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Pour un simple verre d'eau

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire date des années 90. Je venais depuis peu d’avoir 18 ans, permis en poche, les seules préoccupations de l’époque, c’étaient les voitures, les motos, les potes, les virées et accessoirement les filles, mais sans plus. Et puis avec mon petit mètre 70, j’étais trop complexé pour m’intéresser vraiment aux filles. J’avais d’ailleurs combattu ce complexe en soumettant mon corps à de nombreuses heures de sport pour développer une musculature qui faisait de moi un petit trapu digne d’un pilier de rugby.
Tout commença par une soirée d’anniversaire prévue à une bonne centaine de kilomètres.Mon ami qui fêtait son anniversaire me demanda s’il était envisageable que j’emmène sa mère avec moi. Il ne tenait pas à ce qu’elle conduise sur autant de kilomètres après une soirée potentiellement arrosée. Ne buvant pas d’alcool ou très peu, j’acceptais avec plaisir, d’autant plus que sa mère était vraiment très sympa et que pour l’occasion, nous prendrions sa voiture. Soyons honnête, le simple fait de pouvoir m’amuser avec une berline allemande sportive suffisait à ce que j’accepte le deal.

Le samedi soir, je me présentais chez sa mère afin que nous nous rendions tous les deux à cette fameuse soirée. Sa mère, Marie, une femme d’une petite quarantaine, 1.60m pour une petite cinquantaine de kilos, blonde, des yeux d’un bleu magnifique et toujours un sourire éclatant. Sa simple vue suffisait à rendre n’importe qui de bonne humeur. Elle vit maintenant seule depuis des années, depuis que le père de famille ait décidé d’aller faire sa vie avec une femme plus jeune.

Je la connaissais depuis déjà une dizaine d’années et nous avions l’habitude de discuter ensemble, donc la route nous parut très courte, occupée de nos discussions et nos rires. La soirée se déroula avec le même plaisir. Vers 1h du matin, Marie vint me retrouver en me disant qu’elle commençait à se sentir fatiguée et que si je n’y voyais pas d’inconvénient, elle apprécierait de rentrer. Fin de soirée, chemin du retour et nous voilà devant sa porte. Elle me propose un café avant de reprendre la route pour rentrer chez moi. J’accepte volontiers et entre chez elle.
— Si tu veux, prépare-nous un café, moi je vais passer quelque chose de plus agréable, je me sens tout oppressée dans cette robe. — Bien sûr, va te changer, je m’occupe de tout !

Café préparé, j’attends gentiment qu’il finisse de couler en appréciant déjà les premiers effluves de ce breuvage chaud qui va nous réveiller un peu. Marie revient, elle a en effet enlevé la robe qui l’oppressait pour passer un peignoir de soie rose clair. Je n’y prête pas attention plus que ça. C’est une très jolie femme, mais je la considère presque comme une amie, donc je ne porte pas sur elle un regard « gourmand ». Elle sort les tasses, nous sert le café et nous commençons à reparler de cette soirée agréable. Elle me remercie vivement pour l’avoir véhiculé.
— Pas de souci, ça m’a vraiment fait plaisir.— D’être avec moi ou de conduire ma M3 ? dit-elle avec un petit sourire.— Soyons honnêtes, les deux ! Une soirée avec une belle voiture et une très belle femme, c’est quand même le top. Lui répondis-je avec le même sourire complice. — Merci pour la « très belle femme » !! — C’est sincère !

Elle rougit un peu et me fit son sourire ... celui qui fait basculer une discussion banale en un moment de séduction ... Elle reprit :
— J’ai soif moi, tu veux boire quelque chose de frais ?— Ah oui, je veux bien un verre d’eau avec mon café s’il te plaît.
Elle remplit deux grands verres et les posa sur la table. Au moment où elle venait de déposer mon verre juste devant moi, la manche de son peignoir bouscula le verre et ce dernier finit sa course direct sur mon jean. Dans un réflexe, j’attrapais le verre au vol une fois qu’il se soit vidé complètement sur le bas de ma chemise et le haut de mon jean.
— Oucchhh ... elle est bien fraîche !! dis-je en me levant d’un bond.— Ho merde, excuse-moi ! je suis confuse ! — T’inquiète, ce n’est pas grave, petit rafraichissement maison, dis-je en rigolant.— Beau réflexe, mais tu es complètement trempé ! Tu ne vas pas rester comme ça ! — Laisse tomber, ce n’est pas grave, ça va sécher.
Elle me jeta un coup d’œil et avec une voix de maman, elle s’esclaffa de rire en disant :
— Alors on a fait pipi culotte ?? — Ouuuiiiiii !! répondis-je avec une voix d’enfant.— Allez, je vais m’occuper de ça, grand bébé !! Enlève-moi tes fringues que je les sèche.
Je commençais à déboutonner ma chemise, pendant que d’un geste sûr et rapide, Marie avait déjà défait ma ceinture et déboutonné mon jean. Elle accompagna la descente de mon pantalon en s’accroupissant devant moi :
— Allez, zou, pied droit, pied gauche ! — Oui maman !! dis-je en rigolant.
Marie était maintenant positionnée avec le regard juste au niveau de mon caleçon qui lui aussi avait eu le droit à une bonne quantité d’eau.
Elle fixa mon caleçon, releva la tête en me regardant :
— Eh ben le caleçon aussi, il est trempé !

Sans que je puisse répondre, Marie saisit le bout de tissu qui devenait le dernier rempart de mon intimité et d’un geste rapide et précis me le fit descendre sur les pieds. La vision de cette jolie femme accroupie devant moi, la tête au niveau de mon sexe maintenant libéré eut pour effet de déclencher un début d’érection. En relevant la tête après avoir enlevé mon caleçon, elle se retrouva le regard juste face à mon sexe.
— Alors ma toute belle, je vois que le froid n’a pas calmé tes ardeurs !!
Marie lui fit une petite caresse comme on caresserait la joue d’un enfant. Le contact de sa main chaude et douce transforma ce début d’érection en réveil immédiat. Elle leva les yeux pour fixer les miens.
— Je suis sûr qu’elle préfère quand même la chaleur au froid cette jolie ! — Euh ... oui ... c’est sûr.

J’essayais de garder un peu de consistances, masquant avec un sourire une gêne palpable. A peine avais-je fini de bredouiller que Marie avait déjà pris mon sexe dans sa main et avec une rapidité et un naturel déconcertant, l’avait glissé dans sa bouche.
La douce chaleur de sa bouche, cette sensation encore inconnue pour moi à l’époque réveilla mes hormones et c’est désormais avec une érection à tout rompre que je voyais mon sexe aller et venir dans la bouche de Marie. A chaque passage, sa langue venait caresser mon gland et je sentais ma bite aspirée dans cette douce cavité. A chaque aller-retour, Marie enfonçait mon sexe toujours un peu plus loin. Les sensations étaient extrêmes et je sentais déjà mon plaisir monter.

Marie ressortit mon sexe de sa bouche, releva les yeux pour me regarder avec un large sourire
— Ben tu vois qu’elle préfère largement le chaud au froid cette toute belle ! j’espère que ma bouche te plaît parce que moi j’aime beaucoup la sentir grossir dans ma bouche.— Hummm oui c’est très fort ! — Alors, laisse-moi faire, la suite va te plaire aussi, je pense. Me dit-elle en me faisant un petit clin d’œil.

Elle reprit directement mon vit dressé dans sa bouche et d’un mouvement plus ample, l’avala complètement. Je sentais mon gland franchir sa gorge et s’enfoncer inexorablement dans sa trachée. Le plaisir devenait intense et je sentais des vagues de plaisir m’envahir à chaque nouveau va-et-vient de cette bouche divine. Marie me saisit par les hanches et s’efforçait de faire entrer mon sexe au plus profond de sa gorge. A chaque fois, je sentais le plaisir de plus en plus intense monter.
— Hummm... je vais ... je vais.— Oui mon grand, vas-y remplis-moi, donne-moi ton jus !!
A ses mots, je sentis le plaisir me terrasser et un jet puissant explosa et remplit la bouche de Marie. Elle déglutit et déjà le deuxième, puis le troisième et plusieurs autres jets explosèrent dans sa bouche. Elle continuait ses mouvements de va-et-vient beaucoup plus lentement en aspirant à chaque fois mon gland comme pour finir de récupérer toute ma semence. Quand elle finit par ressortir mon sexe de sa bouche, il était luisant de salive, mais nettoyé de toute trace de sperme.
— Tu as très bon goût jeune homme !! Et quelle énergie ! — Merci... tant mieux... merci.

Je ne savais plus quoi dire, surpris par ce qui venait de se passer, terrassé par un orgasme d’une puissance inconnu alors. Marie se releva, en prenant soin de m’embrasser sur tout le torse puis en finissant sa course sur mes lèvres. Elle me fixa dans les yeux, et son regard devint soudain plus grave.
— Ça restera entre nous bien sûr !? — Evidemment !! — OK, alors viens avec moi, on va se poser un peu sur le canapé.

A force de se baisser, de se relever, la ceinture de son peignoir avait lâché prise et désormais c’est une femme magnifique dont je pouvais contempler les deux magnifiques petits seins bien fermes ainsi que sa toison très bien entretenue d’un blond foncé. Nous prenions nos tasses de café, oubliées dans les évènements et partîmes nous poser dans le canapé. Marie s’installa avec une grande décontraction. Elle avait maintenant un pied au sol et l’autre sous ses fesses. Dans cette position, j’avais une vue délicieuse sur sa poitrine magnifique et sur son pubis qu’elle n’avait pas pris soin de cacher avec son peignoir.
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