Elle se réveille le lendemain écroulée sur mon lit, les orifices débordants de foutre, sans se rappeler de tout ce qui s’est passé la veille.
Elle prend un peu de temps pour annoncer la nouvelle à son copain. Elle ne sait pas vraiment comment s’y prendre. Nous discutons et avons l’idée de lui envoyer une vidéo version Monsieur Matignon. Je sais. C’est dégueulasse de faire ça après en avoir tant souffert nous-mêmes, mais ce sera juste une fois, pour nous amuser. On n’est pas des salauds comme notre ex-prof à torturer un pauvre mec avec ça pendant des mois. J’achète une vraie caméra et nous nous y mettons. Je l’allume alors que je ne suis allongé à poil dans mon lit, jambes écartées, et je filme Maryjane est à quatre pattes devant moi en train de me faire une pipe.
— Salut, Ducon, fais-je tout haut à l’adresse de son futur-ex, c’est Florian. On ne s’est jamais vu, mais je sais que Maryjane t’a déjà parlé de moi. Elle a un message pour toi. Elle ne savait pas trop comment te le dire alors je l’aide un peu. Vas-y Maryjane, dit au Monsieur ce que tu voulais lui dire. — Rudi, je te quitte, dit-elle entre deux succions. — Ce n’est pas très gentil ça ma chérie. Il va lui falloir un peu plus d’explications. Pourquoi tu le quittes ?— Je te quitte parce que tu me baises mal.— C’est vrai ça ? Mon Dieu, Rudi, mais quand on a une copine comme Maryjane, le moins qu’on puisse faire, c’est de bien la baiser. Regarde-la, elle n’est pas craquante à pomper comme ça ? Ça ne te donne pas envie de la défoncer une vision pareille ?— Il faut croire que non. Il ne sait pas s’y prendre.— C’est malin, le pauvre. Qu’est-ce qu’on fait alors ?— Je veux que tu lui montres comment on fait. — Bonne idée. Tu entends ça Rudi ? Je vais te montrer comment on la saute. Installe-toi et branle-toi bien, parce que ça va être chaud. Quand on en aura terminé, tu n’auras plus que tes yeux pour pleurer en réalisant à côté de quoi tu es passé. En attendant, continue de me sucer, salope. Chauffe-moi encore un peu.
Je la laisse me pomper pendant encore un moment en la filmant bien pour qu’il ne rate rien du spectacle, puis je passe à des choses plus sérieuses en la prenant en missionnaire. Elle retient ses jambes sur elle tandis que je la ramone. Je caresse son merveilleux corps avant de l’étrangler un peu comme elle aime. Elle commence à rouler des yeux, c’est bon signe.
— Regarde-la. C’est la première fois que tu vois cette expression chez elle, n’est-ce pas ? fais-je. Avec moi, elle est tout le temps comme ça. Tu comprends la différence ? LÀ elle prend vraiment son pied. Ecoute-la ronronner comme une petite chatte. Putain, ce n’est pourtant pas compliqué, elle te l’a pourtant expliqué : il suffit de la prendre comme un vulgaire vide-couille. Tu n’es pas foutu de faire ça ? Dis-moi ma petite pute, il t’a déjà fait du bien comme ça ?— Aaaaah ! Noooon, jamaiiiiiiis ! Il ne m’a jamais baisée comme çaaaaaaaaaaaa. — Quel naze, ce n’est pas vrai. Ne t’inquiète pas, je suis là maintenant, je vais t’user tous les jours et te nourrir au foutre. Tu seras la salope la plus heureuse du monde.— Oh ouiiiiiiiiiiii !
Je la lime profondément, et elle finit rapidement par jouir en criant :
— Aaaaaaah ! — Tu vois ? C’est comme ça qu’elle jouit vraiment, pauvre con. Et dire que tu n’as jamais été foutu de la mettre dans cet état-là, elle a dû être bien malheureuse, la pauvre. Si tu ne l’entends pas gueuler comme une chienne, c’est qu’elle n’est pas satisfaite.
Je continue comme ça jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Lorsque je la sens à l’agonie, je la force à se mettre à quatre pattes et vais chercher le lubrifiant :
— Regarde bien ça, Ducon, à moi, elle m’a offert son petit cul. Je vais te montrer comme on le défonce.
Je m’insère dans son anus et le lui bourre sans douceur, elle hurle de plaisir. Elle fait mine de s’écrouler, mais je la retiens en la tirant par les cheveux. Je pose la caméra devant son visage pour que son futur-ex ne rate rien de l’effet que je lui fais. Je peux enfin y aller de toutes mes forces maintenant que j’ai mes deux mains libres.
— Tu vois combien elle aime ça de se faire démonter le cul ?! Tu en as déjà vu des petites putes pareilles ? Et dire que ça aurait pu être toi qui en profites. Dommage. Ne t’inquiète pas, je vais bien m’occuper d’elle. Tu te souviens de la fois où elle boitait à la fac ? Et où elle t’a dit que c’était parce qu’elle s’était blessée la veille ? Et bien maintenant, tu sais la vérité : je l’avais enculée tellement fort que j’ai fait un cratère de son cul. Il lui a fallu plusieurs jours pour qu’il se referme. Pendant que toi tu l’as cru, elle, elle débordait de mon foutre.
Je me fais plaisir en me servant de son conduit pour me faire du bien. Elle jouit tellement fort que j’ai perdu le compte du nombre d’orgasmes qu’elle a déjà eus. À la caméra, Rudi peut voir le visage de sa petite chérie complètement distordu par le plaisir, à moitié dans les vapes. Quand j’en ai eu assez, je reprends la caméra et la fais se mettre à genoux devant moi.
— Allez, ma pute. Finis-moi maintenant. Fais-moi éjaculer sur ta jolie petite gueule.
Elle prend ma queue tendue à deux mains et me branle très fort. Je la filme tandis qu’elle me suce comme une reine. Ses lèvres collées à ma bite, elle me fixe avec des yeux de chienne battue. Elle veut me faire du bien. Par amour, par dévotion, par soumission. Je grogne sous l’effet qu’elle me fait :
— Je vais me décharger sur elle et la souiller. Et dire que tu te contentais de te vider dans sa chatte alors qu’elle aimait le sperme. Tu es vraiment con, toi. Me dis pas que tu n’as jamais rêvé de lui faire ce que je vais lui faire. Allez chérie, c’est l’heure de la douche !
Elle me pompe encore une minute, puis j’atteins le septième ciel :
— Aaah ! Ça vient ! Prépare-toi !
Elle se met en position et place bien son visage à bonne hauteur de ma queue. Je lui gicle dessus de toutes mes forces. Elle continue de me branler à fond pour en avoir plus. Je lui donne tout ce que j’ai et la couvre de jus. Quand je n’ai plus rien à tirer, elle me resuce pour me la nettoyer et me goûter.
— Aaaah, oui ! fais-je. Ça c’est une bonne petite pute. Elle n’est pas magnifique comme ça ? Dégoulinante de mon sperme ? Je parie que tu as joui rien qu’à voir ça. Désolé vieux frère, c’est un truc que tu ne pourras jamais lui faire, trop tard. Bon, tu as quelque chose à lui dire avant que j’éteigne la caméra ? fais-je cette fois à Maryjane. — Adieu, je ne veux plus jamais te revoir. Ce n’est pas la peine de m’appeler, il sera sûrement en train de me baiser. — Tout est dit. Allez ! Salut !
Fin de la vidéo. Je la lui envoie moi-même par email. J’imagine la rage qu’il va avoir en la regardant. C’est fini, nous sommes officiellement ensemble maintenant, nous pouvons enfin nous afficher publiquement. Elle vient chez moi tous les soirs et il ne se passe pas un jour sans que je la baise sauvagement. C’est bon de s’endormir à ses côtés jour après jour. J’ai tellement de la chance.
Si je suis doux et attentionné avec elle en tant que copain, dès qu’il s’agit de sexe, je ne suis plus le même homme et je me sers d’elle comme mon garage à bite perso. Peu importe l’heure du jour où de la nuit, dès que j’ai envie, je lui passe dessus. Je n’hésite pas à venir la sauter lorsqu’elle est sous la douche, à l’enculer sur la table même s’il elle n’a pas encore fini de bouffer, ou même à la réveiller en pleine nuit pour me vider les couilles. À la fac aussi, il n’est pas rare d’aller s’isoler pour un petit quickie vite fait, ou de lui demander de me faire une pipe dans un endroit incongru. Ah ça, je lui en ai fait avaler des litres de sperme, la petite cochonne.

Avec nos expériences passées, nous avons développé un certain goût pour l’exhibitionnisme, du coup, nous avons continué à faire des vidéos de nos ébats et à les mettre sur le Net. Nous avons notre lot de fans. Ça m’excite de savoir que des mecs se branlent en la regardant se faire tringler sachant que je suis le seul à pouvoir la toucher.
Je vis enfin tout ce que j’ai rêvé de vivre avec une fille. La complicité, la proximité, et le sexe sans limite. Je suis prêt à tout pour la rendre heureuse, et je ferais tout pour que notre relation dure jusqu’à la fin de notre vie.
FIN.
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